Sixth
Fifth
Fourth
Special
Third
Second
Sustainable
First

Skip Navigation Links

select
  • Ministérielles
  • Paragraphes Relatifs au Thème
    • • Mandats pour l'Action - Panama, Panama - avril 2015
      • 1:
      Sécurité Reconnaissant que la paix et l'inclusion sociale sont propices à de meilleures conditions de sécurité et que, à leur tour, celles-ci favorisent plus de prospérité et de stabilité ainsi qu'une meilleure qualité de vie, et constatant que la coopération entre nos pays dans ce domaine doit être conforme aux principes contenus dans le droit international, et considérant particulièrement le principe de souveraineté et de non-intervention dans les affaires intérieures des États et des systèmes constitutionnels et juridiques respectifs, nous proposons d’entreprendre les mesures ci-après: 1. Dans le souci de renforcer la coopération continentale en matière de sécurité dans le cadre de la législation de chaque État, soutenir l'initiative du Réseau interaméricain de prévention de la violence et de la criminalité, créé au sein de l'OEA.
      • 2:
      Sécurité Œuvrer à l'obtention de meilleures données et au renforcement des évaluations et diagnostics pour la formulation de politiques publiques efficaces en matière de prévention de la violence et de la criminalité et qui constituent une meilleure riposte face à ce phénomène à travers la région de façon intégrale. Dans ce sens, favoriser, entre autres, les Observatoires de la criminalité et de la violence conformément aux législations nationales.
      • 3:
      Sécurité Redoubler d'efforts et privilégier les actions destinées à aborder avec efficacité la violence contre les femmes et les filles, en particulier au moyen de la promotion d'initiatives visant à autonomiser les femmes et de la mise en œuvre de politiques publiques efficaces, centrées sur l'atteinte de cet objectif, y compris des mesures pour prévenir, punir et éliminer cette violence ; la formation de fonctionnaires aux niveaux national et local ; la mise en œuvre de programmes visant à instruire, à sensibiliser et à créer une conscience sur ce phénomène ; enfin la collecte de données et d'informations statistiques dans le cadre, selon le cas, de la Convention interaméricaine sur la prévention, la sanction et l'élimination de la violence contre la femme (Convention de Belém do Pará) et de son mécanisme de suivi.
      • 4:
      Sécurité Prendre note du rapport "Le problème des drogues dans les Amériques” du Secrétaire général de l'OEA, reconnaitre les progrès réalisés et réaffirmer les engagements souscrits dans le cadre de la quarante-troisième session ordinaire de l'Assemblée générale sur le thème “Pour une politique intégrale face au problème mondial des drogues dans les Amériques” et de la quarante-sixième session extraordinaire de l'Assemblée générale de l'OEA sur le thème “Réflexions et lignes directrices pour l'élaboration et le suivi des politiques intégrales contre le problème mondial des drogues dans les Amériques”. Dans ce sens, nous décidons de poursuivre le dialogue en prévision de la session extraordinaire de l'Assemblée générale de l'ONU sur le problème mondial de la drogue, laquelle aura lieu en 2016.
      • 5:
      Sécurité Poursuivre les efforts tendant à prévenir et combattre le trafic illicite d’armes à feu, munitions, explosifs et autres matériels connexes dans le but de réduire les taux élevés de criminalité et de violence dans la région au moyen, entre autres, des mécanismes existant au sein de l'OEA et des Nations Unies.
      • 6:
      Sécurité Prendre note du fait que Trinité-et-Tobago a accueilli la première réunion préparatoire de la première Conférence des États parties au Traité sur le commerce des armes ainsi que de l’intérêt de ce pays à être le secrétariat dudit traité, et prendre note de l’engagement du gouvernement du Mexique d’accueillir la première Conférence des États parties au traité en 2015.
      • 7:
      Renforcer les efforts réalisés de manière intégrale, en particulier les facteurs socioéconomiques, destinés à prévenir la délinquance juvénile au moyen de mesures et de mécanismes qui encouragent l’emploi, la sociabilité, l’estime de soi et le bien-être chez les jeunes.
      • Mandats issus du Sixième Sommet des Amériques- Cartagena, Colombie - avril 2012
      • 1:
      Sécurité citoyenne et criminalité transnationale organisée Renforcer et encourager la coopération bilatérale, sous-régionale, régionale et internationale en vue de prévenir et combattre la violence, la corruption et la criminalité transnationale organisée sous toutes leurs formes et dans toutes leurs manifestations et afin de promouvoir le renforcement institutionnel et, selon le cas, la rééducation et la réinsertion sociale, dans le cadre des accords et instruments internationaux en vigueur, dans le respect intégral de l’État de droit, du droit interne et international et des droits de la personne, et en mettant à contribution pour ce faire l’appui et le concours de tous les citoyens.
      • 2:
      Sécurité citoyenne et criminalité transnationale organisée Continuer à mettre en œuvre des politiques, des stratégies et des mesures intégrales qui visent à prévenir la criminalité et l’insécurité, en prenant en compte les rapports qui existent entre la sécurité et le développement ; examiner également les causes de la violence et promouvoir la coexistence et le règlement pacifique des différends entre citoyens, en prêtant une attention particulière aux jeunes et aux autres groupes vulnérables.
      • 3:
      Sécurité citoyenne et criminalité transnationale organisée Mettre en œuvre des politiques qui envisagent l'adoption de mesures pour prévenir, investiguer, sanctionner, pénaliser et éradiquer la violence sexuelle et sexospécifique.
      • 4:
      Sécurité citoyenne et criminalité transnationale organisée Accroitre l'effet et l'efficacité des politiques publiques intégrales sur la sécurité citoyenne au moyen d'interventions comme la création et l'exploitation d'informations pertinentes et opportunes ainsi que le renforcement de la capacité et de la coordination entre les institutions consacrées à la gestion de la sécurité citoyenne.
      • 5:
      Sécurité citoyenne et criminalité transnationale organisée Renforcer le système de coopération continentale pour prévenir et combattre la criminalité transnationale organisée en abordant les finalités économiques reliées à ce phénomène au moyen de mécanismes d’appui au renforcement des capacités nationales requises, le cas échéant, pour affronter ces menaces de manière concertée, en tirant profit des expériences et ressources disponibles des réseaux, des organismes et des mécanismes actuels, conformément au droit interne et international.
      • 6:
      Sécurité citoyenne et criminalité transnationale organisée Consolider la mise en œuvre de la sécurité publique par les autorités gouvernementales en encourageant la participation citoyenne et communautaire, la coordination inter-institutions ainsi que la formation et l'apprentissage des personnels civils et policiers, dans le respect intégral de l'État de droit, du droit interne, de la parité hommes-femmes et des droits de la personne.
      • 7:
      Sécurité citoyenne et criminalité transnationale organisée Impulser et renforcer la participation citoyenne et communautaire à la promotion et la pérennisation des politiques et programmes de sécurité citoyenne.
      • 8:
      Sécurité citoyenne et criminalité transnationale organisée Mettre en œuvre des politiques publiques dans le domaine de la sécurité citoyenne centrées sur la personne, dans le cadre d’un ordre démocratique, de l’État de droit et du respect des droits de la personne.
      • 9:
      Sécurité citoyenne et criminalité transnationale organisée Renforcer nos efforts visant à prévenir et combattre le trafic illicite de migrants et la traite des personnes, en particulier de femmes, d’enfants et d’adolescents, et promouvoir la coopération entre les États à cette fin, en respectant et en protégeant intégralement les droits de la personne.
      • Déclaration d’Engagement - Port of Spain, Trinité-et-Tobago - avril 2009
      • 68:
      Nous reconnaissons l’importance d’aborder les menaces, préoccupations et autres défis auxquels est confronté le Continent américain en matière de sécurité qui sont de nature diverse, de portée multidimensionnelle, et affectent le bien-être de nos citoyens. Nous réaffirmons que notre concept de la sécurité dans le Continent américain incorpore les priorités de chaque État, contribue à la consolidation de la paix, du développement intégral, et de la justice sociale, et est fondé sur les valeurs démocratiques, le respect, la promotion et la défense des droits de la personne, la solidarité, la coopération et le respect de la souveraineté nationale. Il est impératif que nos États renforcent la coopération en matière de sécurité. C’est pourquoi nous réaffirmons notre engagement à l’égard de la Déclaration sur la sécurité dans les Amériques.
      • 69:
      Nous réitérons notre condamnation la plus énergique du terrorisme sous toutes ses formes et dans toutes ses manifestations, parce que nous estimons qu’il s’agit d’actes criminels et injustifiables, quelles que soient les circonstances, le lieu où ils se produisent ou quel qu’en soit l’auteur, et parce qu’il constitue une grave menace à la paix et à la sécurité internationales ainsi qu’à la démocratie, à la stabilité et à la prospérité des pays de la région. Nous nous engageons à prévenir, punir et éliminer le terrorisme, et à continuer la lutte contre toutes les activités criminelles qui le financent ou le facilitent, dans le respect total de lois nationales, du droit international, y compris la législation internationale en matière de droits de la personne, de droit humanitaire international, et de droit des réfugiés. De même, nous nous engageons à renforcer la coopération, y compris l’entraide judiciaire et l’extradition, pour combattre le terrorisme et son financement, conformément aux lois internes des États et des conventions internationales existantes. Nous appelons les États qui ne l’ont pas encore fait à adhérer aux conventions internationales sur le terrorisme.
      • 70:
      Nous continuerons de combattre toutes les formes de criminalité transnationale organisée, y compris le trafic illicite de drogues, d'armes, de munitions et d'explosifs, la traite des personnes, et le trafic de migrants, le blanchiment d’avoirs, la corruption, le terrorisme, les enlèvements, les bandes armées criminelles, et les crimes associés à l’utilisation de la technologie, y compris le délit cybernétique. C’est pourquoi nous réaffirmons notre volonté de mettre en œuvre l’Engagement en faveur de la sécurité dans les Amériques, adopté lors de la Première Réunion des ministres en matière de sécurité publique des Amériques en octobre 2008 à Mexico ; les engagements issus des Réunion des ministres de la Justice ou autres ministres ou procureurs généraux des Amériques (REMJA), ainsi que le Plan d’action continental de 2006 contre la criminalité transnationale organisée. Nous invitons par conséquent la communauté internationale et les organisations internationales de financement à continuer d’apporter leurs contributions financières ou toute autre forme d’assistance qui s’impose, dans leurs sphères de compétence, afin de faciliter la réalisation des objectifs de sécurité publique dans les Amériques.
      • 71:
      En conséquence, nous prenons l’engagement de promouvoir, en coordination avec les institutions pertinentes, et avec la participation citoyenne et communautaire, des politiques publiques conçues pour prévenir la criminalité, la violence et l’insécurité, et de renforcer, à travers une approche multidimensionnelle et en nous conformant à nos lois internes, les voies de communication et l’échange d’ information, de pratiques optimales et d’expériences entre les États membres dans nos efforts visant à combattre et prévenir les délits qui portent atteinte à la sécurité publique. Nous renforcerons en outre nos capacités nationales et régionales par le biais d’une coopération et d’une assistance technique accrues, selon le cas, qui nous permettent de tirer parti de l’expertise de chaque État membre.
      • 72:
      Nous redoublerons d’efforts pour prévenir et combattre tous les aspects du problème mondial des drogues et des délits connexes, au moyen d’une coopération internationale renforcée, selon une approche intégrale et équilibrée et sur la base du principe de responsabilité partagée et commune, conformément aux principes consacrés dans la Charte des Nations Unies et la Charte de l’OEA, le droit international et nos cadres juridiques applicables. À cette fin, nous renforcerons nos capacités nationales et continuerons de mettre en œuvre, selon le cas, les recommandations du Mécanisme d’évaluation multilatérale (MEM). Nous constatons avec satisfaction que ce mécanisme a achevé son dernier cycle d’évaluation, et nous continuerons de le renforcer, de sorte qu’il soit à même de faire face aux nouveaux défis et nécessités des pays des Amériques. Nous reconnaissons par ailleurs l’importance des programmes de développement durable optionnels et, le cas échéant, du développement optionnel à caractère préventif dans la lutte contre le problème mondial des drogues.
      • 73:
      Nous demandons que Secrétariat général de l’OEA soumette au prochain Sommet des Amériques un rapport d’activités sur la mise en application des engagements contractés pendant les réunions des ministres en matière de sécurité publique des Amériques (MISPA), et les Réunion des ministres de la Justice ou autres ministres ou procureurs généraux des Amériques (REMJA). Nous attendons avec intérêt de faire avancer une plus large coopération dans ces réunions ainsi que les travaux de l’OEA en appui à la MISPA et à la REMJA. En ce sens, nous exprimons nos remerciements au Secrétariat général de l’OEA pour son appui technique permanent sur les questions traitées pendant ces réunions.
      • 74:
      Nous reconnaissons que la violence peut être évitée, et dans cette perspective, nous élaborerons ou renforcerons des politiques qui adoptent une approche intégrée de sa prévention. Dans ce but, nous apporterons un complément aux politiques de répression sous forme de stratégies de prévention de la violence produisant des résultats mesurables, notamment dans les domaines de l’éducation, du travail, de la santé, ainsi que d’autres domaines pertinents, selon les besoins. Nous continuerons à renforcer et à mettre en œuvre des activités qui promeuvent une culture de non-violence dans une perspective de santé publique, et à créer des communautés et des environnements sûrs, sains et durables. Nous prenons note de la Déclaration de la Première Réunion des ministres de la santé des Amériques sur la prévention de la violence et des blessures, tenue à Mérida (Mexique) en mars 2008, par laquelle nous nous sommes engagés en faveur de l’innovation, de l’élaboration, de la mise en œuvre et de l’évaluation plus avancées de plans de prévention de la violence.
      • 75:
      Nous sommes convaincus que la fabrication et le trafic illicites d'armes à feu, de munitions, d'explosifs et d'autres matériels connexes constituent une menace à la sécurité, qu’ils engendrent la violence, exacerbent les conflits et exercent des effets adverses sur l’État de droit. Nous réitérons la nécessité d'une coopération effective pour empêcher, combattre et éliminer cette menace et, dans cette perspective, nous réaffirmons la pertinence de la Convention interaméricaine contre la fabrication, et le trafic illicites d'armes à feu, de munitions, d'explosifs et d'autres matériels connexes (CIFTA) et des législations-types comme fondement de cette coopération. Nous continuerons à combattre la fabrication et le trafic illicites des armes à feu, des munitions, des explosifs, et d'autres matériels connexes en procédant, entre autres actions, au marquage et au dépistage des armes à feu, à la destruction des excédents d'arsenaux d'armes à feu identifiés par chaque État, en assurant la protection et la gestion des arsenaux, et en réglementant le courtage des armes à feu, incluant les sanctions contre le courtage illicite des armements, afin d’empêcher leur détournement vers des filières illicites, et leur prolifération.
      • 76:
      Nous redoublerons d’efforts pour empêcher l’accès des fonds/avoirs d’origine illicite à nos systèmes financiers, au moyen de mesures nationales et de la coopération internationale en vue d’identifier, de dépister, de geler, de saisir, ou de confisquer les fonds/avoirs qui sont le produit de l’activité délictueuse, en déterminant leur destination et/ou leur rapatriement, conformément à nos législations nationales et au droit international.
      • 77:
      Nous soulignons également notre décision de faire face au problème des bandes armées criminelles, à ses aspects connexes et à ses effets économiques et sociaux, qui mettent en danger les progrès accomplis par nos sociétés dans le processus d’établissement de la stabilité, de la démocratisation et du développement durable, avec une focalisation globale qui inclurait, entre autres, la prévention, la rééducation et la réinsertion des personnes touchées par ce phénomène. En ce sens, nous encourageons les efforts qui déploie l’OEA dans le cadre de l’élaboration d’une stratégie continentale englobante pour promouvoir la coopération interaméricaine dans le traitement des bandes armées criminelles.
      • 88:
      Nous reconnaissons le rôle important que remplit l’OEA dans le règlement pacifique de nos différends, sa participation dans la promotion d’une culture de démocratie et de paix, de dialogue et de non-violence dans la région, ainsi que son rôle dans la mise en œuvre de la Charte démocratique interaméricaine. Nous nous engageons à améliorer la capacité de l’OEA dans les efforts qu’elle déploie pour aider à renforcer la paix et la stabilité démocratique, sociale et économique de notre région.
      • Déclaration - Mar Del Plata, Argentine - novembre 2005
      • 67:
      Nous encouragerons la prospérité économique tout en garantissant que la communauté démocratique des États maintiendra son engagement en faveur de la paix et du traitement des menaces, préoccupations et autres défis qui se posent à la sécurité. Nous réitérons notre engagement en faveur des objectifs et des buts formulés dans la Déclaration sur la sécurité dans les Amériques qui est fondée sur le concept multidimensionnel de la sécurité, et nous continuerons de renforcer la coopération entre nos États.
      • 68:
      Nous déclarons que le terrorisme porte atteinte au fonctionnement normal de nos sociétés et exerce des incidences néfastes sur nos économies, les marchés du travail, et particulièrement la création d’emplois. Pour maintenir un climat qui stimule la prospérité économique et le bien-être de nos peuples, nous prendrons toutes les mesures nécessaires pour prévenir et combattre le terrorisme et son financement dans le plein respect de nos engagements à l’égard du droit international, y compris le droit international humanitaire, et le droit international des droits de la personne, et le droit international des réfugiés.
      • 69:
      Nous renforcerons les échanges opportuns d’informations, et l’entraide juridique la plus large possible en vue d’empêcher, de combattre et d’éliminer le terrorisme, de prévenir la circulation internationale des terroristes, et d’assurer qu’ils soient soumis à la justice et, le cas échéant, extradés, conformément à la législation interne et aux traités et conventions pertinentes. Nous coopérerons pour empêcher que toute personne qui participe au financement, à la planification, à la préparation, et à la commission des actes terroristes trouvent refuge dans nos pays.
      • 70:
      Nous soulignons notre préoccupation pour le problème des bandes armées criminelles et ses délits connexes, ainsi que ses effets sur le climat économique et social qui portent atteinte aux progrès réalisés par nos sociétés dans le processus de stabilité, de démocratisation et de développement durable; situation qui exige de toute urgence des actions complémentaires visant à promouvoir la prévention des actes criminels, à poursuivre ceux qui les commettent, à les rééduquer, à veiller à leur réinsertion, et à créer des possibilités de faciliter l’accès des jeunes au travail décent.
      • Plan d’Action - Mar del Plata, Argentine - novembre 2005
      • 53:
      Continuer de renforcer la coopération régionale et la mobilisation des ressources pour progresser dans la lutte contre la production, le trafic et la consommation de drogues illicites et de substances psychotropes, en lançant un appel aux pays du Continent américain, pour que, en collaboration avec la Commission interaméricaine de lutte contre l’abus des drogues (CICAD), ils mettent en place, exécutent et évaluent des programmes de prévention de l’abus des drogues, en particulier pour les jeunes et les enfants comme, par exemple, les « Compétences pour la vie » ; ils élargissent le « Programme d’évaluation des coûts humains, économiques et sociaux des drogues dans les Amériques » ; et ils encouragent les mesures d’appui aux stratégies de développement intégré et durable exécutées par les pays que touchent la culture et la production de drogues illicites.
      • 61:
      Tenant compte du thème du Sommet de Mar del Plata et ayant présent à l’esprit que notre concept de sécurité est de nature multidimensionnelle, promouvoir par des actions concrètes sur les plans national, sous-régional, continental et mondial, la mise en œuvre des engagements souscrits dans la Déclaration sur la sécurité dans les Amériques.
      • 64:
      Identifier, d’ici à décembre 2006, des initiatives concrètes de coopération et d’échanges d’expériences pour exploiter les capacités techniques de nos pays qui contribuent à la pleine application des normes contenues dans la Convention interaméricaine contre la corruption et au renforcement du Mécanisme de suivi de la mise en œuvre de la Convention (MESICIC), en tenant compte particulièrement des recommandations issues du premier cycle de ce mécanisme.
      • Déclaration - Nuevo León, Mexique - janvier 2004
      • 69:
      Nous renouvelons notre engagement envers les objectifs et buts énoncés dans la Déclaration sur la sécurité des Amériques approuvée à la Conférence spéciale sur la sécurité tenue à Mexico les 27 et 28 octobre 2003, laquelle se base, entre autres, sur le concept multidimensionnel de la sécurité, ainsi que sur le principe selon lequel le fondement et l’objectif de la sécurité sont axés sur la protection des êtres humains.
      • 70:
      C’est la première fois que nous nous réunissons depuis les tragiques événements du 11 septembre 2001. Nous réitérons que le terrorisme ainsi que la prolifération d’armes de destruction massive constituent de graves menaces à la sécurité internationale, aux institutions, aux valeurs démocratiques des Etats et au bien-être de nos peuples. Nous décidons d’intensifier nos efforts et de renforcer notre coopération pour faire face à cette menace.
      • 71:
      Nous adopterons toutes les mesures nécessaires pour prévenir et combattre le terrorisme et ses sources de financement, en respectant pleinement nos engagements dans le cadre du droit international, notamment le droit international des droits de la personne, le droit international des réfugiés et le droit international humanitaire. De même, nous nous engageons à lutter contre toutes les formes de criminalité transnationale, y compris le trafic illicite de drogues, d’armes et de personnes, particulièrement lorsque ces actions fournissent des fonds qui sont utilisés en appui aux organisations terroriste. Nous nous engageons également à adhérer aux normes globales contre le blanchiment des avoirs et contre le financement du terrorisme.
      • 72:
      Nous lançons un appel aux pays qui ne l’ont pas encore fait à ratifier la Convention interaméricaine contre le terrorisme, les douze autres conventions et protocoles des Nations Unies sur ce sujet, ainsi que d’autres instruments connexes. Nos prions instamment tous les pays d’envisager de signer et de ratifier la Convention interaméricaine sur l’entraide judiciaire en matière pénale et l’extradition au plus tard en décembre 2004, et de participer activement au Réseau d’entraide en matière pénale et d’extradition.
      • Déclaration - Québec, Canada - avril 2001
      • 8:
      Nous réaffirmons notre engagement à l'égard du maintien de la paix et de la sécurité grâce au recours efficace à des modes hémisphériques de règlement pacifique des différends et à l'adoption de mesures de renforcement de la confiance et de la sécurité. Nous appuyons et saluons les efforts déployés par l'OÉA à ce propos. Nous réaffirmons notre pleine adhésion au principe qui oblige les États à s'abstenir de recourir à la menace ou à la force, en conformité avec le droit international. Fidèles aux principes du droit humanitaire international, nous condamnons énergiquement les attaques menées contre les populations civiles. Nous prendrons toutes les mesures à notre disposition pour que les enfants de nos pays ne participent pas à des conflits armés et nous condamnons l'utilisation d'enfants par des forces irrégulières. Nous réitérons que la subordination constitutionnelle des forces armées et des forces de sécurité aux autorités civiles légalement constituées de nos pays ainsi que le respect de l'état de droit de la part de toutes les institutions nationales et tous les secteurs de la société sont fondamentaux pour la démocratie. Nous nous efforcerons de limiter les dépenses militaires, tout en maintenant les effectifs correspondants à nos besoins légitimes en matière de sécurité, et nous encouragerons une meilleure transparence dans les acquisitions d'armes.
      • 9:
      Nous réitérons notre engagement à faire face aux nouvelles menaces multidimensionnelles à la sécurité de nos sociétés. Soulignons parmi celles-ci, le problème mondial de la drogue et les crimes s'y rattachant, le trafic illicite et l'usage criminel des armes à feu, le danger croissant que représente le crime organisé et le problème général de la violence dans nos sociétés. Reconnaissant que la corruption mine les valeurs démocratiques fondamentales, ébranle la stabilité politique et nuit à la croissance économique, et de ce fait, menace les intérêts vitaux dans notre hémisphère, nous nous engageons à raviver notre lutte contre la corruption. Nous reconnaissons également la nécessité d'amérioler les conditions favorables à la sécurité humaine à l'échelle de l'hémisphère.
      • Plan d’Action - Québec, Canada - avril 2001
      • 63:
      Reconnaissant la nature extrême du problème de la drogue dans la région, renouvelant leur engagement inconditionnel en faveur de la lutte sous toutes ses formes, dans une perspective intégrale, conformément au principe de responsabilité partagée, grâce à la coordination d’efforts nationaux et dans un esprit de coopération et de respect mutuel, tel qu’il est établi dans la Stratégie antidrogue dans l’hémisphère, et reconnaissant aussi les travaux accomplis par la Commission interaméricaine de la lutte contre l’abus des drogues (CICAD) et le groupe gouvernemental d’experts nommés pour lancer le premier cycle du Mécanisme multilatéral d’évaluation (MME).
      • 64:
      Prendre note avec satisfaction de la création et de la mise en œuvre du MME, et réitérer leur engagement à faire de cet instrument, unique au monde, un pilier d’une coopération hémisphérique constructive dans la lutte contre tous les éléments liés au problème de la drogue.
      • 65:
      Mettre en œuvre les propositions et les recommandations trouvées dans les rapports nationaux et le rapport hémisphérique, approuvés par la CICAD, conformément à la situation spécifique à chaque pays.
      • 66:
      Continuer de renforcer et examiner le MME pour surveiller les efforts nationaux et hémisphériques dans le cadre de la lutte contre les drogues, et recommander des mesures concrètes pour encourager la coopération interaméricaine et les stratégies nationales visant à lutter contre ce fléau; Recommander: L’intensification des efforts communs de la BID et de la CICAD afin d’obtenir des ressources financières de la communauté internationale des donateurs grâce à des groupes consultatifs soutenant les efforts antidrogues, pour des programmes alternatifs de développement et de réduction de la demande; Créer des unités ayant des fonctions de renseignements financiers dans les pays qui ne l’ont pas encore fait, avec l’appui de la CICAD et d’organismes internationaux spécialisés dans ce domaine, ce pour quoi, dans ce contexte, il est recommandé que les efforts de formation de la CICAD et de la BID soient élargis; Élaborer, dans le cadre de la CICAD, une stratégie à long terme incluant un programme d’une durée de trois ans, pour mettre au point un mécanisme de base homogène en vue d’estimer les coûts sociaux, humains et économiques du problème de la drogue dans les Amériques, et soutenir les pays en leur apportant l’assistance technique nécessaire;
      • 67:
      Promouvoir une coopération bilatérale et multilatérale et un échange d’information sur les politiques et les mesures relatives à la prévention, au traitement, à la rééducation et au contrôle de l’approvisionnement en matière de drogue, et organiser des campagnes de sensibilisation pour favoriser la sensibilisation du public aux risques que représente la consommation de drogues.
      • 68:
      Soutenir des mesures visant à faire obstacle au crime organisé, au blanchiment d’argent, au détournement de précurseurs chimiques, au financement de groupes armés et à d’autres activités illicites découlant du trafic des drogues et des armes.
      • 69:
      Promouvoir la coopération bilatérale et multilatérale, afin d’étudier d’une manière intégrale le phénomène du déplacement de différents facteurs liés au problème de la drogue, notamment le déplacement de personnes et les récoltes illicites.
      • 70:
      Encourager tous les pays de l’hémisphère, dans les meilleurs délais et selon le cas, à signer et ratifier, ou à ratifier la Convention sur la criminalité transnationale organisée, des Nations Unies, son Protocole contre le trafic illicite de migrants par terre, air et mer, et de son Protocole additionnel visant à prévenir, réprimer et punir la traite des personnes, en particulier des femmes et des enfants, ou à y adhérer, ainsi que son Protocole contre la fabrication et le commerce illicites des armes à feu, de leurs pièces et de leurs munitions, lorsque ce protocole sera prêt pour la signature.
      • 71:
      Mettre en œuvre des stratégies collectives, dont celles se dégageant des réunions des ministres de la Justice des Amériques, afin de renforcer la capacité institutionnelle des États d’échanger des informations et des éléments de preuve, en concluant, au besoin, des accords internationaux sur l’assistance juridique mutuelle, d’élaborer et diffuser des rapports nationaux, de renforcer la coopération, en recherchant le soutien technique et financier d’organisations multilatérales et des BMD, le cas échéant, en vue de lutter conjointement contre les formes naissantes d’activités criminelles transnationales, notamment contre le trafic de personnes et le blanchiment des produits et des actifs découlant du crime et du crime cybernétique.
      • 72:
      Examiner les lois et les politiques nationales afin d’améliorer la coopération dans des domaines tels que l’assistance juridique mutuelle, l’extradition et la déportation vers les pays d’origine, en reconnaissant les préoccupations majeures des pays qui déportent certains ressortissants étrangers ayant commis des crimes vers ces pays et les préoccupations majeures des pays d’accueil à l’égard des effets négatifs qu’entraînent ces déportations sur les incidences de la criminalité dans les pays d’origine, et expriment le souhait de travailler ensemble, au besoin, afin d’atténuer les effets négatifs sur nos sociétés.
      • 73:
      Promouvoir, si nécessaire, et conformément aux lois nationales, l’adoption de techniques d’enquête, prévues par la Convention contre la criminalité transnationale organisée des Nations Unies; ces techniques sont un outil très important dans la lutte contre le crime organisé.
      • 74:
      Reconnaissant que la violence et le crime sont de sérieux obstacles à l’harmonie sociale et au développement démocratique et socio-économique de l’hémisphère, et prenant également note de la nécessité urgente d’une approche intégrale pour la prévention de la violence.
      • 75:
      Encourager nos institutions nationales à travailler de concert et à coordonner avec toutes les organisations multilatérales et les BMD compétentes afin de mettre en œuvre des programmes intégrés, notamment des initiatives portant sur le règlement des différends, s’il y a lieu, pour susciter une prévention soutenue, une attention permanente, une sensibilisation de la population et un traitement pertinent dans les cas de violence contre des personnes, des familles et des communautés, en renforçant les capacités institutionnelles nationales dans ces domaines.
      • 84:
      Accroître la coopération régionale en vue d’empêcher l’utilisation d’armes à feu et de munitions à des fins criminelles et examiner, au besoin, des mesures et des lois additionnelles au niveau national.
      • 85:
      Mettre en œuvre, dès que possible, la Convention interaméricaine contre la fabrication et le trafic illicites des armes à feu, munitions, explosifs et autres matériels connexes, et appliquer, s’il y a lieu, les Règlements modèles de la CICAD.
      • 86:
      Reconnaissant que la démocratie est un élément fondamental de la sécurité, de la paix et du développement dans l’hémisphère, qui, de leur côté, constituent les meilleures bases pour améliorer le bien-être de nos peuples, prenant acte que la subordination constitutionnelle des forces armées et des services de sécurité aux autorités légalement constituées de nos États est indispensable à la démocratie.
      • 87:
      Tenir en 2004 la Conférence spéciale sur la sécurité pour laquelle le Comité sur la sécurité hémisphérique de l’OÉA conclura l’examen de toutes les questions relatives aux approches en matière de sécurité internationale dans l’hémisphère, tel que déterminé lors du Sommet de Santiago.
      • 88:
      Poursuivre, de façon prioritaire, les activités relatives à la prévention des conflits et au règlement pacifique des différends, réagir aux préoccupations partagées en matière de défense et de sécurité traditionnelle et non traditionnelle, de même qu’appuyer les mesures visant à accroître la sécurité humaine.
      • 89:
      Soutenir les efforts des petits États insulaires en développement pour aborder leurs préoccupations spéciales en matière de sécurité, en reconnaissant que, pour les États les plus petits et les plus vulnérables de l’hémisphère, la sécurité revêt une portée à facettes multiples, met en jeu des acteurs étatiques et non étatiques, et inclut des éléments politiques, économiques, sociaux et naturels, et que les petits États insulaires en développement ont conclu que parmi les menaces à leur sécurité figurent le trafic de drogues illicites, le commerce illégal des armes, les niveaux croissants de criminalité et de corruption, la vulnérabilité environnementale exacerbée par la vulnérabilité aux catastrophes naturelles et au transport de déchets nucléaires, la vulnérabilité économique, particulièrement en ce qui a trait au commerce, les nouvelles menaces pour la santé, notamment la pandémie du VIH/sida, et les niveaux accrus de pauvreté.
      • 90:
      Accroître la transparence et la responsabilité des institutions de défense et de sécurité, et promouvoir une meilleure compréhension et une plus grande coopération entre les organismes gouvernementaux s’occupant de questions de sécurité et de défense, par des moyens tels qu’un partage accru de documents relatifs aux politiques et aux doctrines de défense, des informations, et des échanges de personnel, incluant, lorsque cela est possible, une coopération et une formation en vue d’une participation à des activités de maintien de la paix des Nations Unies, et mieux satisfaire aux besoins légitimes en matière de défense et de sécurité en accroissant la transparence en ce qui concerne l’acquisition d’armes, dans le but d’augmenter le degré de confiance et de sécurité dans l’hémisphère.
      • 91:
      Continuer de renforcer les niveaux de confiance et de sécurité dans l’hémisphère, en continuant, en particulier, de soutenir des mesures telles que celles énoncées dans les Déclarations de Santiago et de San Salvador sur les mesures de confiance et de sécurité (MCS), ainsi que les mécanismes, les ententes et les fonds existants et envisager de signer et ratifier, ou ratifier la Convention sur l'interdiction de l'emploi, du stockage, de la production et du transfert des mines antipersonnel et sur leur destruction, la Convention interaméricaine sur la transparence des acquisitions d’armes conventionnelles et la Convention interaméricaine contre la fabrication et le trafic illicites des armes à feu, munitions, explosifs et autres matériels connexes, ou d’y adhérer, dans les meilleurs délais et selon le cas; en appuyant sans réserve la Conférence des Nations Unies sur les armes légères, qui doit avoir lieu au mois de juillet 2001, tout en gardant à l’esprit les résultats de la Réunion préparatoire régionale de l’Amérique latine et des Caraïbes, tenue à Brasilia en novembre 2000, et le travail de l’OÉA, qui ont contribué à l’établissement d’une perspective régionale pour les discussions.
      • 92:
      Appuyer vigoureusement la troisième réunion des États membres de la Convention sur l'interdiction de l'emploi, du stockage, de la production et du transfert des mines antipersonnel et sur leur destruction qui se tiendra en septembre 2001 à Managua, au Nicaragua, et la prochaine Conférence qui aura lieu à Genève en décembre 2001 dans le but de réviser la Convention sur l’interdiction ou la limitation de l’emploi de certaines armes classiques qui peuvent être considérées excessivement nocives ou ayant des effets des Nations Unies de 1980, de même que les efforts de l’OÉA en vue d’atteindre les objectifs de transformer l’hémisphère occidental en une zone exempte de mines antipersonnel.
      • 93:
      Demander une réunion d’experts, avant la Conférence spéciale sur la sécurité, comme suivi des conférences régionales de Santiago et de San Salvador sur les MCS, afin d’évaluer la mise en œuvre et d’étudier les prochaines étapes pour consolider davantage la confiance mutuelle.
      • 94:
      Promouvoir le soutien financier au «Fonds pour la paix: règlement pacifique des différends territoriaux » de l’OÉA, créé pour fournir des ressources financières en vue d’aider à défrayer les coûts inhérents aux procédures antérieurement acceptés par les parties concernées pour un règlement pacifique des différends territoriaux entre États membres de l’OÉA.
      • 95:
      Soutenir les travaux menant à la cinquième Réunion des ministres de la Défense des Amériques, qui se tiendra au Chili, ainsi que des réunions supplémentaires qui auront lieu par la suite.
      • 96:
      Soutenir les travaux entrepris par le Comité interaméricain contre le terrorisme (CICTE) formé au sein de l’OÉA, découlant de l’Engagement de Mar del Plata adopté en 1998, et encourager la coopération hémisphérique afin de prévenir, de combattre et d’éliminer toutes les formes de terrorisme, en tenant compte du statut et du plan de travail approuvé du CICTE.
      • 97:
      Envisager, dans les meilleurs délais et selon le cas, de signer et ratifier, ou de ratifier les accords internationaux relatifs à la lutte contre le terrorisme, ou d’y adhérer, dans les meilleurs délais et selon le cas, conformément à leur législation interne respective.
      • Plan d’Action - Québec, Chili - avril 1998
      • 54:
      Poursuivre leurs efforts nationaux et multilatéraux pour parvenir à la pleine application de la Stratégie antidrogues de l'hémisphère, tout en renforçant cette alliance sur la base du respect de la souveraineté et de la juridiction territoriale des États, de la réciprocité, de la responsabilité partagée et de l'application d'une approche intégrée et équilibrée conformément à la législation nationale.
      • 55:
      Dans l'intention de renforcer la confiance mutuelle, le dialogue et la coopération à l'échelle de l'hémisphère et sur la base des principes susmentionnés, établir, dans le cadre de la Commission interaméricaine pour le contrôle de l'abus des drogues (CICAD-OEA), un processus unique et objectif d'évaluation gouvernementale multilatérale, qui permettre de suivre l'évolution des efforts individuels et collectifs déployés à l'échelle de l'hémisphère ainsi que les progrès accomplis dans tous les pays qui participent au Sommet pour ce qui est de régler ce problème dans ses diverses manifestation.
      • 56:
      • 58:
      • 59:
      • 60:
      • 61:
      • 62:
      • 63:
      • 64:
      • 65:
      • 66:
      • 67:
      • 68:
      Encourager les institutions financières à redoubler d'efforts pour prévenir le blanchiment d'argent et inciter les secteurs commerciaux appropriés à renforcer leurs contrôles pour empêcher le détournement des précurseurs chimiques.
      • 69:
      Appuyer pleinement la Session extraordinaire de l'Assemblée générale des Nations unies qui aura lieu en juin 1998 pour promouvoir la coopération internationale dans la lutte contre le trafic illicite de drogues et la criminalité connexe, et encourager tous les États à participer activement et au plus haut niveau à cette rencontre internationale. Les gouvernements ne négligeront aucun effort pour assurer la mise en oeuvre effective des accords internationaux sur les stupéfiants auxquels ils ont souscrit, aux niveaux régional et sous-régional, et pour faire en sorte que ceux-ci aillent de pair avec les efforts déployés à l'échelle de l'hémisphère, et ils réitèrent leur appui à la CICAD et au rôle fondamental qu'elle joue pour l'application de ces accords.
      • 70:
      Prendre, ainsi qu'il est convenu dans la Déclaration et le Plan d'action de Lima, des mesures pour prévenir, combattre et éliminer le terrorisme, faisant preuve à cette fin de la plus ferme détermination à réaliser les objectifs généraux fixés dans ces instruments.
      • 71:
      Encourager les États qui ne l'ont pas encore fait à signer ou ratifier les conventions internationales relatives au terrorisme ou, le cas échéant, à y adhérer, conformément à leurs législations nationales respectives.
      • 72:
      Convoquer, sous les auspices de l'Organisation des États américains (OÉA), la Deuxième Conférence spécialisée interaméricaine pour évaluer les progrès accomplis et définir les futurs moyens d'action pour prévenir, combattre et éliminer le terrorisme.
      • 73:
      Promouvoir le dialogue régional afin de revitaliser et de renforcer les institutions du système interaméricain, compte tenu des nouveaux facteurs politiques, économiques, sociaux et stratégico-militaires à l'oeuvre dans l'hémisphère et dans ses sous-régions. À cette fin, ils chercheront à renforcer le climat de confiance et de sécurité entre les États de l'hémisphère.
      • 74:
      Mettre en pratique, dans la forme où elles sont établies, les mesures et les recommandations issues des Conférences régionales sur les mesures de confiance et de sécurité, qui se sont tenues en novembre 1995 à Santiago, au Chili, et en février 1998 à San Salvador, en El Salvador, sous les auspices de l'Organisation des États américains (OÉA).
      • 75:
      Continuer d'appuyer les petits États insulaires dans leurs efforts pour régler les problèmes de sécurité pluridimensionnels qui leur sont propres, ainsi que leurs problèmes économiques, financiers et environnementaux, en tenant compte de la vulnérabilité et du niveau de développement de ces États.
      • 76:
      En complément des efforts visant à faire de l'hémisphère occidental une zone exempte de mines antipersonnel, et au vu de la contribution apportée à cet égard par la Convention sur l'interdiction de l'emploi, du stockage, de la production et du transfert des mines antipersonnel et sur leur destruction, y compris sa rapide entrée en vigueur, encourager les actions et appuyer les efforts internationaux de caractère humanitaire pour le déminage dans la région, et ce en veillant à ce que la priorité soit accordée à l'enlèvement des mines qui menacent les populations civiles et aux activités visant à rendre la terre à son usage productif. Cette tâche sera accomplie grâce à une coopération et une coordination internationales et régionales efficaces, à la demande des États concernés, pour le repérage, le marquage, la cartographie et l'enlèvement des mines; à une sensibilisation effective de la population civile aux dangers des mines et à la prestation d'une assistance aux victimes; et, le cas échéant, au développement et à l'application de nouvelles technologies pour la détection et l'enlèvement des mines.
      • 77:
      Continuer de promouvoir la transparence au niveau de la politique de défense, et notamment en ce qui concerne la modernisation des forces armées, la comparaison des dépenses militaires dans la région et le renforcement du Registre des armes classiques tenu par les Nations unies.
      • 78:
      Accroître la coopération avec les missions de maintien de la paix des Nations unies.
      • 80:
      S'efforcer d'assurer la solution pacifique des conflits et différends en suspens par le recours aux mécanismes existants pour le règlement pacifique des différends dans le cadre du système interaméricain et en conformité avec les instruments et traités internationaux en vigueur. Ils estiment par ailleurs que lesdits mécanismes et instruments devraient être renforcés.
      • 81:
      Reconnaître l'utilité des réunions ministérielles ou de haut niveau portant sur les questions internationales de défense et de sécurité, telles que les Réunions des ministres de la Défense à Williamsburg et à Bariloche, en tant que contribution importante au dialogue régional sur ces questions et, dans cette perspective, encourager les pays intéressés à tenir d'autres réunions.
      • 82:
      Suivre et approfondir les questions relatives aux mesures de renforcement de la confiance et de la sécurité.
      • 83:
      Analyser la signification, la portée et les conséquences pour l'hémisphère des concepts internationaux de sécurité, afin d'élaborer les approches communes les plus appropriées pour en gérer les divers aspects, y compris le désarmement et le contrôle des armements.
      • 84:
      Préciser les moyens à prendre pour revitaliser et renforcer les institutions du système interaméricain se rapportant aux divers aspects de la sécurité de l'hémisphère.
      • 85:
      Ce processus aboutira à la tenue, dans le cadre de l'OÉA, d'une Conférence spéciale sur la sécurité, et ce au début de la prochaine décennie au plus tard.
      • 86:
      Conférences régionales de Santiago et de San Salvador sur les mesures de confiance et de sécurité afin de renforcer la confiance mutuelle dans les Amériques.
      • 87:
      Les progrès accomplis quant à ces questions feront l'objet de rapports présentés aux États, ainsi que d'un suivi approprié dans le cadre de l'OÉA, afin qu'il en soit discuté lors du prochain Sommet des Amériques.
      • Déclaration - Santiago, Chili - avril 1998
      • 17:
      Nous constatons avec une profonde satisfaction que la paix, valeur fondamentale de la coexistence humaine, est une réalité dans notre hémisphère. Nous soulignons que l’Amérique centrale est devenue une zone de paix, de démocratie et de développement, et reconnaissons les efforts pour l’élimination des mines antipersonnel et la réadaptation de leurs victimes. Nous continuerons à favoriser la confiance et la sécurité entre nos États par des mesures comme celles mentionnées dans les déclarations de Santiago et de San Salvador sur les mesures d’encouragement de la confiance et de la sécurité. Nous encourageons le règlement pacifique des différends.
      • 18:
      Nous donnerons un nouvel élan à la lutte contre la corruption, le blanchiment d’argent, le terrorisme, le trafic des armes et des stupéfiants, y compris leur consommation illicite, et nous coopérerons pour faire en sorte que les délinquants ne trouvent asile nulle part dans l’hémisphère. Nous sommes décidés à persévérer dans cette voie.
      • 19:
      En formant une alliance contre les drogues et en appliquant la stratégie antidrogue de l’hémisphère, nous ne pouvons que nous réjouir de l’amorce de négociations formelles, à la réunion de la Commission interaméricaine de lutte contre l'abus des drogues (CICAD) qui aura lieu le 4 mai, à Washington, dans le cadre de l’Organisation des États américains (OÉA), dans le but d’établir une procédure objective pour faire l’évaluation multilatérale des actions et de la coopération destinées à prévenir et combattre le problème des drogues sous toutes ses formes et les délits connexes, selon les principes de la souveraineté, de l’intégrité territoriale des États et du partage de la responsabilité, et dans une optique générale et équilibrée.
      • Déclaration - Principes de Miami, États-Unis d’Amérique - décembre 1994
      • 7:
      Conscients des effets nocifs du crime organisé et des stupéfiants illicites sur nos économies, les valeurs éthiques, la santé publique et le tissu social, nous nous joindrons à la lutte contre la consommation, la production, le trafic et la distribution de stupéfiants illégaux, et contre le blanchiment d'argent et le trafic illicite d'armes et de précurseurs chimiques. Nous coopérerons également en vue de créer des stratégies de développement de substitution viables dans les pays producteurs de cultures illicites. Il conviendrait également que la coopération englobe les programmes internationaux et nationaux destinés à juguler la production, la consommation et le trafic de stupéfiants illicites, et à favoriser la réinsertion des drogués.
      • 8:
      Nous condamnons le terrorisme sous toutes ses formes, et nous lutterons dans l'unité et la fermeté, par tous les moyens légaux, contre les actes terroristes partout dans les Amériques.
      • Plan d'Action - Miami, États-Unis d’Amérique - décembre 1994
      • 6.1:
      Les problèmes de trafic de stupéfiants illicites et activités criminelles connexes constituent de graves menaces pour les sociétés, les économies de marché libre et les institutions démocratiques de l'hémisphère. La consommation de stupéfiants impose d'énormes coûts sociaux, les fonds et les revenue provenant des stupéfiants drainent la croissance économique, et enfin, les barons de la drogue et les organisations criminelles menacent la sécurité de nos populations par la corruption, l'intimidation et la violence. Alors que le trafic de stupéfiants reste une source importante de revenue illicites, l'industrie du blanchiment d'argent s'occupe de plus en plus du produit de tous les types d'activités criminelles. Une démarche intégrée et équilibrée, comprenant le respect de la souveraineté nationale, est essentielle pour faire face a tous les aspects de ces problèmes. Pour ces raisons, il est nécessaire d'adopter une stratégique d'ensemble coordonnée pour l'hémisphère, visant à réduire la consommation et la production de stupéfiants, comprenant de nouvelles méthodes de répression qui soient capables de perturber les réseaux de trafic de stupéfiants et de blanchiment d'argent, et engager des poursuites à l'encontre des responsables de ces activités. Dans ce contexte, les gouvernements prennent acte des travaux du Sommet de San Antonio en 1992, souscrivent aux efforts de la Commission inter-américaine de lutte contre l'abus des drogues, et conviennent d'oeuvrer de concert en vue de formuler une stratégie de lutte contre les stupéfiants pour le 21e siècle.
      • 6.10:
      Tiendront une conférence de travail, suivie d'une conférence ministérielle, afin d'étudier et de convenir d'une réponse coordonnée au niveau de hémisphère, y compris la prise en considération d'une convention interaméricaine pour lutter contre le blanchiment d'argent.
      • 6.11:
      Convoqueront, pour l'ensemble de hémisphère, une conférence réunissant les donateurs, y compris les banques multilatérales de développement et les organismes de l'ONU, pour rechercher des ressources destinées à des programmes de développement de substitution visant à diminuer la production, le trafic et l'utilisation de stupéfiants illicites et à assurer la réinsertion des toxicomanes.
      • 6.12:
      Appuieront le débat entamé par l'OEA avec l'Union européenne, concernant des mesures destinées à contrôler les produits chimiques précurseurs.
      • 6.13:
      Appuieront la convocation d'une conférence mondiale sur la lutte contre les stupéfiants.
      • 6.2:
      Ratifieront la Convention de 1988 des Nations Unies contre le trafic illicite de stupéfiants et de substances psychotropes, et criminaliseront le délit blanchiment du produit de tous les délits graves.
      • 6.3:
      Adopteront une législation permettant le blocage et la confiscation du produit du blanchiment d'argent et considrèront la possibilité de partager entre les gouvernements les actifs confisqués.
      • 6.4:
      Comme convenu dans la déclaration de Kingston, 5-6 novembre 1992, par les ministres et les représentants des gouvernements de la Caraïbe et de l'Amérique Latine, mettront en oeuvre les recommandations du groupe d'étude de la Caraïbe sur les finances et le blanchiment d'argent, et oeuvreront pour adopter les réglementations modèle de la Commission interaméricaine de lutte contre l'abus des drogues (CICAD).
      • 6.5:
      Encourageront les institutions financières à signaler aux autorités compétentes toute transaction importante suspecte et élaboreront des procédures efficaces permettant de recueillir les informations pertinentes auprès des institutions financières.
      • 6.6:
      Oeuvreront à titre individuel et collectif pour identifier, dans la région, les réseaux de trafic de stupéfiants et de blanchiment d'argent, engageront des poursuites à l'encontre de leurs dirigeants et saisiront les biens provenant de ces activités criminelles.
      • 6.7:
      Adopteront des programmes destinés à prévenir et à réduire la demande et la consommation de stupéfiants illicites. Adopteront des stratégies nationales , efficaces et viables du point de vue de l'environnement, pour prévenir ou réduire sensiblement la culture et la transformation des cultures servant au commerce de stupéfiants illicites, en tenant particulièrement compte de l'appui national et international pour les programmes de développement susceptibles de créer des options économiques viables pour remplacer la production de stupéfiants.
      • 6.8:
      Accorderont une attention particulière au contrôle de produits chimiques précurseurs et appuieront des stratégies exhaustives d'interception des stupéfiants.
      • 6.9:
      Renforceront les efforts visant à contrôler les armes à feu, les munitions et les explosifs afin d'éviter leur détournement au profit des trafiquants de stupéfiants et des organisations criminelles.
      • 7.1:
      Le terrorisme national et international constitue une violation systématique et délibérée des droits des personnel et une atteinte à la démocratie elle-même. Les récenses attaques subies par certains de nos pays prouvent la grave menace que constitue le terrorisme pour la sécurité aux Amériques. Les mesures prises par les gouvernements pour combattre et éliminer cette menace constituent les éléments essentiels garantissant la légalité et l'ordre, tout en gardant la confiance du public envers le gouvernement, a l'échelon national et international. Dans ce contexte, ceux qui parrainent des actes terroristes ou sont complices de la planification ou de l'exécution d'actes terroristes en abusant des privilèges et de l'immunité diplomatiques, ou par d'autres moyens, seront tenus responsables par la communauté internationale.
      • 7.2:
      Encourageront les accords bilatéraux et sous-régionaux, dans le but de poursuivre les terroristes et de criminaliser les activités terroristes, dans le contexte de la protection des droits de l'homme des libertés fondamentales.
      • 7.3:
      Convoqueront une conférence spéciale de l'OEA sur la prévention du terrorisme.

  • Antigua-et-Barbuda
    N/A
  • Argentine
    • Rapports
    • Date:  2016-12-20    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2016-12-20    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2016-12-20    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2016-12-20    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-06-12    Paragraphes: 1
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-06-12    Paragraphes: 1
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-06-12    Paragraphes: 1
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-06-12    Paragraphes: 1
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-06-12    Paragraphes: 2
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-06-12    Paragraphes: 2
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 1
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 1
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 71, 74, 2
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 70, 3
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 4
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 70, 5
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 72, 5
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 6, 7, 8
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 6, 7, 8
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 6, 7, 8
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 6, 7, 8
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 6, 7, 8
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 9
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 9
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 9
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2010-12-21    Paragraphes: 68, 73, 76
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2010-12-21    Paragraphes: 69, 70, 76
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2010-12-21    Paragraphes: 72
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2010-12-21    Paragraphes: 74
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2010-12-21    Paragraphes: 75
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2010-12-21    Paragraphes: 68, 73
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2010-12-21    Paragraphes: 68, 73
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2010-12-21    Paragraphes: 75
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2010-12-21    Paragraphes: 75
    Information disponible en Espagnol
    • Sources Connexes
    ARGENTINA- INFORME NACIONAL SOBRE CUMPLIMIENTO DE MANDATOS DE LA V CUMBRE DE LAS AMERICAS
    ARGENTINA- INFORME NACIONAL SOBRE CUMPLIMIENTO DE MANDATOS DE LA V CUMBRE DE LAS AMERICAS
    ARGENTINA- INFORME NACIONAL SOBRE CUMPLIMIENTO DE MANDATOS DE LA V CUMBRE DE LAS AMERICAS
    ARGENTINA- INFORME NACIONAL SOBRE CUMPLIMIENTO DE MANDATOS DE LA V CUMBRE DE LAS AMERICAS
    ARGENTINA- INFORME NACIONAL SOBRE CUMPLIMIENTO DE MANDATOS DE LA V CUMBRE DE LAS AMERICAS
  • Bahamas
    • Rapports
    • Date:  2012-05-15    Paragraphes: 70
    Information disponible en Anglais
    • Date:  2012-05-15    Paragraphes: 70, 72
    Information disponible en Anglais
  • Barbade
    • Rapports
    • Date:  2015-12-18    Paragraphes: 2
    Information disponible en espagnol anglais
    • Date:  2015-12-18    Paragraphes: 3
    Information disponible en espagnol anglais
    • Date:  2015-12-18    Paragraphes: 5
    Information disponible en espagnol anglais
    • Date:  2015-12-18    Paragraphes: 6
    Information disponible en espagnol anglais
    • Date:  2015-12-18    Paragraphes: 7
    Information disponible en espagnol anglais
    • Date:  2015-12-18    Paragraphes: 9
    Information disponible en espagnol anglais
    • Date:  2011-06-21    Paragraphes: 72
    STRENGTHENING PUBLIC SECURITY
    The Royal Barbados Police Force (RBPF) continues, at the strategic level, to formulate and implement policies consistent with Supply and Demand Reduction and Harm Reduction with respect to illicit drugs. The Force has strengthened its information sharing capability in the region and internationally through specific systems, training and education. By virtue of this our capability to monitor and interdict drug trafficking has been greatly enhanced.
    Our Harm Reduction focus has been targeted at public education, alerting the community to the dangers and ramifications of the use and abuse of illicit drugs.
    Specifically, the RBPF has expanded its Drug Awareness Programme in Primary Schools, through the Drug Awareness Resistance Education Programme or (DARE). It is contemplated that this programme will be extended to our Secondary Schools.
    • Date:  2011-06-21    Paragraphes: 70
    STRENGTHENING PUBLIC SECURITY
    The Royal Barbados Police Force (RBPF) continues, at the strategic level, to formulate and implement policies consistent with Supply and Demand Reduction and Harm Reduction with respect to illicit drugs. The Force has strengthened its information sharing capability in the region and internationally through specific systems, training and education. By virtue of this our capability to monitor and interdict drug trafficking has been greatly enhanced.
    Our Harm Reduction focus has been targeted at public education, alerting the community to the dangers and ramifications of the use and abuse of illicit drugs. Specifically, the RBPF has expanded its Drug Awareness Programme in Primary Schools, through the Drug Awareness Resistance Education Programme or (DARE). It is contemplated that this programme will be extended to our Secondary Schools.
    Transnational Organized Crime
    The RBPF has developed a capability in its Financial Crimes Investigative Unit to investigate and submit for prosecution, crimes of Money Laundering. Current Legislation has been given a recent and welcomed boost to the Forces capability through the promulgation of the Transnational Organised Crime (Prevention and Control) Act 2011-3. Complementing this, the Force has deployed more investigators to the unit responsible for such investigations.
    The RBPF's Contingency Plans for terrorist incidents are subject to continuous update. Related training and simulations complement the updates. Continuous networking with international agencies in the fight, against terrorism heightens the Force's awareness of any possible terrorist threats.
    Since 1982, the Force embarked on Community Policing as a crime prevention strategy and philosophy. Currently new crime prevention strategy and philosophy treat to pervasive public engagement through Community Policing and Problem Solving; the desirable integrated approach. This approach has led to the better management of Crime Prevention and has had the distinct utility of identifying criminal gangs and
    associated criminal behaviour.
    Firearm crime poses a threat to individual and community well-being. This criminal activity can drive fear throughout our communities hence the Force accords it the seriousness with which it should be treated. There is a specialized unit to deal with the more organized and sophisticated aspect of firearm crime and the movement and use of ammunition. At the strategic level, the Force uses its international connections to
    monitor illicit manufacture and trafficking in firearms and ammunition. Recently the RBPF has been calling for and now has the capability of tracing the origins of firearms and ammunition used illegally.
    • Date:  2011-06-21    Paragraphes: 76
    Transnational Organized Crime
    The RBPF has developed a capability in its Financial Crimes Investigative Unit to investigate and submit for prosecution, crimes of Money Laundering. Current Legislation has been given a recent and welcomed boost to the Forces capability through the promulgation of the Transnational Organised Crime (Prevention and Control) Act 2011-3. Complementing this, the Force has deployed more investigators to the unit responsible for such investigations.
    • Date:  2011-06-21    Paragraphes: 69
    The RBPF's Contingency Plans for terrorist incidents are subject to continuous update. Related training and simulations complement the updates. Continuous networking with international agencies in the fight, against terrorism heightens the Force's awareness of any possible terrorist threats.
    • Date:  2011-06-21    Paragraphes: 75
    Firearm crime poses a threat to individual and community well-being. This criminal activity can drive fear throughout our communities hence the Force accords it the seriousness with which it should be treated. There is a specialized unit to deal with the more organized and sophisticated aspect of firearm crime and the movement and use of ammunition. At the strategic level, the Force uses its international connections to
    monitor illicit manufacture and trafficking in firearms and ammunition. Recently the RBPF has been calling for and now has the capability of tracing the origins of firearms and ammunition used illegally.
  • Belize
    N/A
  • Bolivie
    N/A
  • Brésil
    • Rapports
    • Date:  2016-06-07    Paragraphes: -
    Information disponible en portugais
    • Date:  2010-11-30    Paragraphes: 69
    Terrorismo:
    Brasil es parte contratante de las 13 convenciones universales vigentes en este campo, así como de la Convención Interamericana contra el Terrorismo. Asimismo, es miembro del Grupo de Acción Financiera contra el Lavado de Dinero y el Financiamiento del Terrorismo (GAFI) que estableció 40 recomendaciones relacionadas con el delito de lavado de dinero y nueve recomendaciones específicas que pautan la prevención y represión del financiamiento del terrorismo.
    • Date:  2010-11-30    Paragraphes: 73
    Reuniones sobre de seguridad:
    Brasil ha actuado en los principales foros internacionales sobre seguridad. En febrero de este año, fue sede de la VIII REMJA (Reunión de Ministros de Justicia y otros Ministros o Procuradores Generales de las Américas). Corresponde mencionar también el 12º Congreso de las Naciones Unidas sobre Prevención del Delito y Justicia Penal, celebrado en Salvador, en abril de este año, evento que se suma a los empeños del Gobierno de Brasil en el campo de la prevención del delito El Congreso ofreció un foro para intercambiar experiencias y buenas prácticas entre los países y culminó con la aprobación de las directrices de las políticas mundiales sobre esta temática para los próximos cinco años, que se materializaron en la Declaración de Salvador.
    • Date:  2010-11-30    Paragraphes: 74
    Seguridad pública – Pronasci:
    La directriz básica del Programa Nacional de Seguridad Pública con Ciudadanía (Pronasci) es la articulación entre las políticas de seguridad pública y las acciones sociales, dando prioridad a la prevención del delito y respetando los derechos humanos, pero, al mismo tiempo, desarticulando las estrategias de la delincuencia organizada, como, por ejemplo, la corrupción del sistema penitenciario. Los ejes fundamentales del programa son los siguientes: a) la formación y la valorización de los profesionales de la seguridad pública; b) la reestructuración del sistema penitenciario; c) el combate a la corrupción policial; y d) la incorporación de la comunidad en la prevención de la violencia. En el primer eje se incluye el estímulo del Gobierno Federal a la adopción de “buenas prácticas” por parte de las policías de los estados, las cuales ofrecen cursos de capacitación.

    Violencia armada:
    Brasil se ha empeñado activamente en el tema de la prevención de la violencia armada, tanto en foros internacionales como en iniciativas nacionales para tratar la cuestión. Entre las actividades internacionales, cabe señalar la Declaración de Ginebra sobre Violencia Armada y Desarrollo, aprobada en la reunión ministerial sobre el tema, el 7 de junio de 2006, con los auspicios del Gobierno de Suiza y del Programa de las Naciones Unidas para el Desarrollo (PNUD). La Declaración de Ginebra fue suscrita inicialmente por 42 países y, actualmente, cuanta con 105 países signatarios.
    En el plano nacional, la respuesta a los desafíos tratados en la Declaración de Ginebra está estructurada en el mencionado Pronasci, que integra medidas de seguridad pública y programas de desarrollo, tanto para los policías como para las poblaciones más vulnerables de las 11 mayores regiones metropolitanas del país. El Programa fue reconocido internacionalmente como ejemplo de implementación de los compromisos de la Declaración de Ginebra.
    • Date:  2010-11-30    Paragraphes: 75
    Tráfico de armas pequeñas y ligeras:
    Brasil atribuye gran importancia al control del tráfico ilícito de armas, en particular la implementación del Programa de Acción de las Naciones Unidas sobre Armas Pequeñas y Ligeras (United Nations Programme of Action, UNPoA), cuya IV Reunión Bienal de los Estados (Biennial Meeting of States o BMS) se celebrará en junio de 2010. Además, Brasil ratificó la Convención Interamericana Contra la Fabricación Ilegal y el Tráfico de Armas de Fuego, Municiones, Explosivos y otros Materiales Relacionados, y ha tenido una participación activa en la elaboración de leyes modelo para regular sus disposiciones, incluidas las relativas a las municiones.
    El país cuenta con una amplia legislación sobre el tema, fundamental para el combate a la fabricación y el tráfico ilícito de armas. Como ejemplos, se pueden citar los siguientes normas: la Ley No. 10.826, de 22 de diciembre de 2003, conocida como el Estatuto de Desarme, que constituye la principal norma nacional sobre el tema; el Decreto No. 5.123, de 21 de julio de 2004, que reglamenta el Estatuto de Desarme; el Decreto No. 3.665, de 20 de noviembre de 200, conocido como R-105, que reglamenta las actividades (producción, uso, importación, exportación, exigencias aduaneras, tránsito y comercio) de los productos controlados por el Ejército; la Resolución No. 7-D LOG del Departamento Logístico del Ministerio de Defensa, de 28 de abril de 2006, que regula el marcaje de armas de fuego en el país, y la Resolución 16-D LOG, también del Departamento Logístico del Ministerio de Defensa, sobre marcaje de municiones.
    En Brasil, la Dirección de Fiscalización de Productos Controlados (DFPC) del Ejército realiza el control de las actividades relacionadas con las armas pequeñas y ligeras, incluidos: (a) el control de la producción mediante el registro de las fábricas que deben brindar información en tiempo real al Comando del Ejército y al SINARM (Servicio Nacional de Armas); (b) el uso deportivo de armas o por coleccionistas, controlado mediante registro de los propietarios; (c) las operaciones de importación y exportación, sometidas al registro y a licencias; (d) la inspección aduanera; (e) la autorización para el transporte, y (f) el control del comercio.
    Según el Decreto No. 3.665, todas las operaciones de exportación y tránsito de armas con finalidades civiles sólo pueden ser realizadas previa autorización específica y otorgamiento de licencia por parte del Ejército. Además de la documentación necesaria, se exige la inspección militar en el punto de entrada y/o salida del material, sometiéndose también las operaciones a los controles previstos en la Política Nacional sobre Exportación de Material de Uso Militar (PNEMEM, por su sigla en portugués).
    Se han previsto diversas sanciones en la legislación relativa a las armas de fuego, como la posesión irregular de armas de uso permitido; la omisión cautelar que permita el acceso a menores o discapacitados; el porte ilegal de armas de uso permitido; el empleo de armas de fuego; la posesión o el porte ilegal de armas de uso restringido; el comercio ilegal y el tráfico internacional.
    El Ejército es la única entidad legalmente responsable de la destrucción de las armas pequeñas y ligeras y de las municiones, sean derivadas del exceso de arsenales, de incautaciones o de la entrega voluntaria. El Artículo 25 de la Ley Nº. 10.826 determina que todas las armas encontradas o incautadas en situaciones ilícitas deben ser destruidas por el Ejército inmediatamente después de levantadas las medidas judiciales que puedan ser necesarias con fines de investigación. La legislación vigente prohíbe expresamente cualquier otro tipo de uso en relación con tales armas.
    Asimismo, la legislación nacional prevé el marcaje de las armas en los términos de la Resolución No. 7-D LOG del Departamento Logístico del Ejército. Las armas producidas en Brasil llevan el nombre o la marca del fabricante, el nombre del país, el calibre, número de serie y año de fabricación, y los requisitos técnicos son inspeccionados por el Ejército para evitar que puedan eliminarse las marcas. Además, las armas utilizadas por la fuerza pública son marcadas con el Escudo de la República. La legislación sobre marcaje abarca también a las armas importadas y exportadas, así como las municiones.
    Cabe subrayar también la realización de campañas periódicas de recolección y reinscripción de armas de fuego, la movilización de la sociedad civil en torno al tema y la centralización de la información sobre armas civiles y militares en el Sistema Nacional de Armas (Sinarm), conforme a las disposiciones legales.
    • Date:  2010-11-29    Paragraphes: 70
    Trata de personas:
    Brasil lanzó la Política Nacional de Combate a la Trata de Personas en octubre de 2006, tras la incorporación al orden jurídico nacional del Protocolo Adicional a la Convención de las Naciones Unidas contra la delincuencia organizada transnacional para prevenir, reprimir y sancionar la trata de personas, especialmente mujeres y niños, ratificado el 12 de marzo de 2004 e incorporado al orden jurídico nacional por Decreto nº 5.017 del mismo año. Diversos órganos del gobierno federal y organizaciones de la sociedad civil contribuyeron a la elaboración de la política, que establece principios, directrices y medidas de prevención y represión de la trata de personas y la asistencia a las víctimas.
    En enero de 2008, fue lanzado el Plan Nacional de Combate al Tráfico de Personas (PNETP). El plan tiene la función de asegurar la implementación de la política nacional mediante la fijación de metas que deberán ser cumplidas en un plazo de dos años y ejecutadas en forma integrada por diversos órganos del poder público. El PNETP prevé medidas, no sólo en el área de la justicia y la seguridad pública, sino también en las áreas de relaciones exteriores, educación, salud, asistencia social, promoción de la igualdad racial, trabajo y empleo, fomento agrario, derechos humanos, protección y promoción de los derechos de la mujer, turismo y cultura.

    Lavado de dinero:
    La Estrategia Nacional de Combate a la Corrupción y el Lavado de Dinero (ENCCLA) constituye una iniciativa de articulación entre diversos órganos para la elaboración coordinada de políticas públicas congruentes y eficaces para enfrentar la delincuencia. La Estrategia comprende la definición de un plan de acción anual o plurianual. Se celebra una reunión plenaria al final de cada año con el objetivo de evaluar los resultados obtenidos en el período considerado y de definir los temas que serán impulsados en los períodos siguientes. El modelo de trabajo articulado entre los órganos de gobierno, que fue inaugurado en 2004, se viene repitiendo con éxito desde ese año.
    • Sources Connexes
    REPORT OF THE FEDERATIVE REPUBLIC OF BRAZIL ON IMPLEMENTATION OF THE MANDATES ARISING FROM THE FIFTH SUMMIT OF THE AMERICAS (Brazil 2010)
    REPORT OF THE FEDERATIVE REPUBLIC OF BRAZIL ON IMPLEMENTATION OF THE MANDATES ARISING FROM THE FIFTH SUMMIT OF THE AMERICAS (Brazil 2010)
  • Canada
    • Rapports
    • Date:  2010-06-20    Paragraphes: 68
    Le Canada appuie les projets de prévention de la criminalité et des conflits, et les projets qui visent à accroître la sécurité et à promouvoir un règlement pacifique des conflits de la manière suivante :
    • contributions annuelles versées à de grandes organismes multilatérales et à des mécanismes chargés d’initiatives de lutte contre le trafic illicite, la criminalité et le terrorisme;
    • projets souples qui sont adaptés et qui portent sur des crises et des conflits complexes, la sécurité publique, la primauté du droit et les préoccupations touchant les droits de la personne, et qui visent à accroître les capacités de lutte contre la criminalité et le terrorisme des systèmes de sécurité dans les Amériques;
    • soutien politique et déploiement de personnel pour des opérations de paix, tout en appuyant la formation afin d’accroître la capacité de maintien de la paix;
    • augmentation de la capacité vers la coopération militaire;
    • appui aux initiatives de réduction des risques de catastrophes en Amérique latine et dans les Caraïbes;
    • participation active aux regroupements et aux instruments et mise en oeuvre continue de ces regroupements et instruments principaux de l’ONU et de l’OEA visant à réduire la criminalité;
    • partenariats pour la création d’une Agence de santé publique des Caraïbes.

    En préparation au Sommet du G-8 2010 à Muskoka, le Canada a été l’hôte d’une rencontre des ministres des affaires étrangères du G-8 au mois de mars 2010. On y a traité de l’activité criminelle transnationale et de ses effets sur l’Amérique latine et l’Afrique de l’Ouest, de même que des liens potentiels aux activités terroristes. Ces entretiens ont mené à des discussions au cours du Sommet de Muskoka entre les leaders du G-8, certains leaders d’Afrique et les leaders de Colombie, d’Haïti et de Jamaïque.
    • Date:  2010-06-20    Paragraphes: 69
    Le Canada compte un cadre législatif pour lutter contre le terrorisme. Il cible les terroristes et les groupes terroristes et aide le Canada à faire enquête sur les activités terroristes, relever et prévenir ces activités au pays et à l’étranger, y compris les délits liés au blanchiment de capitaux et le financement terroriste.

    Le Canada est en mesure d’offrir une entraide juridique aux partenaires signataires de traité en vertu de sa Loi sur l'entraide juridique en matière criminelle. Le Canada peut aussi offrir de l’aide à des partenaires non signataires si cette aide n’exige aucune mesure contraignante. En cas d’urgence extrême liée à un attentat terroriste, il est possible de fournir des éléments de preuve dans un délai très court. En vertu de traités bilatéraux et multilatéraux comptant des dispositions pour l’extradition, le Canada peut effectuer une extradition si les personnes soupçonnées sont accusées de terrorisme ou de délits liés au terrorisme.

    Quelque six millions de dollars ont été versés dans le cadre du Programme d'aide au renforcement des capacités anti-terroristes (PARCA) du Canada au cours de l’année financière 2009/2010 en vue de mettre en œuvre des projets dans les Amériques. Le PARCA offre aux États bénéficiaires de la formation, du financement, de l’équipement et une expertise technique et juridique pour leur permettre de prévenir les activités terroristes et d’intervenir à cet égard, conformément aux normes internationales de lutte contre le terrorisme et des droits de la personne.

    Comme pays qui contribue le plus au Comité interaméricain de lutte contre le terrorisme (connu sous l’acronyme espagnol de « CICTE »), le Canada a fourni quelque 4,7 millions de dollars en financement de projets depuis 2005.
    • Date:  2010-06-20    Paragraphes: 70
    La lutte contre le crime organisé est une priorité pour le Canada. Le Canada a renforcé ses lois criminelles afin de lutter contre le crime organisé et a investi dans des mesures de prévention de la criminalité en ciblant les jeunes qui risquent de s’affilier à un gang.

    Le Canada a terminé la mise en oeuvre du Règlement sur les armes à feu des agents publics, qui a entraîné la création d’une base de données nationale contenant de l’information sur les armes à feu saisies et recouvrées. Grâce à cette base de données, on peut maintenant examiner les habitudes en matière de trafi.

    Le Canada s’est également engagé à la coopération dans l’hémisphère relativement à la lutte contre la criminalité. Au mois d’août 2009, le Premier ministre Harper a annoncé la création d’un Programme visant à renforcer les capacités de lutte contre la criminalité qui comprend un appui à des projets visant à combattre le crime organisé transnational. Le Canada participe activement aux Réunions des ministres en matière de sécurité publique des Amériques (MISPA) et aux Réunions des ministres de la Justice ou autres ministres ou procureurs généraux des Amériques (REMJA). Comme suivi à la MISPA, le Canada a contribué à l’étude de faisabilité de l’OEA sur les meilleurs moyens à prendre pour renforcer la formation et l’éducation du personnel assumant des responsabilités dans les dossiers de sécurité publique de la région.
    • Date:  2010-06-20    Paragraphes: 71
    La Stratégie nationale pour la prévention du crime du Canada constitue un cadre stratégique pour l'élaboration des interventions en matière de prévention de la criminalité au Canada. Le Centre national de prévention du crime exerce un leadership en matière de pratiques efficaces et efficientes pour prévenir et réduire la criminalité en agissant sur les facteurs de risque connus chez les personnes et dans les endroits à risque élevé.

    En 2009, la Gendarmerie royale du Canada a donné une formation de base à 1 500 nouveaux agents policiers et à 300 gestionnaires intermédiaires au Mexique. Le Canada a également formé 45 cadres de services policiers mexicains dans le cadre d’un programme de formation conjoint avec les États-Unis et la Colombie. Au mois de mars 2010, le Collège canadien de police a offert une formation sur les entrevues judiciaires aux services policiers fédéraux et d’État du Mexique.

    Au cours de l’année financière 2009-2010, le Canada a dégagé environ 1,5 millions de dollars pour former des agents de police dans les Amériques afin de soutenir les projets de prévention de la criminalité.

    Le Canada fait partie du Groupe de travail d’entraide juridique et des extraditions sous l’autorité des Réunions des ministres de la Justice ou autres ministres ou procureurs généraux des Amériques. Ce groupe de travail a fait progresser la coopération internationale relativement à la lutte contre la criminalité de nombreuses façons, y compris par la création d’un réseau de messagerie électronique sécuritaire liant les autorités responsables pertinentes afin d’assurer une entraide juridique et les extraditions, le partage de pratiques exemplaires et l’ébauche de lois modèles.
    • Date:  2010-06-20    Paragraphes: 72
    Le Canada s’est doté d’une Stratégie nationale antidrogue qui porte sur la lutte contre la production et la distribution de drogues illicites; la prévention de la consommation de drogues illicites et le traitement et la réadaptation des personnes souffrant de dépendance aux drogues illicites. Dans le cadre de cette stratégie, le Canada a lancé l’Initiative sur les drogues synthétiques qui vise à lutter contre la production et la distribution de drogues synthétiques illicites au Canada et à réduire l’influence générale des organisations criminelles organisées sur le trafic de stupéfiants au Canada.

    En 2009, le gouvernement canadien a presenté au parlement le projet de loi C-15 qui impose des pénalités obligatoires minimales allant d’un minimum de six mois à trois ans en détention pour des infractions telles que le trafic et la production de drogues telles que l’héroïne, la cocaïne, la méthamphétamine et le cannabis. Le dossier fait toujours l’objet d’un examen parlementaire.

    Le Programme visant à renforcer les capacités de lutte contre la criminalité du Canada appuie les initiatives visant à limiter l’offre et la demande de drogues illicites dans les Amériques. Le Canada appuie également le travail de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) dans la lutte contre le trafic de drogues illicites dans les Amériques, y compris en ce qui concerne le contrôle des conteneurs, la poursuite des trafiquants, la technologie de l’information pour la lutte contre le trafic de stupéfiants, l’information sur les drogues synthétiques et l’appui au Pacte de Santo Domingo et au Mécanisme de partenariat et de surveillance de Managua (mieux connu sous le nom de Managua Partnership and Monitoring Mechanism).

    En 2009-2010, le Canada a versé une contribution annuelle d’un million de dollars à la CILAD et de 2,5 millions de dollars à l’ONUDC.
    • Date:  2010-06-20    Paragraphes: 73
    Le Canada s’est engagé avec l’OEA à respecter les engagements faits au cours de la MISPA et contribue activement à la préparation de la MISPA III en 2011.

    Depuis la REMJA 2008, le Canada a démontré son engagement renouvelé dans les Amériques en appuyant un certain nombre de projets entrepris par la REMJA dans les Amériques et en prenant la tête des efforts visant à améliorer, dans l’hémisphère, la capacité de s’engager efficacement dans des projets de collaboration internationale en faveur d’une lutte contre la criminalité transnationale, le crime cybernétique, le trafic de personnes et la retenue et la confiscation de biens.
    • Date:  2010-06-20    Paragraphes: 74
    Grâce à sa contribution au Centre international pour la prévention de la criminalité, le Canada a appuyé les travaux de rédaction du Rapport international sur la prévention de la criminalité et la sécurité quotidienne : Tendances et perspectives (2010) des Nations Unies, document qui a été déposé au Congrès des Nations Unies pour la prévention du crime et la justice pénale au Brésil, au mois d’avril 2010.

    Le Centre national de prévention du crime du Canada a financé les travaux d’élaboration et de diffusion d’un outil d’évaluation et de prévention de la criminalité intitulé Guidance on Local Safety Audits: A Compendium of International Practices qui a été traduit en espagnol et qu’on traduit actuellement en portugais.

    Le Canada est l’un des membres fondateurs de l’Alliance pour la prévention de la violence de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui favorise l’adoption d’une démarche axée sur les faits en matière de santé publique afin de s’attaquer aux causes profondes de la violence. Grâce à son statut de membre, le Canada a participé à la rencontre sur les jalons de l’OMS portant sur une Campagne mondiale pour la prévention de la violence, à Genève, au mois de septembre 2009.

    Par le biais de son Initiative de lutte contre la violence familiale, le Canada a cerné 14 pratiques exemplaires et prometteuses pour la prévention de la violence familiale à promouvoir sur le Portail canadien des pratiques exemplaires.

    Au mois de mars 2009, le Canada a participé à la rencontre de l’Organisation panaméricaine de la santé (OPAS) sur la violence, la sécurité routière et les blessures dans les Amériques.
    • Date:  2010-06-20    Paragraphes: 75
    Le Canada est un pays signataire de la Convention interaméricaine contre la fabrication et le trafic illicites d’armes à feu, de munitions, d’explosifs et d’autres matériels connexes. Le Canada participe activement au processus annuel du Comité consultatif de la CIFTA et à d’autres rencontres et initiatives connexes de la CIFTA. Au mois de mars 2009, le Canada, de concert avec l’OEA et les États-Unis, a animé un atelier à Vancouver, en Colombie-Britannique sur les Approches pratiques de la lutte transfrontalière contre le trafic d’armes à feu illicites, de munitions, d’explosifs et de matériels connexes, qui a permis de réunir des autorités policières et des responsables des douanes.

    Le Canada a également participé à l’Atelier régional de l’ONUDC pour promouvoir la mise en œuvre du Protocole des Nations Unies contre la fabrication illicite et le trafic d’armes à feu, de leurs composants et de la munition et les instruments connexes animé par la Barbade.

    En 2009, le Programme visant à renforcer les capacités de lutte contre la criminalité du Canada a offert un appui au Centre régional des Nations Unies pour la paix, le désarmement et le développement en Amérique latine et dans les Caraïbes afin d’accroître la capacité des autorités policières à lutter contre le trafic d’armes à feu illicites.
    • Date:  2010-06-20    Paragraphes: 76
    Le Canada a déposé un projet de loi visant à modifier sa Loi sur le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes (LRPCFAT) afin de permettre au gouvernement de mettre en place des contre-mesures contre les instances et les entités étrangères qui sont considérées comme des grands risques pour la facilitation du blanchiment d’argent et le financement terroriste.

    Le Programme visant à renforcer les capacités de lutte contre la criminalité s’est engagé à verser $202 000 à l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime, afin de renforcer les systèmes de recouvrement de biens en Amérique latine. Le projet appuiera la création de réseaux de recouvrement de biens en Amérique centrale et en Amérique du Sud. Le tout sera fondé sur le modèle du Camden Asset Recovery Inter-Agency Network, qui cherche à priver les criminels des profits générés illégalement en améliorant la coopération entre les agences et le partage d’information.
    • Date:  2010-06-20    Paragraphes: 77
    Le Canada participe activement au Groupe de travail de l’OEA sur les gangs de criminels et contribuera aux travaux de formulation d’une stratégie régionale visant à promouvoir la coopération inter-américaine pour la lutte contre les gangs de criminels.

    En 2009, le Canada a amélioré ses outils législatifs afin de lutter contre le crime organisé, notamment les gangs de criminels. Des modifications au Code criminel du Canada sont entrées en vigueur au mois d’octobre 2009 afin de mieux lutter contre le crime organisé comme suit :

    • les meurtres associés au crime organisé deviennent automatiquement des meurtres au premier degré, qu’ils aient été prémédités ou non;
    • la création d’une nouvelle infraction pour les fusillades au volant d’une voiture et d’autres fusillades malicieuses;
    • la création de deux nouvelles infractions pour les voies de fait sur un policier et d’autres agents de la paix;
    • le renforcement des dispositions touchant les engagements à ne pas troubler la paix publique pour les gangs – dispositions qui permettent aux forces de l’ordre d’imposer des conditions qui visent à garder la paix à des personnes qui sont plus susceptibles de commettre des infractions liées au crime organisé.

    Ces modifications s’appuient sur un cadre législatif robuste visant les activités liées au crime organisé.
    • Date:  2010-06-20    Paragraphes: 88
    Selon le Canada, l’OEA joue un rôle primordial dans la protection de la gouvernance démocratique dans la région, notamment en assurant le respect de la Charte démocratique interaméricaine. L’appui du Canada pour le renforcement de la capacité de l’OEA à s’acquitter de ce rôle essentiel se présente de bien des façons :
    • Engagement politique de haut niveau, notamment par la participation personnelle du ministre d’État pour les Amériques aux efforts d’arbitrage de l’OEA visant à mettre fin à la crise politique de 2009 au Honduras;
    • Soutien financier pour les missions d’observation électorale et aide technique aux institutions démocratiques; et
    • Participation de Canadiens aux missions d’observation des élections.

    Le Canada a présenté une résolution à l’Assemblée générale de l’OEA au mois de juin 2009 où l’on décrivait des moyens de renforcer le rôle de l’OEA en favorisant et en renforçant la démocratie, comme suivi à la Charte démocratique interaméricaine.
    • Sources Connexes
    Act to amend the Criminal Code
    Affaires étrangères et Commerce international Canada
    Agence canadienne de développement international et les Amériques
    Agence de la santé publique du Canada - Contactez-nous
    Approche fédérale globale pour réduire la violence familiale
    Assessing violence against women: a statistical profile
    Canada provides basic training for federal police recruits
    Canadian International Development Agency and the Americas
    Code criminel du Canada
    Crime Prevention
    Criminal Code of Canada
    Department of Justice Canada - Contact Us
    Évaluation de la violence contre les femmes : un profil statistique
    Gendarmerie royale du Canada - Programme canadien des armes à feu
    Le Canada offre de la formation de base aux recrues de la police fédérale mexicaine
    Les Amériques : Nos voisins, notre priorité
    Loi modifiant le Code criminel
    Loi sur le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes
    Ministère de la Justice Canada
    Ministère de la Justice Canada - Contactez-nous
    National Anti-Drug Strategy
    Natural Resources Canada - Explosives Regulatory Division
    Prévention du crime
    Proceeds of Crime (Money Laundering) and Terrorist Financing Act
    PROMOTION AND STRENGTHENING OF DEMOCRACY: FOLLOW-UP TO THE INTER-AMERICAN DEMOCRATIC CHARTER
    Public Health Agency of Canada - Contact Us
    Public Safety Canada - Contact Us
    Reducing Family Violence
    Ressources naturelles Canada - Division de la réglementation des explosifs
    Sécurité publique Canada
    Sécurité publique Canada – Contactez-nous
    Stratégie nationale antidrogue
    The Americas: Our Neighbours, Our Priority
  • Chili
    • Rapports
    • Date:  2013-05-24    Paragraphes: 1, 2
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-24    Paragraphes: 3
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-24    Paragraphes: 4
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-24    Paragraphes: 5, 6
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-24    Paragraphes: 7
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-24    Paragraphes: 8
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 68
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 69
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 70
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 72
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 73
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 75
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 76
    Information disponible en Espagnol
  • Colombie
    • Rapports
    • Date:  2016-06-15    Paragraphes: 9
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2016-06-15    Paragraphes: 5
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2016-06-15    Paragraphes: 1
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-06-12    Paragraphes: 3
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-06-12    Paragraphes: 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-06-12    Paragraphes: 9
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2014-05-30    Paragraphes: 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9
    Con el propósito de dar cumplimiento a los mandatos de la VI Cumbre de las Américas sobre seguridad ciudadana y delincuencia organizada, el Gobierno Nacional ha impulsado la implementación de modelos de mejora continua e innovación, que promueven la competitividad y la capacidad de anticipación frente a los fenómenos criminales, la articulación de los esfuerzos, así como la optimización de los recursos, a través de la adopción de herramientas gerenciales y de compromisos con la calidad y efectividad de sus servicios.
    Seguridad y Convivencia Ciudadana
    La Política Nacional de Seguridad y Convivencia Ciudadana (PNSCC) de Colombia es el resultado de un proceso interinstitucional liderado por la Presidencia de la República, con la participación del Ministerio de Defensa Nacional, el Ministerio del Interior, el Ministerio de Justicia, la Policía Nacional y el Departamento Nacional de Planeación, y el concurso de otras entidades del orden nacional y del nivel territorial.
    Puntualmente, la Alta Consejería Presidencial para la Seguridad y Convivencia, a través de un trabajo de articulación con las Mesas Transversales (en las que participan 20 entidades nacionales), de las Juntas Directivas con el Señor Presidente de la República y de las Mesas de Concertación Nación – Región (como espacios de concertación entre los gobiernos locales y las entidades nacionales), ha logrado acortar la brecha existente entre la oferta nacional y las demandas de las 24 ciudades priorizadas por la Política Nacional de Seguridad y Convivencia Ciudadana.
    La PNSCC se apoya en intervenciones y actuaciones integrales y focalizadas en los delitos que se consideran de alto impacto: homicidio y hurto común, lesiones personales y muertes en accidente de tránsito. Lo anterior, con el propósito de mejorar los índices de seguridad y convivencia ciudadana en forma pertinente y estratégica, sin perjuicio de otras modalidades delictivas.
    Actualmente, las 24 ciudades priorizadas por la Alta Consejería cuentan con un Plan Integral de Seguridad y Convivencia Ciudadana que se estructuró bajo un diagnóstico que prioriza los delitos y su tendencia de comportamiento desde el 2007 y focaliza (comuna, barrio y cuadrante) las intervenciones a desarrollar de manera diferenciada y acorde a los factores determinantes.
    A través de la elaboración e implementación de los Planes Integrales de Seguridad y Convivencia Ciudadana, se ejecutaron talleres con las comunidades de los barrios focalizados y con más altas tasas de generación de delitos de impacto. En las ciudades de Armenia, Medellín, Cúcuta, Pereira y Manizales se constituyeron en esos Barrios las Mesas Comunitarias de Seguridad y Convivencia Ciudadana. En las ciudades de Armenia, Pereira y Manizales se establecieron Pactos de Seguridad y Convivencia Ciudadana para articular la ejecución de la Oferta Local y Nacional con las Mesas Comunitarias.
    Por otra parte, la PNSCC cuenta con un eje estratégico de Sistemas de información y estudio de políticas públicas. El propósito del componente de sistemas de información y estudio de políticas públicas en materia de convivencia y seguridad ciudadana es facilitar el proceso de diseño, implementación, seguimiento y evaluación de políticas públicas efectivas contra el delito, la criminalidad y la violencia; las acciones de sanción y control policial y los procesos judiciales. El país cuenta con una amplia experiencia en el montaje y operación de sistemas de información primaria oficial y de observatorios del delito que utilizan estas fuentes oficiales.
    La Alta Consejería Presidencial para la Convivencia y Seguridad Ciudadana logró que desde el 2011 el Departamento Administrativo Nacional de Estadísticas -DANE – realice la Encuesta de Convivencia y Seguridad Ciudadana, produciendo información estadística sobre los siguientes hechos delictivos: hurto (residencias, personas y vehículos), riñas y peleas y extorsión, así como la percepción de seguridad para la población de 15 años y más. Esta es una herramienta de información que produce investigación estadística sobre estos hechos delictivos. La encuesta se realizó en las siguientes cabeceras municipales y municipios aledaños: Armenia, Barranquilla – Soledad, Bogotá, D.C. – Soacha, Bucaramanga, Cali – Palmira, Cartagena, Cúcuta, Ibagué, Manizales, Medellín - Itagüí – Envigado, Montería, Neiva, Pasto, Pereira, Popayán, San André, Santa Marta, Sincelejo, Valledupar, Villavicencio (La población total de estas ciudades es de 22 millones de personas en 2012, que equivale al 48% de la población Colombiana)
    Del mismo modo se logró que esta Encuesta quedara dentro del presupuesto anual del DANE, garantizando su continuidad en el tiempo. Se espera para finales de julio de 2014 tener los resultados del 2013
    La encuesta estableció que la victimización promedio de los 20 dominios es de 20%. Es decir, el 20% de la población mayor de 15 años en la zona urbana de esas ciudades fue víctima de alguno o varios de los cinco delitos señalados, entre junio 2011 y junio 2012. En relación con el hurto a personas, el 13.2%, hurto a residencias el 3.5%, hurto a vehículos el 12,4%, riñas y peleas el 2,5%, y extorsión el 0.08%. La encuesta también señala que en promedio el 61% de las personas se siente insegura en su ciudad. En el caso de Colombia, a diferencia de otros países, se hizo una selección de los delitos de mayor impacto en seguridad ciudadana y que no se estuviesen midiendo a través de otros instrumentos (caso de los delitos sexuales).
    La información de la encuesta empieza a ser muy útil, puesto que ha permitido establecer que ciudades como Pasto y Bogotá tienen una victimización mayor de la que se creía, que el hurto a personas en el país es muy alto comparado con otros países de la región y que este se debe principalmente a hurto de celulares (70.7%), y que la extorsión es bastante menor que la esperada (0.08%) dado que se concentra en lugares específicos de las zonas urbanas (v.gr. plazas de mercado y corredores comerciales). La encuesta también evidencia, por ejemplo, que el hurto de bicicletas es mayor que el de motos (3,6% vs 1,5%), y que el promedio de denuncia es bajo: 24.5%.
    Por otro lado y apuntando a la Cultura de Legalidad y Convivencia de la PNSCC, el Gobierno Nacional decidió impulsar una reforma de ley que de origen a un nuevo Código Nacional de Policía y Convivencia, que contará con un marco normativo más fuerte y robusto para combatir el crimen y estimular la convivencia ciudadana.
    Esta reforma tiene dos objetivos, el primero es dotar a las autoridades y a la ciudadanía de una norma que regule las relaciones entre los ciudadanos, y de estos con las autoridades y con el entorno, para contribuir a mejorar la convivencia. El segundo es, actualizar la legislación existente al marco filosófico y legal que se estableció en la Constitución de 1991, la cual afianza derechos y libertades con sus respectivos deberes y obligaciones. Se espera que a más tardar, en el segundo semestre del 2014 este proyecto esté radicado ante el Congreso de la República.
    Mención especial merece la implementación de la Estrategia Nacional Contra el Hurto Celular que fue diseñada para acabar con esa industria transnacional del crimen, que se inicia cuando a un ciudadano le roban su teléfono celular. Para lograr acabar con este delito que además de cobrar la vida de muchos colombianos, financia bandas criminales (BACRIM), la Alta Consejería Presidencial para la Convivencia y Seguridad Ciudadana lidera un equipo de carácter multi-institucional conformado por el Ministerio de Tecnologías de la Información y las Comunicaciones, y de la mano de la Comisión de Regulación de Comunicaciones (CRC), la Policía Nacional, el Gobierno Nacional y la industria celular. En este marco, desde el 4 de abril de 2013, se están haciendo bloqueos de celulares que no hayan sido registrados, los usuarios que utilicen su SIM CARD en un equipo celular diferente al que venían usando antes del primero de abril de 2013, serán objeto de controles por parte de los operadores.
    Vale la pena también resaltar, que dentro de la acción de la Policía Nacional, se decidió especializar a un grupo de efectivos para desmantelar las bandas criminales dedicadas al tráfico de celulares robados. Para este fin se crearon 43 Grupos Especiales Seccionales, conformados por 183 policías dedicados exclusivamente a esta tarea.
    Pero los esfuerzos para combatir el hurto de celulares no son solo locales. En los comités de la Comisión Interamericana de Telecomunicaciones, organismo de la Organización de Estados Americanos, Colombia propuso y logró el consenso de todos los Estados Miembros para adoptar medidas contra el problema del hurto de celulares, dentro de las cuales se encuentra la conexión a la base de datos de la Asociación Mundial de los Operadores para compartir internacionalmente las bases de datos negativas o de equipos hurtados. Nuestro país ya se encuentra trabajando de la mano con Ecuador y se encuentra en proceso de negociación con Venezuela y Perú.
    • Date:  2014-05-30    Paragraphes: 1
    Seguridad y Convivencia Ciudadana en escenarios regionales
    El 19 de agosto de 2013 en el marco de la Reunión de Ministros de Seguridad, Interior, Defensa y Justicia de los países Miembros de UNASUR, culminó el proceso de estructuración del Consejo Sudamericano en materia de Seguridad Ciudadana, Justicia y Coordinación de Acciones contra la Delincuencia Organizada Transnacional, propuesta que hizo Colombia en el mes de mayo del año 2012, habida cuenta de la necesidad de construir un mecanismo político/técnico de actuación conjunta frente a los diferentes fenómenos que amenazan la seguridad de los países sudamericanos.
    El Consejo es uno de los avances más importantes a nivel subregional en materia de seguridad, pues por primera vez los países Sudamericanos acuerdan la puesta en marcha de un marco de cooperación técnico, político, policial y de intercambio de información estratégica para enfrentar la criminalidad organizada y el fortalecimiento de la Justicia.
    Asimismo, Colombia fue sede de la Cuarta Reunión de Ministros en Materia de Seguridad Pública de las Américas (MISPA-IV), cuyo objetivo es fortalecer el diálogo entre los actores claves en materia de seguridad pública con miras a lograr una cooperación efectiva, facilitar la transferencia de conocimientos, apoyar la asistencia técnica y el intercambio de prácticas prometedoras en este ámbito para hacer frente a los crecientes desafíos que afectan a los Estados de las Américas y sus poblaciones.
    En el marco de la reunión se aprobó la Declaración de Medellín para el Fortalecimiento de la Cooperación Hemisférica en materia de Seguridad Pública y se designó a Colombia como presidente del Grupo Técnico que le hará seguimiento a las recomendaciones contenidas en la Declaración en mención.
    • Date:  2014-05-30    Paragraphes: 9
    Trata de personas
    Colombia realizó grandes esfuerzos por estructurar y fomentar mecanismos de cooperación bilateral y regional con el objetivo de fortalecer la lucha integral contra la Trata de Personas.
    En este marco, se logró la suscripción de cuatro (4) Acuerdos bilaterales de cooperación para prevenir y enfrentar la Trata de Personas y brindar asistencia y protección a las víctimas de este Delito:
    1. Memorando de Entendimiento entre la República de Colombia y la República de Chile sobre Cooperación en la prevención y control de la Trata de Personas y el Tráfico Ilícito de Migrantes.
    2. Acuerdo entre la República de Colombia y la República Argentina para la prevención, investigación del delito de la Trata de Personas y la Asistencia y Protección de sus Víctimas.
    3. Memorando de Entendimiento entre la República de Colombia y la República de Honduras para la prevención e investigación del delito de la Trata de Personas y la Asistencia y Protección a las víctimas de la misma.
    4.
    Memorando de Entendimiento entre la República de Colombia y la República de El Salvador para la prevención e investigación del delito de la Trata de Personas y la Asistencia y Protección a las víctimas de la misma.
    Siguiendo el objetivo de fortalecer la lucha bilateral y regional contra la Trata de Personas y de acuerdo a las buenas prácticas y experiencias de Colombia en la materia, se logró la invitación a ser Miembro Observador de la Coalición Regional de Lucha contra la Trata de Personas, mecanismo subregional único en el mundo en el cual los países Parte impulsan políticas y estrategias comunes y coordinadas para prevenir y enfrentar la Trata de Personas, y brindar asistencia a sus víctimas.
    Finalmente, es de resaltar que los días 5 y 6 de noviembre de 2013 se llevó a cabo en la ciudad de San José, Costa Rica, el I Encuentro Binacional Colombia – Costa Rica: Retos y Desafíos para la Prevención y Lucha contra la Trata de Personas y la Asistencia a las Víctimas. El encuentro buscó fortalecer la cooperación binacional en estas materias, así como analizar la posibilidad de Suscribir un Memorando de Entendimiento que permita desarrollar estrategias conjuntas de alto impacto frente a este delito transnacional.


    Tráfico ilícito de migrantes
    En materia de Tráfico Ilícito de Migrantes, el Ministerio de Relaciones Exteriores realizó un análisis jurídico/técnico sobre la conveniencia y procedencia de adherir al Protocolo de Lucha contra el Tráfico Ilícito de Migrantes, complementario a la Convención de Palermo, dando así inicio, junto con la institucionalidad nacional competente en la materia, al proceso jurídico administrativo que le permitirá a Colombia ser parte del Protocolo en comento. El Protocolo le permitirá al país contar con mayores herramientas jurídicas y de cooperación para hacer frente a este fenómeno transnacional.
    • Date:  2010-06-03    Paragraphes: 69
    Lucha contra el terrorismo
    En lo que respecta a la lucha contra el terrorismo, la Fuerza Pública alcanzó importantes resultados gracias a la Política de Consolidación de la Seguridad Democrática: En el período 2008-2009, el Gobierno capturó a 4.735 miembros de los grupos subversivos. A su vez, 1.768 subversivos fueron abatidos. En el mismo período se produjeron más de 6.099 desmovilizaciones individuales. Mientras en 2008 hubo un total de 347 actos terroristas, en 2009 este número fue de 307. Asimismo, en 2009, se registraron en el país 15.817 homicidios, es decir 2% menos que los perpetrados en 2008, año en el cual acaecieron 16.140 muertes violentas, manteniendo la tendencia descendente que se viene presentando desde 2003.
    En 2009, los secuestros se redujeron en 51% con respecto a 2008, al pasar de 437 a 213, confirmando la tendencia descendente que se viene registrando desde 2002. En ese mismo sentido, en el 2008 hubo 197 secuestros extorsivos, mientras que en 2009, estos disminuyeron a 160.
    La Corte Constitucional mediante sentencia C-537 de mayo de 2008, declaró exequible la ley 1108 de 2005, por medio de la cual se aprueba la Convención Interamericana contra el Terrorismo, suscrita en la ciudad de Bridgetown, Barbados, el 3 de junio de 2002, en el Trigésimo Segundo Período Ordinario de Sesiones de la Asamblea General de la Organización de los Estados Americanos.
    Durante el período 2008-abril 2010, el Gobierno de Colombia aprobó 448 extradiciones, cifra histórica en el país.
    En el ámbito de la cooperación internacional, se han mantenido y consolidado mecanismos de cooperación internacional entre las dependencias de inteligencia de los ejércitos de países de la región como Bolivia, Brasil, Guatemala, Panamá, Perú y República Dominicana.
    • Date:  2010-06-03    Paragraphes: 70
    Lucha contra Organizaciones delictivas

    En el año 2009, se desarticularon 68 bandas criminales, se logró la captura de 2.843 miembros de bandas criminales y 51 miembros fueron abatidos. Se continúa la lucha contra las pandillas delictivas a través del Centro Integrado de Inteligencia contra las Bandas Criminale C12-BACRIM, contando con la participación de integrantes de las diferentes Direcciones de la Policía Nacional, el Departamento Administrativo de Seguridad y la Fiscalía General de la Nación.

    Igualmente las autoridades nacionales han recuperado y mantenido el control territorial de las zonas y regiones focos de violecia y actividades de las bandas criminales cercando sus corredores estratégicos de movilidad e impidiendo que delincan a travésdel tráfico de estupefacientes; y han iniciado una lucha frontal contra las finanzas de todos los grupos delincuenciales sobre una agresiva política de extincón de dominio y recuperación de activos, que hoy en día llega a una cifra estimada de $362.000 millones.
    • Date:  2010-06-03    Paragraphes: 71
    Política de Consolidación de la Seguridad Democrática (PCSD)


    La Política de Consolidación de la Seguridad Democrática ha hecho de Colombia un país más seguro, y con toda la determinación de recuperar totalmente la seguridad. Se ha logrado la recuperación del monopolio del Estado para combatir a los grupos criminales; la consolidación del control territorial; la recuperación de la confianza para denunciar, para apelar a las instituciones estatales en busca de seguridad, y para reclamar los derechos de las víctimas. La Política de Consolidación de la Seguridad Democrática ha adoptado las condiciones necesarias para la protección efectiva de los ciudadanos, especialmente de quienes viven en zonas rurales remotas y se encuentran en condiciones de vulnerabilidad.


    Mediante la aprobación del Documento Conpes 3591 de junio de 2009, se contempla la rehabilitación integral de los miembros de la Fuerza Pública heridos en combate, así como una metodología para el cálculo del gasto en defensa y seguridad con el fin de unificar los criterios de estimación d dicho rubro y generar mayor transparencia en el contenido de las cifras presentadas. Como resultado de tal ejercicio, se concluyó que, como porcentaje del PIB, el Gasto en Defensa y Seguridad pasó del 3,7% en 2002 al 4,6% en el año 2008.


    Mecanismo de Evaluación Multilateral (MEM)

    La Dirección Nacional de Estupefacientes continuó la coordinación con las instituciones estatales colombianas en el inicio de la Quinta Ronda de Evaluación 2007 – 2009 del MEM, mediante los ajustes para la revisión del proceso. De manera particular, Colombia propuso la creación de dos indicadores nuevos: Interdicción Aérea del Narcotráfico e Interdicción Marítima del Narcotráfico.

    Asimismo, procedió en la coordinación del diligenciamiento de un cuestionario sobre la estrategia nacional antidroga, que incluyó, entre otros temas, convenciones internacionales; sistema de información nacional; prevención; tratamiento de la drogadicción; producción de drogas; desarrollo alternativo; controles a los productos farmacéuticos y sustancias químicas; tráfico ilícito de drogas; interdicción marítima; armas de fuego; municiones y explosivos; lavado de activos y cooperación judicial.
    • Date:  2010-06-03    Paragraphes: 72
    Lucha contra el problema mundial de las drogas

    El Informe Mundial sobre Drogas 2009 de las Naciones Unidas reconoce los resultados de Colombia en materia de reducción de cultivos ilícitos; es así como desde el 2002 se ha incrementado en 72% la erradicación manual y la aspersión de cultivos ilícitos. Según la Oficina de las Naciones Unidas contra la Droga y el Delito (UNODC), el área cultivada con coca en Colombia pasó de 160.000 hectáreas a principios del decenio, a 81.000 hectáreas en 2008, lo que representó una reducción del 50%. Asimismo, se estimó que el potencial de producción de cocaína en Colombia en 2008 cayó en 28% frente a 2007, una disminución aún mayor que la observada en el área cultivada.


    Las acciones en materia de lucha contra las drogas para el año 2009, no se reducen únicamente al tema de eliminación de cultivos ilícitos; operacionalmente, las autoridades lograron la incautación de 421.632 kg de drogas ilícitas. El año anterior las diferentes instituciones de seguridad del Estado decomisaron 205.727 Kg de clorhidrato de cocaína, 215.165 kg de marihuana prensada y 740,95 kg de heroína. La incautación de clorhidrato de cocaína es la más alta en los últimos años, puesto que se incautaron cerca de 5.000 kg más que en 2008, año en el que la lucha antidrogas en el país batió todos los récords logrados en erradicación e incautación.


    Cabe señalar, que en los últimos tres años las autoridades colombianas han incautado mayor cantidad de marihuana que de cocaína clorhidrato, entre 2007 y 2009 se han incautado 653.054 kilogramos de marihuana prensada, 18% más que las incautaciones de cocaína.
    (para mayor información, ver el informe adjunto, página 12)


    Problema mundial de las drogas, delitos conexos y lavado de activos

    Se resalta la implementación de la plataforma SIIS (Sistema de Intercambio de Información Segura), programa liderado por la Oficina de las Naciones Unidas contra la Droga y el Delito, cuya misión es intercambiar información de inteligencia entre los Estados Miembros en la lucha contra el tráfico de drogas dese América Latina hacia África Occidental. Asimismo, se resalta la expedición de la resolución No. 009 de junio de 2009, por medio de la cual se unifica la reglamentación para la compra, venta, consumo, distribución, almacenamiento y transporte de las sustancias sometidas a control especial.
    Igualmente, se expidió la resolución N° 363 del noviembre de 2008, por medio de la cual se impone a las empresas exportadoras y/o importadoras de oro, las casas fundidoras de oro y a las sociedades de comercialización internacional que dentro de su actividad económica tengan l comercialización de oro y/o realicen operaciones de exportación y /o exportación de oro, la obligación de reportar de manera directa a la Unidad de información y Análisis Financiero.
    • Date:  2010-06-03    Paragraphes: 75
    Lucha contra el tráfico ilícito de armas pequeñas y ligeras en todos sus aspectos

    En marzo de 2009, el Comité de Coordinación Nacional para la Prevención, Combate y Erradicación del Tráfico Ilícito de Armas aprobó el Plan Nacional de Acción en materia de lucha contra el tráfico ilícito de armas pequeñas y ligeras (APL) en todos sus aspectos, el cual recoge tres líneas estratégicas dirigidas al fortalecimiento institucional, el desarrollo de una cultura de paz y el fortalecimiento de la cooperación internacional.

    Con la aprobación de este Plan, Colombia continúa avanzando en la búsqueda de mecanismos para la lucha contra el tráfico de armas cumpliendo los compromisos adquiridos en el Programa de Acción de Naciones Unidas para prevenir, combatir y eliminar el tráfico ilícito de armas pequeñas y ligeras en todos sus aspectos; la Convención Interamericana contra la Fabricación y el Tráfico ilícitos de armas de fuego, municiones, explosivos y otros materiales relacionados y; el Plan Andino para la Prevención, Combate y Erradicación del Tráfico Ilícito de Armas Pequeñas y Ligeras en todos sus aspectos (Decisión 552).
    • Date:  2010-06-03    Paragraphes: 76
    Problema mundial de las drogas, delitos conexos y lavado de activos

    Se resalta la implementación de la plataforma SIIS (Sistema de Intercambio de Información Segura), programa liderado por la Oficina de las Naciones Unidas contra la Droga y el Delito, cuya misión es intercambiar información de inteligencia entre los Estados Miembros en la lucha contra el tráfico de drogas dese América Latina hacia África Occidental. Asimismo, se resalta la expedición de la resolución No. 009 de junio de 2009, por medio de la cual se unifica la reglamentación para la compra, venta, consumo, distribución, almacenamiento y transporte de las sustancias sometidas a control especial.

    Igualmente, se expidió la resolución N° 363 del noviembre de 2008, por medio de la cual se impone a las empresas exportadoras y/o importadoras de oro, las casas fundidoras de oro y a las sociedades de comercialización internacional que dentro de su actividad económica tengan l comercialización de oro y/o realicen operaciones de exportación y /o exportación de oro, la obligación de reportar de manera directa a la Unidad de información y Análisis Financiero.
    • Sources Connexes
    Decreto 2568 de 2003. Por el cual se modifica la estructura de la Dirección Nacional de Estupefacientes y se dictan otras disposiciones.
    Diversos Acuerdos
    Gastos directo del Estado colombiano contra las drogas. (2008-2009).
    IMPLEMENTACIÓN DE RECOMENDACIONES DE LA CUARTA RONDA DE EVALUACIÓN. Informe sobre progreso 2009-Colombia.
    INFORME NACIONAL DE IMPLEMENTACIÓN Y SEGUIMIENTO DE LOS COMPROMISOS CONSIGNADOS EN LAS DECLARACIONES Y PLANES DE ACCIÓN DE QUEBEC, NUEVO LEÓN, MAR DEL PLATA, Y LA DECLARACIÓN DE COMPROMISO DE PUERTO ESPAÑA (Pág 12 y 14)
    INFORME NACIONAL DE IMPLEMENTACIÓN Y SEGUIMIENTO DE LOS COMPROMISOS CONSIGNADOS EN LAS DECLARACIONES Y PLANES DE ACCIÓN DE QUEBEC, NUEVO LEÓN, MAR DEL PLATA, Y LA DECLARACIÓN DE COMPROMISO DE PUERTO ESPAÑA (Pág 13)
    INFORME NACIONAL DE IMPLEMENTACIÓN Y SEGUIMIENTO DE LOS COMPROMISOS CONSIGNADOS EN LAS DECLARACIONES Y PLANES DE ACCIÓN DE QUEBEC, NUEVO LEÓN, MAR DEL PLATA, Y LA DECLARACIÓN DE COMPROMISO DE PUERTO ESPAÑA (Pág 14)
    INFORME NACIONAL DE IMPLEMENTACIÓN Y SEGUIMIENTO DE LOS COMPROMISOS CONSIGNADOS EN LAS DECLARACIONES Y PLANES DE ACCIÓN DE QUEBEC, NUEVO LEÓN, MAR DEL PLATA, Y LA DECLARACIÓN DE COMPROMISO DE PUERTO ESPAÑA (Pág 14)
    INFORME NACIONAL DE IMPLEMENTACIÓN Y SEGUIMIENTO DE LOS COMPROMISOS CONSIGNADOS EN LAS DECLARACIONES Y PLANES DE ACCIÓN DE QUEBEC, NUEVO LEÓN, MAR DEL PLATA, Y LA DECLARACIÓN DE COMPROMISO DE PUERTO ESPAÑA (Pág 17)
    Ley 785 de 2002. Disposiciones relacionadas con la administración de bienes incautados.
    LOGROS DE LA POLÍTICA DE CONSOLIDACIÓN DE LA SEGURIDAD DEMOCRÁTICA – PCSD
    LOGROS DE LA POLÍTICA DE CONSOLIDACIÓN DE LA SEGURIDAD DEMOCRÁTICA – PCSD
    Logros MEM 1997-2007
    NFORME NACIONAL DE IMPLEMENTACIÓN Y SEGUIMIENTO DE LOS COMPROMISOS CONSIGNADOS EN LAS DECLARACIONES Y PLANES DE ACCIÓN DE QUEBEC, NUEVO LEÓN, MAR DEL PLATA, Y LA DECLARACIÓN DE COMPROMISO DE PUERTO ESPAÑA
    Plan Nacional de acción contra tráfico ilícito de armas
    Plan Nacional de Desarrollo 2006-2010. “Estado Comunitario: Desarrollo para Todos” Tomo I, Capítulo 2. Política de Defensa y Seguridad Democrática.
    Plan Nacional de Desarrollo 2006-2010. “Estado Comunitario: Desarrollo para Todos” Tomo I, Capítulo 2. Política de Defensa y Seguridad Democrática.
    Política Integral de DDHH y DIH
    Resolución 012 de 2009. Por el cual se modifica el capítulo III – Administración de Bienes.
    Resolución 023 de 2006. Instructivo que debe seguir la DNE para la enajenación y administración de activos y demás bienes que forman parte del FRISCO.
    Resultados Operacionales Gobierno Alvaro Uribe 2002-2009.
    Resultados Operacionales Lucha Contra el Problema de las Drogas 1990-2008.
  • Costa Rica
    N/A
  • Dominique
    N/A
  • El Salvador
    • Rapports
    • Date:  2013-06-24    Paragraphes: 1
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-06-24    Paragraphes: 2
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-06-24    Paragraphes: 3
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-06-24    Paragraphes: 4
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-06-24    Paragraphes: 6
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-06-24    Paragraphes: 7
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-06-24    Paragraphes: 9
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2012-12-01    Paragraphes: 74
    Como parte del seguimiento de El Salvador a este mandato, se desarrolló la “Evaluación de las Estrategias e Instrumentos implementados desde la Administración Pública para erradicar la violencia hacia las mujeres”, la cual tenía el objetivo de conocer el marco legal e institucional desde el cual el Estado está enfrentando la violencia hacia las mujeres, identificando los obstáculos que impiden avanzar y perfilando las líneas estratégicas a considerar, como un insumo para la elaboración de la Política Pública para una Vida Libre de Violencia.

    Asimismo, se está iniciando el proceso para la implementación de la elaboración de la Política Pública para una Vida Libre de Violencia. Asimismo, se ha iniciado el proceso para la facilitación del instructivo de la Comisión Técnica Especializada. Es importante en este proceso la consolidación del espacio en sí mismo, como la definición de la estructura de funcionamiento. Ambos son productos centrales para la implementación y cumplimiento de la LEIV.

    Debido a que es indispensable la divulgación y sensibilización en la administración pública de la LEIV, se realizaron una serie de talleres de divulgación y sensibilización sobre esa ley y los derechos de una vida libre de violencia para las mujeres. Algunas de las instituciones donde se realizaron son la Procuraduría para la Defensa de los Derechos Humanos y la Policía Nacional Civil.
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 72
    El Salvador como Estado miembro de la OEA en cumplimiento al mandato dispuesto por los Jefes de Estado y de Gobierno en la Segunda Cumbre de las Américas celebrada en Santiago de Chile en 1998, y consciente de que el problema de las drogas es un problema mundial, que necesita ser abordado con la cooperación de los países de la región, y tomando en cuenta que el Mecanismo de Evaluación Multilateral (MEM) de la Comisión Interamericana para el Control del Abuso de Drogas (CICAD/ OEA), es un mecanismo de evaluación a través del cual se desarrollan esfuerzos nacionales y multilaterales a fin de lograr la plena aplicación de la Estrategia Antidrogas del Hemisferio sobre la base de los principios de respeto a la soberanía, responsabilidad compartida, integralidad y equilibrio en el tratamiento del tema, y reconociendo la importancia del mecanismo, el país ha venido participando y apoyando este esfuerzo desde sus inicios.
    La Dirección Ejecutiva de la Comisión Nacional Antidrogas, como referente en el tema de drogas en el país, y con base a lo establecido en el Art. 5 de la Ley Reguladora de las Actividades Relativas a las Drogas, a lo largo de cada Ronda de Evaluación, ha venido coordinando el proceso para la recolección y análisis de información con las entidades competentes en el tema. Para dar cumplimiento a los compromisos de país, en el año 2009 se inició con el proceso de coordinación para dar respuesta a los 50 indicadores del cuestionario del MEM para la Quinta Ronda de Evaluación 2007-2009. Para dar cumplimiento a los plazos dispuestos por la CICAD/ OEA, se hicieron reuniones de trabajo y seguimiento a las entidades competentes como: Ministerio de Educación, Ministerio de Salud, Ministerio de la Defensa Nacional, Consejo Superior de Salud Pública, Ministerio de Relaciones Exteriores, Fiscalía General de la República, Corte Suprema de Justicia, Policía Nacional Civil y Autoridad Marítima Portuaria, para recopilar los datos para dar respuesta a los indicadores del cuestionario del MEM, así como la actualización de información y estadísticas que aborda distintos aspectos relacionados con las drogas, que es el insumo básico para que el Grupo de Expertos realicen la evaluación al país.
    Para efecto de coordinar la implementación de acciones en los ámbitos de reducción de la demanda, reducción de la oferta y medidas de control, se ha instaurado el grupo técnico interinstitucional conformado por técnicos que han sido designados por cada institución para dar seguimiento al desarrollo de proyectos, programas, y promover reformas de ley.
    Asimismo, como parte de los compromisos de país como Estado miembro de la OEA, y en apoyo al proceso del MEM, el país participo en las tres sesiones de redacción de informes del Grupo de Expertos Gubernamentales realizadas en Washington, D.C. en los meses de abril, junio y octubre de 2010; así como también, participó en el grupo de trabajo para la redacción del informe Hemisférico.

    Promoción y difusión del informe de evaluación del MEM
    En marzo del 2011, se realizó un evento para promocionar el Informe Final de la Evaluación del Progreso de Control de Drogas, 2007-2009 de El Salvador, realizada por el Grupo de Expertos Gubernamentales del MEM, con el fin de difundir y dar a conocer a los funcionarios, a la sociedad y publico en general las recomendaciones planteadas al país durante la Quinta Ronda de Evaluaciones del MEM de CICAD/ OEA. En dicho evento estuvieron presentes miembros de la CNA, representantes y técnicos de instituciones públicas, representantes de Ong´s, de la sociedad civil y medios de prensa, radio y televisión. El documento con el informe final fue distribuido en versión electrónica y física, y fue colocado en el sitio Web del Observatorio Salvadoreño sobre Drogas en el siguiente enlace: http://www.seguridad.gob.sv/observatorio
    5.2 Combate a las Drogas
    Promoción y seguimiento al desarrollo de investigaciones y estudios relacionados al tema drogas en coordinación con entidades nacionales
    Proyecto: Estudio sobre Consumo de Sustancias Psicoactivas en Población Escolar de El Salvador, SIDUC 2008.
    Realización del “Segundo Estudio Nacional sobre Consumo de Sustancias Psicoactivas en Población Escolar de El Salvador, SIDUC 2008”. Se ejecutó en coordinación con el Ministerio de Educación y la Dirección General de Estadística y Censos y se contó con la Asesoría Técnica del Observatorio Interamericano sobre Drogas que facilito la metodología del Sistema Interamericano de Datos Uniformes sobre Consumo para el desarrollo del estudio en población escolar de séptimo, noveno y segundo año de bachillerato.
    El Informe Final con los resultados del estudio se hicieron del conocimiento a los funcionarios del Ministerio de Educación, y a las entidades competentes para orientar la toma de decisiones de las autoridades en la definición de programas, proyectos y políticas relacionadas con la prevención del consumo de drogas en niños, niñas y jóvenes en el ámbito nacional. La publicación del estudio, se distribuyó entre las entidades miembros de la CNA, Ong´s, Universidades y población en general. Asimismo, el documento electrónico esta disponible en el sitio Web del Observatorio Salvadoreño sobre Drogas en el siguiente enlace: http://www.seguridad.gob.sv/observatorio, para que los investigadores o el público en general tengan acceso a dicho informe.
    Se han atendido entrevistas con medios de prensa escrita y televisión, y se ha participado en congresos y foros realizados por las universidades y talleres regionales donde se han difundido los resultados de los estudios con el fin de promover la sensibilización del problema y motivar a profundizar en el análisis de los resultados para ampliar el conocimiento del problema en el país a fin de que toda la sociedad se involucre en acciones tendientes a prevenir el consumo de drogas en la población de niños y jóvenes, y promover el desarrollo de programas preventivos integrales.
    Proyecto Estudio del Consumo de Drogas y de otras Problemáticas en la Población Estudiantil Universitaria a través de plataforma On-line, con el apoyo del OID de CICAD-OEA
    Con objetivo de estimar la magnitud del consumo de sustancias psicoactivas, las principales características de los patrones de consumo, los factores explicativos, la tendencia del mismo entre los estudiantes universitarios, la Dirección Ejecutiva de la CNA, realizó gestiones ante la Secretaría Ejecutiva de la CICAD/ OEA para solicitar asistencia técnica y soporte informático para llevar a cabo el estudio en la población estudiantil universitaria salvadoreña, utilizando el cuestionario con software On-line con plataforma manejada desde el Observatorio Interamericano sobre Drogas en Washington, D.C.
    Para realizar el estudio se invitó a participar en el estudio a las universidades acreditadas por el Ministerio de Educación. Para formalizar los compromisos de las universidades para ejecutar el estudio, se suscribió un acuerdo de cooperación entre la Comisión Nacional Antidrogas (CNA) y los rectores de cinco universidades privadas que aceptaron participar en el estudio denominado “Estudio sobre consumo de drogas y de otras problemáticas en la población estudiantil universitaria de El Salvador, SIDUC-Universitarios 2010”. El Comité Nacional de Ética de Investigación Clínica de El Salvador avalo el protocolo y la metodología para la realización del estudio.
    Con dicho estudio se espera contribuir al diseño e implementación de políticas de prevención en la población universitaria en articulación con los centros de enseñanza superior. Actualmente se esta en la ejecución de la fase para la elaboración del informe final con los resultados de la investigación.
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 76
    Legislación
    Con el fin de prevenir, detectar, sancionar y erradicar el delito de lavado de dinero y de activos de procedencia ilícita, así como su encubrimiento, el Gobierno de El Salvador, consciente de que el lavado de dinero es considerado un problema de seguridad, impulsó desde el Órgano Legislativo la promulgación de la “Ley Contra el Lavado de Dinero y de Activos2”, la cual fue aprobada en diciembre de 1998. A través del Artículo 3 de la misma Ley, se creó la Unidad Especializada de Investigación Financiera (UIF), estructura técnica, asesora y operativa responsable de investigar, prevenir, detectar, combatir y erradicar este delito, la cual divide sus funciones en las áreas legal y de investigación y análisis, buscando cerrarle al lavado de dinero todas las puertas a través del reforzamiento de los controles de fiscalización y supervisión, sobre todo de las instituciones y actividades sometidas al control de la Ley de Lavado y que están relacionadas con las transacciones comerciales que puedan vincularse al lavado de dinero y activos.
    El trabajo de la UIF es apoyado por el Departamento de Investigación de Delitos Financieros de la División Antinarcóticos de la Policía Nacional Civil, con muy buenos resultados ya que en el mes de septiembre (2, 4 y 10) de 2010, fueron encontrados enterrados en dos propiedades privadas localizadas en los Municipios de Zacatecoluca, Departamento de La Paz y en Lourdes, Colón, Departamento de la Libertad, un total de 3 barriles conteniendo un aproximado de $14.5 millones de dólares. Según las autoridades el dinero hallado podría pertenecer a estructuras del narcotráfico a nivel internacional, y el mismo podría estar destinado al pago de favores y al lavado de dinero.
    Durante el 2010 se incautó un total aproximado entre pesos mexicanos, quetzales, lempiras y dólares, de $15,529,867.56 dólares de los Estados Unidos de América. Otro de los casos más recientes fue la detención en el mes de marzo de 2011, de un salvadoreño y su compañera de vida en su casa de habitación situada en la Colonia Escalón, decomisándoseles $818,840 dólares, un fusil y varias porciones de marihuana. El salvadoreño ha sido acusado por la Fiscalía General de la República por los delitos de lavado de dinero y activos, tenencia y portación de armas de fuego de grueso calibre de origen israelí, y tenencia y posesión de droga, en el caso de su compañera de vida únicamente por el delito de lavado de dinero y activos, debido a que no pudieron justificar su procedencia. La defensa ha alegado ilegalidad del proceso, señalando que la Policía no contaba con la orden judicial para allanar la residencia de los involucrados, asimismo ha señalado que sus defendidos son empresarios, por lo que en el proceso judicial demostrarán el origen de la cantidad de dinero encontrada.
    Proyecto BIDAL
    El Proyecto “Bienes Decomisados en América Latina, BIDAL” es un programa que ofrece asistencia técnica a los Estados interesados en desarrollar y mejorar los sistemas de identificación, localización y administración de activos incautados y decomisados, a través del establecimiento de normas de buen gobierno y transparencia administrativa en la gestión y administración de los bienes, con el objetivo de procurar el máximo beneficio y evitar actos de corrupción y desvío en su uso y disposición. La Dirección Ejecutiva de la Comisión Nacional Antidrogas (DE-CNA) inició en el mes de junio de 2009 las gestiones necesarias ante la Comisión Interamericana para el Control del Abuso de Drogas (CICAD/ OEA) para lograr que El Salvador fuera incluido como país beneficiario en la fase de ampliación del Proyecto a Centroamérica, lo anterior con el fin de reforzar y mejorar el procedimiento actual de administración y adjudicación de bienes. Se han realizado las siguientes acciones:
    - El 9 de julio de 2009, el Secretario Ejecutivo Adjunto de la CICAD/ OEA, Sr. Rafael Franzini-Batle informó a la DE-CNA sobre la aprobación de la solicitud hecha por El Salvador una vez el proyecto en su fase de ampliación a Centroamérica fuese puesto en marcha. Posteriormente la Secretaría Ejecutiva de la CICAD/ OEA informó a El Salvador que la ejecución del proyecto en su fase de ampliación requeriría una contribución económica de los países beneficiarios.
    - En el marco del Plan Mérida y la “Estrategia de Seguridad Centroamérica-México”, acordada al amparo del Diálogo Centroamérica-México sobre Seguridad Democrática (Iniciativa Mérida), se consideraba el “Componente II. Combate al Narcotráfico, Numeral 3. Impulsar una negociación que procure mecanismos para la distribución de fondos incautados provenientes de actividades de narcotráfico, lavado de dinero o actividades de delincuencia organizada”, se realizaron gestiones ante el Ministerio de Relaciones Exteriores y el Programa INL, al igual que ante la Fiscalía General de la República, y la Unidad Técnica Ejecutiva del Sector Justicia, a fin de poder obtener los fondos necesarios para la contrapartida requerida para la implementación del Proyecto BIDAL.
    - En el mes de octubre de 2010 se realizó la visita del Director Regional del Proyecto, Dr. Dennis Cheng, con el objetivo de realizar una presentación técnica del proyecto a las instituciones involucradas directa o indirectamente (fiscales, jueces y policías) en el proceso de decomiso (desde la investigación hasta la destinación de los activos comisados) para que conocieran en forma general el proyecto, con el fin de que en una etapa posterior apoyen y se integren al equipo de trabajo interinstitucional que con el apoyo técnico de CICAD/ OEA, desarrollará en base a los resultados del diagnóstico, las propuestas de mejoramiento del sistema.
    - n diciembre de 2010, el Director Ejecutivo de la CNA y el Secretario Ejecutivo de la CICAD/ OEA suscribieron el Memorando de Entendimiento para formalizar la ejecución del Proyecto BIDAL en El Salvador.
    - En enero de 2011 fue contratado el Consultor Nacional que realizaría el Diagnóstico Nacional sobre el sistema de administración de bienes decomisados consistente básicamente en el llenado de un formulario, con funcionarios de la Fiscalía General de la República, la División Antinarcóticos y otras unidades especializadas de la PNC, el Ministerio de Hacienda, la Corte de Cuentas de la República, Centro Nacional de Registros, Corte Suprema de Justicia, entre otros.
    - Se ha previsto la presentación de los resultados del diagnóstico para el segundo trimestre del año 2011
  • Équateur
    • Rapports
    • Date:  2010-10-27    Paragraphes: 68
    - Diseño e implementación de un módulo de capacitación en Derechos Humanos a funcionarios que prestan servicios de justicia; Policía Nacional, Fuerzas Armadas.

    - 2008: Se capacitó a un número de 2417 policías.

    - 2010: Capacitación a capacitadores aproximadamente unos 70; se capacitó también en movilidad humana a 80 capacitadores miembros de la Policía Nacional mismos que replicaron sus conocimientos a aquellos desplegados en Frontera Norte; Fuerzas Armadas de igual manera que en Policía Nacional con la salvedad de que fue a 80.

    En este mismo contexto de capacitación en Derechos Humanos tuvo lugar en virtud de un Acuerdo Interinstitucional entre esta Cartera de Estado y Corporación Nacional de Telecomunicaciones Empresa Pública, CNT EP, 3 jornadas de capacitaciones de tres días cada una, las mismas que tuvieron lugar en Manta, Quito y Cuenca a un total de 60 funcionarios.

    - Diseño de una malla curricular para la formación en derechos humanos dirigida a funcionarios públicos a través del IAEN.

    - Diseño de un módulo de formación en derecho a la salud y derechos de los pacientes dirigido a operadores de justicia y funcionarios de la salud, y guías penitenciarios en derechos humanos.

    - Diseño de un módulo de formación en derechos colectivos dirigido a jueces/as, FFAA, Policía Nacional, Defensoría del Pueblo .
  • États-Unis d’Amérique
    • Rapports
    • Date:  2016-07-07    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2016-07-07    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2014-06-02    Paragraphes: 71, 1, 2
    Central America Regional Security Initiative (CARSI))
    - CARSI assists the seven nations of Central America in the strengthening and integration of security in coordination with other nations, international financial institutions, the private sector, civil society, and the Central American Integration System (SICA).
    - The United States has appropriated more than $642 million to CARSI programs and activities in the region. CARSI programs are designed to assist law enforcement and security forces to create safe streets, confront illicit trafficking, reduce the negative effects of gangs and criminal organizations, and strengthen border security deficiencies. CARSI also works to build the capacity of law enforcement and the justice sector to serve citizens and to address regional threats, and to advance community policing, gang prevention, and economic and social programming for at-risk youth and communities disproportionately affected by crime.

    Caribbean Basin Security Initiative (CBSI)
    - The Caribbean Basin Security Initiative (CBSI) is a multi-year, regional citizen safety engagement with the Caribbean that stemmed from commitments made at the 2009 Summit of the Americas. The United States, CARICOM member nations, and the Dominican Republic are improving citizen safety throughout the Caribbean by working together to substantially reduce illicit trafficking, increase public safety and security, and promote social justice.
    - Since 2010, the United States has appropriated $263 million in funding for CBSI activities with its partners in the Caribbean. Activities include maritime and aerial security cooperation, law enforcement capacity building, border/port security, firearms interdiction, justice sector reform, crime prevention, and at-risk youth.

    Merida Initiative
    - The Merida Initiative is an unprecedented partnership between the United States and Mexico to fight organized crime and associated violence while furthering respect for human rights and the rule of law throughout Mexico.
    - The United States has appropriated $2.1 billion since the Merida Initiative began in fiscal year 2008. Under the Initiative, the United States and Mexico have improved citizen safety in affected areas to fight drug trafficking, organized crime, corruption, illicit arms trafficking, money-laundering, and the demand for drugs on both sides of the border.
    - Bilateral efforts support strengthening Mexico’s institutions, especially police and justice systems at both the federal and state level; bolstering development of a secure border that facilitates legitimate trade and travel while disrupting illicit trade; and building strong and resilient communities able to withstand the pressures of crime and violence.

    U.S.-Colombia Action Plan on Regional Security Cooperation
    - At the 2012 Summit of the Americas, President Obama and Colombian President Santos announced an agreement to develop a coordination mechanism to support capacity-building to improve citizen security in third countries: the U.S.-Colombia Action Plan on Regional Security Cooperation.
    - Activities under the Action Plan support hemispheric citizen security priorities through capacity building in multiple areas, such as asset forfeiture, investigations, polygraphs, and interdiction. The United States and Colombia implemented 39 activities in Central America in 2013 and agreed to implement 152 activities in Central America and the Caribbean in 2014.

    Colombia Strategic Development Initiative (CSDI)
    - The U.S. government supports the Colombian government's National Consolidation Plan by selectively working in key “consolidation zones” where drug trafficking, violence, and the lack of government presence have historically converged. The U.S. government coordinates its efforts in these areas through the Colombia Strategic Development Initiative (CSDI), an inter-agency, whole-of-government approach to providing specific U.S. assistance in eradication and interdiction; capacity building of the military, national police, access to rule of law; and creation of viable options for citizens in the licit economy, particularly in the agricultural sector.
    - CSDI also provides general support for the implementation of Colombian government reforms in land restitution; reparations for victims and vulnerable populations; demobilization and reintegration of ex-combatants; strengthening the Colombian Attorney General’s Office in support of human rights, the rule of law, and protection of vulnerable citizens; and addressing global climate change and environmental issues.
    • Date:  2014-06-02    Paragraphes: 3
    National Action Plan on Women, Peace, and Security, and the U.S. Strategy to Prevent and Respond to Gender-Based Violence Globally
    - Building on the recognition that countries are more peaceful and prosperous when women are accorded full and equal rights and opportunity, President Obama released the first National Action Plan on Women, Peace, and Security in December 2011 and signed an executive order directing the plan’s implementation. The National Action Plan represents a fundamental change in how the United States approaches its diplomatic, military, and development-based support to women in areas of conflict by ensuring that their perspectives and considerations of gender are woven into the fabric of how the United States approaches peace processes, conflict prevention, the protection of civilians, and humanitarian assistance.
    - In August 2012, the United States released the first U.S. Strategy to Prevent and Respond to Gender-based Violence Globally, accompanied by a presidential executive order directing its implementation. The Strategy includes a comprehensive, multi-sector approach to prevent and respond to gender-based violence through increased coordination of gender-based violence prevention and response efforts among U.S. government agencies and with other stakeholders; enhanced integration of gender-based violence prevention and response efforts into existing U. S. government work; improved collection, analysis, and use of data and research to enhance gender-based violence prevention and response efforts; and enhanced or expanded U.S. government programming that addresses gender-based violence.
    • Date:  2014-06-02    Paragraphes: 5
    Strategy to Combat Transnational Organized Crime
    - In July 2011, the White House announced the Strategy to Combat Transnational Organized Crime to build, balance, and integrate the tools to combat transnational organized crime and related threats to U.S. national security – and to urge the United States’ partners to do the same.
    - The strategy proposes 56 priority actions, starting with ones the United States can take within its borders to lessen the impact of transnational crime domestically and on the United States’ foreign partners. Other actions seek to enhance U.S. intelligence; protect the financial system and strategic markets; strengthen interdiction, investigations, and prosecutions; disrupt the drug trade and its facilitation of other transnational threats; and build international cooperation.
    Military Cooperation on Transnational Organized Crime
    - Beginning in January 2012, the U.S. military and its partners in the Western Hemisphere and Europe launched Operation Martillo, a joint effort targeting illicit trafficking routes in coastal waters along the Central American isthmus.
    - Operation Martillo is a critical component of the U.S. government’s coordinated interagency regional security strategy to counter transnational organized crime in the Americas. Fourteen countries are participating: Belize, Canada, Colombia, Costa Rica, El Salvador, France, Guatemala, Honduras, the Netherlands, Nicaragua, Panama, Spain, the United Kingdom, and the United States. Chile has also contributed to the operation.
    • Date:  2014-06-02    Paragraphes: 9
    Interagency Task Force to Monitor and Combat Trafficking in Persons
    - In March 2012, President Obama established the Interagency Task Force to Monitor and Combat Trafficking in Persons. The task force is committed to furthering U.S. efforts to eradicate trafficking in persons and it draws on tools ranging from law enforcement and victim service provisions, to public awareness building and diplomatic pressure. The task force also increased U.S. government partnerships with a broad coalition of local communities, faith-based, and non-governmental organizations, schools, and businesses.
    • Date:  2014-06-02    Paragraphes: 75
    Convention on Illicit Trafficking in Firearms (CIFTA)
    - The ratification of the Inter-American Convention against the Illicit Manufacturing of and Trafficking in Firearms, Ammunition, Explosives and other Related Materials (CIFTA) is a priority for the Obama administration.
    ? The United States has offered technical assistance to a variety of countries to trace illicit firearms and control, store, or destroy excess national stockpiles. Through the OAS, the United States provided more than $1 million for the provision of marking equipment to countries in the hemisphere, increasing hemispheric capability to trace firearms and identify illicit trafficking routes and suppliers.
    - The United States has signed eTrace agreements with all seven countries in Central America, and fourteen of the fifteen countries in the Caribbean. Expanding eTrace participation throughout the hemisphere is a priority for the U.S. government.
    • Date:  2010-06-15    Paragraphes: 71
    Caribbean Basin Security Dialogue:
    • President Obama announced a multiyear regional citizen safety initiative with the Caribbean, including $45 million this year.
    • The United States and the Caribbean held successful technical security meetings in 2009, one in Suriname in May, and a second
    in Barbados in August, a third in the Dominican Republic in November, and a fourth in Washington this past April.
    • The Inaugural U.S.-Caribbean Security Cooperation Dialogue will be held in Washington on May 27, 2010. All members of CARICOM, the Dominican Republic, and partner nation observers (the EU, the U.K., France, Spain, the Netherlands, Canada and Colombia) will be invited to the Dialogue.

    Public Security Cooperation:
    • President Obama asked the Attorney General and Secretary of Homeland Security to meet with all of their counterparts in the hemisphere to address violent crime in our communities.
    • Attorney General Holder met with his CARICOM counterparts in Barbados in May, and met with hemispheric counterparts at the OAS REMJA in February 2010. the Department of Justice led the U.S. delegation to the second Ministers of Public Security of the Americas meeting in the Dominican Republic in November 2009.

    Merida Initiative:
    • The Merida Initiative is an unprecedented partnership between the United States and Mexico to fight organized crime and associated violence while furthering respect for human rights and the rule of law. Based on principles of shared responsibility, mutual trust, and respect for sovereign independence, our efforts have built confidence that is transforming our bilateral relationship.
    • Merida was conceived in 2007 as a multi-year, $1.4 billion effort. The United States Congress has appropriated $1.3 billion since the program’s inception in 2008.
    ....continue
    Source: REPORT OF THE UNITED STATES GOVERNMENT ON IMPLEMENTATION OF MANDATES FROM THE FIFTH SUMMIT OF THE AMERICAS (United States 2010)
    • Date:  2010-06-15    Paragraphes: 75
    Convention on Illicit Trafficking in Firearms (CIFTA):

    • President Obama announced that ratification of CIFTA is a priority for his Administration, and he offered technical assistance
    to trace illicit firearms and control, store, or destroy excess national stockpiles.

    • The United States provided the OAS a $1 million grant to provide marking equipment to states in the hemisphere in order to
    increase hemispheric capability to trace frearms and identify illicit trafficking routes and suppliers.

    • The United States signed eTrace agreements with all seven Central American states, and fourteen of the fifteen Caribbean states.
    Expanding eTrace participation throughout the hemisphere is a priority for 2010 and will be aided by the introduction of a Spanish
    version of the eTrace software in 2010.
    • The United States has assessed and offered stockpile management and destruction assistance to a number of states in Latin
    America and the Caribbean.

    Source: REPORT OF THE UNITED STATES GOVERNMENT ON IMPLEMENTATION OF MANDATES FROM THE FIFTH SUMMIT OF THE AMERICAS (United States 2010)
  • Grenade
    N/A
  • Guatemala
    • Rapports
    • Date:  2011-07-20    Paragraphes: 69
    Se mantiene el intercambio de información dentro del marco de la CFAC en reuniones ordinarias de Directores de Inteligencia y Oficiales de enlace a nivel regional. Además del Convenio Internacional de intercambio de información entre Guatemala, Colombia, México y Estados Unidos de América, para prevenir las amenazas terroristas.
    Se da capacitación al Grupo Especial de interdicción y Rescate (GEIR), para contrarrestar cualquier amenaza terrorista dentro del territorio nacional y en la región centroamericana, a solicitud de los Estados miembros de la región.
    • Date:  2011-07-20    Paragraphes: 70
    En el marco de la lucha contra el crimen organizado en el periodo 2009-2011, el Ministerio Público atendió 733 denuncias por la Unidad de Trata de personas y obtuvo un total de 46 sentencias condenatorias. La unidad contra Secuestros recibió en el mismo periodo 1240 denuncias y se obtuvieron 84 sentencias condenatorias. La Unidad contra extorsiones recibió 5211 denuncias por el delito de extorsión y se han obtenido 86 sentencias condenatorias.
    El MINDEF cuenta con las herramientas necesarias para prevenir las amenazas terroristas y minimizar el tráfico ilícito de armas de fuero a nivel nacional:
    El Estado de Guatemala, aprobó el Decreto No. 67-2001, Ley Contra el Lavado de Dinero y Otros Activos, la cual se convierte en una herramienta para prevenir y penalizar el financiamiento de actividades terroristas.
    El Decreto No. 39-89, Ley de Armas y Municiones, fue derogado por el Decreto No. 15-2009, Ley de Armas y Municiones, que entro en vigencia el 29 de abril de 2009, el cual norma la tenencia, portación de armas y municiones dentro del territorio nacional , en apego a la Constitución Política de la República de Guatemala, además de:
    - Regular la tenencia, portación, importación, exportación, fabricación, comercialización, donación, traslado, compraventa, almacenaje, desalmacenaje, transporte, tráfico,
    intermediación y todos los servicios relativos a las armas y municiones.
    - La Dirección General de Control de Armas y Municiones del Ministerio de la Defensa Nacional (DIGECAM) tiene la responsabilidad administrativa del registro y control, según el Artículo 24 de la misma ley.
    - Además regula que las armas de fuego de uso de las fuerzas de seguridad y orden público del Estado, no podrán traspasarse entre particulares.
    Se han puesto en marcha los planes de protección de las instalaciones portuarias, adoptando las medidas necesarias de control de ingreso, actualmente se cuenta con equipo biométrico que controlan el acceso de las personas y vehículos de los recintos portuarios, pudiendo saber por medio de un software la actualización de ingresos y egresos de las mismas
    También se ha entrenado a la Policía Naval Extraordinaria con las técnicas necesarias para la inspección y registro de personas y vehículos para su ingreso y se han construido muros perimetrales con altura que desde los 3.5 a los 4 metros de altura para reforzar la seguridad física de las instalaciones y las personas, los bienes y las operaciones del comercio exterior.
    La Comisión Portuaria Nacional, como entidad designada para aplicar el Código Internacional para Protección de Buques e Instalaciones Portuarias (código PBIP), constituyó un equipo de trabajo integrado por las instituciones nacionales pertinentes especializadas en diversos aspectos de la seguridad y puso en práctica planes de protección concretos. El equipo lo integran la Coordinadora Interinstitucional de Seguridad, el Departamento Marítimo del Ministerio de la Defensa Nacional, la Unidad Antibombas del Estado Mayor de la Defensa Nacional, el Servicio de Operaciones y el Servicio de Desactivación de Explosivos de la Policía Nacional Civil, el Jefe de Seguridad de cada puerto, la Capitanía del Puerto y el Servicio de Análisis e Investigaciones Antinarcóticas.
    Por su parte, la Comisión para la Transparencia y el Combate a la Corrupción de la Vicepresidencia de la República, está dando seguimiento a la iniciativa 3894-Ley de Enriquecimiento Ilícito, 4317-Disposiciones para el fortalecimiento del sistema tributario y el combate a la defraudación y al contrabando. Asimismo, dio seguimiento a la aprobación de la iniciativa 4021-Ley de Extinción de Dominio.
    Además de ello, hizo una propuesta para el nombramiento del cargo de Secretario General y Secretario General Adjunto del Consejo Nacional de Administración de Bienes de Extinción de Dominio.
    Creó la Comisión Nacional para la Prevención y Combate de la Defraudación Aduanera y Contrabando así como la Comisión Nacional contra el Lavado de Dinero y Otros Activos.
    • Date:  2011-07-20    Paragraphes: 72
    Primera Parte:

    Guatemala ha logrado implementar avances significativos para cumplir con lo contenido en el párrafo 72 de la “Declaración de Compromiso de Puerto España”, aprobada en la Quinta Cumbre de las Américas, iniciando con la creación del Observatorio Nacional sobre Drogas -OND- como una dirección de la Secretaria Ejecutiva de la Comisión Contra las Adicciones y el Tráfico Ilícito de Drogas -SECCATID- para que funcione como un ente coordinador interinstitucional así como vinculo de contacto y punto focal de información tanto nacional como internacional en cuanto a la materia de prevención del consumo de drogas y apoyo al combate a la oferta, a su vez Guatemala ha participado dentro del Mecanismo de Evaluación Multilateral -MEM- de la Comisión Interamericana para el Control del Abuso de Drogas -CICAD- de la Organización de Estados Americanos -OEA-, dentro del cual en el Informe de Seguimiento a la Implementación de Recomendaciones, publicado en junio de 2009 se enfatiza que “durante la Cuarta Ronda de Evaluación 2005-2006 fueron asignadas a Guatemala 18 recomendaciones. El país ha dado pleno cumplimiento a nueve, y de las restantes registra avances y etapas iníciales de cara a su culminación.” Dentro de estas observaciones de puede destacar que en la materia de fortalecimiento institucional se destaca la aprobación del mecanismo de seguimiento para la implementación de la Política Nacional Contra las Adicciones y el Tráfico Ilícito de Drogas y la continuación de acciones para la creación del Observatorio Nacional sobre Drogas. En reducción del consumo de drogas, el país ha ampliado la cobertura de los programas de prevención de drogas dirigidos a la población escolar, y está en proceso de implementar los programas de prevención dirigidos a grupos indígenas, incluyendo a la población Maya. Además, muestra esfuerzos en el sistema de información nacional sobre tratamiento y la verificación de la calidad de los servicios y establecimientos que ofrecen programas de tratamiento de drogas. La CICAD vio con satisfacción la puesta en marcha de proyectos de desarrollo alternativo en las zonas de siembra de amapola y marihuana en los departamentos de San Marcos y El Petén, mediante los incentivos a proyectos agroforestales y frutales. Respecto a las medidas de control, el país ha implementado un sistema de información para recopilar datos sobre la aplicación de las sanciones de tipo penal y civil contra los desvíos de productos farmacéuticos y de sustancias químicas controladas. Asimismo, estableció un mecanismo de recopilación de información relacionada con solicitudes de asistencia jurídica mutua en casos de tráfico ilícito de drogas. La CICAD noto el establecimiento de un mecanismo que permite registrar y disponer de datos sobre el número de procesos penales iniciados, decomisos realizados y condenas impuestas por los tribunales a partir de transacciones sospechosas por lavado de activos. Finalmente,
    Finalmente se debe observar que en el 2011 al dar inicio la quinta ronda de evaluación del MEM, se observa que de las 9 recomendaciones que no se pudieron dar por cumplidas en la cuarta ronda de evaluación solo 5 son reiteradas en la quinta ronda de evaluación debido a que el país logro avances suficientes en dichas materias para que el Grupo de Expertos Gubernamentales -GEG- del MEM evaluara que 4 recomendaciones no debieran ser reiteradas pues los avances logrados entre una ronda y la otra lo colocan en cumplimiento de las mismas.
    A continuación se detallan las recomendaciones:
    A. Recomendaciones cumplidas en la 4ta ronda:
    Recomendación 1: Desarrollar el mecanismo de coordinación para dar seguimiento a la implementación plan nacional antidroga, recomendación reiterada de la tercera ronda de evaluación, 2003-2004.
    Recomendación 3: Ampliar la cobertura de los programas de prevención de drogas dirigidos a población escolar.
    Recomendación 7: Poner en marcha proyectos de desarrollo relacionados con la prevención o reducción de cultivos ilícitos y la producción de drogas en las zonas de siembra de amapola y marihuana, en los departamentos de san marcos y el Petén, recomendación reiterada de la segunda ronda de evaluación, 2001-2002.
    Recomendación 8: Implementar un sistema de información que le permita recopilar datos sobre la aplicación de las sanciones de tipo penal y civil contra el desvío de productos farmacéuticos, recomendación reiterada de la tercera onda de evaluación, 2003-2004.
    Recomendación 11: Implementar un sistema de información que le permita al país recopilar datos sobre la aplicación de las sanciones de tipo penal y civil contra el desvío de sustancias químicas controladas, recomendación de la tercera ronda de evaluación, 2003-2004.
    Recomendación 13: Establecer un mecanismo de recopilación de información relacionada con solicitudes de asistencia jurídica mutua en casos de tráfico ilícito de drogas.
    Recomendación 16: Establecer un mecanismo formal de intercambio de información para el Control de armas de fuego, municiones, explosivos y otros materiales relacionados.
    Recomendación 17: Extender la obligatoriedad de reportar operaciones sospechosas a las actividades económicas no financieras tales como: la venta o traspaso de bienes raíces, armas, metales preciosos, objetos de arte, joyas, automóviles, barcos, aviones u otros bienes coleccionables.
    Recomendación 18: Establecer un mecanismo que permita registrar y disponer de datos sobre el número de procesos penales iniciados, decomisos realizados y condenas impuestas por los tribunales a partir de transacciones sospechosas por lavado de activos, recomendación reiterada de la tercera ronda de evaluación, 2003-2004.
    B. Recomendaciones No reiteradas en la 5ta Ronda de Evaluación:
    Recomendación 2: Aprobar la creación e implementar el observatorio guatemalteco sobre drogas, recomendación reiterada de la tercera ronda de evaluación, 2003- 2004.
    Recomendación 4: Implementar programas de prevención de drogas dirigidos a grupos indígenas.
    Recomendación 15: Establecer los mecanismos que permitan al país exigir permisos para la importación de armas procedentes de un país en tránsito.
    Recomendación 9: Implementar un mecanismo para la recopilación de información sobre incautaciones de productos farmacéuticos.
    • Date:  2011-07-20    Paragraphes: 72
    Segunda Parte:

    C. Recomendaciones que subsisten y los avances registrados:
    Recomendación 5: Verificar la calidad de los servicios y establecimientos que ofrecen programas de tratamiento de drogas en el país.
    Sobre esta recomendación Guatemala informo que la verificación de la calidad de los servicios y establecimientos que ofrecen programas de tratamiento de drogas en el país está a cargo del Ministerio de Salud Pública y Asistencia Social por parte de la Dirección General de Regulación, Vigilancia y Control de la Salud, por medio del Departamento de Regulación, Acreditación y Control de Establecimientos de Salud (DRACES). El país informo que está pendiente la evaluación de la calidad de los servicios para el cumplimiento de normas mínimas de atención.
    Recomendación 6: Diseñar e implementar el sistema de información nacional sobre tratamiento que permita determinar el número de pacientes que recibieron tratamiento y número de admisiones a tratamiento.
    En este tema Guatemala informo que se ha diseñado un formulario e instructivo para la adquisición de datos sobre el tratamiento de personas adictas por parte del Departamento de Regulación, Acreditación y Control de Establecimientos de Salud (DRACES) del Ministerio de Salud Pública.
    Recomendación 10: Implementar actividades de capacitación e investigación relacionadas con prevención y control del tráfico ilícito de productos farmacéuticos y otras drogas por internet, que permitan la identificación de las necesidades nacionales en los niveles normativos y operativos.
    Guatemala reporto que para la investigación y prevención del tráfico ilícito de productos farmacéuticos y otras drogas por Internet, la fuerza policial competente se apoya en
    oficina de INTERPOL para el intercambio de información sobre delincuencia informática. También se cuenta con el proyecto de creación de la Policía Cibernética, dentro de la Subdirección General de Investigación Criminal.
    Recomendación 12: Establecer un mecanismo para el control del transporte de sustancias químicas controladas, recomendación reiterada de la tercera ronda de evaluación, 2003-2004. En Guatemala se está desarrollando un trabajo de coordinación con las autoridades competentes, y que para tal efecto funciona el Comité Técnico de Precursores
    Sustancias Químicas.
    Este comité ha formulado una propuesta dirigida al fortalecimiento del control de las sustancias químicas controladas. Esta propuesta incluye un mecanismo para el control del transporte de sustancias, a fin de tener un abordaje integral en el registro y control de éstas, no sólo previo a la autorización, sino durante y posterior a ésta.
    Recomendación 14: Establecer un sistema que permita desglosar la información sobre el número de funcionarios públicos acusados y condenados por actos de corrupción relacionados con el tráfico ilícito de drogas, y el número de funcionarios públicos acusados condenados por delitos relacionados al tráfico ilícito de drogas.
    En esta temática que informa que Guatemala la Fiscalía de Delitos Administrativos cuenta con el Sistema Informático de Control de Casos del Ministerio Público (SICOMP) y el Organismo Judicial tiene en funcionamiento el Sistema de Gestión de Tribunales (SGT). De manera específica, el SICOMP genera estadísticas de forma desglosadas por delito y personas condenadas y el SGT provee información cuando el procesado
    funcionario público y se trate de delitos de narcotráfico.
    Finalmente, Guatemala continua participando en la 5ta ronda de evaluación en la cual se le han asignado 15 recomendaciones, 5 recomendaciones reiteradas que ya fueron detalladas con los esfuerzos reconocidos para su cumplimiento y 10 recomendaciones nuevas que reflejan nuevos esfuerzos y tendencias necesarias de abordar para poder luchar contra el flagelo del consumo
    oferta de drogas ilegales, en la actualidad la SECCATID coordina un grupo interinstitucional que tiene como uno de sus objetivos el dar cumplimiento a las recomendaciones del MEM y lograr encausar sus múltiples esfuerzos a lograr avances en esta materia.
    Como información complementaria se anexa el Informe de la Jefatura de Planificación Estratégica y Desarrollo Institucional de la Dirección General de la Policía Nacional Civil.
    • Date:  2011-07-20    Paragraphes: 76
    La Superintendencia de Bancos a través de la Intendencia de Verificación Especial (IVE), ha realizado distintos esfuerzos en el ámbito de su competencia, tales como emisión de formularios, instructivos, lineamientos mínimos y guías básicas para la prevención y detección del lavado de dinero u otros activos y el financiamiento del terrorismo, de conformidad con la normativa de la materia, asimismo, entre otras actividades, ha efectuado capacitaciones y firma de acuerdos de cooperación con entidades públicas relacionadas en el combate a estos ilícitos.
    Respecto a la cooperación internacional para identificar, rastrear, embargar, incautar y decomisar los fondos/activos y bienes que sean producto de la actividad delictiva, determinando su destino y/o repatriación, de conformidad con nuestra legislación nacional, estas actuaciones corresponden a otras entidades públicas distintas a la IVE, quienes deben observar los aspectos legales que correspondan. No obstante, la IVW ha apoyado en el ámbito de su competencia a las distintas entidades que participan en la represión y sanción del lavado de dinero y financiamiento del terrorismo, por ejemplo recientemente se asesoró a una Comisión que estudia la aplicación práctica de la Ley de Extinción de Dominio, Decreto No. 55-2010 del Congreso de la República, vigente desde junio de 2011.
    El detalle de las medidas citadas anteriormente se envía en el siguiente orden:
    Anexo I Capacitaciones impartidas por la SIB a través de la IVE durante 2010.
    Anexo II Convenios Administrativos de Cooperación Interinstitucional
    Anexo III Actividades de la Comisión Presidencial de Coordinación de los Esfuerzos Contra el Lavado de Dinero u Otros Activos y el Financiamiento del Terrorismo en Guatemala.
    Anexo IV Memoranda de Entendimiento Suscrita con las Unidades Homólogas.
    Anexo V Actividades de la Comisión Presidencial de Coordinación de los Esfuerzos Contra el Lavado de Dinero u Otros Activos y el Financiamiento del Terrorismo con las Personas Obligadas.
    Anexo VI Cifras estadísticas relacionadas con las funciones que realiza la IVE en materia de prevención de lavado de dinero u otros activos y para prevenir y reprimir el financiamiento del terrorismo.
  • Guyana
    • Rapports
    • Date:  2010-11-29    Paragraphes: 68
    VII. Public Security

    24. Guyana has strengthened its cooperation on security matters with countries of the Hemisphere. To date, Guyana has active cooperation with Brazil, Suriname, Venezuela, Cuba, Colombia, all countries within the region and the United States with the aim to prevent and suppress all dimensions of international criinality. Guyana reaffirms its commitment to the Declaration on Security in the Americas.
    • Date:  2010-11-29    Paragraphes: 69
    VII. Public Security

    25. The Government of Guyana condemns Terrorism in all its forms and manifestation and sees it as criminal and unjustifiable in all circumstances. Guyana is a party to the following Universal anti-terrorism instruments:
    • Inter-American Convention against Terrorism (2002)
    • Convention on Offences and Certain other Acts committed on Board Aircrafts (1963)
    • Convention for the Suppression of Unlawful Acts against the Safety of Civil Aviation (1971)
    • Convention for the Suppression of Unlawful Seizure of Aircraft (1970)
    • Protocol for the Suppression of Unlawful Acts of Violence at Airports Serving International Civil Aviation (1988)
    • Convention for the Suppression of unlawful acts against the Safety of Maritime Navigation (1988)
    • Protocol for the Suppression of Unlawful Acts against the Safety of Fixed Platforms located on the Continental Shelf (1988)
    • Convention on the physical protection of nuclear material (1979)
    • Convention on the Prevention and Punishment of Crimes against Internationally Protected persons including diplomatic
    agents (1973)
    • International Convention for the Suppression of Terrorist Bombings (1998)
    • International Convention for the Suppression of the Financing of Terrorism (1999)
    • International Convention against the Taking of Hostages (1979)
    • Convention on the marking of Plastic Explosives for the purpose of detection (1991)

    26. Further, Guyana has employed legislative and administrative measures to prevent, punish and eliminate terrorism and all criminal activities that finance and facilitate it. The Anti- Money Laundering and Countering the Financing of Terrorism Act 2009 and the establishment of the Financial Intelligence Unit ae such measures.

    27. Guyana is currently drafting Comprehensive Anti-Terrorism legislation to give legal effect to the said Conventions and preparations are being made to ratify the other United Ntions Anti-Terrorism instruments to which Guyana has acceded.
    • Date:  2010-11-29    Paragraphes: 70
    VII. Public Security

    27. Guyana is currently drafting Comprehensive Anti-Terrorism legislation to give legal effect to the said Conventions and preparations are being made to ratify the other United Nations Anti-Terrorism instruments to which Guyana has acceded. The Government of Guyana is committed to preventing and suppressing organized crime in all its forms. This commitment can be assessed from Guyana’s efforts both at the International and National levels. At the International level, Guyana has acceded to a
    number of International Conventions namely:

    • United Nations Convention against Corruption (31 Oct. 2003)
    • United Nations Convention against Transnational Organized Crime (15 Nov. 2000) and its three protocols:
    o Protocol against the Illicit Manufacturing of and Trafficking in Firearms, Their Parts and Components and Ammunition (31 May 2001)
    o Protocol against the Smuggling of Migrants by Land, Sea and Air (15 Nov. 2000)
    o Protocol to Prevent, Suppress and Punish Trafficking in Persons, Especially Women and Children (15 Nov. 2000)
    • Anti-terrorism Conventions referred to in Paragraph 69 of the Declaration of Commitment of Port-of-Spain of the V Summit of the Americas.

    28. At the National level Guyana has a number of legislations to suppress and combat organized crime namely:

    • The Trafficking in Persons Act, 2005
    • The Anti-Money Laundering and Countering the Financing of Terrorism Act, 2009
    • The Fire Arms Act
    • Date:  2010-11-29    Paragraphes: 71
    VII. Public Security

    29. The Government of Guyana recognizes the importance of a system of inclusion (participation of governmental agencies, non-governmental organizations, international organizations and other stakeholders) when formulating and fostering public policies. Country wide consultations are held for the purpose of fostering public policies aimed at strengthening the fight against crime, violence and insecurity in Guyana.
    30. In addition, at the level of the Oversight Ministry responsible for Public Security- Ministry of Home Affairs- enquiries and complaints about the activities of the Agencies under the Ministry can be made by letter, privately and directly to the Minister of Home Affairs or via his assistants. In addition, public days are also facilitated by the Ministry to address complaints and enquiries from members of the public. The Office of Professional Responsibility and the Police Complaints Authority are other agencies through which persons can lode complaints and seek redress for injustices committed by members of the Guyana Police Force.
    31. Independently, the Guyana Police Force has established mechanisms to handle individuals’ enquires and complaints about the activities of the police Force through public days facilitated by the Commissioner of Police and the various Divisional Commanders.
    32.To further strengthen existing mechanisms, the Government of Guyana is currently embarking on a Citizen Security Project funded by the Inter American Development Bank an the Government of Guyana. The aim of the Citizen’s Security Programme is to modernize the Ministry of Home Affairs and the Guyana Police Force. The project will ensure that the Ministry of Home Affairs and the Guyana Police Force provide a better quality of service to te public.
    33. There has been close collaboration with law enforcement locally, in the Region, INTERPOL and other International Anti-Crime organizations in the exchange of intelligence for the suppression of crimes.
    • Date:  2010-11-29    Paragraphes: 72
    VII. Public Security

    34. Guyana will continue to work to strengthen its efforts to prevent and combat all aspects of the drug problem and its related crime. Guyana is a party to:
    • Single Convention on Narcotic Drugs of 1961 as amended by the 1972 Protocol;
    • Convention on Psychotropic Substances of 1971;
    • United Nations convention against Illicit traffic in Narcotic Drugs and Psychotropic Substances of 1988.
    35.To further strengthen its anti-drug efforts, Guyana has participated in the Multilateral Evaluation Mechanism (MEM) and is implementing its recommendations. Participation in UNODC and CICAD has been beneficial to Guyana’s anti-narcotic efforts.
    36.Guyana is also actively involved in the Anti-Narcotic efforts of CARICOM. Bilateral anti-narcotic agreements with Brazil, Suriname, Venezuela, Colombia and recently Russia have beenestablished. Guyana’s security forces have been the recipients of several United States and United Kingdom training courses aimed at addresing the drug problem.
    37.At the domestic level, Guyana has either completed or is implementing the various stages of the sixty six (66) programmes of the National Drug Strategy Master Plan (NDSMP).
    • Date:  2010-11-29    Paragraphes: 74
    VII. Public Security

    38.The Government of Guyana will continue to work with other agencies to strengthen its efforts to suppress violence in all its forms in Guyana. Through State efforts, Anger Management and Conflict Resolution are courses offered for the rehabilitation of prisoners in the Guyana Prison Service. Country wide consultations have been successfully conducted in relation to violence in schools. Youth groups, sports, culture, skills training have been promoted in our society as preventative measures against violence particularly among at-risk adolescents.
    39.In addition, the religious community has been active in promoting non-violence projects. These projects have complemented law enforcement/government anti-violence strategies. Several projects/programmes which integrates spiritual values and positive community values, have been executed with the aim of preventing alcohol and drug abuse, suicide, HIV/AIDS, and domestic violence. These projects help young people cope with and avoid such problems.
    40.There are other NGOs with an active violence prevention curriculum that promotes training, volunteering and empowerment and development of our youths.
    • Date:  2010-11-29    Paragraphes: 75
    VII. Public Security

    41.The Government of Guyana is convinced that the illicit manufacturing of and trafficking in firearms, ammunition, explosives and other related materials are a threat to security. Guyana acceded to the Inter American Convention against the Illicit
    Manufacturing of and Trafficking in Firearms, Ammunition, Explosives and other Related Materials on April 07th 2008. Guyana does not manufacture firearms, ammunition explosives or other related materials, cognizant of the increase in gun related
    crime/conflicts; Guyana has taken a number of measures to address this issue. In recent times, Guyana amended its Firearms Act Chapter 16:05 to place stringent penalties on offences under the Act.
    • Date:  2010-11-29    Paragraphes: 76
    VII. Public Security

    42.Guyana’s Anti-Money Laundering and Countering the Financing of Terrorism (AMLCFT) Act 2009 demonstrates Government’s efforts to safeguard the financial system from terrorist groups. The Act outlines the employment of national measures and international cooperation to counter the financing of terrorism by th identifying (Part III- Article 28 of the AMLCFT Act 2009), tracking, freezing, and seizing and forfeiting the funds/assets (Part IV & V of the AMLCFT Act 2009) of the proceeds of criminal activity.
    • Date:  2010-11-29    Paragraphes: 77
    VII. Public Security

    43.From 2002-2008 there existed about three Criminal Gangs that operated in our society. Law enforcement consisting of the Guyana Police Force and the Guyana Defence Force have taken strident action against such gans such that today the negative impact have reduced tremendously to the extent that remnants of those gangs are questionable. The experience gained during that period has provided the skills to prevent and suppress emerging gangs.
    44.Several security programmes have resulted in the prevention and suppression of criminal gangs across Guyana: The Citizen Security Programme; Community Policing Groups and the increased intelligence between the police, other law enforcement and
    the community also serve to prevent the formation of criminal gangs.
    45.The Modernization of the Ministry of Home Affairs under the Citizen Security Programme will add an Offenders Management Unit that will address the rehabilitation and reintegration of offenders and victims of criminal gangs. Currently, rehabilitation and
    reintegration services are offered by the State and NGOs.
    • Sources Connexes
    NATIONAL REPORT OF GUYANA ON FOLLOW-UP AND IMPLEMENTATION OF THE MANDATES OF THE DECLARATION OF COMMITMENT OF THE V SUMMIT OF THE AMERICAS – PORT-OF-SPAIN (Guyana 2010)
  • Haïti
    N/A
  • Honduras
    • Rapports
    • Date:  2012-04-01    Paragraphes: 68, 69, 70, 71, 72, 73
    Lucha contra la delincuencia organizada transnacional. Tráco
    ilícito de drogas, armas, municiones y explosivos, trata de
    personas, tráco ilícito de migrantes, lavado de activos,
    corrupción, terrorismo, secuestros, pandillas delictivas y delitos
    asociados al uso de la tecnología, incluido el delito cibernético.
    La Estrategia Nacional de Lucha contra el Narcotráco se fundamenta en dos ejes
    fundamentales:
    • Control de la oferta, que son las acciones orientadas a disminuir la cantidad de drogas
    disponibles en el mercado ilícito.
    • Reducción de demanda, que se orientan a la disminución de la cantidad de usuarios o
    consumidores que demanden drogas ilícitas, mediante campañas preventivas y tratamiento
    de drogodependientes.
    Las entidades gubernamentales responsables han desarrollado una serie de
    acciones contra el narcotráco y sus delitos conexos, como las siguientes:
    • Desarticulación de organizaciones dedicadas al narcotráfico.
    • Operaciones especiales de interdicción de cargamentos de drogas y precursores químicos.
    • Aseguramiento de medios e instrumentos para cometer estos ilícitos.
    • Destrucción de pistas clandestinas e infraestructura logística.
    • Destrucción de un laboratorio clandestino.
    • Erradicación de cultivos ilícitos de marihuana
    • Controles en la infraestructura portuaria y aeroportuaria.
    • Incremento en los controles contra el lavado de activos
    • Promover leyes que dificulten el accionar de las organizaciones criminales.
    La estrategia se ha focalizado en los ámbitos siguientes:
    Macro-tráfico:
    Organizaciones transnacionales, objetivos de alto valor, tráco internacional (aéreo,
    marítimo y terrestre), cultivos ilícitos, control del desvío de sustancias químicas y
    lavado de activos.
    Micro-tráfico:
    Transporte de sustancias ilícitas en pequeñas cantidades (vía aérea, terrestre y
    uvial o marítima) a través de redes departamentales e internacionales. Esta
    actividad usualmente se presenta en varias modalidades: impregnación de cargas
    lícitas, encomiendas contaminadas y pasantes humanos o animales.

    Narcomenudeo:
    Comercialización de sustancias ilícitas en pequeñas cantidades llevada a cabo por
    organizaciones o redes rurales y urbanas para el consumo interno. Esta última
    modalidad es la que mayor impacto genera en la comunidad en temas relacionados
    con los niveles de violencia y percepción de seguridad.
    • Date:  2012-04-01    Paragraphes: 74
    Promover políticas públicas coordinadas entre las instituciones
    pertinentes y la participación ciudadana y comunitaria para la
    prevención, intercambio de información, prácticas y experiencias
    entre Estados.

    Cabe destacar que se procedió a la reforma a la Ley Orgánica de la Policía Nacional,
    para crear como organismo desconcentrado del Ministerio Público, la Dirección de
    Investigación y Evaluación de la Carrera Policial.
    Por otra parte, recientemente se promulgó la Ley de Reforma de Seguridad Pública
    la que crea la Comisión de Reforma del Sistema de Seguridad Pública, que tiene
    como objetivo intervenir la policía, el Ministerio Público y el Poder Judicial. Esta
    comisión se integrará con tres notables nacionales y dos extranjeros.
    Visión de País Comprometido con la Seguridad (2010-2038).
    Una Honduras que se desarrolla en democracia, con seguridad y sin violencia, que
    tiene como metas reducir los niveles de criminalidad a un nivel por debajo del
    promedio internacional, reducir el Índice de Conictividad Social a menos de 6, y
    mejorar la protección de fronteras como condición para la disuasión externa y
    aumento de la conanza interna.
    De conformidad con el Plan de Nación 2011-2022, la seguridad ciudadana es un
    requisito para el desarrollo que se fundamenta en los ejes siguientes:
    • La recuperación de la credibilidad de los operadores de justicia.
    • El fortalecimiento y la coordinación institucional entre los operadores.
    • Un nuevo y más eficiente sistema penitenciario.
    • Un programa más completo de previsión social policial.
    • El fomento de capacidades y acciones preventivas.
    • El combate a las causas generadoras y facilitadoras de la delincuencia.
    • La implementación de un Sistema Nacional de Inteligencia Policial.
    Política Integral de Convivencia y Seguridad Ciudadana para Honduras (2011-2022).
    Luego de un proceso de concertación a nivel nacional, se logró articular la Política
    Integral de convivencia y seguridad ciudadana en Honduras, enmarcada en un
    concepto amplio de seguridad humana, que garantiza el respeto de los derechos
    fundamentales de las personas.
    La Política Integral de convivencia y seguridad ciudadana busca el fortalecimiento
    de la gestión nacional y local mediante diferentes programas, como lo son:
    Municipios más seguros, Intervención intersectorial en Municipios de alta
    concentración de violencia y delincuencia, y otros de prevención con enfoque de
    Derechos Humanos.
    Durante el primer semestre del 2009 y consciente de la necesidad de dar contexto
    jurídico e institucional a la permanente aspiración de contar con una Visión de País
    con un horizonte de planeamiento de largo plazo, el Congreso de la República inició
    un camino de preparación que contó con el apoyo de los cinco partidos políticos
    legalmente inscritos y de sus candidatos Presidenciales.
    Se consideró fundamental en ese momento, recoger los abordajes técnicos y
    conceptuales formulados por anteriores iniciativas, las cuales contaban con la
    legitimidad derivada de amplios procesos de consulta que recogieron no solo las
    visiones y expectativas de los distintos grupos representativos de la sociedad
    Hondureña, sino también las expresiones particulares de regiones, municipios y
    comunidades en el interior del país.
    Los análisis y consensos iniciados a partir de ese momento, condujeron al
    establecimiento de un marco conceptual orientado a la conformación de los
    siguientes instrumentos:
    1. Una Visión de País contentiva de Principios, Objetivos Nacionales y Metas
    de Prioridad Nacional para el período 2010-2038;
    2. Un Plan de Nación que cubre una primera fase de la Visión de País
    (2010-2022) y que se conforma de lineamientos estratégicos, objetivos e
    indicadores que marcarán las progresivas responsabilidades de los
    próximos tres gobiernos en torno a la Visión de País;
    3. Una matriz de 58 indicadores, que contiene los criterios cuantitativos a
    alcanzar y que permiten medir el avance del cumplimiento del Plan de
    Nación, según cada uno de los lineamientos estratégicos que lo componen,
    segmentados según al grado de avance esperado al nal de cada periodo
    de gobierno.
    4. Un anteproyecto de decreto para la creación del Sistema Nacional de
    Planeación que actúa como instrumento para la ejecución e
    institucionalización de la Visión de País y el Plan de Nación y que debe
    contar, para su debida implementación, con un marco jurídico, una
    denición institucional y un esquema de funcionalidad operativa.
    • Date:  2012-04-01    Paragraphes: 74, 75, 76, 77
    Mecanismo de Evaluación Multilateral para prevenir y combatir el
    problema mundial de las drogas
    En Honduras la Institución que está certicada para brindar información sobre los
    mecanismos de evaluación en la prevención y combate del problema de las drogas
    es el Consejo Nacional Contra el Narcotráco, establecido desde 1990 y que preside
    el Presidente de la República.
    Convención Interamericana contra la Fabricación y el Tráco
    Ilícito de Armas de Fuego, Municiones, Explosivos y otros
    materiales relacionados.
    Esta Convención que constituye el primer instrumento jurídico a nivel internacional
    que tiene como propósito impedir, combatir y erradicar la fabricación y el tráco
    ilícitos de armas de fuego, municiones, explosivos y otros materiales relacionados,
    ha servido de fundamento para otros instrumentos internacionales como el
    Protocolo de Armas de Fuego de las Naciones Unidas que suplementa la
    Convención de Naciones Unidas Contra el Crimen Transnacional Organizado.
    Honduras raticó esta convención desde octubre del año 2004.
    Esfuerzos y cooperación internacional para identicar, rastrear,
    embargar, incautar, fondos/activos y bienes producto de la
    actividad ilícita.
    En honduras existe la Ley sobre privación denitiva del dominio de bienes de origen
    ilícito, la cula se vincula con otros instrumentos legales nacionales e internacionales,
    como: Ley Orgánica de la Policía Nacional, Ley contra el delito de Lavado de activos,
    Código Procesal Penal, Ley de la Comisión Nacional de Banca y Seguros, Convención
    de Palermo, y la Convención Americana contra la Corrupción
    Enfrentar el problema de las pandillas delictivas, con un enfoque
    global que comprenda prevención, rehabilitación y reinserción
    social.
    Honduras mantiene en ejecución el Programa Nacional de Prevención,
    Rehabilitación y Reinserción Social y el Proyecto de Paz y Convivencia para el Valle
    de Sula. Los cuales aglutinan a todas las instituciones que trabajan estas áreas,
    quienes además se encargan de generar, orientar dirigir y regir las políticas
    nacionales en materia de prevención y rehabilitación de Maras y Pandillas.
  • Jamaïque
    • Rapports
    • Date:  2012-03-21    Paragraphes: 71
    National Security
    The Government of Jamaica (GoJ) continues to recognize the importance of safety and security to national development. This is clearly outlined in Goal 2 of the Vision 2030 which states, “The Jamaican society is secure, cohesive and just.” In this regard, the government continues to undertake a number of developments in the area of national security.

    A. The reform and modernization of the Jamaica Constabulary Force (JCF) is a major activity of the government and stems from a strategic review of the JCF which was undertaken in 2006 – 2007. This review was aimed at improving the efficiency of the Force. Since its development a number of actions have been taken including:
    i. The rolling out of community based policing across the entire JCF. A community based policing training manual was prepared and over 3000 police officers have already been trained in the philosophy and practice of community based policing.

    ii. An Anti-Corruption Strategy (2010-2013) has been developed which speaks to effective confrontation of corrupt members of the Force, with a zero-tolerance approach to corruption, and timely removal of staff who act unlawfully, unethically or who lack integrity; while highlighting prevention, education and raising the fear of detection.

    iii. Preparation of policing plans at the divisional and station levels to guide the operations of police officers in various geographical locations.

    iv. Upgrading of the physical infrastructure of the police training facility and a number of police stations island wide thereby increasing the number of officers trained annually and the working conditions of police personnel.

    v. Development of an Information Communication Technology Strategy and implementation of new technologies in policing, such as the expanded use of CCTV; implementation of a new traffic ticketing system; and the testing of the Computer Aided Dispatch (CAD) and Inventory Management System (IVS).

    B. The development of key strategies is also a critical part of the process and to this end, the National Crime Prevention and Community Safety Strategy was developed and the Anti-Gang Strategy drafted.

    C. A Safe Schools programme was developed in partnership with the Ministry of Education, Ministry of National Security and JCF to address violence in schools.

    D. Establishment of a Trafficking in persons unit within the Ministry of National Security and the JCF The development of a partnership with Woman Inc. to provide support services (including operation of a shelter) for victims of trafficking.

    E. The National Security Policy is currently being revised.

    F. Legislation is also a critical component of national security and hence a number of key pieces of legislation have been passed or amended. These include:
    i. The Cyber Crime Act
    ii. The Terrorism Prevention (Amendment) Act
    iii. The Public Bodies Management and Accountability (Amendment) Act
    iv. The Independent Commission of Investigations Act
    v. The Offences Against the Person (Amendment) Act
    vi. The Parole (Amendment) Act
    vii. The Bail (Amendment) Act
    viii. The Constabulary Force (Interim Provisions for Arrest and Detention) Act
    ix. The Firearms (Amendment) Act
    x. The Jury (Amendment) Act
    xi. The Child Pornography Act
    xii. The Proceeds of Crime Act
    xiii. Sexual Offences Act
    xiv. Legislation is also being drafted that relate to anti-gang and DNA.

    G. Rehabilitation of offenders is also of major importance to the GoJ and therefore the Jamaica Reducing Re-offending Action Plan was developed to facilitate the rehabilitation and reintegration of local offenders and deported persons. Additionally, the capacity of the Department of Correctional Services has been improved to facilitate the rehabilitation of incarcerated persons.

    H. Community safety has also been a major thrust of the government and number of social intervention programmes were developed and implemented or are being implemented to empower residents who live in at risk communities. These include:
    i. Citizens’ Security and Justice Programme
    ii. Poverty Reduction Programme
    iii. Community Security Initiative
    iv. Inner City Basic Services Programme
    v. Basic Needs Trust Fund
    vi. Jamaica Violence Prevention, Peace and Sustainable Development Programme
    vii. Peace Management Initiative
    viii. Enhancing Civil Society Participation in Local Governance for Community Safety Programme

    The government has also embarked on a Community Renewal Programme aiming to improve the lives of residents in the most volatile and vulnerable communities through a process of coordination and harmonization of programmes/projects and resources, targeting of specific groups, scaling up of best practices and using of evidence based research.
    • Date:  2012-03-21    Paragraphes: 73
    Justice
    Even with improvements in the security sector if cases are not resolved in a timely fashion there will be implications for crime and violence as persons seek their own justice through retaliation. Therefore, the GoJ has been working on a number of initiatives in the justice sector chief of which is the Justice Sector Reform Programme. Under this programme efforts have been made to improve the delivery of justice in Jamaica. This includes:

    A. Reducing the backlog of cases in the courts which is being facilitated through the employment of additional prosecutors, special court sittings and the setting up of special courts to deal with specific matters such as civil proceedings. Criminal Justice Boards were also established to monitor and provide guidance in addressing case backlog.

    B. Introduction of a Criminal Case Management System which is currently being piloted in six courts. A Court Management System has also been introduced.

    C. Modernisation of physical infrastructure which include erecting new court houses and refurbishing some existing ones.

    D. Embarking on a programme of Restorative Justice which provides opportunity for persons who have committed certain types of crimes to be diverted into special programmes outside of the formal justice system and offers restitution to victims and their families. A Restorative Justice Policy has also been prepared. The Restorative Justice Programme is being piloted in four communities.

    E. A Child Diversion policy has been prepared to provide options other than incarceration for juveniles who have committed certain categories of offences. Implementation of this policy is being facilitated under the National Plan of Action for Child Justice 2010 – 2014.
  • Mexique
    • Rapports
    • Date:  2018-04-11    Paragraphes: 7
    Durante 2017 el IMJUVE, en el marco del proyecto desarrollado por Pasión y Futuro A. C. y de la categoría de “Joven a Joven”, llevó a cabo la iniciativa “Lo Bueno de Prevenir. Segundo Concurso Nacional de Buenas Prácticas sobre Prevención Social de la Violencia y la Delincuencia” o “Promoción de Paz entre los y las Jóvenes” con la colaboración con la Secretaría de Gobernación (SEGOB), la Oficina de las Naciones Unidas contra la Droga y el Delito (UNODC) y Nonviolence Project A.C.,
    • Date:  2018-04-10    Paragraphes: 3
    El Grupo Técnico para la Incorporación de la Perspectiva de Género en las Políticas de Atención y Protección de las Mujeres Migrantes. del INMUJERES, establece estrategias para la incorporación de la perspectiva de género y la instrumentación de acciones afirmativas en las normas y procedimientos administrativos y en las políticas pública migratorias que permitan a las mujeres el acceso y ejercicio de sus derechos.
    Durante 2016 y el año 2017 realizaron los lineamientos y el programa del trabajo del Grupo:
    - Establecieron la estrategia de revisión de programas institucionales.
    - Crearon cuatro subgrupos de trabajo: de migración, laboral, salud e identidad, para incorporar la perspectiva de género en los programas que atienden a la población migrante en este sector.
    - Realizaron una propuesta de Metodología para la revisión de los programas para población migrante con Perspectiva de Género y Enfoque de Derechos Humanos.
    - Aplicaron la metodología para la revisión de programas institucionales, iniciando con el Seguro Popular. Determinaron que se debe de ampliar en el Programa de Seguro Popular, la vigencia de la póliza de afiliación a más de 90 días a las mujeres embarazadas migrantes y extranjeras con VIH; establecieron la posibilidad de celebrar un convenio para incorporar la perspectiva de género en el Programa del Seguro Popular.
    • Date:  2018-04-10    Paragraphes: 1
    El INMUJERES realiza el Concurso “Mujer migrante, cuéntame tu historia”. El cual contribuye a la promoción de los derechos y mejoramiento de las condiciones y situaciones de las mujeres en contextos migratorios mediante la vinculación con las Instituciones de Gobierno Federal.
    La edición 2017 del concurso, promueve el reconocimiento institucional y social de la participación protagonista de las mujeres en las migraciones mediante la difusión de los escritos y videos galardonados, además, reconoce a las concursantes cuyos testimonios resultaron ganadores y acreedores de mención honorífica. Asimismo atiende a la responsabilidad del INMUJERES de “promover acciones dirigidas a mejorar la condición social de la población de mujeres migrantes y la erradicación de todas las formas de discriminación en su contra”.
    • Date:  2018-04-10    Paragraphes: 1
    El INMUJERES realizó en 2017 el directorio de programas y servicios institucionales dirigidos a la población migrante con el objeto de brindar atención y orientación a la población mexicana que radica en el extranjero, a sus familias en su comunidad de origen, a mexicanas y mexicanos que han regresado a nuestro país, a quienes migran de manera interna, a migrantes que se encuentran en tránsito por el territorio mexicano, tanto nacionales como internacionales, y extranjeras y extranjeros que han establecido su territorio en México.
    La difusión del directorio se realizó con los integrantes de Grupo Técnico para la Incorporación de la Perspectiva de Género en las Políticas de Atención y Protección de las Mujeres Migrantes y en los integrantes.
    • Date:  2018-04-10    Paragraphes: 6
    Durante julio de 2016 a diciembre de 2017, la PGR remitió insumos para la:

    “Sexta Reunión Bienal de los Estados para examinar la ejecución del Programa de Acción para prevenir, combatir y eliminar el tráfico ilícito de Armas Pequeñas y Ligeras en todos sus aspectos” (6BMS-UNPoA).
    El CENAPI junto con la Agencia de Investigación Criminal estuvo de acuerdo con los temas que México ha promovido en el ciclo de examen del Programa de Acción para Prevenir, Combatir y Erradicar el Tráfico Ilícito de Armas Pequeñas y Ligeras (PoA) 2014-2018.

    De igual manera, la PGR sugirió dar seguimiento a dos temas que resultaban de interés: 1) Desarrollo y Avances tecnológicos, a la luz de los recientes avances tecnológicos en la fabricación de estas armas; y 2) Marcaje, mantenimiento de registros y rastreo de armas pequeñas y ligeras.

    En el ámbito de competencia del CENAPI, se dio respuesta al Cuestionario sobre la implementación y efectividad de la Convención Interamericana contra la Fabricación y el Tráfico Ilícito de Armas de Fuego, Municiones, Explosivos y otros materiales relacionados.
    • Date:  2018-04-10    Paragraphes: 6
    La PGR participa en los Grupos de Alto Nivel de Seguridad (GANSEG) con la República de Honduras, la República de El Salvador, la República del Perú, la República de Panamá y la República de Guatemala.
    El Centro Nacional de Planeación Análisis e Información para el Combate a la Delincuencia (CENAPI) lleva un seguimiento específico a temas relacionados con el tráfico de armas y precursores químicos. Además, funge como actual Secretario Técnico del Grupo Interinstitucional para la Prevención y el Control del Tráfico de Armas de Fuego (GC-Armas); que es el Órgano Nacional de coordinación internacional sobre temas relacionados con armas de fuego, municiones y explosivos.
    • Date:  2018-04-10    Paragraphes: 4
    En lo que respecta al tema de Precursores Químicos referentes a las Nuevas Substancias Psicoactivas (NSP), los datos no revelan al tráfico y consumo como un problema mayor; no obstante, las autoridades mexicanas implementaron diversas medidas enfocadas a prevenir la proliferación vista en otros países. Entre las acciones principales, se encuentran:
    - La regulación de ketamina por la Ley General en su artículo 245, como una sustancia psicotrópica.
    - Se regulan como psicotrópicos, a la Mefedrona, Piperazina TFMPP (1,3-trifluorometilfenilpiperazina) y los Canabinoides sintéticos (K2).
    - Derivado del intercambio de información sobre el consumo, importación, exportación, venta en plaza de sustancias consideradas como NSP, hasta el momento no tienen usos lícitos en el país, lo que facilita sean confiscadas en caso de hallarse.
    - Se mantiene vigilancia permanente a las sustancias contenidas en la Lista Internacional de vigilancia de Nuevas Sustancias Psicoactivas, proporcionada por la Junta Internacional de Fiscalización de Estupefacientes (JIFE).
    - Las dependencias que integran el Grupo Técnico de Control de Drogas Sintéticas (GTCDS), realizan un monitoreo constante con la finalidad de identificar la aparición o incremento de NSP en territorio Nacional.
    - A fin de evitar el desvío de precursores químicos, en julio de 2017 se publicó en el diario Oficial de la Federación las disposiciones mediante las cuales las substancias N-fenetil-4-piperidona (NPP) y 4-anilino-N-fenetilpiperidina (ANPP) serán controladas en calidad de precursores químicos.
    - En el ámbito de cooperación internacional en materia de capacitación, se extendió invitación para participar a países de Centro y Sudamérica, en el Curso de Capacitación sobre Drogas Sintéticas, Precursores Químicos y Químicos Esenciales, mismo que organiza anualmente la PGR en el marco del Grupo Técnico de Control de Drogas Sintéticas (GTCDS).
    • Date:  2018-04-10    Paragraphes: 4
    Dentro de las acciones que México ha implementado para contrarrestar el tráfico de drogas, durante julio de 2016 a diciembre de 2017 destaca:
    La participación de la PGR en el plan de Acción Hemisférico contra la Delincuencia Organizada Transnacional y en el Plan de Acción Hemisférico sobre Drogas 2016 – 2020 de la Comisión Interamericana para el Control del Abuso de Drogas (CICAD), de la OEA.
    En 2017, participó en Reunión Plenaria presencial del Grupo de Trabajo Intergubernamental (GTI) para la “Séptima Ronda de Evaluación del Mecanismo de Evaluación Multilateral” (MEM), que se celebró en la ciudad de Washington, DC, EUA y en la Segunda Reunión del Grupo de Expertos en Desarrollo Alternativo y Sostenible (GDAIS), de la CICAD, que se celebró en la ciudad de La Antigua Guatemala, República de Guatemala.
    • Date:  2018-04-10    Paragraphes: 3
    Para prevenir la violencia contra las mujeres en el ámbito interno de la PGR así como para capacitar y sensibilizar al personal de la institución en los temas de violencia y discriminación de género, mediante la Unidad de Ética y Derechos Humanos en la Procuración de Justicia, entre julio de 2016 y diciembre de 2017 capacitó a 19 mil 646 servidoras públicas y servidores públicos en materia del Código de Conducta de la Procuraduría General de la República, particularmente en los capítulos correspondiente al Compromiso Institucional No. 2 y 8: “Promuevo, difundo, respeto y garantizo los derechos humanos de todas las personas”, “Promuevo la igualdad y la no discriminación por motivo de género”, respectivamente
    • Date:  2018-04-10    Paragraphes: 3
    La PGR administra el CODIS y se encarga de expandir su aplicación en los estados con un Laboratorio de Genética que puedan demostrar su competencia técnica. Asimismo, continuó con la promoción del registro de información en el sistema entre las procuradurías locales del país, para avanzar en la búsqueda de mujeres desaparecidas y no localizadas.
    • Date:  2018-04-10    Paragraphes: 3
    La PGR llevó a cabo el Diagnóstico de la percepción sobre el cumplimiento de los Lineamientos de calidad para la atención ministerial de la violencia contra las mujeres en los Centros de Justicia para Mujeres (CJM), con base en el cual se diseñaron 11 guías específicas para la aplicación de los Lineamientos.
    • Date:  2018-04-10    Paragraphes: 3
    La PGR con el objetivo de sensibilizar, fortalecer y actualizar los conocimientos de los funcionarios y funcionarias, para que estén en posibilidades de brindar una atención adecuada a las víctimas y detenidos, así como a grupos de la población en situación de vulnerabilidad, con un enfoque diferencial y especializado en el ámbito de procuración de justicia federal; durante el periodo de julio de 2016 al 31 de diciembre de 2017, impartió 11 actividades de capacitación en materia de Derechos Humanos e Igualdad de Género, capacitó a 700 servidores públicos el alcance y contenido de la Convención Interamericana para Prevenir, Sancionar y Erradicar la Violencia Contra la Mujer (Convención de Belém do Pará), así como la Convención sobre la Eliminación de todas las Formas de Discriminación contra la Mujer (CEDAW) y sus respectivos mecanismos de seguimiento. Dichas participaciones estuvieron dirigidas a personal de diversas instituciones federales, así como de la misma PGR.
    • Date:  2018-04-10    Paragraphes: 3
    La FEVIMTTRA en 2016 elaboró los Lineamientos de Calidad para la Atención Ministerial de la Violencia contra las Mujeres y en 2017 presidió 6 sesiones e impartió capacitación en materia de derechos humanos de las mujeres y trata de personas a personal del Servicio de Sanidad de la Secretaría de la Defensa Nacional (SEDENA) y de hospitales y zonas navales de la Secretaría de Marina (SEMAR); participó en el Taller Regional para la Aplicación Eficaz de las Órdenes de Protección, elaboró el proyecto de Modelo del Eje de Sanción; impartió capacitación y sensibilización a personal ministerial, policial y pericial, en: género y violencias contra las mujeres, trata de personas, prevención y atención a víctimas de delitos cometidos a través de medios electrónicos en agravio de niñas, niños y adolescentes (NNA).
    • Date:  2018-04-10    Paragraphes: 3
    Como parte de sus labores, la FEVIMTRA atiende llamadas telefónicas las 24 horas del día, los 365 días del año a mujeres víctimas de violencia y de trata de personas; en donde principalmente otorga servicios de orientación ciudadana y asesoría legal, gran parte de estas llamadas son canalizadas del Centro de Atención Telefónica a través de la línea telefónica gratuita 01 800 008 54 00. Además, cuenta con el Refugio Especializado de Atención Integral y Protección a Víctimas de Violencia de Género Extrema y Trata de Personas.
    • Date:  2018-04-10    Paragraphes: 3
    La Fiscalía Especial para los Delitos de Violencia contra las Mujeres (FEVIMTRA) es la principal instancia para el tratamiento de los temas relacionados con la violencia contra las mujeres, pertenece al Sistema Nacional de Prevención, Atención, Sanción y Erradicación de la Violencia contra las Mujeres cuya finalidad es garantizar el acceso de las mujeres a una vida libre de violencia, y en el que la Federación, las entidades federativas y los municipios conjuntan esfuerzos, instrumentos, políticas, servicios y acciones interinstitucionales para la prevención, atención, sanción y erradicación de la violencia contra las mujeres.
    • Date:  2018-04-10    Paragraphes: 2
    En 2017 la UEAAI realizó un diagnóstico para conocer el número de personas indígenas procesadas e internas en centros de reinserción por delitos federales; obtuvo que 489 personas, de ellas 70 mujeres, pertenecían a una etnia e identificó los delitos federales que se comenten con mayor frecuencia. Con base en este diagnóstico continuó las visitas a Centros de Reinserción Social para brindar asesoría a personas indígenas internas por delitos del fuero federal. La asesoría la realizan agentes del Ministerio Público Federal, quienes entrevistan a las internas, las asesoran y solicitan su partida jurídica para conocer su situación en el proceso o la sentencia; así, en 2017 asesoró a 48 mujeres de 70 mujeres indígenas internas.
    • Date:  2018-04-10    Paragraphes: 2
    En 2016 la Unidad Especializada para la Atención de Asuntos Indígenas (UEAAI) visitó 14 centros de reinserción en el país con el fin de dar asesoría jurídica sobre los procedimientos disponibles para hacer valer sus derechos y promover la gestión de libertad anticipada. La Unidad brindó asesoría a 210 personas indígenas (de ellas, 110 fueron mujeres), procesadas y sentenciadas por la comisión de un delito federal y logró gestionar 21 boletas de libertad para mujeres indígenas que cumplían con los requisitos de este beneficio.
    • Date:  2018-04-10    Paragraphes: 2
    Además, capacitó a intérpretes, abogadas y abogados indígenas en el Sistema Penal Acusatorio, Derechos de los Pueblos Indígenas y Violencia de Género para que replicaran sus conocimientos en sus comunidades, haciendo uso de su lengua materna. Estos cursos tuvieron como objetivo, darle a conocer a la población indígena sus derechos fundamentales en un procedimiento penal, así como sus derechos como integrantes de pueblos indígenas. En total, capacitó a 94 intérpretes, abogadas y abogados bilingües y fiscales itinerantes en los Estados de Veracruz, Chiapas, Guerrero, Yucatán, Oaxaca, Baja California y Ciudad de México, los cuales realizaron 82 réplicas, en las que participaron 2,057 asistentes (1,361 mujeres y 696 hombres).
    • Date:  2018-04-10    Paragraphes: 2
    En 2017 la PGR puso en marcha el proyecto de capacitación: “Derechos de los Pueblos Indígenas y Violencia de Género”, con el fin de prevenir la violencia en este sector de la población y coadyuvar en la difusión de sus derechos; Capacitó a 243 servidoras públicas y servidores públicos (136 mujeres y 107 hombres) de las Delegaciones de la PGR y Fiscalías Generales Estatales, así como diversas Instituciones de los Estados de Veracruz, Chiapas, Guerrero, Yucatán, Oaxaca, Baja California y Ciudad de México.
    • Date:  2018-04-10    Paragraphes: 2
    De igual manera, se encuentra impulsando trabajos relativos a la generación de datos estadísticos desagregados relacionados a sectores vulnerables de la población sobre las cifras de incidencia delictiva correspondientes al fuero federal y común. El análisis de los datos estadísticos que resulte, podrá ser de utilidad para: visibilizar la violencia ejercida en contra de sectores específicos de la población de manera diferenciada, identificar los factores de vulnerabilidad que promueven el mayor riesgo de violencia, mejorar la atención a las víctimas, enriquecer el diseño de políticas públicas de prevención del delito y combate a la delincuencia e impulsar el trabajo legislativo encaminado a la eficacia de la norma y al combate a la impunidad, entre otros.
    • Date:  2018-04-10    Paragraphes: 2
    Durante 2017 la Procuraduría General presentó el “Protocolo Nacional de Actuación” para el personal de las Instancias de Procuración de Justicia del País, en los casos que Involucren la Orientación Sexual o la Identidad de Género. En este Protocolo se establece un “mecanismo de coordinación para su implementación” que incluye, entre otras cuestiones, la necesidad de generar y recolectar datos estadísticos sobre los delitos cometidos por prejuicio (discriminación y violencia por orientación sexual, identidad de género y/o expresión de género o características sexuales o normativas).Fue aprobado por la Conferencia Nacional de Procuración de Justicia y publicado en el Diario Oficial de la Federación el 2 de febrero de 2018.
    • Date:  2018-04-10    Paragraphes: 2
    Para la campaña se elaboraron trípticos, carteles y tarjetas que fueron distribuidos en todo el país y en la red consular de México en EE.UU. y en Centroamérica, a través de la Secretaría de Relaciones Exteriores. Asimismo, se compartió a diferentes organizaciones de la sociedad civil, nacionales e internacionales, organismos y organizaciones que tienen oficinas en México (Médicos sin Fronteras, ACNUR, OIM, CICR, ONUDC), y con representaciones consulares acreditadas en México.
    • Date:  2018-04-10    Paragraphes: 2
    Dados los flujos migratorios mixtos que tiene México (mujeres, niñas, niños y adolescentes no acompañados, personas indígenas, personas discapacitadas, personas del colectivo LGBTI), la PGR puso en marcha la campaña "Migrar no es delito" que tiene por objetivo: 1) prevenir los delitos cometidos en contra de personas migrantes y dar a conocer el derecho que tienen las personas migrantes de acceder a la justicia. 2) Además de sensibilizar a los servidores públicos de los tres niveles de gobierno, así como a la población en general en torno a los motivos por los cuáles las personas emigran de sus lugares de origen (violencia, desastres naturales, discriminación, crisis económicas, entre otros).
    • Date:  2018-04-10    Paragraphes: 1
    De julio de 2016 a diciembre de 2017 la Procuraduría General de República (PGR) realizó 1,788 foros en colaboración con asociaciones civiles, empresariales, centros de trabajo y autoridades de los tres órdenes de gobierno, a los que asistieron 443,705 participantes, en temas como: explotación infantil, migración, trata de personas, violencia contra la mujer, prevención y tratamiento de adicciones y prevención de delitos relacionados con armas de fuego.
    La PGR trabajó en la prevención del delito en el ámbito escolar a través de los siguientes programas:
    “En la escuela lo justo es prevenir” y “El fiscal va a tu escuela”. Dichos programas promovieron acciones informativas de prevención de delitos federales, con el objeto de promover y fomentar la participación de la población adolescente en la construcción de escenarios positivos de vida a través de la toma de decisiones que puedan alejarlos de riesgos delincuenciales, y que ayuden a evitar la comisión de conductas ilícitas que entorpezca o frene su proyecto de vida.
    • Date:  2018-04-10    Paragraphes: 7
    El IMJUVE en 2016 llevó a cabo la tercera el “Concurso Nacional Ritmo Joven”, para que a través de la música la población joven participe en actividades lúdicas que desincentiven la violencia y el consumo de sustancias psicoactivas. Durante esta etapa se llevó a cabo los talleres de prevención de la violencia]; además, se realizó una capacitación en formación musical por parte del C. Daniel Gutiérrez, líder y vocalista de la banda “La Gusana Ciega”.
    • Date:  2014-05-30    Paragraphes: 74, 2, 3, 5, 6, 9
    • En el marco del programa “Contra la violencia, Eduquemos para la paz”, en el Distrito Federal, la Secretaría de Educación Pública realizó el taller “Eduquemos para la paz”, dirigido al personal docente electo en forma colegiada en cada plantel y en los turnos matutino y vespertino de clases, a fin de fortalecer el proceso educativo en forma integral, tomando en cuenta el desarrollo de competencias psicosociales para la resolución de conflictos. Participaron 1053 docentes de planteles participantes. De igual forma en el programa “Otra forma de Educar, Querer, y Formar: jóvenes, niños y niñas”, se impartieron talleres que beneficiaron a 7454 directivos y docentes.
    • Con el fin de impulsar y fortalecer la participación ciudadana, la SEP opera el programa “Salud y Seguridad en las Escuelas”, con la integración de los Comités de “Protección Civil y Seguridad” que se vinculan con las Delegaciones Políticas del Distrito Federal para su atención.
    • La SEP implementó el Curso de Resolución Pacífica de Conflictos, dirigido a los 202 Responsables de Servicios Educativos Complementarios de las Escuelas Secundarias Técnicas en el Distrito Federal para ofrecer las herramientas que les permita entender, mediar y resolver los conflictos asociados a la convivencia que diariamente se presenta en las escuelas. El curso se impartió en los meses de octubre y noviembre de 2013.
    • Igualmente se realiza la implementación mensual de revisores de mochilas escolares, con previa autorización de los padres de familia, esto con la finalidad de generar ambientes seguros y libres de violencia.
    • En el marco del Programa Nacional de Prevención Social de la Violencia y la Delincuencia, la Dirección General de Educación Superior para Profesionales de la Educación (DGESPE) se ha comprometido a incluir en los programas de las Escuelas Normales contenidos que permitan promover las competencias para una convivencia armónica y para la prevención de la violencia. Lo anterior se realizará a partir del diseño de 7 cursos optativos, atendiendo a la flexibilidad curricular de los planes de estudio, con las siguientes temáticas:
    1. Atención e intervención de grupos socialmente desfavorecidos*
    2. Formación ciudadana*
    3. Interculturalidad*
    4. Gestión para la atención a focos de violencia en distintas entidades del país
    5. Respeto y fomento a los Derechos Humanos
    6. Prácticas de respeto a la diversidad e inclusión educativa
    7. Prevención de la violencia de género y la cultura de la legalidad
    *NOTA: Hasta el momento se ha iniciado, en colaboración con las entidades del país, el diseño de estos tres cursos, los cuales se encuentran en revisión.

    • En 2012 el Decreto de Presupuesto de Egresos de la Federación asignó un presupuesto de 244.7 millones de pesos (19 millones de dólares americanos), a programas que tienen acciones a favor de la procuración de justicia, prevención del delito y para el equipamiento urbano en los municipios del país de mayor índice de violencia contra las mujeres dirigido a fomentar ciudades seguras.
    • El Instituto Nacional de las Mujeres (INMUJERES) y el Instituto Nacional de Desarrollo Social (INDESOL) cuentan con un convenio de colaboración en materia de violencia de género, el cual trabaja conjuntamente en acciones que promueven e impulsan, en el sector social, las condiciones que posibilitan la no discriminación, la no violencia, la igualdad de oportunidades y de trato entre las mujeres y los hombres, dentro de las regiones prioritarias del país.

    • En 2013 la Dirección General de Evaluación y Desarrollo Estadístico del INMUJERES publicó estudios sobre la violencia. Uno de ellos está relacionado con los sistemas de información de los ministerios públicos con perspectiva de género. El objetivo fue realizar un diagnóstico del proceso de atención y registro de la información que se realiza en las agencias del ministerio público y el área o Centro de Atención a Víctimas (CAVI) cuando se atienden casos en los que las mujeres son víctimas de violencia de género, con el fin de identificar las fortalezas y debilidades del proceso de atención en aspectos relacionados a la capacitación del personal, las instalaciones e infraestructura, los sistemas de información y registro de variables.

    Información disponible en:
    http://www.inmujeres.gob.mx/images/stories/cuadernos/Resized/agosto2013/ct39.pdf
    También en 2013, el INMUJERES publicó la Encuesta Nacional sobre la Dinámica de las Relaciones en los Hogares (ENDIREH), entre 2011 y 2012 se realizaron trabajos para la tercera edición de la ENDIREH, conjuntamente con el Instituto Nacional de Estadística y Geografía (INEGI). El objetivo fue generar información estadística sobre la prevalencia, frecuencia y magnitud de la violencia de pareja, así como la que experimentan las mujeres en los ámbitos escolar, laboral, familiar y comunitario, con el propósito de coadyuvar en la conformación del Subsistema de Estadísticas de Violencia, dentro del Sistema Nacional de Información Estadística.

    Los resultados de la ENDIREH 2011 están disponibles en:
    http://www.inegi.org.mx/est/contenidos/proyectos/encuestas/hogares/especiales/endireh/endireh2011/default.aspx

    El INMUJERES desarrolla el programa de trabajo “prevención en materia de trata de personas” a fin de contribuir en la reducción de condiciones de vulnerabilidad de mujeres, niños, niñas y adolescentes como susceptibles víctimas de trata de personas. Las acciones realizadas en 2013 fueron: “Taller de capacitación en materia de trata de personas” dirigidos a funcionarias/os de la Procuraduría General de Justicia del Estado de Morelos. “Boletín quincenal de noticias en materia de trata de personas” con el objetivo de informar a la población interesada en las temáticas de la multidimensionalidad de la trata de personas. “Subdominio electrónico” una página web bilingüe relacionada con la prevención en materia de trata de personas, mismo que puede ser consultado en: http://inmujeres.gob.mx/index.php/programas/prevencion-de-la-trata-de-personas.

    • El gobierno mexicano conformó en el 2011 una Estrategia de Atención a Niñas, Niños y Adolescentes en Escenarios de Delincuencia Organizada, con los siguientes productos:
    • El Protocolo de Primer Contacto, dirigido a las fuerzas del orden público, para brindarles herramientas que permitan disminuir el nivel de estrés y de crisis emocional de las niñas, niños y adolescentes presentes en un operativo y poder identificar aquellos casos de estrés agudo para poder responder de manera adecuada a estas situaciones y de esta manera, evitar que el daño emocional sea más grave.
    • El Protocolo de Segundo Momento en el Contacto con el Proceso de Justicia busca dar herramientas a los funcionarios dependientes de los Ministerios Públicos, para poder llevar a cabo la toma de declaración sin revictimización para aquellas niñas, niños y adolescentes que fueran puestos a su disposición en calidad de víctimas, adolescentes en conflicto con la ley o testigos, de ser el caso.
    • Finalmente, el Protocolo del Tercer Momento en el Seguimiento y Articulación para la Restitución de Derechos, está encaminado a articular una red de actores sociales que permitan elaborar un diagnóstico de la situación de las niñas, niños y adolescentes de acuerdo a sus características especiales y participación en el proceso penal para poder elaborar un plan de restitución de sus derechos considerando e identificando los recursos familiares, sociales, económicos, etc., con los que cuente.
    • Date:  2014-05-30    Paragraphes: 9
    • La Secretaría de Gobernación, en conjunto con el Instituto Nacional de Migración (INM), presentó la “Estrategia Integral para la Prevención del Secuestro de Migrantes”, la cual inició formalmente con el Convenio Marco de Colaboración para la Prevención y Combate al Secuestro de Migrantes celebrado entre la Secretaría de Gobernación, Secretaría de Seguridad Pública, Procuraduría General de la República y la Comisión Nacional de Derechos Humanos. La estrategia contempla cinco líneas de acción que tienen por objeto abatir los delitos contra los migrantes en el territorio mexicano, en el marco de estas líneas de acción se detallan las siguientes acciones que tuvieron seguimiento en 2013 por el INM:

    • Convenios en materia de secuestros con los gobiernos de Chiapas y Campeche (celebrado desde septiembre 2010), así como con el gobierno de Oaxaca (en mayo 2011).
    • Personal del Ferrocarril del Istmo de Tehuantepec, S.A. de C.V., a fines de 2011, impartió el curso de capacitación denominado “Comunicación y Trenes” a los servidores públicos de la Procuraduría General de la República, Secretaría de Seguridad Pública, Centro de Investigación y Seguridad Nacional y el Instituto Nacional de Migración, con la finalidad de mostrar el sistema de monitoreo de diversas rutas de trenes y la detección de puntos estratégicos.
    • Se realizaron avances en el Protocolo para el Intercambio de Información en Materia de Trata de personas, Tráfico, Secuestro de Migrantes Víctimas del Delito, entre la Procuraduría General de la República, Centro Nacional de Planeación, Análisis e información para el Combate a la Delincuencia, Secretaría de Gobernación, Instituto Nacional de Migración, Centro de Investigación y Seguridad Nacional y la Procuraduría Social de Atención a Víctimas el Delito, con el objeto de desarrollar, promover y evaluar programas, lineamientos y acciones orientados a la prevención y combate integral de los delitos en comento.
    • En la Ley de Migración y los Lineamientos para Trámites y Procedimientos Migratorios se contempla la regularización en territorio nacional por razones humanitarias a extranjeros que participen en un proceso penal.
    • El Reglamento de la Ley de Migración, mismo que establece las directrices propuestas en la Ley Migratoria Vigente y fortalece los principios fundamentales de la misma, contempla un capítulo que establece el procedimiento para la detección, identificación y atención de personas extranjeras víctimas del delito.
    • La Secretaría de Gobernación, a través del INM, trabaja en tres rubros relacionados con la atención integral a víctimas extranjeras: prevención del delito, asistencia migratoria y en el caso de que la persona extranjera decida denunciar los hechos ante el agente del ministerio público, garantizar su acceso inmediato a la administración de justicia, facilitando todos los medios con lo que se cuente para tal fin.
    • Se crearon 32 “Comités Interinstitucionales para la Prevención, Difusión, Detección, Identificación y Asistencia a Víctimas del Delito de Trata de Personas” a nivel nacional. Su objetivo es sensibilizar a la población sobre dicho delito, desarrollar programas de prevención, información y asistencia, y está dirigido a escolares, docentes, jornaleros, público en general, y los tres órdenes de gobierno.
    • Durante el 2013 los Comités Interinstitucionales reportaron 39 sesiones y 144 acciones, se contó con material de difusión, conferencias, talleres. Asimismo, se llevaron a cabo brigadas en coordinación con la Secretaria de Seguridad Pública y Fuerza Civil para la pronta detección de víctimas de trata.
    • El Consejo Nacional de Seguridad Nacional reconoció al INM como instancia de Seguridad Nacional. El acuerdo faculta al Instituto a realizar actos de interferencia extranjera en los asuntos nacionales que puedan implicar una afectación al Estado Mexicano, así como la realización de acciones y medidas de prevención, disuasión y, en su caso, contención de las amenazas concretas a la Seguridad Nacional.
    • Se toman medidas de control y regulación de la migración a través de la ejecución de visitas de verificación y revisiones migratorias, de forma periódica y constante, estos actos administrativos permiten al personal migratorio en un inicio comprobar la regular estancia de los extranjeros en territorio nacional y en un momento determinado identificar si algún extranjero independientemente de su situación migratoria, es víctima de algún delito.
    • El INM en coordinación con la Procuraduría General de Justicia del Estado de Chiapas, inició una investigación para identificar y detectar organizaciones delictivas dedicadas a la extorsión y asalto de migrantes en las ciudades de Tapachula, Huixtla y Arriaga, Chiapas. El Instituto está en posibilidad de emitir alertas migratorias a nivel nacional, con el objeto de identificar sujetos de pudieran estar relacionados con la comisión de éstos delitos, con el objeto de negar la internación o su permanencia a los extranjeros que se encuentren sujetos a un proceso penal o hayan sido condenados por delitos graves conforme a les leyes nacionales e internacionales.
    • El INM participa en el Programa Nacional Alerta AMBER México, en colaboración con la Procuraduría General de la República y las Procuradurías de las entidades del país, para que en tiempo real en el ámbito de su competencia emita la alerta correspondiente, para la ubicación de niñas, niños y adolescentes que pretenden ser extraídos de territorio nacional con fines de tráfico y/o trata de personas.
    • El INM ha trabajado en conjunto con la Oficina de las Naciones Unidas contra la Droga y el Delito (UNODC), en la difusión y aplicación de la Campaña Corazón Azul contra la Trata de Personas, la cual es promovida por la ONU a través de dicha Oficina, con la intención de sensibilizar para luchar contra la trata de personas y su impacto en la sociedad.
    • Durante 2013, la Oficina de Enlace y Paternariado en México de la UNODC, implementó con financiamiento de la Unión Europea, el Proyecto denominado “Promoción de la Cooperación entre México y Centroamérica para Prevenir y Combatir el Tráfico ilícito de Migrantes”, con aplicación en México, Costa Rica, El Salvador, Guatemala, Honduras, Nicaragua y Panamá. Dicho proyecto tiene como objetivo articular respuestas coordinadas y eficaces para prevenir y combatir el tráfico ilícito de migrantes; ofrecer a las autoridades participantes los elementos políticos técnicos necesarios para la construcción de esquemas sólidos, sostenibles y confiables de protección a los migrantes.
    • La asistencia técnica provista por la UNODC consiste principalmente en la facilitación de encuentros entre funcionarios mexicanos y centroamericanos para promover su profesionalización y cooperación internacional frente a la seguridad de los movimientos migratorios a lo largo del corredor Centroamérica-México.
    • Date:  2012-12-04    Paragraphes: 68, 70
    •En la 41° Asamblea General de la Organización de los Estados Americanos celebrada en junio de 2011 en San Salvador, El Salvador, México copatrocinó la resolución sobre la Prevención y erradicación de la explotación sexual, comercial, tráfico ilícito y trata de niños, niñas y adolescentes.

    •El 29 de junio de 2011, la Comisión Permanente del Congreso de la Unión realizó la Declaración de Reforma Constitucional que reconoce como delito grave la trata de personas. Dicha reforma tiene entre sus objetivos dar mayor protección a la víctima y establece la creación de una Ley General de Trata de Personas.

    •El 6 de septiembre de 2011 se publicó en el Diario Oficial de la Federación el Decreto por el que se crea la Procuraduría Social de Atención a las Víctimas de Delitos, con el objetivo de brindar atención oportuna e integral a las víctimas u ofendidos de delitos, por sí misma o en coordinación con instituciones especializadas, en términos de la normatividad aplicable; coadyuvar al eficaz desempeño de las autoridades con competencia en la materia, y diseñar y ejecutar políticas, programas y esquemas de colaboración y coordinación interinstitucional de atención a víctimas u ofendidos de delitos.

    •Del 10 al 12 de octubre de 2011, el Gobierno de México participó en la Cuarta Reunión del Grupo de Trabajo sobre la Trata de Personas realizado en Viena, Austria, en la que México mencionó los avances legislativos en materia de la trata de personas con fines de extracción de órganos.

    •México participó en el evento “campañas internacionales” que tuvo lugar el 11 de octubre de 2011 en Viena, Austria. México presentó la “campaña Corazón Azul” contra la trata de personas” en línea con el Programa Nacional sobre la materia.

    •En el marco de la Campaña “Corazón Azul”, se desarrolló la Guía del Formador del Taller “Tú Haces la Diferencia contra la Trata de Personas” con el objetivo de desarrollar habilidades de autocuidado contra este delito.

    •Se llevó a cabo, conjuntamente entre la Fiscalía Especializada para los Delitos de Violencia contra la Mujer y Trata de Personas de la Procuraduría General de la República (PGR/FEVIMTRA) y la Secretaría de Relaciones Exteriores (SRE), el “Foro Virtual sobre Trata de Personas”, con el objetivo de intercambiar buenas prácticas para impulsar la atención pronta y expedita de las denuncias que se realicen sobre el delito mencionado en oficinas consulares y Embajadas de México, 3 al 13 de octubre de 2011.

    •El 14 de julio de 2012, se publicó en el Diario Oficial de la Federación, la Ley General para Prevenir, Sancionar y Erradicar los Delitos en Materia de Trata de Personas y para la Protección y Asistencia a las Víctimas de estos delitos.

    •Durante el Diálogo interactivo intitulado “La Lucha contra la Trata de Personas: Alianza e Innovación para Eliminar la Violencia contra las Mujeres y Niños”, celebrado en Nueva York el 3 de abril de 2012, México destacó los esfuerzos legislativos realizados para actualizar el orden jurídico nacional contra la trata de personas y llevar a cabo una judicialización efectiva de los casos.

    •El 15 y 16 de octubre de 2012, el Gobierno Mexicano participó en la Tercera Reunión de Autoridades Nacionales en Materia de Trata de Personas, apoyando la ampliación de la vigencia hasta el 2014 del Plan de Trabajo que tiene el hemisferio en esta materia.

    •México participó en la reunión titulada “Respuesta multilateral contra la trata de personas” organizada por el Ministerio de Relaciones Exteriores de Suecia, los días 3 y 4 de diciembre de 2012, en donde impulsó la importancia de fortalecer las sinergias entre los organismos del Sistema de ONU en esta esfera.

    •En la Reunión de la Red de Funcionarios de Enlace para el Combate al Tráfico ilícito de Migrantes y Trata de Personas -Grupo Regional de Consulta sobre Migración (GRCM)- celebrada el 16 de noviembre de 2011 en Santo Domingo, República Dominicana, México expuso un informe sobre los avances alcanzados en el combate a la trata de personas, en particular al desarrollo de la Campaña Corazón Azul-México Trata de Personas, co-diseñada con la Oficina de las Naciones Unidas contra la Droga y el Delito. A 2012, dicha campaña ha realizado 200 actividades con la participación de 50,000 personas en toda la República Mexicana. Asimismo, la Campaña Corazón Azul-México fue nominada como proyecto finalista en la categoría de comunicación en el marco de los United Nations 21 Awards, que tiene por objetivo reconocer a los mejores proyectos de la ONU a nivel mundial en distintos ámbitos.

    •16 entidades federativas y el DF han publicado leyes para prevenir y sancionar la trata de personas. El DF y Chiapas han emitido su reglamento.

    •El delito de trata de personas se encuentra tipificado en los 31 estados y el Distrito Federal.

    PARA MAYOR INFORMACIÓN PUEDE CONSULTAR LOS ENLACES LOCALIZADOS EN EL BLOQUE “RECURSOS RELACIONADOS”, AL FINAL DE ESTA PÁGINA.

    CAMPAÑA “CORAZÓN AZUL” CONTRA LA TRATA DE PERSONAS
    http://www.unodc.org/blueheart/es/mexico/index.html

    CAMPAÑA "CORAZÓN AZUL-MÉXICO" CONTRA LA TRATA DE PERSONAS FINALISTA DE LOS UN21 AWARDS 2012
    http://www.unodc.org/mexicoandcentralamerica/es/webstories/2012/UN21.html
    • Date:  2012-11-30    Paragraphes: 70, 71, 72
    •Bajo la coordinación de México, se llevó a cabo en Paramaribo, Suriname, el 49º Periodo Ordinario de Sesiones de la Comisión Interamericana para el Control del Abuso de Drogas (CICAD), en donde se aprobó el “Plan de Acción de la Estrategia Hemisférica Antidrogas”, 4 al 6 de mayo de 2011.

    •Auspiciadas por el gobierno mexicano, el 25 de mayo de 2011 se realizó por medio de videoconferencia, la “IV Reunión del Comité México-Chile de Cooperación contra el Narcotráfico y la Farmacodependencia”, y el 30 del mismo mes, la “III Reunión de la Comisión Mixta México-Venezuela del Acuerdo sobre Prevención, Control, Fiscalización y Represión del Consumo y Tráfico Ilícito de Estupefacientes y Sustancias Psicotrópicas”.

    •En Bogotá, Colombia, 28 y 29 de junio de 2011, se realizó la “XIII Reunión de Alto Nivel del Mecanismo de Coordinación y Cooperación en Materia de Drogas entre América Latina y el Caribe y la Unión Europea (ALC-UE)”, con el fin de reforzar el diálogo sobre drogas entre la región de América Latina y el Caribe (ALC) y la Unión Europea (UE).

    •Del 11 al 15 de julio de 2011, se llevó a cabo en Quito, Ecuador, la “Reunión del Grupo de Expertos en Sustancias Químicas y Productos Farmacéuticos en el marco de la CICAD”, en la que México dirigió los trabajos del subgrupo encargado de concluir la revisión del Reglamento Modelo de la CICAD para el control de Sustancias Químicas que se utilizan en la fabricación de Estupefacientes y Sustancias Psicotrópicas”.

    •Del 1 al 4 de agosto de 2011, se llevó a cabo en Montevideo, Uruguay, la “2ª Fase del Taller Lucha contra el Tráfico de Drogas”, en el marco de los trabajos de la Asociación Iberoamericana de Ministerios Públicos (AIAMP), en donde se concluyó un Manual sobre el tema, que fue aprobado en la XIX Asamblea General Ordinaria de la Asociación, celebrada el 6 y 7 de diciembre de 2011, en Brasilia, Brasil.

    •Se suscribió el “Acuerdo sobre Intercambio de Información y Experiencias para el Combate a la Delincuencia Organizada Transnacional, el Narcotráfico y Delitos Conexos entre la Procuraduría General de la República de los Estados Unidos Mexicanos y el Ministerio Público de la República de Guatemala”, ciudad de Guatemala, 17 de agosto de 2011.

    •El 22 de agosto de 2011, en la ciudad de México, se suscribió el “Acuerdo sobre Intercambio de Información y Experiencias para el Combate a la Delincuencia Organizada Transnacional, el Narcotráfico y Delitos Conexos entre la Procuraduría General de la República de los Estados Unidos Mexicanos y la Fiscalía General de la República de Costa Rica”.

    •México recibió la visita de funcionarios de Alto Nivel de la Junta Internacional de Fiscalización de Estupefacientes (JIFE), con el propósito de revisar el marco jurídico en materia de control de precursores químicos, entre otros, 11 al 14 de octubre de 2011.

    •México participó en el 50º Periodo Ordinario de Sesiones de la Comisión Interamericana para el Control del Abuso de Drogas (CICAD), celebrado en Buenos Aires, Argentina, 2 al 4 de noviembre de 2011.

    •El 03 de noviembre de 2011, en la Ciudad de México, se suscribió el “Memorándum de Entendimiento entre la Procuraduría General de la República de los Estados Unidos Mexicanos y la Junta Nacional de Narcóticos de la República de Indonesia sobre Cooperación Técnica para el Combate al Tráfico Ilícito de Estupefacientes, Sustancias Psicotrópicas y sus Precursores Químicos”.

    •México asistió, el 12 y 13 de diciembre de 2011, en Lima, Perú, a la “V Reunión del Comité México-Perú de Cooperación contra el Narcotráfico y la Farmacodependencia”.

    •En 2011 se atendieron mensualmente alrededor de 1,000,000 de personas que estudian primaria o secundaria en el Instituto Nacional para la Educación de los Adultos (INEA), en casos vinculados con la prevención y rehabilitación por el uso ilegal de drogas ilícitas. El INEA cuenta con 62,226 asesores que apoyan el aprendizaje de personas jóvenes y adultos en rezago económico.

    •A nivel interno, México realizó una reunión del Grupo Técnico de Control de Drogas Sintéticas (GTCDS), cuyo objetivo es la coordinación y seguimiento interinstitucional de los temas relativos al desvío de precursores químicos, fabricación y tráfico de drogas sintéticas. Asimismo se organizó un encuentro del Grupo Interinstitucional para el Control de Drogas Sintéticas y Laboratorios Clandestinos (GOICDSLD), el cual tiene como objetivo la creación de un grupo operativo para la intervención en laboratorios clandestinos con la participación de funcionarios de la Procuraduría General de la República.

    •El gobierno de México, a través del INEA, puso a disposición de los educandos el Modelo Educativo para la Vida y el Trabajo, en el que destaca los módulos diversificados: Protegernos Tarea de Todos, Un Hogar sin Violencia, Vida y Salud, Aguas con las Adicciones y Fuera de las Drogas, los cuales contribuyen a la formación integral y multidisciplinaria de los estudiantes.

    •Se sostuvieron reuniones bilaterales con Argentina, Bolivia, Chile, El Salvador, Guatemala, Nueva Zelanda, Panamá, República Popular de China, Rumania, Venezuela, entre otros, para promover la cooperación de México en materia de narcotráfico, desvío de precursores químicos, recursos de procedencia ilícita y prevención del consumo.

    •En lo que respecta a los foros internacionales, México asistió a la Reunión de la Junta Internacional de Fiscalización de Estupefacientes, así como a la Reunión Preparatoria de la Operación Regional contra el Tráfico de Drogas de INTERPOL, Programa Regional Prevención del Desvío de Sustancias Precursoras en los Países de América Latina y el Caribe (PRELAC), entre otros.

    •Asimismo, se participó en los siguientes cursos de capacitación: Curso-Taller de Capacitación en Aseguramiento y Procesamiento de Laboratorios Clandestinos; Taller de México-Estados Unidos sobre precursores químicos; Seminario de Laboratorios Clandestinos, organizado por la Oficina para el Control de Drogas de Estados Unidos, entre otros.

    PARA MAYOR INFORMACIÓN PUEDE CONSULTAR LOS ENLACES LOCALIZADOS EN EL BLOQUE “RECURSOS RELACIONADOS”, AL FINAL DE ESTA PÁGINA.

    COMISIÓN INTERAMERICANA PARA EL CONTROL DEL ABUSO DE DROGAS (CICAD)
    http://cicad.oas.org/main/default_spa.asp

    JUNTA INTERNACIONAL DE FISCALIZACIÓN DE ESTUPEFACIENTES
    http://www.incb.org/incb/es/about.html

    PROCURADURÍA GENERAL DE LA REPÚBLICA
    http://www.pgr.gob.mx
    • Date:  2012-11-30    Paragraphes: 70
    •México participó en la Reunión de Expertos sobre el Desarrollo de un Programa de Capacitación en Armas de Fuego celebrada del 19 al 21 de octubre de 2011, en Viena, Austria, con el fin de apoyar y asesorar a la Oficina de las Naciones Unidas contra la Droga y el Delito (UNODC) en la elaboración de elementos y temas de los eventuales módulos que podrían integrar este programa.

    •En el marco de la Sexta Conferencia de Estados Parte de la Convención de Naciones Unidas contra la Delincuencia Organizada Transnacional, el gobierno de México presentó la resolución “Fabricación y tráfico ilícitos de armas de fuego, sus piezas y componentes y municiones”.

    PARA MAYOR INFORMACIÓN PUEDE CONSULTAR LOS ENLACES LOCALIZADOS EN EL BLOQUE “RECURSOS RELACIONADOS”, AL FINAL DE ESTA PÁGINA.

    PROTOCOLO CONTRA LA FABRICACIÓN Y EL TRÁFICO ILÍCITOS DE ARMAS DE FUEGO, SUS PIEZAS Y COMPONENTES Y MUNICIONES, QUE COMPLEMENTA LA CONVENCIÓN DE LAS NACIONES UNIDAS CONTRA LA DELINCUENCIA ORGANIZADA TRANSNACIONAL
    http://proteo2.sre.gob.mx/tratados/archivos/TRAFICO_ARMAS-DELINC_ORG.pdf
    • Date:  2012-10-31    Paragraphes: 70, 71, 72
    • En febrero de 2012, México acudió a la Plenaria del Grupo de Acción Financiera Internacional (GAFI) celebrada en París, Francia, con el fin de conocer el seguimiento a las nuevas disposiciones respecto a la prevención y combate al lavado de dinero.

    • El 14 de marzo de 2012 se estableció entre México y Estados Unidos, el Grupo de Trabajo Interinstitucional Bilateral para Combatir el Lavado de Dinero, que permite unir esfuerzos en la prevención y combate al lavado de dinero.

    • Durante el primer trimestre del 2012 se obtuvo la certificación a nivel internacional de catorce funcionarios por la Asociación de Especialistas Certificados en Anti-lavado de Dinero (ACAMS).

    • México participó en la XIII Reunión del Comité México-Guatemala de Cooperación para Combatir el Narcotráfico y la Farmacodependencia, en el marco de la XI Reunión de la Subcomisión de Asuntos Políticos de la Comisión Binacional México-Guatemala, en el que se abordaron temas como el balance de los resultados del comité, propuestas de mejoras, combate al narcotráfico y sus delitos conexos, desvío de precursores químicos, tráfico ilícito de armas, entre otros, octubre de 2012.

    PARA MAYOR INFORMACIÓN PUEDE CONSULTAR LOS ENLACES LOCALIZADOS EN EL BLOQUE “RECURSOS RELACIONADOS”, AL FINAL DE ESTA PÁGINA.

    RECOMENDACIONES DEL GRUPO DE ACCIÓN FINANCIERA INTERNACIONAL (GAFI)
    http://www.presidencia.gub.uy/wps/wcm/connect/f7c36a004c841a0c9348df5ecf671ba0/ACCESO+RAPIDO+RECOMENDACIONES+DEL+GAFI+-+borrador.pdf?MOD=AJPERES

    ASOCIACIÓN DE ESPECIALISTAS CERTIFICADOS EN ANTI-LAVADO DE DINERO (ACAMS)
    http://www.acams.org/Espanol/Home/

    COMISIÓN INTERAMERICANA PARA EL CONTROL DEL ABUSO DE DROGAS (CICAD)
    http://cicad.oas.org/main/default_spa.asp
    • Date:  2012-10-19    Paragraphes: 70, 71
    Del 17 al 19 de mayo de 2011, en Viena, Austria, México presidió la Reunión del Grupo de Trabajo de Expertos de Composición abierta sobre el Mecanismo de Examen de la Convención de las Naciones Unidas contra la Delincuencia Organizada Transnacional.

    El Gobierno de México asistió a la Reunión del Grupo de Expertos en recopilación, análisis y selección de los casos prácticos en la aplicación de la Convención de Palermo, celebrada del 23 al 26 de mayo de 2011, en Roma, Italia, para contribuir a la elaboración de un Compendio de casos sobre Delincuencia Organizada de la Oficina de las Naciones Unidas contra la Droga y el Delito (UNODC).

    El 22 y 23 de junio de 2011, México asistió a la “Conferencia Internacional de apoyo a la Estrategia de Seguridad de Centroamérica”. La Procuraduría General de la República apoyó la alineación de los Diálogos de Cooperación SICA-EUA, SICA-México, con el fin de obtener sinergias y definir áreas prioritarias de cooperación. La Procuraduría ha ofrecido asistencia a los países del SICA en materia de capacitación, en los rubros de combate al problema mundial de las drogas, incluyendo el desvío de precursores químicos, el intercambio de experiencias sobre extinción de dominio y decomiso de bienes, combate al tráfico ilícito de armas, y mecanismos de control de confianza.

    México participó en la Reunión del Grupo de Expertos sobre Asistencia Jurídica Mutua y Extradición celebrada el 1 y 2 de septiembre de 2011, en Viena, Austria, a fin de contribuir con la Oficina de las Naciones Unidas contra la Droga y el Delito (UNODC), en la elaboración de una guía práctica para profesionales que recoja ejemplos de buenas prácticas en materia de solicitudes de extradición de asistencia judicial recíproca.

    En el marco del Grupo Intergubernamental de Expertos de composición abierta sobre servicios de seguridad privada civil, celebrado del 12 al 14 de octubre de 2011 en Viena, Austria, el Gobierno de México compartió que se encuentra implementando diversas acciones, mediante la Plataforma México, tendientes a fortalecer y consolidar mecanismos para la supervisión y control de los prestadores de servicio de la seguridad privada.

    El 28 de octubre y 03 de noviembre de 2011, en Yakarta, Indonesia y ciudad de México, respectivamente, se suscribió el “Memorándum de Entendimiento entre la Procuraduría General de la República de los Estados Unidos Mexicanos y la Policía Nacional Indonesia de la República de Indonesia sobre Combate a los Delitos Transnacionales y Desarrollo de Capacidades”.

    El 16 de noviembre de 2011 tuvo lugar en Puerto España, Trinidad y Tobago, la “III Reunión del Grupo de Trabajo sobre Delincuencia Organizada Transnacional (GTDOT)” de la Organización de Estados Americanos. México participó en esa reunión con el propósito de reactivar las labores del Grupo y dar seguimiento al Plan de Acción Hemisférico contra la Delincuencia Organizada Transnacional (PAHDOT).
    La Reunión del Grupo de Expertos encargados de revisar los principios y directrices de las Naciones Unidas sobre el acceso a la asistencia jurídica en el sistema de justicia penal, se celebró del 16 al 18 de noviembre de 2011 en Viena, Austria. México apoyó la elaboración del borrador final sobre esos principios y directrices en materia de asistencia jurídica.

    Se suscribió el “Acuerdo de Cooperación sobre Intercambio de Información y Experiencias para el Combate a la Delincuencia Organizada Transnacional, el Narcotráfico y Delitos Conexos entre la Procuraduría General de la República de los Estados Unidos Mexicanos y la Procuraduría General de la República Dominicana”, 6 de diciembre de 2011, ciudad de México.

    En el 66° Periodo de Sesiones de la Asamblea General de las Naciones Unidas, celebrada en Nueva York, México copatrocinó la resolución denominada Fortalecimiento del Programa de las Naciones Unidas en materia de Prevención del Delito y Justicia Penal, en particular su capacidad de cooperación técnica, adoptada el 19 de diciembre de 2011.

    El 1 y 2 de marzo de 2012, México convocó conjuntamente con la OEA a la “Reunión Hemisférica de Alto Nivel contra la Delincuencia Organizada Transnacional”, en la que los Estados Miembros acordaron desarrollar un sistema de cooperación que incluya un Centro que coordine la plena implementación del Plan de Acción Hemisférico contra la Delincuencia Organizada Trasnacional, armonizando y coordinando los esfuerzos sobre el tema en los distintos órganos de la OEA.

    En el seno del 21° Periodo de Sesiones de la Comisión de Prevención del Delito y Justicia Penal, que tuvo lugar en Viena, Austria, del 23 al 27 de abril de 2012, México organizó el evento paralelo titulado “Estadísticas sobre crimen y justicia criminal: una herramienta para el combate a todas las formas del crimen y un reto para muchos países” y asimismo, presentó la resolución “Mejoramiento de la calidad y disponibilidad de estadísticas sobre delito y justicia penal para el desarrollo de políticas públicas".

    Del 15 al 19 de octubre de 2012, se llevó a cabo la Sexta Conferencia de Estados Parte de la Convención de Naciones Unidas contra la Delincuencia Organizada Transnacional en Viena, Austria. En dicha reunión, México ocupó una de las vicepresidencias y convocó a un Evento Paralelo titulado “La Estrategia de Seguridad para el Combate a la Delincuencia Organizada, y la prevención y erradicación de la trata de personas”. Asimismo, copatrocinó la resolución “Garantizar la aplicación efectiva de la Convención de las Naciones Unidas contra la Delincuencia Organizada Transnacional y sus Protocolos”.

    Durante el 2012, México celebró cursos de capacitación especializados en temas de narcotráfico, inteligencia y lavado de dinero

    La autoridad competente puso a disposición del Ministerio Público a 111 presuntos integrantes de las principales estructuras de las organizaciones criminales vinculadas al narcotráfico y lavado de dinero.

    El Gobierno de México ha conducido operaciones de alto impacto en diversas entidades federativas del país, con el objetivo de mantener el Estado de Derecho y ejercer el Poder Naval de la Federación, con la firme determinación de actuar en contra de las diversas manifestaciones de la delincuencia organizada; asimismo, se conducen operaciones navales tendientes a garantizar la observancia del orden constitucional en los mares y costas nacionales.

    PARA MAYOR INFORMACIÓN PUEDE CONSULTAR LOS ENLACES LOCALIZADOS EN EL BLOQUE “RECURSOS RELACIONADOS”, AL FINAL DE ESTA PÁGINA

    GRUPO DE AMIGOS DE LA ESTRATEGIA DE SEGURIDAD DE CENTROAMÉRICA
    http://www.sre.gob.mx/index.php/sistema-de-la-integracion-centroamericana-sica/1394

    ACUERDO DE COOPERACIÓN SOBRE INTERCAMBIO DE INFORMACIÓN Y EXPERIENCIAS PARA EL COMBATE A LA DELINCUENCIA ORGANIZADA TRANSNACIONAL, EL NARCOTRÁFICO Y DELITOS CONEXOS ENTRE LA PROCURADURÍA GENERAL DE LA REPÚBLICA DE LOS ESTADOS UNIDOS MEXICANOS Y LA PROCURADURÍA GENERAL DE LA REPÚBLICA DOMINICANA
    http://enlacecongreso.mirex.gov.do/ecc/Lists/Instrumentos%20Internacionales/Attachments/3317/Acuerdo%20Cooperaci%C3%B3%20Rep.%20Dom.%20y%20M%C3%A9xico0001.pdf

    REUNIÓN HEMISFÉRICA DE ALTO NIVEL CONTRA LA DELINCUENCIA ORGANIZADA TRANSNACIONAL
    http://www.oas.org/csh/spanish/DOT.asp
    • Date:  2011-09-28    Paragraphes: 70
    • Nuestro país participó en la “XXXIII Reunión del Grupo de Expertos de Control de Lavado de Activos (GECLA), de la CICAD, evento en el que se propuso desarrollar aspectos normativos para la creación y desarrollo de los organismos especializados en la administración de bienes, 27 y 28 de septiembre, 2011, Caracas, Venezuela.
    • Date:  2011-05-19    Paragraphes: 68
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2011-05-19    Paragraphes: 70
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2011-05-19    Paragraphes: 70
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2011-05-19    Paragraphes: 70, 75
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2011-05-19    Paragraphes: 68
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2011-05-19    Paragraphes: 70, 76
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2011-05-19    Paragraphes: 69, 70
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2011-05-19    Paragraphes: 70, 77
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2011-05-19    Paragraphes: 70
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2011-05-19    Paragraphes: 70, 71
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2011-05-19    Paragraphes: 70
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2011-05-19    Paragraphes: 70, 71
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2010-12-02    Paragraphes: 70
    • El Programa de Refugio Especializado en Atención Integral y Protección a Víctimas de Trata de Personas, dependiente de la Fiscalía Especial para los Delitos de Violencia contra las Mujeres y Trata de Personas (FEVIMTRA), atendió a 37 mujeres, hombres, niños, niñas y adolescentes, probables víctimas de este delito. El programa recibió durante este período el apoyo de organizaciones civiles que facilitaron el cuidado y la custodia de las víctimas.
    • En cumplimiento de la Ley Federal para Prevenir y Sancionar la Trata de Personas , el 16 de julio de 2009 se instaló la Comisión Intersecretarial para Prevenir y Sancionar la Trata de Personas, y se designó a la Fiscal especial para la atención de delitos relacionados con actos de violencia contra las mujeres y trata d personas, como coordinadora de la Subcomisión Consultiva de la Comisión, y se encomendó a dicha subcomisión que elabore el Programa Nacional para Prevenir y Sancionar la Trata de Personas.
    • Se participó en la Campaña Corazón Azul de la Oficina de las Naciones Unidas para la Droga y el Delito, movimiento global que busca crear conciencia respecto del delito de trata de personas y su impacto en la sociedad e identificado por dicho símbolo que pretende convertirse en el emblema mundial de lucha contra este flagelo.

    Fuente: INFORME NACIONAL DEL GOBIERNO DE MÉXICO EN SEGUIMIENTO DE LOS MANDATOS ADOPTADOS DURANTE LA V CUMBRE DE LAS AMÉRICAS (México 2010)
    • Date:  2010-12-01    Paragraphes: 71
    Niñez y Juventud
    • A fin de garantizar el Acceso Efectivo a la Justicia, el IMJUVE firmó, en febrero de 2009, un convenio con la Procuraduría General de la República, mediante el cual se celebran pláticas y talleres de temas sobre prevención del delito entre los jóvenes, principalmente en instancias educativas.

    Derechos Humanos
    • La Secretaría de Seguridad Pública (SSP) estableció el Programa “Sistema Integral de Atención a Víctimas del Delito”, el cual proporciona asistencia especializada y multidisciplinaria a las víctimas del delito, del abuso del poder y de la violencia, para procurar el resarcimiento del daño, el empoderamiento y resiliencia de la víctima, así como prevenir la revictimización.
    • Atención Telefónica a Víctimas del Delito es un servicio nacional, gratuito y confidencial a través del 01 800 90 AYUDA (29832), así como de la opción 6 del 088 y de la opción 6 del 01 800 4403 690, donde se brinda atención psicológica y jurídica a las personas que han sufrido la comisión de un ilícito.

    Fuente: INFORME NACIONAL DEL GOBIERNO DE MÉXICO EN SEGUIMIENTO DE LOS MANDATOS ADOPTADOS DURANTE LA V CUMBRE DE LAS AMÉRICAS
    (México 2010)
    • Sources Connexes
    ACUERDO DE COOPERACIÓN SOBRE INTERCAMBIO DE INFORMACIÓN Y EXPERIENCIAS PARA EL COMBATE A LA DELINCUENCIA ORGANIZADA TRANSNACIONAL, EL NARCOTRÁFICO Y DELITOS CONEXOS ENTRE LA REPÚBLICA DE LOS ESTADOS UNIDOS MEXICANOS Y LA REPÚBLICA DOMINICANA
    ASOCIACIÓN DE ESPECIALISTAS CERTIFICADOS EN ANTI-LAVADO DE DINERO (ACAMS)
    CAMPAÑA "CORAZÓN AZUL-MÉXICO" CONTRA LA TRATA DE PERSONAS FINALISTA DE LOS UN21 AWARDS 2012
    CAMPAÑA “CORAZÓN AZUL” CONTRA LA TRATA DE PERSONAS
    COMISIÓN INTERAMERICANA PARA EL CONTROL DEL ABUSO DE DROGAS (CICAD)
    GRUPO DE AMIGOS DE LA ESTRATEGIA DE SEGURIDAD DE CENTROAMÉRICA
    JUNTA INTERNACIONAL DE FISCALIZACIÓN DE ESTUPEFACIENTES
    PROCURADURÍA GENERAL DE LA REPÚBLICA
    PROTOCOLO CONTRA LA FABRICACIÓN Y EL TRÁFICO ILÍCITOS DE ARMAS DE FUEGO, SUS PIEZAS Y COMPONENTES Y MUNICIONES, QUE COMPLEMENTA LA CONVENCIÓN DE LAS NACIONES UNIDAS CONTRA LA DELINCUENCIA ORGANIZADA TRANSNACIONAL
    RECOMENDACIONES DEL GRUPO DE ACCIÓN FINANCIERA INTERNACIONAL (GAFI)
    REUNIÓN HEMISFÉRICA DE ALTO NIVEL CONTRA LA DELINCUENCIA ORGANIZADA TRANSNACIONAL
  • Nicaragua
    N/A
  • Panama
    • Rapports
    • Date:  2018-02-13    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2018-02-13    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2018-02-13    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2017-03-17    Paragraphes: -
    MINISTERIO DE DESARROLLO SOCIAL – Programa PADRINO EMPRESARIO
    Este Programa es de autogestión y es auspiciado por las empresas privadas, el Ministerio de Desarrollo Social, la Cámara de Comercio, Industrias y Agricultura de Panamá, Ministerio de Trabajo y Desarrollo Laboral y la sociedad civil; y cada una de estas tiene representantes ante el Consejo Directivo del mismo.
    Las empresas reclutan a jóvenes de segundo ciclo (15 a 17 años); le ofrecen capacitación laboral y les permiten trabajar cuatro horas diarias de lunes a viernes en el turno que no tengan que asistir a las escuelas. Adicionalmente se les da un bono de B/.20.00 a B/.50.00 quincenales para apoyarlos con el transporte (lo cual queda a consideración de la empresa), seguro contra accidentes personales, una hora antes y después de sus horas laborables. Al graduarse el joven o al haber cumplido la mayoría de edad, la empresa puede contratarlo(a) de acuerdo al rendimiento obtenido.
    • Date:  2017-03-15    Paragraphes: -
    El Estado panameño por intermedio del Ministerio de Seguridad Pública (Minseg) y el Instituto Nacional de la Mujer (Inamu), suscribieron un convenio de cooperación técnica, para desarrollar programas que permitan la prevención de violencia contra las mujeres.
    El convenio “establece la creación de un grupo especializado dentro de la Policía Nacional, para atender los casos contra las mujeres, en apoyo a la labor que realiza el Inamu. En el cual se incluye acciones como recibir información, capacitación, sensibilización de las unidades de varias dependencias de fuerzas públicas sobre la violencia de género.
    De igual forma se están construyendo albergues para mujeres víctimas de violencia doméstica, los cuales serán administrados por el Inamu y se establecerá acciones y servicios, para crear la unidad de género y fortalecer la existente dentro de la estructura del Minseg. En la actualidad existen más 15 centros en diferentes regiones del país para atender a las víctimas de violencia doméstica.
    Como parte de los esfuerzos para abordar de manera eficaz la violencia contra la mujer y las niñas, el Gobierno panameño y distintas instituciones públicas suscribieron un protocolo de atención para mujeres maltratadas, cuyo objetivo es mejorar la coordinación entre las instituciones encargadas de proteger a las víctimas de la violencia machista y crear nuevos centros de acogida.
    • Date:  2017-03-15    Paragraphes: -
    El Estado panameño en el marco de la II Conferencia de los Estados Parte del Tratado de Comercio de Armas (TCA) celebrada en la Ciudad de Ginebra, Suiza, del 22 al 26 de agosto de 2016, ha reafirmado su compromiso de combatir el tráfico ilícito de armas; al anunciar el "Proyecto de Fortalecimiento de las Capacidades Institucionales contra el Tráfico Ilícito de Armas de Fuego, Municiones y Materiales Relacionados”, el cual será implementado por la Dirección de Asuntos de Seguridad Pública (DIASP) y dotará a Panamá de un sistema de registro integrado que permitirá combatir el tráfico ilícito de armas de fuego a nivel regional y global.

    Este proyecto consiste en un sistema integrado de registro de armas, a través de la creación de una plataforma de base de datos robusta, que fortalecerá las capacidades del Estado panameño para luchar contra el tráfico ilícito de Armas de Fuego, municiones y materiales relacionados.
    El proyecto se ha concebido como una importante herramienta moderna, única, que optimizará el poder de fiscalización y control de toda actividad vinculada con armas de fuego y demás materiales regulados, así como también a sus usuarios. Promoverá la cooperación internacional en el intercambio de información a los Organismos de seguridad, estableciendo procedimientos que permitan la identificación eficiente, eficaz y oportuna de las corrientes de tráfico y circulante ilícito de armas, así como también la recolección de datos para usos estadísticos y de estudio sobre armas de fuego incautadas y decomisadas para la prevención de desvíos al circuito ilegal.
    Con la implementación de este mecanismo por el Ministerio de Seguridad Pública, contribuirá a eliminar las moras y dilaciones de los procesos de registros de armas ante la Dirección de Asuntos de Seguridad Pública, a través de la modernización y fortalecimiento de las capacidades institucionales. Este desarrollo garantizará el flujo expedito y en tiempo real de los datos, permitiendo la reformulación de los procedimientos administrativos, apoyados en tecnología de punta que permitirán organizar, controlar y dinamizar las actividades operativas.
    Es necesario resaltar que la implementación de esta iniciativa contará del acompañamiento de un marco jurídico reglamentario adecuado y en ese sentido se tiene previsto una revisión a nuestra ley 57 referente a armas de fuego, municiones y materiales relacionados, con la disposición de incorporar aquellos elementos faltantes ceñidos a los compromisos internacionales asumidos por Panamá en materia de armas de fuego y demás materiales controlados, asimismo la reformulación de procedimientos administrativos que permitirán organizar, controlar y dinamizar las actividades operativas, coadyuvando a las tareas de los auxiliares de la administración de justicia.
    • Date:  2017-03-15    Paragraphes: -
    Como parte de la agenda de Estado, El Programa Barrios Seguros (Probaseg) del Ministerio de Seguridad Pública (Minseg) empezó en julio de 2014, como parte del Plan de Seguridad, para la resocialización de aproximadamente 7 mil jóvenes en riesgo social y en conflicto con la ley en todo el país.
    En la actualidad este programa preventivo cuenta con 3 mil 700 participantes, de los cuales mil 200 culminaron los cursos vocacionales y aproximadamente 400 ingresaron al mercado laboral en los proyectos del Gobierno Nacional y empresas privadas. Durante el año 20l6 el Minseg inauguro centros de Probaseg en las provincias de Panamá, Colón, Panamá Oeste, Coclé y Chiriquí, para continuar con la atención de jóvenes en riesgo social.
    Con la implementación del Programa Barrios Seguros, se ha logrado la disminución de los casos de homicidios y los delitos de alto impacto en las regiones, donde opera este programa preventivo, especialmente en Colón, Panamá y San Miguelito, mientras que otras provincias se nota una leve mejoría de seguridad ciudadana.
    • Date:  2012-04-13    Paragraphes: 68
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2012-04-13    Paragraphes: 69
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2012-04-13    Paragraphes: 70
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2012-04-13    Paragraphes: 71
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2012-04-13    Paragraphes: 72
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2012-04-13    Paragraphes: 74
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2012-04-13    Paragraphes: 75
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2012-04-13    Paragraphes: 76
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2012-04-13    Paragraphes: 77
    Information disponible en Espagnol
  • Paraguay
    N/A
  • Pérou
    • Rapports
    • Date:  2012-03-07    Paragraphes: 68, 67, 64
    MINITER.

    El Ministerio del Interior, en el marco de las políticas nacionales de obligatorio cumplimiento, dictadas por el Poder Ejecutivo ha ejecutado acciones a favor de la paz y desarrollo humano, a través de sus distintas dependencias orgánicas que lo conforman.

    Mediante Resolución Ministerial Nº 046-2011-IN-0303 de 14 de enero de 2011 se aprobó la Matriz de Metas e Indicadores de las Políticas Nacionales de Obligatorio Cumplimiento en el ámbito funcional del Ministerio del Interior para el Año Fiscal 2011, estableciéndose treinta y ocho (38) políticas, setenta y seis (76) actividades, sesenta y seis (66) indicadores y ciento dos (102) metas. Dichas metas e indicadores han sido ejecutadas al 100% en el Ministerio del Interior de acuerdo al siguiente detalle:

    (Ver Anexos – Mandato 68. Cuadro 1)

    Estas políticas han estado vinculadas particularmente al Objetivo Estratégico General del Plan Operativo Institucional del Ministerio del Interior para el AF-2011: “Fortalecimiento de las capacidades del Sector que permitan el mantenimiento del orden interno, orden público y la seguridad ciudadana”.

    Este objetivo a su vez ha estado articulado con el Objetivo Estratégico General del Plan Estratégico 2007-2011: “Fortalecer el orden interno, el orden público y la seguridad ciudadana orientados a lograr la paz social en el ámbito nacional”.

    Complementariamente, el Ministerio del Interior cuenta en su estructura orgánica con la Dirección General de Gobierno Interior, la misma que a través de las Autoridades Políticas (AA PP) en su calidad de representantes de Presidente de la República y del Poder Ejecutivo en las diversas jurisdicciones de ámbito local, distrital, Centros Poblados, realizan acciones principalmente en zonas de extrema pobreza y promocionan la organización de la población para su seguridad y autodefensa, lográndose en el quinquenio anterior, la conformación y reactivación de organizaciones civiles, tales como: rondas campesinas, rondas urbanas, comités de autodefensa, comités de seguridad ciudadana y juntas vecinales, cuyo detalle se muestra en el cuadro siguiente.

    (Ver Anexos – Mandato 68. Gráfico 1)

    Por otra parte, a través de la Oficina General de Defensa Nacional, se ha creado y puesto en funcionamiento los Comisionados para la Paz y el Desarrollo de Piura y Puno, además de las diversas actividades permanentes que ejecutan los Comisionados de Ayacucho, Selva Central y Alto Huallaga, tales como capacitación a Autoridades Políticas y personal policial, presidentes comunales, líderes Comunales, personal de postas de salud, juntas vecinales, comités de Autodefensa, rondas campesinas, dirigentes de base, sindicales, clubes de madres y población en general a través de eventos educativos de capacitación sobre temas de Seguridad Ciudadana, Pacificación, Participación Ciudadana y contra el Contrabando. El detalle se muestra en el cuadro adjunto.

    (Ver Anexos – Mandato 68. Cuadro 2)

    Asimismo, la política implementada en el Ministerio del Interior en materia de derechos humanos, ha sido velar en su diario velar por el estricto cumplimiento de los acuerdos internacionales en esta materia.
    • Date:  2012-03-07    Paragraphes: 69, 70, 61
    MINITER.

    El Ministerio del Interior, a través de la Dirección Contra el Terrorismo de la Policía Nacional del Perú - DIRCOTE PNP, como Dirección Especializada en materia de terrorismo, durante el periodo analizado ha ejecutado 62,527 operativos capturándose a 831 personas involucradas en actos de terrorismo especialmente a aquellos que se vienen refugiando en las agrestes valles del Huallaga, y de los Rios Apurimac y Ene – VRAE, así como en Lima y provincias y en las universidades en cuyo seno vienen realizando proselitismo político a favor a actos de terror.

    Durante los operativos se logrado incautar 99 armas, 54,534 municiones, 99 accesorios y 30,042 explosivos, destacándose la captura de importantes altos mandos de la estructura de la organización terrorista.

    A continuación se muestra un cuadro comparativo de delincuentes terroristas detenidos durante el quinquenio pasado.

    (Ver Anexos – Mandato 69. Cuadro 1 y Gráfico 1)

    En la parte preventiva, la Dirección Contra el Terrorismo - DIRCOTE PNP, ha venido intensificando los trabajos de Inteligencia Operativa, consolidándose principalmente en los Valles Apurímac-Ene, San Francisco Ayacucho y Huallaga, con una eficaz red de inteligencia.

    Se obtuvo mayor colaboración y participación de los comités de autodefensa, permitiendo la producción de inteligencia estratégica y táctica, a fin de que se adopten medidas eficaces para la neutralización de las actividades terroristas.

    Asimismo, en esta materia, el Ministerio del Interior ha realizado eventos de capacitación destinados a sensibilizar a autoridades, población de la sociedad civil organizada, habiendo capacitado a 55,978 personas entre AAPP, PNP, presidentes comunales, líderes comunales, personal de postas de salud, juntas vecinales, comités de autodefensa, rondas campesinas, dirigentes de base, sindicales, clubes de madres y población en general a través de 619 eventos educativos de capacitación sobre temas relacionados con la materia, tales como: Cultura de Paz, Contra Ideologías Subversivas y de Sensibilización, para contrarrestar los rezagos del terrorismo, realizado en las diferentes localidades del ámbito de responsabilidad de los Comisionados para la Paz y el Desarrollo.

    (Ver Anexos – Mandato 69. Cuadro 2)

    Asimismo, esta importante Unidad Especializado de la Policial Nacional del Perú viene realizando un trabajo de seguimiento a los principales líderes que han cumplido su condena y que han salido en libertad especialmente viene realizando acciones de inteligencia y acciones conjuntas de sensibilización a los estudiantes de la universidades especialmente en las nacionales donde se presume una mayor presencia de simpatizantes de estos grupos violentistas.

    De otro lado es importante destacar que estos grupos violentistas si bien han disminuido su accionar en el grado bélico sin embargo, han aumentado en lado ideológico, así mismo se está intensificando labores de detección de organizaciones violentistas de otros países que si bien aún no han realizado acciones violentas, pero por informaciones de inteligencia se viene observando la presencia de ciudadanos de nacionalidades árabes que manifiestan predisposición para fomentar sus diferencias y propalar acciones violentistas.

    Asimismo las Representaciones del Ministerio del Interior con sede en el Exterior vienen intensificando la búsqueda de organizaciones de fachada que pretenden recaudar dinero para enviar a los grupos (ONGS), cuyo accionar está vinculado discretamente a apoyar a grupos terroristas.

    En ese orden de ideas el Perú, viene participando en los principales Foros Internacionales contribuyendo a la ejecución de los diferentes compromisos asumidos en materia de la lucha frontal contra este flagelo.
    • Date:  2012-03-07    Paragraphes: 70, 72, 53
    MINITER.

    La PNP a través de su Unidad Especializada como es la Dirección de Investigación Criminal - DIRINCRI viene desarrollando e implementando un área especializada de alta tecnología que ha logrado con apoyo extranjero, desarticular organizaciones dedicadas a la pornografía infantil, trata de personas, prostitución y otros tipos de delitos relacionados con la materia.

    A pesar de los esfuerzos que sobre esta materia viene ejecutando el Ministerio del Interior, aún no ha conseguido disminuir considerablemente el crimen organizado debido a que los mismos, en su accionar se mimetizan para burlar el accionar de la Policía.

    Sin embargo, durante los últimos años, se ha conseguido lo siguiente:
    • Se ha implementado el Sistema de Registro y Estadística del Delito de Trata de Personas y Afines (Sistema RETA-PN), en 11 departamentos: Lima, Chiclayo, Iquitos, Pucallpa, Puno, Cuzco, Ica, Huancayo, Ayacucho, Madre de Dios y Huánuco, habiéndose capacitado a 651 usuarios en el tema y uso del sistema.
    • Se aprobó el Reglamento de la Ley 28950, Ley contra la Trata de Personas y el Tráfico Ilícito de Migrantes mediante Decreto Supremo N° 007-2008 del 29 de noviembre de 2008.
    • Mediante Resolución Ministerial Nº 0491-2010-IN/0105 del 31de mayo de 2010 se institucionaliza en el Ministerio del Interior, la “Línea contra la Trata de Personas 0800-23232” determinando que su funcionamiento está a cargo de esta Secretaría Permanente de la Comisión Nacional de Derechos Humanos, habiendo aprobando la Directiva Nº 04-2010-IN/0105 de funcionamiento.
    • Se han capacitado a 3,134 ronderos (as) de Junín, Ancash, Cajamarca, Piura, La Libertad, San Martín y Lambayeque entre los años 2008 y 2010, sensibilizados en materia de derechos humanos, seguridad ciudadana, Ley de Rondas Campesinas y trata de personas para mejorar su labor de apoyo a la Policía en la prevención de la seguridad ciudadana.
    • Se han capacitado 5,859 efectivos de la PNP fortaleciendo sus capacidades en procedimientos y técnicas de intervención en el marco de los derechos humanos aplicados a la función policial, trata de personas, uso del Sistema RETA PNP, entre otros.
    • Se ha ejecutado la primera fase de la “I Cruzada Nacional contra la Trata de Personas” con la participación de 10 Sectores del Estado, 4 Organismos Internacionales y 3 organizaciones no gubernamentales.

    Asimismo, el Ministerio del Interior, viene promoviendo la integración de los países del Hemisferio en la lucha contra la delincuencia organizada, especialmente la dedicada al TID a través de la suscripción de documentos, destinados a unir esfuerzos y al intercambio de información que permita luchar de manera conjunta e integral contra las diversas formas de delincuencia organizada transnacional.

    Se han promovido 55,049 operativos conjuntos en coordinación con la población organizada (rondas campesinas, comités de autodefensa, juntas vecinales, comités de seguridad ciudadana y rondas urbanas) y con el apoyo de la PNP, Fiscalía y Municipalidad, contra el pandillaje juvenil, abigeato, micro comercialización y consumo de drogas, prostitución clandestina entre otros, acciones que permiten coadyuvar a mantener la seguridad y disminuir la delincuencia en todas sus modalidades a nivel nacional.

    (Ver Anexos – Mandato 70. Cuadro 1)

    Se han promovido 15,975 operativos conjuntos, logrando de esta manera reducir la degradación del medio ambiente y protección de la flora y fauna, en coordinación con la DIRTURE-PNP y otras instituciones del estado encargados de controlar y proteger las especies en extinción, realizan operativos contra la tala indiscriminada de árboles, caza indiscriminada de la vicuña y fauna en extinción, pesca en ríos con explosivos, derrame de residuos químicos y otros.

    (Ver Anexos – Mandato 70. Cuadro 2)

    En coordinación con la población, organizaciones sociales, con el apoyo de entidades públicas y/o privadas se ha realizado obras menores como mantenimiento de carreteras, caminos de herradura, encause de ríos, riegos de áreas para pastoreo, mantenimiento de canales de riego, mejora de infraestructura de centros públicos (colegios, postas), se logró realizar 45,585 faenas comunales.

    (Ver Anexos – Mandato 70. Gráfico 1)

    Se ha gestionado y promocionado 163,953 atenciones de necesidades a través de los programas sociales promovidos por el Estado (Sierra Exportadora, Sembrando, Construyendo Perú, Agua para Todos, Juntos, entre otros) y/o la cooperación internacional (ONG´s), como alimentación, vivienda, salud e infraestructura en coordinación con la población y las organizaciones sociales, ubicadas en zonas de extrema pobreza.

    (Ver Anexos – Mandato 70. Cuadro 3)

    Como representante del Presidente de la República y el Poder Ejecutivo las Autoridades Políticas se promovió el desarrollo de su jurisdicción a través de los programas sociales promovidos por el estado, como: Sembrando, Construyendo Perú, Crecer, Agua Para todos, juntos, entre otros, además participan como facilitadores de acceso de la población a los beneficios de los programas logrando 36,398 acciones para el acceso a los Programas Sociales.

    (Ver Anexos – Mandato 70. Cuadro 4)

    Se ha diseñado un modelo distinto de ver o atacar el problema de la pobreza , enseñando a generar sus propios recursos antes que solo aliviar por algunos días dándoles los productos y medios que le permitan satisfacer temporalmente sus situación en cambio con programas como juntos se ven obligados a salir del circulo pernicioso de la pobreza por cuanto deben asistir a la posta medicas, escuelas de manera obligatoria y así poder recibir los ingresos que le permitan inclusive pensar en hacer pequeñas crianzas de animales menores que son ofertados en las ferias dominicales.
    • Date:  2012-03-07    Paragraphes: 71, 68, 8
    MINITER.

    El Perú viene implementando políticas de inclusión social y debido a que nuestra economía viene obteniendo un crecimiento sostenido ha permitido tomar acciones a través del Consejo Nacional de Seguridad Ciudadana - CONASEC, en el que participan los tres niveles de gobierno, quienes vienen formulando planes de corto y largo plazo con el propósito de disminuir los niveles de inseguridad sobre todo en las principales ciudades del país y ha tomado impulso la realización de encuestas de victimización que permiten medir a través de indicadores, las sensaciones de inseguridad notándose últimamente que los mayores niveles de inseguridad en las ciudades y las zonas rurales del país, lo constituye la violencia familiar.

    En este aspecto, se viene realizando reuniones para poder establecer líneas bases a nivel regional y a su vez uniformizar las variables que analizadas dan como resultados los indicadores del grado de violencia e inseguridad.

    Asimismo, se enfatizado la orientación de los presupuestos con enfoques de resultados, para ello se ha diseñado Programas Estratégicos a favor de la seguridad ciudadana, obteniéndose con ello la participación de todos los sectores involucrados a favor de de la seguridad pública.

    De otro lado el CONASEC con el apoyo de los organismos multilaterales ha venido realizando acciones tendentes a uniformizar los indicadores y variables a nivel de América Latina y el Caribe debido a que los mismos términos tienen concepciones diferentes en cada país miembro.

    El Ministerio del Interior, bajo un enfoque integral a la prevención de la delincuencia la violencia y la inseguridad, además viene incorporando las buenas prácticas de los países centroamericanos para dictar políticas de prevención, es así que los gobiernos locales y regionales vienen dictando medidas de prevención para evitar el incremento del consumo de bebidas alcohólicas y estupefacientes, además del control de armas de uso civil.

    En los últimos cinco años la Secretaria Técnica del Consejo Nacional de Seguridad Ciudadana - ST CONASEC ha capacitado a 54,539 personas en temas de seguridad ciudadana dirigido a los Secretarios de los Comités de Seguridad Ciudadana, autoridades y población en general.

    (Ver Anexos – Mandato 71. Gráfico 1)

    Para coadyuvar las políticas públicas de prevención de la delincuencia, se realiza actividades de sensibilización, habiendo ejecutado 18 paneles contra el pandillaje y la drogadicción en Lima Metropolitana y a nivel nacional, lográndose capacitar a más de 4 670 alumnos del cuarto y quinto año del nivel secundario en temas preventivos contra el pandillaje y la drogadicción.

    Se ha realizado el “I Cónclave de Seguridad Ciudadana”, evento en el que participaron 19 presidentes regionales, 40 alcaldes, 60 jefes policiales y representantes de diferentes sectores del Estado y la sociedad civil, se formaron diez grupos de trabajo para debatir diferentes temas relacionados con el funcionamiento del Sistema Nacional de Seguridad Ciudadana, así como los problemas que se presentan en sus respectivos sectores para mejorar la seguridad ciudadana.

    Se establecieron cuatro ejes temáticos para reforzar las acciones en materia de seguridad ciudadana en sesión extraordinaria de la Comisión Nacional de Seguridad Ciudadana (CONASEC) realizada el 20 de agosto de 2010.

    • Líneas de acción en relación a la seguridad ciudadana
    • Acciones que atentan contra la seguridad ciudadana, estructura e implementación de políticas preventivas
    • Aspectos correspondientes a la investigación del delito
    • Intervención policial. Aplicación de normas. Problemática existente
    • Date:  2012-03-07    Paragraphes: 72, 53, 92
    MINITER.

    El Ministerio del Interior, a través de las Dependencias Especializadas de la Policía Nacional del Perú, en el periodo analizado, ha ejecutado 62,070 operativos, 15,635 personas intervenidas a nivel nacional, 148,690 kg de droga decomisada, 5,389 laboratorios destruidos, 10,271 de pozas de maceración destruidas, 2’846,761 kg de insumos químicos fiscalizados decomisados e incautados y destruidos.

    (Ver Anexos – Mandato 72. Cuadro 1 y Gráficos 1, 2)

    En el marco del Plan de Erradicación de Proyecto Especial CORAH y en base a lo programado, se ha ejecutado 1,549 operativos, erradicándose 50,460 hectáreas de plantaciones y cultivos.

    Asimismo, se han incinerado 127,809 kg de droga, utilizando un moderno horno incinerador de última tecnología que no contamina y que fue donado por la Oficina de Antinarcóticos de la Embajada de EEUU (NAS). Esta información se muestra en los cuadros siguientes:

    (Ver Anexos – Mandato 72. Gráficos 3, 4)

    Asimismo cada año han venido desarrollando planes para intensificar la lucha contra la micro comercialización asestando golpes en familias dedicadas a este venta ilegal de estupefacientes destinadas a ir disminuyendo el consumo de estupefacientes en la juventud.
    • Date:  2012-03-07    Paragraphes: 74, 72, 67
    MINITER.

    El Sector Interior en el ámbito de su competencia a través de la Policía Nacional del Perú, realiza permanentemente importantes esfuerzos para reforzar los servicios para atender en mejores términos la demanda de protección de los ciudadanos y las comunidades en las que habita, para ello, durante el periodo 2006 -2010 ha ejecutado a nivel nacional 1’172,358 operativos policiales, 25’203,049 intervenidos en operativos, 9,581 bandas desarticuladas, 36,753 vehículos recuperados, 157,959 personas requisitoriadas detenidas, 15,366 incautación de armas, 318,320 detenciones por delitos y 276,289 intervenidos por faltas. Asimismo, se desactivaron 27 bandas de los peligrosos “marcas” que ha permitido la detención de 66 delincuentes, la incautación de 27 vehículos –entre motos y automóviles- y el decomiso de 37 armas de largo y corto alcance.

    En el plano preventivo, se han ejecutado las estrategias y acciones siguientes:
    • Se ha consolidado el proceso de Reestructuración y Distritalización de la VII DIRTEPOL como una de las reformas más importantes realizadas por la Policía Nacional del Perú, porque representa la desconcentración, la descentralización y la mejor asignación de los recursos materiales y humanos.
    • Se ha puesto en marcha el Plan de Patrullaje Integrado de Seguridad Ciudadana en algunos distritos de Lima Metropolitana con la finalidad de fortalecer las acciones conjuntas entre gobiernos locales y comisarías PNP destinados a brindar un mejor servicio a la ciudadanía.
    • Se ha implementado el “Plan de Operaciones de Patrullaje a Pie” en el territorio nacional incorporándose a 29,631 policías que prestaron servicios en sus horas de franco en puntos críticos.
    • Se han implementado 104 comisarías virtuales a nivel de Lima Metropolitana y 17 en el Callao, para mejorar los servicios y la operatividad de la Policía Nacional del Perú al servicio de la ciudadanía.
    • Se han incorporado 1 600 mujeres policías lo que representa el 80% del potencial humano de esta División de Policía de Tránsito, para mejorar el control del mismo en Lima y Callao.
    • Se han creado e implementado 28 Divisiones de Investigación Criminal en Lima con el objetivo de combatir, investigar y denunciar la delincuencia común y el crimen organizado.
    • Se han capacitado a 1 535 efectivos PNP que trabajan en la Oficinas de Participación Ciudadana y Comisarios como promotores policiales.
    • Se han capacitado a 17 030 juntas vecinales mediante eventos educativos, participando 52 000 personas aproximadamente, así como se dio orientación para la formulación de los planes en materia de Seguridad Ciudadana a nivel nacional.
    • Se ha instalado la División Policial Especializada de Protección de Obras Civiles (DIPROC) en la ciudad de Pisco con la finalidad de resguardar las obras de construcción civil y evitar que se cometan actos delictivos, así como extorsiones en torno a ellas.
    • Se ha asignado recursos por un monto de S/. 10’161,000 para el mejoramiento de la infraestructura de 281 Comisarías en el ámbito nacional.

    Asimismo, el Ministerio del Interior conjuntamente con otras entidades, viene haciendo esfuerzos para detectar en los países denominados países financieros, cuentas de los funcionarios y gobernantes de décadas pasadas.
    • Date:  2012-03-07    Paragraphes: 75, 9, 53
    MINITER.

    El Ministerio del Interior, a través de la Policía Nacional del Perú - PNP y de la Dirección General de Seguridad, Control de Armas Municiones y Explosivos de Uso Civil - DICSCAMEC, ejecuta acciones destinadas al decomiso de armas que no se encuentran con licencias de uso, asimismo, a través de campañas de sensibilización promueven la regularización de licencias.

    En este aspecto, durante el periodo 2007-2010, la PNP ha incautado un total de 8,238 armas, de las cuales 3,571 corresponde a revólveres, 2,641 pistolas, 819 escopetas, 783 armas hechizas, 138 carabinas, 75 fusiles de guerra, 175 escopetines, 25 perdigoneras, 11 pistolas ametralladoras. En el mismo periodo, se ha incautado un total de 312,074 cartuchos de municiones de diferente calibre.

    El año 2010, el mayor número de incautaciones se registró en los departamentos de Lima (679), La Libertad (319), Callao (180), Piura (171), Lambayeque (156) e Ica (130); en el resto de departamentos la incidencia es menor a 100 hechos. En el mismo año, el mayor número de incautaciones de municiones de diferentes calibres, se registró en los departamentos de Tumbes (123,293), Ucayali (10,271), Tacna (7,441), Piura (7,294), Lima (5,213), Lambayeque (3,259) y La Libertad (1,474); en el resto de Departamentos la incidencia es menos de 100 hechos, no habiéndose registrado ningún hecho en Huancavelica.

    (Ver Anexos – Mandato 75. Gráficos 1)

    Se han emitido un total de 274,800 licencias de posesión y uso para arma de fuego de uso civil en las modalidades de inicial, renovación, transferencia y duplicado. Es necesario resaltar que la disminución durante el año 2011, se debe que el 18OCT2007 se promulgó la Ley Nº 29106 que modifica el Código Penal y la Ley 25054 - Ley que norma la fabricación, comercio, posesión y uso por particulares de armas y municiones que no son de guerra, por lo cual se incorpora la exigencia, para el trámite inicial, de transferencia y de renovación, de la presentación obligatoria de los certificados de antecedentes policiales, penales y judiciales.

    Como parte de la política de destrucción sistemática de armas incautadas a delincuentes o abandonadas y respondiendo a las acciones internacionales orientadas a disminuir la violencia en la zona de Sud América, han sido recicladas 21,318 armas de fuego para convertirse en herramientas de trabajo, habiéndose entregado en forma oficial:
    • 52 arados al Programa Sembrando que dirigió la Primera Dama de la Nación.
    • 1114 zapapicos a Ministerio de Agricultura para comunidades de Puno
    • 340 rastrillos a la comunidad campesina de Soritor - San Martin
    • 350 palas al Programa Sembrando que dirigió la Primera Dama de la Nación.

    Asimismo, se muestra un cuadro de incautación de armamento, municiones, explosivos y accesorios en el referido periodo.

    (Ver Anexos – Mandato 75. Gráficos 2)
    • Date:  2012-03-07    Paragraphes: 76, 9, 67
    MINITER.

    El Perú para hacer frente a los fondos ilícitos en el Sistema Financiero ha creado un sistema y dictado normas para detectar fondos de origen ilícito, con la decidida participación de la Banca Nacional, quienes ante depósitos considerables dan cuenta a al Policía Fiscal para llevar adelante las investigaciones necesarias y de esta manera se viene detectando a varios delincuentes y narcoterroristas que pretende hacer lavado de activos con financiamiento de fondos de ilícita procedencia.

    Asimismo, mediante Resolución Ministerial Nº 0968-2008-IN de 06 de octubre de 2008, se aprobó el Plan General de Lucha contra la Corrupción en el Sector Interior 2007-2011.

    Se ha aprobado el Plan de Trabajo para la implementación del Programa Umbral Anticorrupción en el Sector, concluyéndose con el levantamiento de información relacionada a los requerimientos de equipos informáticos para las unidades beneficiarias, encontrándose en proceso la adquisición de los bienes a cargo de International Criminal Investigative Training (ICITAP).

    Se han articulado las actividades del Plan Sectorial de lucha contra la Corrupción, Plan Nacional Anticorrupción y Programa Umbral Anticorrupción.

    Se han realizado 20 eventos de capacitación con la participación de 1,796 personas aproximadamente entre personal policial y civil en el marco del Programa Umbral Anticorrupción.

    En el marco del Programa Umbral Anticorrupción a fin de implementar un software integrado de gestión de casos disciplinarios que mejore los procesos investigatorios se recepcionó 354 ordenadores de última generación.

    Se ha aprobado la Ley del Régimen Disciplinario de la Policía Nacional del Perú, Ley Nº 29356, que busca prevenir y sancionar de manera estricta, ágil y con plazos expeditivos las infracciones en las que incurran los efectivos policiales.

    Se han efectuado investigaciones extraordinarias, actuaciones previas y análisis de información relacionados a presuntas irregularidades y actos de corrupción presentados en diversos órganos policiales y no policiales del Ministerio del Interior formulando 138 informes al respecto.

    Se ha desarrollado el Programa “Respeto a la Autoridad”, realizándose un total de 77 operativos de prevención, en los que fueron intervenidos 434 conductores infractores al Reglamento General de Tránsito y denunciándose a 67 conductores por corrupción de funcionarios.

    Se ha lanzado la campaña “Manos Limpias en las Carreteras”, con la finalidad de evitar actos de corrupción que atenten contra el prestigio institucional y mostrar la transparencia que debe regir en toda intervención policial.

    Se han desarrollado 115 Acciones de Control, habiéndose determinado responsabilidad administrativa, civil y penal a 877 efectivos PNP, así como se han emitido recomendaciones de mejoras institucionales en el reforzamiento de la lucha contra la corrupción, permitiendo implementar las observaciones.

    (Ver Anexos – Mandato 76. Cuadro 1)

    Asimismo, se ha desarrollado el Primer Seminario sobre “Fortalecimiento de la Administración Disciplinaria”, con la finalidad de actualizar y capacitar al personal PNP, que cumple labores en el TRIDINAC-PNP y la IGPNP, a efectos de optimizar la administración disciplinaria en la PNP haciendo extensivo al personal PNP de la DIRREHUM como operadores de la Ley Nº 29356 “Ley del Régimen Disciplinario de la PNP”, habiendo participado 207 efectivos PNP (135 Oficiales, 60 Suboficiales y 12 Especialistas PNP).

    Se ha realizado 2 Conferencias sobre “Fortalecimiento de la Ley 29356”, habiendo participado 9,176 efectivos PNP de los cuales 1,388 oficiales y 7,382 suboficiales y especialista, y 406 alumnos de la PNP en el ámbito nacional.

    Se ha realizado 2 Encuestas o Sondeos de Opinión al personal PNP para lo cual se ha encuestado a 1,019 efectivos policiales d las Direcciones Generales y DIRTEPOLES cuya finalidad fue conocer el grado de conocimiento e internalización de la Ley del Régimen Disciplinario PNP e identificar los factores que influyen en el alto índice de infracciones a la referida Ley, entre otros aspectos.

    Se ha editado y distribuido el Libro de Bolsillo: de la Ley del Régimen Disciplinario de la PNP.
    • Date:  2012-03-07    Paragraphes: 77, 64, 72
    MINITER.

    Se ha ejecutado el Plan Estratégico de Modernización, Repotenciación, Renovación, Reemplazo y Reparación del Equipamiento de la PNP 2005-2009, que representa una inversión de S/. 80’064,653, con cargo al Fondo para las Fuerzas Armadas y la Policía Nacional, habiéndose adquirido equipamiento adecuado con los cuales se ha mejorado la capacidad operativa a la Policía Nacional del Perú para hacer frente a su labor diaria a favor a la disminución del pandillaje pernicioso.

    Se ha aprobado la relación de bienes de equipamiento por reposición que han sido adquiridos bajos los alcances de la Ley 28880 (llamada Ley del Shock de Inversiones) por la suma de S/. 111'782,096 y Ley No. 29035 (incremento por intereses legales y por redondeo) por un monto de S/. 58,173.35, que ha permitido recuperar en parte la capacidad operativa de la PNP, para hacer frente a la seguridad de las autoridades y de los visitantes que asistieron a las Cumbres de APEC Y AL-CUE.

    Se han adquirido equipos por reposición por un valor de S/. 2'420,630 para el reforzamiento de la DIVINSEC - DIRINCRI – PNP, con la finalidad de mantener las condiciones tácticas operativas en situación optima, apoyando en forma efectiva a la seguridad ciudadana, reduciendo el tiempo de respuesta de los operativos policiales y del servicio a la comunidad.

    Se ha implementado la firma digital en el Sistema de Emisión Instantánea de Certificados de Antecedentes Policiales (SEIC), logrando reducir el tiempo de entrega al público usuario de 24 horas a 5 minutos.

    Se interconectaron a la red policial: 168 Comisarías en Lima y 31 en Provincias, 165 unidades especializadas; además 55 unidades con líneas VPN (12 Comisarías) sumando un total de 419 dependencias interconectadas.
    • Date:  2012-03-07    Paragraphes: 74, 64, 74
    MINSA.

    La Estrategia Sanitaria Nacional de Salud Mental y Cultura de Paz ha sido elaborada en base a los Lineamientos para la Acción en Salud Mental -que tiene como objetivo brindar orientación para constituir las bases de planificación de las acciones de salud mental en el país- y siguiendo las pautas establecidas en el documento del Modelo de Atención Integral en Salud-MAIS.
    • Date:  2012-03-06    Paragraphes: 70, 68, 61
    MINJUSDH.

    A. Consejo Nacional de Política Criminal.

    La diversidad de sistemas administrativos y su falta de coordinación interna ha demostrado un claro aliciente a la aparición de núcleos de impunidad. Ante estas asimetrías las organizaciones criminales, las cuales representan un reto común a todos los países del mundo, tienden a funcionar bajo un esquema empresarial e inteligente, aprovechando aquellos escenarios o espacios que los Estados les brindan gratuitamente para crecer y expandirse al estilo de las corporaciones. Esto no solo implica la elección del territorio de un Estado para efectuar sus actividades ilícitas, si no que se aprovechan de las oportunidades brindadas por el sistema administrativo y normativa del país, así como las evidentes ventajas que ofrece la falta de comunicación que tiene un Estado con sus vecinos dentro de su espacio regional.

    Mediante la Ley Nº 29807 del 14 de noviembre del año 2011, se creó el Consejo Nacional de Política Criminal encargado de planificar, articular, supervisar y dar seguimiento a la política criminal del Estado, el mismo que está adscrito al Ministerio de Justicia, integrado por los siguientes miembros: el Ministro de Justicia, quien lo preside, el Presidente de la Comisión de Justicia y Derechos Humanos del Congreso de la República, el Presidente del Poder Judicial, el Fiscal de la Nación, el Ministro del Interior, la Defensor del Pueblo, el Presidente del Consejo Nacional Penitenciario, el Presidente de la Asamblea Nacional de Gobiernos Regionales, el Alcalde de la Municipalidad Metropolitana de Lima, un representante de la Asociación de Municipalidades del Perú, el Director General de la Policía Nacional, el Secretario Técnico del Consejo Nacional de Seguridad Ciudadana, cuatro representantes de las facultades de Derecho acreditadas de las universidades del país.

    El Consejo Nacional de Política Criminal tiene los siguientes mandatos y atribuciones:
    • Estudiar el fenómeno criminal y elaborar el Diagnóstico Nacional sobre las causas del delito y los factores que inciden en su expansión.
    • Diseñar, aprobar y supervisar la ejecución del Programa Nacional de Política Criminal, a partir de la información de la realidad nacional, de las conclusiones del Diagnóstico Nacional sobre las causas del delito y los factores que inciden en su expansión, y asumiendo con carácter vinculante las recomendaciones de los convenios internacionales en materia de prevención del crimen y justicia penal.
    • Formular políticas y directrices criminológicas que deberán ser propuestas a los diversos sectores y entidades involucradas en el sistema de control social, y, en particular, por aquellas que de manera directa se vinculan a la prevención, investigación y represión del delito, a la justicia penal y a la ejecución de penas y medidas de seguridad, con la finalidad de establecer líneas de trabajo orientadas hacia un mismo objetivo.
    • Evaluar el grado de cumplimiento del Estado peruano de los compromisos establecidos por los convenios internacionales en materia de prevención del crimen y justicia penal, y, de ser el caso, coordinar las acciones que sean necesarias para su total adecuación, participando en los congresos de las Naciones Unidas, la Organización de Estados Americanos u otros organismos internacionales, sobre prevención del crimen y justicia penal.

    B. Proyecto de creación del Grupo de Trabajo Multisectorial de Coordinación para el combate contra la Corrupción y Crimen Organizado.

    La diversidad de sistemas administrativos y sobre todo jurídico-penales en la región, ha demostrado favorecer la aparición de núcleos de ilegalidad. Ante estas asimetrías las organizaciones criminales, las cuales representan un reto común a todos los países del mundo, tienden a funcionar bajo un esquema empresarial e inteligente, aprovechando aquellos escenarios o espacios que los Estados les brindan gratuitamente para crecer y expandirse al estilo de las corporaciones.

    Esto no solo implica la elección del territorio de un Estado para efectuar sus actividades ilícitas, si no que se aprovechan de las oportunidades brindadas por el sistema administrativo y normativa del país, así como las evidentes ventajas que ofrece la falta de comunicación que tiene un Estado con sus vecinos dentro de su espacio regional.

    Se ha visto que existe hoy en día la necesidad de constituir cimientos de efectividad, en el combate contra la criminalidad organizada para lo cual es necesario establecer canales de coordinación y comunicación entre las entidades del Estado, así como el diseño e implementación conjunta de planes de acción dirigidos a combatir el delito, conforme a lo dispuesto por los principios establecidos por la Constitución Política del Perú y los acuerdos Internacionales de los cuales el Perú forma parte.

    En ese sentido, como una de las metas en los primeros meses del año 2012 es la creación y puesta en funcionamiento del Grupo de Trabajo Multisectorial de Coordinación para el combate Crimen Organizado, cuyo objeto será establecer canales de coordinación interinstitucional y el diseño e implementación conjunta de planes de acción dirigidos a combatir los delitos de corrupción y criminalidad organizada; facilitando la identificación de redes de corrupción a través del intercambio de información. El citado grupo de trabajo multisectorial dependerá del Ministerio de Justicia y Derechos Humanos - MINJUS.

    C. Sistema de Defensa Jurídica.

    El Decreto Legislativo Nº 1068 de fecha 27 de junio del año 2008 y su Reglamento aprobado por el Decreto Supremo N° 017-2008-JUS del 5 de diciembre del año 2008, tuvieron por objeto la reformulación y restructuración del Sistema de Defensa Jurídica del Estado con el fin de fortalecer, unificar y modernizar la defensa jurídica del Estado peruano en el ámbito local, regional, nacional, supranacional e internacional, la misma que está a cargo de los Procuradores Públicos. El ente rector del Sistema es el MINJUS y está representado por el Presidente del Consejo de Defensa Jurídica del Estado.

    Asimismo, el Sistema de Defensa Jurídica del Estado es definido por la legislación como el conjunto de principios, normas, procedimientos, técnicas e instrumentos, estructurados e integrados funcionalmente mediante los cuales los Procuradores Públicos ejercen la defensa jurídica del Estado.

    La norma que regula el Sistema determina que uno de los operadores claves en el mismo, es el Consejo de Defensa Jurídica, el cual tiene como misión coordinar y supervisar la defensa de los intereses del Estado, el cual propone la creación de Procuradurías, absolviendo consultas y prestando asesoría sobre aquellos materias vinculadas con la defensa del Estado. Por lo cual tiene como objetivo el resguardar la defensa de los intereses del Estado, con especial interés en materia de lucha contra la criminalidad organizada.
    • Date:  2012-03-05    Paragraphes: 76, 69, 68
    MEF.

    Acción 1.
    Prevención de lavado de activos.

    Descripción del tema

    La Oficialía de Cumplimiento del Banco de la Nación, de acuerdo con el marco legal vigente, supervisa que todas las áreas del Banco implementen los mecanismos del sistema de prevención y cumplan con aplicar la normatividad establecida en el Manual de Prevención del Lavado de Activos y Financiamiento del Terrorismo del Banco, aprobado en Sesión de Directorio N° 1807 de fecha 20.05.2010. Cabe precisar, que este Manual de Prevención contiene en su capítulo VI el Código de Conducta, el mismo que regula el comportamiento de los funcionarios y trabajadores del Banco.

    Problemática

    La falta de un marco normativo que permita implementar y supervisar el Sistema de Prevención del Lavado de Activos y Financiamiento del Terrorismo en el Banco de la Nación, en coordinación con los organismos nacionales e internacionales, para reforzar los procedimientos de control y capacitación a fin hacer posible identificar rápida y eficientemente señales de alerta de lavado de activos.

    Avances, planes y programas desarrollados para su cumplimiento

    El Banco de la Nación viene avanzado en la implementación de su sistema de prevención en el ámbito nacional y fortaleciendo la cultura de la prevención contra el lavado de activos y el financiamiento del terrorismo, para sensibilizar al trabajador frente a estos graves delitos. Para ese efecto, el Banco viene incorporando las mejores prácticas en la materia, para minimizar el riesgo de que la entidad pueda ser utilizada para la comisión de estos delitos.
    • Date:  2012-03-02    Paragraphes: 69, 71, 68
    MRE.

    El terrorismo consiste en un fenómeno criminal que perjudica el disfrute de los derechos humanos, lo que hace necesario el despliegue de un combate frontal y sin tregua. El Perú ha sufrido este flagelo durante dos décadas, tiempo en el que ha modificado su legislación antiterrorista y ha realizado juzgamientos en el fuero ordinario de todos los inculpados por terrorismo teniendo en cuenta los estándares internacionales sobre la materia.

    Últimamente, las fuerzas del orden han capturado al cabecilla libre más importante del grupo terrorista Sendero Luminoso en una operación militar caracterizada por un escrupuloso respeto de los derechos humanos, tal como corresponde a un país bajo un régimen democrático y con plena vigencia del Estado de Derecho.
    • Sources Connexes
    Anexos. Mandato 68 (MINITER)
    Anexos. Mandato 69 (MINITER)
    Anexos. Mandato 70 (MINITER)
    Anexos. Mandato 71 (MINITER)
    Anexos. Mandato 72 (MINITER)
    Anexos. Mandato 75 (MINITER)
    Anexos. Mandato 76 (MEF)
    Anexos. Mandato 76 (MINITER)
  • République dominicaine
    • Rapports
    • Date:  2014-05-30    Paragraphes: 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9
    La República Dominicana apoya el concepto multidimensional de la seguridad el cual se enfoca en la protección de los seres humanos, y que quedó expresa en la Declaración sobre Seguridad en las Américas del 2003. Igualmente valora el enfoque que viene definiendo la OEA a raíz de esta Declaración, en el documento “Visión Estratégica de la OEA” que incorpora las prioridades de cada Estado, contribuyendo a la consolidación de la paz, el desarrollo integral y la justicia social y se basa en valores democráticos, el respeto, la promoción y defensa de los derechos humanos, la solidaridad, la cooperación y el respeto a la soberanía nacional.
    La Estrategia Nacional de Desarrollo (END) período 2010-2030, establece “Un Estado socialmente democrático y de derecho, con instituciones que actúan con ética, transparencia y eficacia al servicio de una sociedad responsable y participativa, que garantiza la seguridad y promueve la equidad, la gobernabilidad, la convivencia pacífica y el desarrollo nacional y local”
    En el primer informe anual de avance de la END, publicado en el 2013, el Primer Eje ha sido el de mayor despliegue de iniciativas de políticas públicas en consonancia con sus líneas de acción: “Imperio de la ley y seguridad ciudadana” y “Seguridad y convivencia pacífica”. Los esfuerzos estuvieron dirigidos a la disminución de la inseguridad ciudadana en general y de combate al delito en particular, estableciéndose un nuevo concepto de seguridad ciudadana con un carácter amplio y abarcador: criminalidad, delincuencia, violencia, oferta y demanda de drogas.
    Diseño e implementación del Plan de Seguridad Democrática. Fue creado el 31 de agosto del 2005, y se enfoca en la multicausalidad de la violencia y de la delincuencia, cuyos objetivos son: favorecer la ruptura de la ausencia del Estado con las comunidades excluidas, para crear en lo inmediato oportunidades, participación, solidaridad, confianza y esperanza, y atacar integralmente y por separado las multicausales de la violencia en los ámbitos de la convivencia social y de la delincuencia y crear las condiciones de seguridad física para que la sociedad y sus organizaciones recuperen el espacio público y social.
    Del mismo modo, en fecha 20 de marzo 2013, fue lanzado el Plan Nacional de Seguridad Ciudadana, que tiene dos pilares fundamentales: persecución del delito y su prevención. Este plan implica un aumento de agentes policiales, recursos económicos, preparación y capacitación de policías, trabajo mancomunado entre Ministerio Público y las agencias de persecución del delito, entre otras medidas. El citado Plan consolida la persecución del crimen organizado, así como las violaciones a derechos humanos, entre ellos los correspondientes a coartar la libertad de expresión tanto de periodistas como de cualquier persona, así como las amenazas contra defensores de derechos humanos. El mismo es monitoreado por un Consejo Nacional de Seguridad Ciudadana, y un Observatorio de Seguridad Ciudadana, encabezados por el Presidente de la República, y compuestos por todos los actores nacionales con incidencia en el área.
    Creación del Consejo Nacional de Seguridad Ciudadana, para asesorar al Presidente de la República en asuntos relativos a la seguridad nacional y diseñar estrategias en la misma temática, realizar la coordinación interinstitucional, elaborar estrategias, planificar, coordinar y evaluar la inteligencia interinstitucional para la prevención del crimen y servir de soporte para la aplicación del Plan de Seguridad Democrática.
    Creación del Observatorio de Seguridad Ciudadana creado mediante Decreto 358-12 del 16 de julio del 2012, para recabar, consolidar, procesar y analizar la información delictual del país, con la finalidad de orientar y apoyar acciones y políticas de prevención, reducción y control de la criminalidad y la violencia.
    Fortalecimiento del Programa para el control y tenencia de armas de fuego en manos de la población civil. Se implementa una nueva Plataforma Tecnológica sobre el Sistema Nacional de Armas (SISNA) que se ejecuta a partir del 2013, con la Res. 390/2013, creado para modernizar el proceso y mantener actualizado el registro de armas de fuego a fin de fortalecer el control de las mismas en manos de la población civil.
    Así también, del Centro de Captura de huellas Balísticas-Biométricas, el cual es la unidad operativa, logística y administrativa del SISNA que se encarga de la captura de las huellas biométricas y balísticas que alimentaran la Base de Datos del SISNA.
    Diseño de una nueva licencia/ carnet para el porte y tenencia de arma de fuego, el cual contiene medidas de seguridad mejoradas, tales como un Código QR.
    Continuación del Programa de Reforma y Fortalecimiento de la Policía Nacional.
    Reforzamiento de la presencia de las fuerzas de seguridad, con 1,288 nuevos policías y 300 agentes de la AMET patrullando las calles, junto a 5 mil militares.
    Vehículos y otros equipos al servicio de este plan, entre ellos los 311 nuevos vehículos y 168 motocicletas, recientemente puestos en funcionamiento por la Policía Nacional, así como los 320 vehículos y 780 motocicletas adicionales, que darán apoyo al nuevo sistema integrado de emergencias, el 9-1-1.
    Unas nueve mil personas han sido entrenadas para formar parte de este Sistema, a fin de poder contar con el personal adecuado y especializado para cada una de las emergencias que puedan presentarse, entre ellos policías, bomberos, agentes de AMET, personal de salud y técnicos en el área de informática, así como personal de apoyo administrativo.
    Además se están instalando cientos de cámaras de video vigilancia, que unidas 4,100 equipos de radios digitales y a los cerca de 1,000 vehículos, entre moto- ambulancias, camionetas, camiones de bomberos y ambulancias, atenderán de manera rápida y eficaz a las emergencias a partir de mayo.
    El Sistema Integrado de Emergencias y Seguridad 9-1-1 consiste en la integración, en un punto único de contacto y coordinación de las instituciones de la República Dominicana destinadas a acciones de auxilio y de respuesta ante emergencias, para responder a los diferentes tipos de emergencias las 24 horas al día, los 7 días de la semana. Estará funcionando en el Gran Santo Domingo, lo que incluye el Distrito Nacional, así como Santo Domingo Norte, Oeste y Este, incluyendo hasta Boca Chica. A partir de ahí irá extendiendo su radio de acción hasta alcanzar al conjunto del territorio dominicano y al 100% de la población.
    El sistema va a servir tanto para proteger a la población de forma rápida y eficiente, como para combatir y prevenir el crimen, mejorar la seguridad vial y coordinar la respuesta oportuna ante posibles desastres naturales.
    Implementación del programa Vivir Tranquilo, a través del cual fueron capacitados a cerca de 3 mil jóvenes y habilitado 79 Centros Tecnológicos y Comunales.
    Sistema de Alerta Temprana y la institucionalización del Sistema de Reacción Rápida Frente a Trazas Ilícitas; consolidación del Programa de Compensaciones e Incentivos y extensión del mismo a las personas que laboran en las áreas de lavado de activos y microtráfico.
    Intensificación del Programa de Sensibilización en escuelas públicas, colegios, organizaciones comunitarias y gremios de profesionales sobre el daño que conllevas el tráfico y uso de drogas para las personas, la sociedad y el país.
    El país cuenta con el Observatorio Dominicano de Drogas, organismo técnico científico creado el 13 de noviembre del 2008 mediante el decreto 749-08, que tiene como finalidad la investigación y documentación para la recopilación, integración, análisis y difusión de información actualizada sobre drogas y sus factores asociados en la RD.
    Los resultados del Plan de Seguridad Ciudadana, ha logrado un descenso del 33% en la cifra de víctimas mortales en las áreas de mayor criminalidad del país y del 13% en el promedio nacional. La puesta en marcha del sistema 911 en mayo, el cual supondrá una revolución en la atención a las emergencias en el país: “rápido, eficiente, moderno, y para todos”.
    • Date:  2014-05-30    Paragraphes: 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9
    En cuanto a la producción de estadísticas de delincuencia en la República Dominicana, el director de la ONE informó la creación de un grupo coordinado por el Ministerio de Interior y Policía, en el que participan diferentes instituciones relacionadas con el tema. Destacó la utilidad del Sistema Nacional Integrado de Indicadores para el Desarrollo (SINID), como un aporte metodológico para el cálculo de indicadores sociales y económicos, herramienta que puede contribuir a determinar varias de las causas de la delincuencia.
    La República Dominicana se suma a los esfuerzos de coordinación regional que realizan las agencias de las Naciones Unidas y otros organismos internacionales para crear sistemas de estadísticas de delincuencia y justicia penal, haciendo especial énfasis en la capacitación de recursos humanos y en el establecimiento de metodologías de cálculo que permitan comparar estadísticas e indicadores, respetando las normativas de los diversos países.
    En ese sentido, la ONE cuenta con una valiosa herramienta en materia de consulta y análisis. Se trata de la Encuesta Nacional de Hogares de Propósitos Múltiples (ENHOGAR), la cual incluye un módulo sobre Seguridad y Percepción Ciudadana, que se ha incluido en la mayoría de los años en que se ha realizado esa investigación, desde su primera versión en el año 2005.
    Además de la ENHOGAR, la ONE produce anualmente el informe sobre Muertes Accidentales y Violentas, cuyo fin es proveer información descriptiva con relación a los hechos violentos y accidentales que ocurren en el país, que puedan servir de insumo en la toma de decisiones y para elaborar e implementar los planes y programas de los organismos e instituciones de seguridad del Estado.
    Desde el año 2007, la Oficina Nacional de Estadística (ONE), en su condición de órgano rector del Sistema Estadístico Nacional, suscribió un Convenio de Cooperación Interinstitucional con la entonces Secretaría de Estado de Interior y Policía (SEIP), actual Ministerio de Interior y Policía (MIP), mediante el cual transfiere a esta última entidad estatal un actualizado material cartográfico, resultado del Proyecto de Actualización y Modernización de la Cartografía Nacional, que viene desarrollando la ONE desde agosto de 2004. La principal utilidad de esta transferencia de mapas e información cartográfica, es que el MIP aproveche este material para la localización de eventos delictivos que atentan contra la seguridad interior de la República Dominicana.
    Entre los productos resultantes de estos acuerdos se encuentra la explotación que ha hecho la Procuraduría Fiscal del Distrito, conjuntamente con la Procuraduría General de la República, en el mapeo del delito y en otras acciones focalizadas para la resolución de conflictos en las comunidades.
    La República Dominicana continúa realizando esfuerzos para fortalecer la cooperación regional e internacional en materia de seguridad, delincuencia y temas relacionados, reiterando su compromiso a las iniciativas interregionales así como al intercambio de información.
    Creación del Centro de Excelencia para la Reforma Penitenciarias y Reducción de la Demanda de Drogas, cuyo objetivo es fomentar políticas y programas eficaces en los temas relacionados en el área de Centroamérica y el Caribe.
    Firma de memorándum de entendimiento entre la UNODC y el Gobierno dominicano, para la implementación del Programa de Comunicación Aeroportuaria (AIRCOP) y el Programa de Control de Contenedores, lo cual mejorará las operaciones que realiza el país en la lucha contra las drogas y el crimen organizado.
    Se implementó el marcaje de las municiones (dígitos que representan el país de destino final, la empresa importadora y el lote de la importación), lo que permite un rastreo desde la empresa fabricante hasta su usuario final, y para fortalecer este proceso se recibió como donación en el 2012, una máquina de marcaje de armas de fuego tipo dot-peen y sus accesorios, por la Secretaría General de la OEA, como parte del Proyecto “Promoviendo el Marcaje de Armas de Fuego en América Latina y el Caribe”, así como la asistencia técnica de capacitación. En el 2013 fue suscrita una enmienda para la obtención de otra máquina semejante a la anterior y sus accesorios, además de una laptop con sus programas y antivirus, entrega realizada en un acto público el 24 de abril de 2014.
    Durante el periodo 2012-2013 el MIP ejecuta operativos institucionales conjuntos, haciéndose acompañar del Ministerio Publico, para incautar y decomisar, según el procedimiento legal, las armas ilegales, y luego proceder a su destrucción, así como acciones para monitorear, especialmente, los puntos ciegos y vulnerables, en donde, por sus características, favorecen el comercio ilícito de armas, y también dirigiendo la atención a las personas que hacen un uso indebido de armas en lugares públicos, especialmente en centros de diversión y de expendio de bebidas alcohólicas, y a los establecimientos que no cumplen con las normas y vigilancia para un control efectivo dentro de sus negocios . También se realizan inspecciones, auditorias y operativos en taller
    Creación de una Comisión Ad Hoc de Armas en el Ministerio de Interior y Policía, en interés de dar respuesta adecuada y oportuna a los temas vinculados al control efectivo de armas de fuego en manos de la población civil y armerías.
    No menos importantes es la creación de los Cuerpos Especializados de Seguridad Aeroportuaria (CESAC), Seguridad Portuaria (CESP) y Seguridad Fronteriza (CESFRONT]) orientados a velar por las fronteras de la República Dominicana, controlando y vigilando la entrada y salida de armas, drogas, indocumentados y otros.
    A raíz de la entrada en el Sistema de Integración Centroamericana (SICA), la República Dominicana ha orientado todo su esfuerzo en integrarse en los programas del sistema, especialmente en el área de seguridad, iniciando el proceso para ser parte del Tratado Marco de Seguridad Centroamericana, y en los proyectos que se vienen desarrollando, especialmente prevención de la violencia contra las mujeres.
    La República Dominicana está inmersa en diferentes iniciativas para contrarrestar la delincuencia organizada, a través de las Naciones Unidas y la OEA, siendo beneficiada con asistencias técnicas y capacitaciones. De igual manera aprovecha los acuerdos bilaterales y triangulares, con países como Estados Unidos, Colombia, Canadá, Honduras entre otros.
    • Date:  2014-05-30    Paragraphes: 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9
    Asuntos de Género: Derechos de la Mujer
    1. La Constitución Dominicana del 2010, visualiza la igualdad y equidad de género como uno de los principios fundamentales que la rigen, tal y como expresan las siguientes disposiciones:
    a) Principio de igualdad entre hombres y mujeres y la condena de todas las formas de discriminación.
    b) Compromiso del Estado de promover las condiciones jurídicas y administrativas para que la igualdad sea real y efectiva y adoptar las medidas necesarias para prevenir y combatir la discriminación, la marginalidad, la vulnerabilidad y la exclusión.
    c) Derecho de las mujeres a una vida libre de violencia.
    d) El acápite 5 del artículo 39, dispone la responsabilidad del Estado de promover y garantizar la participación equilibrada de mujeres y hombres en las candidaturas a los cargos de elección popular para las instancias de dirección y decisión en el ámbito público, en la administración de justicia y en los organismos de control del Estado, y,
    e) Reconocimiento del valor productivo del trabajo doméstico, de la unión de hecho, de la igualdad salarial por igual trabajo, la iniciativa legislativa popular y el lenguaje de género en todo el texto constitucional.
    2. En razón a los articulados citados, pueden considerarse tres categorías que benefician a las mujeres, constituyendo significativos avances para las dominicanas y que, sin lugar a dudas, representan las más sustanciales conquistas en términos de derechos y garantías constitucionales:
    Primero, aquellos aspectos que directamente aluden a sus derechos.
    Segundo, aquellos de carácter general y que por mandato del principio de igualdad implícitamente impactan también a las mujeres, y;
    Tercero, aquellos que representan mecanismos o instrumentos para demandar o tutelar derechos, y que otorgan a las mujeres otras oportunidades especiales para ejercer, demandar, o proteger sus derechos.

    3. Ejemplo de lo expuesto, y referente al ejercicio del derecho a la igualdad en la participación política de las mujeres y posicionamiento en medios de influencia y toma de decisiones dominicanos, actualmente contamos con 38 diputadas, representando 20.8% en la Cámara Baja y 3 senadoras, representando 9.4% en el Senado de la República. En las elecciones del 2010 fueron electas 12 mujeres alcaldesas, para 7.7% del total electo para ésta posición, dos puntos por encima de la media mundial actual, las regidoras o concejalas, por su parte, alcanzaron por primera vez la cuota mínima legal del 33% para el período 2010-2016.

    4. Resaltamos también, la elección de una mujer por segunda vez como Vicepresidenta de la República, en mayo 2012 para el período presidencial 2012-2016. La primera vez que una mujer ocupó dicha posición fue en el período presidencial 2000-2004.

    5. Para frenar la pandemia de violencia contra la mujer, el Ministerio de la Mujer ha implementado con el apoyo de diversas instituciones que tienen a su cargo la persecución e investigación de los crímenes y delitos, como la Procuraduría General de la República, el Ministerio de Interior y Policía y la Policía Nacional, una serie de mecanismos de protección y acceso a la justicia para aquellas que han sido víctimas de maltratos físicos y psicológicos, destacándose las creaciones de:
    - Procuraduría Adjunta de la Mujer creada en año 2007, y la que continúa operando con el mandato de dirigir y monitorear los procesos de investigación e instrucción criminal en materia de violencia contra las mujeres, y cualquier otro factor que afecte sus derechos y libre acceso a la justicia.
    - Oficinas de Equidad de Género en las Instituciones, entre ellas, en el Ministerio de Interior y Policía y Policía Nacional.
    - Dirección Nacional de Atención a Víctimas por parte de la Procuraduría General de la República Dominicana.
    - Unidades Especializadas de Atención Integral a la Violencia de Género, Sexual e Intrafamiliar, establecidas en cada Fiscalía Provincial del Territorio Nacional, las que para final del 2013 se elevarán a 32, conllevando esto un aumento del personal destinado a ejercer funciones en dichos departamentos.
    - Comité Internacional de Protección a la Mujer Migrante (CIPROM).
    - Puntos de Información y Orientación para Prevenir la Trata y Tráfico de Personas a través de las Oficinas Provinciales y Municipales del Ministerio de la Mujer.
    - Líneas Gratuitas de Atención a Personas en Situaciones de Violencia (Línea VIDA y Línea de Auxilio), de 2012 brinda cobertura las 24 horas de los 365 días, y junto a 9 brigadas regionales realizan la labor de rescate a víctimas de violencia intrafamiliar y de maltrato, logrando reducir los feminicidios a 26% comparado a los primeros meses del 2012 y 2013.
    - Oficinas de Representación Legal de los Derechos de las Víctimas.
    - Continuación del funcionamiento desde el 2003, de los Centros de Acogida o Refugios para las mujeres, niños, niñas o adolescentes víctimas de violencia intrafamiliar. Proyectado al 2013 la instalación de 2 nuevas Casas de Acogida por la necesidad presentada a raíz del aumento de violencia y poder contar con mayor espacio de albergue. Desde el 2008 hasta 2012 han sido refugiadas 1,193 personas en las Casas de Acogidas. Solo al 2012, 147 mujeres que estaban en peligro inminente de muerte violenta fueron atendidas en los centros.
    - Acuerdo Interinstitucional en el mes de agosto 2013, entre los Comedores Económicos del Estado y la Procuraduría Fiscal de la Provincia de Santo Domingo, del Ministerio Público, para dotar de raciones de alimentos a las mujeres víctimas de violencia.
    - Relacionado al ejercicio de la investigación y persecución efectiva de los actos de violencia de género e intrafamiliar, vía las distintas opciones de atención a que tienen acceso las mujeres, es importante mencionar que en el año 2009 fueron interpuestas un total de 52,403 denuncias, mientras que en el 2010 se interpusieron 58,534, siendo judicializadas en los dos años citados un total de 9,706 expedientes. Al 2011, fueron recibidas 66,177 denuncias, siendo judicializadas 20,942, un notable incremento, fruto de la nueva visión en la lucha contra este grave delito.
    • Date:  2014-05-30    Paragraphes: 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9
    - Con intención de reforzar las prácticas de prevención de violencia contra las mujeres y de la implementación de campañas, planes, programas y estrategias que garanticen el acceso de las mismas a las informaciones necesarias sobre sus derechos y los mecanismos que poseen de protección mediante el debido acceso a la justicia y a los centros de salud, se iniciaron la ejecución de:

    - Adopción de la Campaña a nivel nacional sugerida por el Secretario General de la ONU "Únete para poner fin a la violencia contra la mujer", articulada desde el Ministerio de la Mujer desde el 15 septiembre 2011, contando con el apoyo de más de 700 instituciones del sector público y privado ; desarrollándose conjuntamente jornadas de capacitación, charlas, conferencias, promoción y distribución de los materiales de la campaña , y siendo ampliamente difundida mediante diferentes actividades y medios de comunicaciones nacionales , poseyendo un proceso educativo consistente en tres cartillas dirigidas a Maestras y Maestros, Jóvenes y Mujeres, formando parte además de la campaña de "Movilización Social por una Vida sin Violencia para las Mujeres de la República Dominicana".
    - Lanzamiento en el año 2012 por la Procuraduría General de la República, campaña "Promesa de Hombre", enfocada a sensibilizar y promover una cultura de paz y respeto hacia las mujeres para prevenir principalmente los feminicidios, también difundida en todo el país a través de medios de comunicación nacionales.
    - Plan Nacional de Equidad de Género (PLANEG) 2007-2017: Fundamentado en tres aspectos estratégicos: a) Igualdad entre los géneros desde el enfoque de derechos humanos; b) Transversalización y focalización e intervenciones piloto de alto impacto; c) Mecanismos institucionales de coordinación y articulación para la implementación del plan. Otro aspecto estratégico es el establecimiento del Sistema de Indicadores para el seguimiento y monitoreo de la ejecución del PLANEG II.
    - Plan Estratégico Nacional de Transversalización de Género en el Sector Salud 2012-2017: Con éste, se da cumplimiento a la Sexta Prioridad del Plan Decenal de Salud 2006-2015, para orientar el conjunto de acciones que serán implementadas para la transversalización de la perspectiva de género en el Sistema de Salud.
    - Plan Estratégico “Prevención de Embarazos en Adolescentes 2011-2016: Con perspectiva de género y enfoque de Derechos Humanos, teniendo como misión la creación y fortalecimiento de mecanismos en el ámbito nacional y local de políticas dirigidas a reducir los embarazos en adolescentes, incluyendo asignación presupuestaria y rendición de cuentas para el desarrollo.

    - Plan Estratégico de Género del Ministerio de Trabajo (PEG-MT) 2009-2013: Su propósito es incorporar el enfoque de género en los objetivos y funciones del Ministerio de Trabajo desarrollando acciones que promuevan igualdad y equidad de género desde la estructura orgánica y funcional del Ministerio.

    - Acuerdo Interinstitucional entre la Comisión Nacional de Prevención y Lucha contra la Violencia Intrafamiliar (CONAPLUVI) y el Plan Estratégico para la Preservación, Detección, Atención y Sanción a la Violencia Contra las Mujeres e Intrafamiliar 2011-2016, presidido por el Ministerio de la Mujer.

    - Publicaciones e Investigaciones de acceso a la población dominicana en general, sobre temas de género, niños, niñas y adolescente, la familia, entre otros.;

    - Proceso de Revisión y adecuación del material denominado “Manual de Derechos Laborales de las Mujeres”, iniciado a principios del 2013 por el Ministerio de Trabajo; y

    - Programa de capacitación y sensibilización interno de la Junta Central Electoral, sobre igualdad de género y violencia contra la mujer, como transversalización del enfoque de género en las instituciones públicas.

    - La Procuraduría General de la República como parte del entrenamiento a sus Procuradores Fiscales y Coordinadores de Unidades de Atención a Víctimas de Violencia de Género, determinó el protocolo a seguir en prevención de feminicidios, instruyéndolos a la advertencia de la No conciliación de las parejas que constituyan un riesgo a la vida de la denunciante en los casos de que el supuesto agresor posea armas de fuego, ordenándose a la vez, la retención del arma. Se ha priorizado en dichas situaciones, primero poner a salvo a la mujer que haya sido víctima de violencia o sufra alguna amenaza, y luego acudir tras el agresor. La conciliación sólo sería aceptada después de evaluado el caso en profundidad y se concluya mediante las diferentes entrevistas y pruebas periciales, que la situación es un simple conflicto de pareja.

    - Producto del conjunto de acciones referidas, es que el Estado Dominicano se place en subrayar que para los meses de enero-junio 2013, hubo una reducción de un 42.31% comparado con igual período del año 2012, en las víctimas mortales de violencia intrafamiliar. Para el año 2013 las estadísticas estaban: enero 8, febrero 1, marzo 8, abril 6, mayo 5 y en junio 2. Mientras que en el 2012: enero 8 feminicidios, febrero 10, marzo 11, abril 9, mayo 6, y junio 8.

    - En 2012 se fortalecieron dos Oficinas Provinciales del Ministerio de la Mujer. Además, las dos casas de acogida o refugios existentes reestructuraron el esquema de servicios prestados y aumentaron de manera significativa la calidad de los servicios, incluyendo asistencia psicológica y legal y agilización de los procesos de sometimiento judiciales. Se reactivaron la Comisión de Prevención y Lucha contra la Violencia Intrafamiliar (CONAPLUVI) y las campañas de sensibilización a la población.

    - Para la aplicación de la política transversal de enfoque de género, en el ámbito del Sistema Judicial se emprendió durante 2012 un conjunto de acciones orientadas a abordar los problemas de justicia y género. Entre estas acciones se destacan:
    - Elaboración del “Manual de Inducción a la Perspectiva de Género del Poder Judicial”, irigido a brindar herramientas conceptuales que permitan al personal actual y de nuevo ingreso la compresión de los temas de género, a fin de cumplir con mandatos constitucionales y compromisos asumidos en instrumentos internacionales. Esta acción se enmarca en el mandato del Reglamento de Aplicación de la Política de Igualdad de Género que tiene por objetivo la transversalización de género en el quehacer judicial, a fin de garantizar a las mujeres la igualdad en el acceso a la justicia.
    - Creación de las cátedras virtuales mensuales de Justicia y Género, organizadas en coordinación con la Fundación Justicia y Género y la Universidad Estatal a Distancia de Costa Rica. Este es un espacio de análisis y reflexión de los temas relativos a justicia y género.
    - Elaboración del Proyecto de Ley contra la Violencia a la Mujer, por parte del Ministerio de la Mujer, la Procuraduría General de la República, el Poder Judicial y otras organizaciones no gubernamentales.
    - Implementación del Proyecto “Sistematización de la Gestión Judicial de Casos de Víctimas de Violencia de Género, Intrafamiliar y Delitos Sexuales”, iniciativa de la Procuraduría General de la República con apoyo de la Agencia de Cooperación de Andalucía, que desarrolla un programa piloto en el Distrito Judicial San Francisco de Macorís orientado a mejorar la prontitud en la protección en los casos de violencia contra la mujer.
    - Elaboración y puesta en marcha de una Estrategia Nacional sobre el vínculo entre VIH y la violencia contra la mujer, diseñada por UNFPA, ONUSIDA, UNICEF e instituciones nacionales que, entre otras acciones, capacita a jueces y juezas sobre dicho vínculo y su transversalización en los protocolos de actuación.
    - Por su lado, el Ministerio de Salud elaboró el documento Normas, guías y protocolos de atención integral a la violencia intrafamiliar y contra la mujer, a ser aplicados en los principales centros de la red de salud pública, y conformó la red de puntos focales de género a nivel nacional. También estableció un Convenio con la Procuraduría General de la República para aplicar modelos de atención integral a la violencia intrafamiliar, contra la mujer y delitos sexuales.
    • Date:  2014-05-30    Paragraphes: 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9
    Trata y Tráfico de Personas
    - La trata de personas –en todas sus formas: incluyendo la de mujeres, de menores de edad–, así como el tráfico de indocumentados, está constitucionalmente prohibida en República Dominicana.
    - En octubre de 2007 se estableció la Comisión Nacional contra el Tráfico y la Trata de Personas, con la responsabilidad de desarrollar una estrategia nacional para combatir la trata y mejorar la protección a las víctimas.
    - La Procuraduría General de la República, por medio de su Unidad Contra el Tráfico y Trata de Personas, coordina la investigación y persecución de todos los casos de trata de personas.
    - Las unidades de la Policía Nacional, la Dirección de Migración y la Procuraduría General se enfocan en la trata de personas, así como también el Comité Interinstitucional para la Protección de la Mujer Migrante. A nivel internacional, el Ministerio de Relaciones Exteriores desarrolló una red mundial de oficiales consulares entrenados para reconocer y asistir a las víctimas dominicanas del tráfico.
    - La explotación sexual comercial de menores de edad aparece como variante particular del tráfico de personas. La Comisión Interinstitucional Contra el Abuso y la Explotación Sexual Comercial, co-presidida por la Secretaría de Trabajo y el Consejo Nacional para la Niñez y la Adolescencia (CONANI), con el apoyo de la OIT para la Eliminación del Trabajo Infantil, aúna esfuerzos con el Ministerio Público y la Procuraduría de Niños, Niñas y Adolescentes, para combatir la explotación sexual de adolescentes en destinos turísticos como Boca Chica, Sosúa, y Las Terrenas.
    - Las autoridades han tomado una serie de medidas para contrarrestar y regular dicho flujo migratorio: promulgaron la Ley 137-03 sobre Trata de Personas y Tráfico Ilícito de Migrantes y la Ley 285-04 sobre Migración; el Decreto 575-07, de 2007, que estableció la Comisión Nacional Contra el Tráfico y la Trata de Personas, el cual actualmente valida el Plan Nacional de Acción Contra la Trata de Personas y el Tráfico Ilícito de Migrantes (2009-2014). De 2004 a
    - Finales de 2008, más de 400 inspectores de migración y autoridades policiales, militares y civiles han sido suspendidos, cancelados y/o sometidos a la justicia por su participación en delitos de trata de personas y de tráfico de indocumentados.
    - De los más recientes progresos en el combate de Trata y Tráfico de Personas, citamos el informe correspondiente al año 2012, publicado en el curso del año 2013 por el Departamento de Estado de los Estados Unidos, en donde mantiene al país en la categoría 2, pero sin embargo, destaca el gran esfuerzo que se está realizando para lidiar con dicho delito.
    - En los años 2009-2010 fueron judicializados 25 expedientes, mientras que al año 2011 fueron sometidos 63. Para el año 2012 se condenaron 3 personas por este ilícito penal; 2 nacionales haitianos con condenas de 15 años de prisión por haber tratado 12 menores en edad oscilantes entre 8 y 14 años, de su misma nacionalidad en la modalidad de Explotación Laboral; y la otra condena corresponde a 20 años de prisión impuesta a una mujer dominicana por explotar sexualmente a su hijo menor de 8 años; a diciembre de igual año, 18 personas más se encontraban cumpliendo medida de coerción por este delito. Asimismo, 61 personas fueron rescatadas y recibieron asistencia de órganos del Estado.
    - Creación de la Procuraduría General Especializada contra la Trata y Tráfico de Personas, mediante Resolución No.003-2013, dictada por el Consejo Superior del Ministerio Público. En fecha 25 de febrero de 2013, mediante oficio No. 00788, la Procuraduría General de la República instruyó a todos los miembros del Ministerio Público a ejercer acciones inmediatas y contundentes contra el proxenetismo y la trata de personas, conforme a la ley.
    - Mediante un esfuerzo interinstitucional realizado entre la Procuraduría General de la República, la Dirección General de Migración, la Policía Nacional, el Consejo Nacional para la Niñez y la Adolescencia, la OIM, ICE, entre otras, durante los primeros meses del 2013, en coordinación de la nueva Procuraduría Especializada en la Materia de Trata, se han ejecutado numerosos operativos, siendo el más destacado el de fecha 15 de mayo del año referido, donde se rescataron 58 menores de edad de nacionalidad haitiana, siendo apresados igualmente 58 adultos, entre nacionales dominicanos y haitianos, como imputados de este delito.
    • Date:  2014-05-30    Paragraphes: 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
    Acceso de la mujer a mecanismos e instituciones de ahorro y crédito.
    - El Programa de Apoyo al Desarrollo de Empresas Rurales (PADER), tiene como propósito fundamental canalizar créditos al área rural, específicamente a la micro, pequeña y mediana empresa, orientadas a contribuir al desarrollo integral de las zonas rurales mediante nuevas actividades productivas, con miras a crear oportunidades de empleo, generar ingresos que dinamicen la economía de esas zonas y por ende, elevar las condiciones de vida de las y los habitantes del campo para el combate de la pobreza en las áreas más deprimidas del país.
    - El Banco Agrícola ofrece servicios crediticios diversificados, para mejorar la producción y productividad en la zona rural, mediante un permanente esfuerzo de capitalización y modernización con tecnología de punta, revalorizando y comercializando sus activos con un personal capacitado y motivado.
    - Programas de Créditos del Banco Agrícola. La Cartera de Préstamo dirigidos solo a mujeres, tuvo como objetivo incentivar la labor productiva del sector agropecuario y de otras actividades del medio rural, contribuyendo a generar empleos, distribución del ingreso y el abastecimiento de la canasta familiar de la población dominicana.
    - La Oficina Nacional de Estadísticas trabajó en una nueva Metodología Oficial de Medición de Pobreza Monetaria para la República Dominicana, consensuada entre los principales actores nacionales e internacionales involucrados en esta temática. Esta nueva metodología aborda las diferentes maneras de conceptualizar la pobreza y la forma de medirla, dentro de las que se identifica el enfoque a partir del cual se desarrolla esta propuesta de medición de la pobreza monetaria. Igualmente, identifica las características de las principales fuentes de información a utilizarse para la medición de la pobreza monetaria a partir de esta propuesta metodológica.
    • Date:  2014-05-30    Paragraphes: 9
    - República Dominicana es uno de los países que realiza mayores sacrificios por proteger y garantizar los derechos del migrante, en su doble condición de Estado emisor y receptor. En su Constitución y en sus leyes no hay qué contradiga esos derechos y por eso estudia en la actualidad la adhesión a la Convención Internacional sobre la Protección de los derechos de todos los trabajadores migrantes y sus familiares.
    - De los principales logros que el país ha experimentado en los últimos 4 años en protección de los derechos de los migrantes, señalamos:
    - Creación de los procedimientos para las deportaciones, las no admisiones y retenciones administrativas, conforme al Decreto 631-11.
    - Reactivación del Consejo Nacional de Refugiados, el cual tenía más de 5 años inactivo. Fruto de esto, desde el 19 de febrero 2012 hasta la fecha, la Subcomisión Técnica de la Comisión Nacional para Refugiados ha realizado 7 reuniones en fechas 19 de febrero, 06 y 20 de marzo, 03 y 17 de abril, 1ro. y 15 de mayo del año 2013, en las que ha conocido 118 expedientes, haciendo las recomendaciones de lugar contenidas en las actas Nos. 1/13, 2/13, 3/13, 4/13, 5/13 y 6/13, y ha aprobado un total de 19 casos de refugio; y
    - Puesta en marcha del Programa de Retorno Voluntario Asistido, dirigido por la Dirección General de Migración, en colaboración de la Organización Internacional para las Migraciones (OIM). Este programa consiste en asistir a los inmigrantes vulnerables que desean regresar a su país de origen y reintegrarse a la sociedad, contando con un fondo que les ayuda a recentarse en el país de origen, llevándose consigo sus ajuares y muebles que tuviesen en República Dominicana.
    - Posteriormente a la aprobación del Reglamento de la Ley General de Migración, se está ejecutando el Programa de Trabajadores Temporeros, en donde se han recibido más de 20,000 solicitudes con la finalidad de regularizar el estatus migratorio de los mismos. En este sentido, se han procesado más de 1,000 solicitudes, y dentro de poco se pondrán en vigencia los Estatutos del Trabajador Fronterizo; actualmente opera el relativo a los estudiantes. Con esto más personas inmigrantes podrán normalizar su situación legal en el país.
    - Mientras, el Ministerio de Trabajo está realizando los esfuerzos a través de la Unidad de Migración Laboral, establecida por Resolución No. 14/2012, y funcionando bajo dependencia de la Dirección General de Empleo del Ministerio, con el propósito de proteger y erradicar cualquier violación a los derechos laborales de los inmigrantes, especialmente de los nacionales haitianos. La Unidad tiene designada una persona que sirve de enlace entre el sector empleador y los trabajadores; y ha realizado diferentes actividades durante el año 2012 , a fin de contribuir a la promoción de una modernización y mejora sostenida a largo plazo de las políticas y acciones en materia de Administración de las Migraciones Laborales en la República Dominicana.
    - La OIM, es la contratación de 1 Consultor y 2 Asistentes de Tecnologías asignados a la Dirección General de Trabajo con la función de actualizar la base de datos del Sistema de Relaciones Laborales (SIRLA) respecto a las estadísticas de la cantidad de trabajadores extranjeros que existen en las distintas empresas del país.
    - En enero de 2012 entró en vigencia el Reglamento No. 631-11 de la Ley 285-04 sobre Migración. Para la implementación de este reglamento se han realizado las coordinaciones necesarias entre la Dirección General de Migración, el Ministerio de Trabajo y el Vice ministerio para Asuntos Consulares y Migratorios del MIREX, con el objetivo de definir el procedimiento para el ingreso de un trabajador extranjero temporero y el cumplimiento con las garantías laborales que le concede la ley. En enero se procesó el primer contingente de 600 nacionales haitianos que trabajan en el sector bananero, a los cuales se les otorgaron visas de negocios múltiples con fines laborales (Visa NM1); se está en proceso para que el Ministerio de Trabajo tramite su registro ante la Seguridad Social.
    - Elevación del Departamento del Distrito Nacional contra la Trata de Personas a la Procuraduría Especializada contra el Tráfico ilícito de Migrantes y Trata de Personas (PETIMP), responsable de implementar políticas contra la trata de personas, y cuenta con jurisdicción a nivel nacional.
    - En el 2013, la Comisión Interinstitucional contra la Trata de Personas y el Tráfico Ilícito de Migrantes (CITIM) aprobó a finales de Noviembre un protocolo, que sería de uso común por todas las instituciones miembros, para la identificación efectiva de una víctima de trata de personas, la recepción de su caso y registro de información a nivel nacional o a su retorno al país, así como el referimiento a las demás instituciones competentes.
    - Los esfuerzos también está orientados a la aplicación de herramientas de monitoreo a través de los consulados dominicanos en el servicio exterior, instituciones de la Sociedad Civil y ONGs, que registran casos atendidos durante el año y denuncias directas recibidas en el Departamento de Asuntos Migratorios del Ministerio de Relaciones Exteriores. Asimismo, se hace una recopilación anual de datos a través de las instituciones que componen la CITIM.
    - Campaña Nacional en contra del Trabajo Infantil, como parte de los esfuerzos llevados a cabo para establecer un sistema de protección que prevenga que menores de edad sean utilizados como trabajadores domésticos, el Ministerio de Trabajo lanzó una campaña nacional en contra del trabajo infantil en hogares de terceras partes dentro de las actividades que organizó durante el mes de junio 2013, como parte del Día Internacional contra el Trabajo Infantil.
  • Sainte-Lucie
    N/A
  • Saint-Kitts-et-Nevis
    N/A
  • Saint-Vincent-et-Grenadines
    N/A
  • Suriname
    • Rapports
    • Date:  2012-04-11    Paragraphes: 69, 70, 72, 75, 17
    Suriname remains committed to policies strengthening public security.
    - An Anti-Terror Unit (ATE) was established, directly reporting to the Chief of Police. Training to the ATE was provided by international experts. This unit assisted with maintaining public order and tranquility at the V Summit of the Americas in Trinidad and Tobago.
    - Operation “The New Route” is aimed at suppressing crime in the broadest sense of the word and is being performed in the city of Paramaribo and surroundings, in cooperation with the military.
    - Introduction of special techniques in criminal investigation.
    - Security cameras along public roads and around bridges in Paramaribo have been installed.
    - Improvement in coordinating activities by replacing the JAP Team with the Drug Trafficking (BID Team) at the international airport.
    - Training of members of the BID Team by international instructors on a regular basis.
    - Training of staff of the Police Corps of Suriname to become instructors in dog training in Suriname.
    - Establishment of a training center for Drug Dogs in Suriname.

    CHALLENGES IN NATIONAL SECURITY
    Similar to other countries, Suriname faces certain security related threats and challenges which also include aspects of transnational organized crime, namely:
    1. Drug trafficking
    2. Trafficking in persons
    3. Trafficking in small arms and light weapons
    4. Illegal gold mining
    5. Maritime robbery, illegal fishing and smuggling of goods
    In response to these threats, Suriname has established institutions such as the Anti Terrorism Unit, Anti Narcotics Team and the Counter Terrorism Unit.

    Anti-personnel landmines
    Suriname signed and ratified the Mine Ban Treaty (Ottawa Convention) in 1997. The treaty entered into force on November 1, 2002.

    During the internal conflict in 1986 a number of landmines were placed within the national territory. In order to effectively implement the recommendation of the Ottawa Convention, an inter-departmental commission was established in March 2003 and an agreement with the OAS was signed in November 2004 to undertake cooperative action in removing the anti personnel landmines.

    As a result, close to 1000 landmines have been removed. The initial demining operation consisted of an international effort supported by, among others, the governments of Guyana and Brazil. Suriname has now been declared mine free by the OAS.
  • Trinité-et-Tobago
    • Rapports
    • Date:  2011-01-21    Paragraphes: 69
    Since 2003, Trinidad and Tobago has assigned four officers to work at the Inter-American Committee against Terrorism (CICTE) Secretariat. Overall, in terms of financial and human resource support, the Government of Trinidad and Tobago has contributed more than U.S. $1,000,000.00 to CICTE from 2003 to present. Trinidad and Tobago held the Chair of CICTE from 2005 to 2006, hosting the Fifth Regular Session in Port of Spain in 2005. During its chairmanship Trinidad and Tobago established new policy directions that have brought Caribbean concerns for multidimensional security to the forefront of the hemispheric counter-terrorism agenda. Trinidad and Tobago’s commitment to fight terrorism is evident in its annual contribution to CICTE.

    On December 02 2006, Trinidad and Tobago became the 16th state within the OAS to ratify the Inter American Convention against Terrorism. The Convention spells out the standards required to determine whether a person is a suspected terrorist and requires all measures carried out under its banner be implemented with full respect for the rule of law, human rights and fundamental freedoms. The Government of Trinidad and Tobago has continued its efforts to implement various measures to enhance border security and ultimately strengthen the capacity of the country in the fight against terrorism.
    • Date:  2011-01-21    Paragraphes: 70
    KIDNAPPING

    Since 2007, there has been a steady decline in reported cases because of Government’s intensified anti-kidnapping efforts made possible through the implementation of Trinidad and Tobago’s integrated national security and public safety policy agenda. These efforts included the building of the specialist investigative capabilities, augmentation of the human resource base and the modernization of physical infrastructure and operating environment within national security.
    • Date:  2011-01-21    Paragraphes: 71
    CYBER CRIME
    In June 2009, the Draft National Cyber Security Strategy and the Strategic Plan for Information Security (SPIS) were reviewed and these two documents were incorporated to develop a comprehensive National Security Strategy. Government approval is currently being sought for the establishment of an Inter-Ministerial Committee comprising representatives from several Ministries and agencies managing critical infrastructure and information assets that can be affected by any disruption or breach of information security

    THE CITIZEN SECURITY PROGRAMME (CSP)
    The Citizen Security Programme (CSP) is an initiative of the Ministry of National Security whose objective is that of contributing to the reduction in crime and violence in 22 ‘high needs’ pilot communities in Trinidad and Tobago, through the financing of preventative interventions addressing the most proximal and modifiable risks. The general aim of the CSP is to contribute to the reduction of crime and violence in 22 high crime communities. It focuses on young people between the ages of 7 to 24 to ensure that the greatest impact is achieved
    • Date:  2011-01-21    Paragraphes: 72
    The illicit trafficking in drugs is the most visible form of serious crime in Trinidad and Tobago. This country is in support of the hemispheric commitment to address this problem. In April 2007, Trinidad and Tobago re-affirmed its commitment to CICAD by approving an annual contribution of US $20,000 to assist the Executive Secretariat in delivering its work program. This country also works with the United Nations Office on Drugs and Crime (UNODC) and adheres to international counter-narcotics agreements.

    The Government is also pursuing both supply and demand reduction initiatives in the form of:

    -Inter-agency collaboration
    -Capacity Building
    -Border Control Initiatives
    -Information and Intelligence Sharing
    -Public Awareness
    -Substance Abuse and Diagnostic Studies
    -Standardization of Operations of Treatment and Rehabilitation Centres
    • Date:  2011-01-21    Paragraphes: 75
    Measures to combat illicit arms trafficking include:
    -Improved naval law enforcement with the posting of additional officers at the various ports
    -The acquisition of maritime assets for interception of sea vessels suspected of transporting illegal commodities (Off Shore Patrol Vessels) and interceptors
    -The installation of a radar system to inter alia, monitor air and sea crafts entering and exiting the territory of Trinidad and Tobago
    -The merging of the Organized Crime and Narcotics Bureau with the Firearms Interdiction Unit in 2004, to form the Organized Crime, Narcotics and Firearms Bureau
    -Amendment of the Firearms Act by the Firearms Amendment Acts of 2004 and 2006 to allow for stricter penalties for those breaching the law
    -Consideration of the reintroduction of a Police Marine Branch Public Education

    eTrace
    In May 2009, Trinidad and Tobago signed the E-Trace Agreement with the United States. eTrace is a web based communication system which utilizes the internet to send requests to the Bureau of Alcohol, Tobacco, Firearms and Explosives (ATF) for searches of firearms connected with ongoing criminal investigations (“crime guns”), as well as firearms which are found or recovered by law enforcement officers.

    Analysis of the firearms trace data can assist in the identification of firearms trafficking patterns and geographic profiling for criminal hot spots and possible sources of illicit firearms. Local law enforcement agencies will be able to effectively use the eTrace firearms trace information platform as an investigative strategy for the reduction of firearms-related crime and violence.
    • Date:  2011-01-21    Paragraphes: 76
    In respect to Trinidad and Tobago’s domestic legislative framework, the following Bills have been drafted as a step forward in satisfying the FATF recommendations:

    a) The Proceeds of Crime Amendment Bill 2009. This Bill amends the Proceeds of Crime Act (POCA) and some of the FATF recommendations are satisfied by this Bill. It is more robust than the existing POCA as the range of offences which it captures and the scope of entities which it now targets is wider. It also creates the offence of money laundering and provides for mutual assistance and the sharing of information between and among states.

    b)The Financial Obligations Regulations. These regulations are made by the Minister under section 56 of the Proceeds of Crime Amendment Bill. These Regulations codify the existing guidelines issued to financial institutions by the Central Bank and incorporate many of the FATF recommendations. Many of these recommendations speak to “know your customer rules”, due diligence and the reporting requirements for financial institutions in respect of large, complex and unusual transactions, as well as cash transactions above a particular limit.

    c)The Financial Intelligence Unit Bill 2009. This Bill creates a unit to which financial institutions submit SARs. The Unit is deemed to be the designated authority under POCA. Its function includes analyzing and disseminating information in respect of SARs to the relevant law enforcement authority. The Proceeds of Crime Amendment Bill 2009 and the Financial Intelligence Unit Bill 2009 were both laid in Parliament. In respect of Terrorist Financing, the office of the Chief Parliamentary Counsel and the Strategic Services Agency (SSA) are in the process of drafting an amendment to the Terrorism Act.
    • Date:  2011-01-21    Paragraphes: 77
    Trinidad and Tobago has adopted a two-pronged approach to the gang problem:

    -The deterrence of socially displaced/vulnerable persons, through an array of social
    -Programmes such as skills-enhancement and assistance programs for the unemployed.
    -The augmentation of law enforcement capabilities chiefly through the creation of the Special Anti-Crime Unit of Trinidad and Tobago (SAUTT) with a view to reduce gang activities and gang violence nationwide.
    • Date:  2010-04-27    Paragraphes: 69
  • Uruguay
    • Rapports
    • Date:  2011-12-26    Paragraphes: 76
    Rapport disponible en Espagnol
    • Date:  2011-12-26    Paragraphes: 69
    Rapport disponible en Espagnol
    • Date:  2011-12-26    Paragraphes: 70
    Rapport disponible en Espagnol
    • Date:  2011-12-26    Paragraphes: 75
    Rapport disponible en Espagnol
  • Venezuela
    N/A
  • Organisation des États Américains (OEA)
    • Rapports
    • Date:  2018-01-15    Paragraphes: 3
    Initiative:
    Program for the prevention of crimes related to irregular migration in Mesoamerica
    Brief description of initiative: The OAS Department of Public Security, in coordination with IOM and UNHCR, is implementing this Program to promote and support strategies for the prevention of crimes related to irregular migration, especially in those areas with high propensity for migration; create and strengthen human and institutional capacities to combat the smuggling of migrants; and to promote the formulation and implementation of policies for the protection of the human rights of migrants, particularly groups in vulnerable contexts like women, children and adolescents, indigenous people, persons with disabilities, and LGBT persons.
    The program is designed with an integral approach focused around 3 strategic lines of action:
    1) supporting current efforts in the area of prevention of crimes related to irregular migration and to prevent the migration of children and adolescents by focusing on interventions in schools and local communities;
    2) combating the networks of organized crime, seeking their dismantling so that fewer people are victims of these crimes; and
    3) articulating national stakeholders to effectively assist migrant populations in need of special attention and specific protection.
    Activities: (List the different activities for implementation of this Initiative)
    ¥ Elaborate country specific diagnostic reports of the current legal framework in all eight participating countries, as well as the characteristics and challenges presented by irregular migration in those countries.
    ¥ Engage government officials, leaders, journalists and other stakeholders in local communities in round table discussions, to identify recurrent local obstacles for the reduction of irregular migration.
    ¥ Design and implement awareness campaigns in the media, educational campaigns in high schools and incorporate community stakeholders in preventing irregular migration at the local level.
    ¥ Organize train-the-trainers courses for national authorities in border control, the detection of fraudulent documents, identification of trafficking networks, and special needs of victims of crimes related to migration.
    ¥ National workshops for migration and customs officers, carried out by trainers taught by the program, on border security, detection of fraudulent documents, and human rights of victims of irregular migration;
    ¥ Design, validate and implement a system for the exchange information and alerts about evolving sub-regional trends in crimes related to irregular migration;
    ¥ Promote the application of more effective data collection and data entry techniques, through national capacity building workshops;
    ¥ Organize national seminars for judges, prosecutors, police officers and other officials involved in the prosecution of crimes related to irregular migration, about the best practices and techniques for the identification and prosecution of human trafficking networks;
    ¥ Organize and convene meetings of interinstitutional national forums to formulate and execute special programs designed to address the protection needs of irregular migrants, particularly groups in vulnerable scenarios.
    Coordinate national and multinational interinstitutional dialogue tables to strengthen synergies and coordination between governments in protecting the rights of victims of irregular migration.
    Website: http://community.oas.org/programadeprevencionmigracionirregular
    Beneficiaries: Costa Rica, Dominican Republic, Honduras, El Salvador, Guatemala, Nicaragua, Mexico, and Panama.
    Partnerships and Financing: The program is executed with funds from the European Union (EU). Our main implementing partners are the International Organization for Migration (IOM) and the United Nations High Commissioner for Refugees (UNHCR).
    Organization of American States
    Department of Public Security
    Cristian Taboada / [email protected] / 202-370-5076
    • Date:  2018-01-15    Paragraphes: 7
    Initiative:
    “A New Path”: Promoting a Healthy Environment and Productive Alternatives for Juvenile Remandees and Offenders in Jamaica
    Brief description of initiative: The project is designed to improve the quality of, and access to, reintegration services (educational, vocational, and internship/employment opportunities), technical training (marketable technical skills, life/social skills), as well as individualized psychosocial/emotional services for juvenile detainees of the four juvenile facilities in Jamaica: South Camp, Metcalfe, Rio Cobre and Hill Top.
    The project is divided in two pillars:
    1) Track 1: is designed to impart capacity building and training workshops and curriculum for local partner NGOs, in order for them to be able to implement vocational, education, and rehabilitation programs in South Camp, Metcalfe, Hill Top and Rio Cobre. In addition, during this phase the GS/OAS and the Trust will provide the technical expertise for the construction, implementation and training of local service providers in a comprehensive new case management system that includes a follow-up post release component for youth South Camp, Metcalfe, Hill Top and Rio Cobre.
    Track 2: is a series of activities meant to provide immediate support to prior juvenile remandees and offenders upon their release, focusing on social reintegration and economic inclusion. GS/OAS will thus partner with local organizations, private sector, and government to ensure comprehensive follow-up for all youth released from South Camp, Metcalfe, Hill Top and Rio Cobre for at least six to twelve months. Each releasee will be assigned a case manager who will assist in arranging educational, vocational, or internship/job opportunities, as well as provide key psychosocial support and guidance while the releasee reintegrates into society.
    Activities: (List the different activities for implementation of this Initiative)
    ¥ Carry-out a Needs Assessment evaluation to determine the nature and magnitude of existing reintegration and training programs in the juvenile facilities
    ¥ Design and implement an electronic case management system for the Department of Correctional Services
    ¥ Train staff from the Department of Correctional Services, NGO representatives, and/or social workers in case management and case follow-up techniques for youth in juvenile detention facilities
    ¥ Elaborate a comprehensive reintegration curriculum for the reintegration of juveniles placed in the facilities
    ¥ Carry-out training of trainers for the staff of the Department of Correctional Service to enable the implementation of the reintegration curriculum
    ¥ Implement Reintegration, Education, and Vocational Training for detainees at the juvenile facilities
    ¥ Organize "pitch tank" simulation events where releasees can pitch product and service ideas to a panel of external judges and develop their business ideas and plans
    ¥ Support training, education, and internship opportunities for releasees
    ¥ Assign a case manager to each releasee in their local community shortly after his/her release
    Website: http://www.oas.org/dsp/english/links/Three_pager_A%20New_Path_revised.pdf
    Beneficiaries: Country: Jamaica
    Specific groups: (i) Juvenile remandees and charged offenders of Jamaica; (ii) staff of the Department of Correctional Services
    Partnerships and Financing: The program is executed with funds from the United States Agency for International Development (USAID). Our main implementing partner is the Trust for the Americas (TRUST).
    Organization of American States
    Department of Public Security
    Cristian Taboada / [email protected] / 202-370-5076
    • Date:  2018-01-15    Paragraphes: 1
    Initiative:
    Gestión de la Red Interamericana de Prevención de la Violencia y el Delito
    Brief description of initiative:
    La Red Interamericana de Prevención de la Violencia y el Delito fue establecida a través de la Resolución 2866/2014 junto con un fondo de contribución voluntaria. La Red es un espacio de intercambio de información, articulación intersectorial, apoyo técnico para el diseño e implementación de políticas públicas y de marco para implementación de intervenciones preventivas bajo en Programa Interamericano de Prevención de la Violencia y el Delito.  
    La Red cuenta con un Comité de Asesoría Técnica ad hoc, que es conformado en caso de necesidades específicas. Dos Grupos de Trabajo están vinculados actualmente a la Red de Interamericana de Prevención: el (1) Grupo de Trabajo para formular un plan de acción para la prevención y reducción de la violencia letal; y el (2) Grupo de trabajo para articular mecanismos y herramientas de cooperación sobre los servicios de emergencia de la región. El primer Grupo está siendo impulsado por Colombia y el segundo por Ecuador.
    El sitio de la Red consiste en una herramienta colaborativa. El sitio cuenta con noticias, biblioteca digital, una galería multimedia con entrevistas y fotos exclusivas, herramientas de encuestas, foro virtual y un blog. Hay también una parte dedicada a la Plataforma para Prevención y Reducción de Homicidios. Una plataforma sobre prevención y enfrentamiento a la trata de personas está prevista para 2018.
    Dos universidades ya se aliaron a la Red: la Universidad de Buenos Aires (Argentina) y la Universidad de George Washington (E.E.U.U). Un foro presencial ya fue realizado y una serie de otros están programados para 2018. Los foros pueden ser asistidos en vivo (directo) desde el sitio de la Red.
    Activities: (List the different activities for implementation of this Initiative)
    1. Lanzamiento del sitio de la Red Interamericana de Prevención de la Violencia y el Delito: http://www.oas.org/ext/es/seguridad/red-prevencion-crimen/;
    2. Realización sobre 3 foros presenciales, siendo dos sobre prevención y reducción de homicidios y uno sobre prevención a la trata de personas;
    3. Dos Grupos de Trabajo instalados: 1) sobre mecanismos y herramientas de cooperación sobre los servicios de emergencia de la región; 2) para formular un plan de acción en la prevención de la violencia letal;
    Consolidación de alianza de colaboración con la Universidad de George Washington.
    Website: (if applicable)
    http://www.oas.org/ext/es/seguridad/red-prevencion-crimen/
    Beneficiaries: (e.g. Country/Institutions/specific groups,etc.)
    Entidades gubernamentales, no gubernametales,. sociedad civil, sectores académico y privado.
    Partnerships and Financing: (e.g. International Organizations/ Institutions/Groups/Governments,etc.)
    Fondo de contribución voluntaria. Aportación voluntaria de USD 50 mil realizada por Guatemala
    Organizacion de los Estados Americanos
    artmento de Seguridad Pública
    Paulina Duarte – [email protected] – 202 370 9691
    Anna Uchoa – [email protected] – 202 370 4653
    • Date:  2018-01-05    Paragraphes: 4
    The Hemispheric Plan of Action on Drugs 2016-2020, approved at the sixtieth CICAD regular session in Nassau, November 2016, is a guide for continuing the implementation of the Hemispheric Drug Strategy (2010) and the commitments undertaken by member states in the Declaration of Antigua, Guatemala, “For a Comprehensive Policy against the World Drug Problem in the Americas” (2013); in the Resolution of Guatemala, “Reflections and Guidelines to Formulate and Follow up on Comprehensive Policies to Address the World Drug Problem in the Americas” (2014); and in the outcome document of the Special Session of the United Nations General Assembly on the world drug problem (UNGASS), entitled, “Our Joint Commitment to Effectively Addressing and Countering the World Drug Problem” (2016), in addition to relevant OAS resolutions. Additionally, the Plan of Action acknowledges the UN’s 2030 Agenda on Sustainable Development and notes that efforts to achieving its Sustainable Development Goals and to effectively address the world drug problem are complementary and mutually reinforcing. The current Plan of Action replaced the first Plan of Action, which covered 2010-1015.
    Through the Plan of Action, member states reiterate their commitment to continue furthering progress in the Hemisphere; addressing the world drug problem; placing individuals at the core of drug policies; taking into account gender, age and cultural issues; as well as, when appropriate, taking into account inputs from civil society. Furthermore, the Plan of Action addresses new challenges faced by countries, within the framework of the three United Nations international drug control conventions and other relevant international instruments, in full respect of the purposes and principles of the United Nations Charter, international law, and the Universal Declaration of Human Rights. The Plan sets five strategic areas and identifies objectives and priority actions to be developed by 2020 in each of the OAS member states. The Plan of Action also includes a cross-cutting perspective on human rights, gender, development, and social inclusion, taking into account relevant criteria of culture and age group. The Plan requires close and horizontal coordination between the Inter-American Drug Abuse Control Commission (CICAD) and the various relevant bodies within the OAS with expertise in related issues, particularly in the areas of corruption, money laundering, transnational organized crime, and public security, with a view to building a coordinated and consultative framework in areas of common interest, seeking to contribute positively to the efforts of member states to address the challenges and complexities of the world drug problem in our hemisphere.
    The Plan of Action is a reference guide for designing national drug policies, programs and projects, making it possible to align and generate synergies between the national agendas and the hemispheric agenda being developed through CICAD. The CICAD Executive Secretariat is now composed of two sections: the Drug Control Capacity Building and Technical Assistance Section, and the Evidence-Based Drug Policy Section: Information, Design, Implementation, Monitoring, Evaluation and Data Collection and Analysis. The former includes the Institutional Strengthening (IS), Supply Reduction (SR), and Demand Reduction (DR) units, through which the CICAD Executive Secretariat assists member states in strengthening their institutional, technical and human capabilities for the implementation of comprehensive drug control programs. The IS Unit’s programming includes assisting member states in formulating and bolstering their national drug policies and strategies; monitoring, tracking and assessing legislative and regulatory changes; and drug–related judicial sector reforms, including alternatives to incarceration, diversion programs, judicially supervised drug treatment programs, sentencing reform, and problem solving courts. The activities managed by the SR Unit include training counterdrug law enforcement; fostering improved customs and border control of drugs and other contraband; fostering improved control of chemicals, pharmaceutical drugs and synthetic drugs (including new psychoactive drugs, or NPS); controlling maritime narcotrafficking; and developing and analyzing counterdrug intelligence. The DR unit supports countries in strengthening human and institutional capacity in drug prevention, treatment and rehabilitation by taking a public health approach to these interventions. DR programming includes the development of hemispheric standards for drug abuse prevention and treatment, and providing training and member state-en¬dorsed certification to frontline health care workers, prevention profes¬sionals, and treatment service providers.
    The Evidence-Based Drug Policy Section: Information, Design, Implementation, Monitoring, Evaluation and Data Collection and Analysis includes the Inter-American Observatory on Drugs (OID) and the Multilateral Evaluation Mechanism (MEM) units. The OID gathers, analyzes, disseminates and promotes scientific research on drugs so as to provide evidence for the design and introduction of public policies. Additionally, the OID provides assistance to member states in establishing, developing and strengthening national drug observatories and information systems, and promotes technical training for professionals that work with data and statistics. The MEM’s seventh round instruments (including the questionnaire of indicators, manual for evaluators, and procedural manual), were approved at the sixty-second regular session of CICAD in December 2017, paving the way for the new round to commence in 2018. The MEM’s seventh round entails a more robust and comprehensive assessment of member states’ drug efforts, detailing key evolving progress and challenges faced throughout the past six rounds, and where those actions currently stand. The evaluation will cover the cross-cutting issues of human rights, gender, age, culture and social inclusion in accordance with the operational recommendations contained in the UNGASS 2016 Outcome Document and the objectives of the United Nations 2030 Agenda on Sustainable Development. The MEM, which was mandated by the 1998 Summit of the Americas in Santiago, Chile, will publish national evaluation reports in 2019, together with a hemispheric evaluation report which will provide a broader analysis of trends in the region in 2020.
    CICAD continues to promote dialogue among member states, and provide the forum at its biannual regular sessions for an open discussion of drug-related issues and targeted improvement of the hemispheric capacity to address the drug problem. Since UNGASS 2016, member states have debated and assessed the achievements and shortcomings of the UNGASS process at the CICAD regular sessions. This has set the basis for an interactive discussion on the implementation of the UNGASS 2016 Outcome Document and in the run-up to the 2019 revision of the 2009 UN Political Declaration and Plan of Action on International Cooperation towards an Integrated and Balanced Strategy to Counter the World Drug Problem. OAS member states have been called upon to promote the regional implementation of the UNGASS recommendations through national events. In this regard, CICAD has been collaborating with countries in national dialogues, for example Mexico’s series of national dialogues, and Trinidad and Tobago’s UNGASS 2016 workshop for national level consideration of the UNGASS operational recommendations.
    Additionally, CICAD continues to identify areas for future continuation of the debate and dialogue established at UNGASS. In this regard, CICAD’s expert advisory groups provide the Commission with continued reporting and analysis on the following specific issues: demand reduction, maritime narcotrafficking, pharmaceutical products and chemical substances, comprehensive and sustainable alternative development, and money laundering control.
    • Date:  2017-12-20    Paragraphes: -
    Initiative: Creating a Career Path in Digital Security

    Brief description of initiative:
    The overarching goal of the Project is to target economically disadvantaged youths and young adults (ages 18-25) and provide them technical training in information / digital security and job readiness. Youth at risk often find it challenging to complete traditional schooling. However, the advent of the Internet has opened up doors and opportunities for trained and talented individuals to have a fulfilling career in digital security.

    In the medium-term, it is expected that the Project will prepare youth from low-income families to pursue a career path in the digital sector, by providing them the nascent knowledge and skills needed. Additionally, the communities targeted through the workshops will learn to apply good online practices, therefore contributing to their successful inclusion in the digital economy and society.

    In the long-term, this Project is expected to increase the incomes of participating youths and young adults and advance their socio-economic posture. Targeted countries will also benefit from this new pool of skilled workers in information / digital security, which will contribute to improve their level of cybersecurity capabilities. It is also expected that the communities will be digitally engaged, strengthening their local economy. Finally, the education on information / digital security will also contribute to the active and secure participation of low-income communities in the digital society, reducing the digital divide.

    Activities:
    1. Youth from low-income communities trained in information/ digital security and Job readiness
    a. 1 week trainings in Colombia, Dominican Republic, Peru and Costa Rica, 40 students/country
    b. Brightest students (40) will be divided in two groups. The first group will have access to an Entrepreneurial Accelerator Program in Spain, a one week training to empower technical people with entrepreneurial and managerial skills to fund their own cybersecurity company which will be specifically designed for them with the help of the Spanish National Institute of Cybersecurity (INCIBE). They will also participate in the Cybersecurity Summer BootCamp that will take place in Spain in July, 2018. The Summer BootCamp is a two week-long training event co-organized by the OAS Cybersecurity Program and the Spanish Cybersecurity Institute (INCIBE). This event seeks to educate and train specialists on the technical aspects of incident management in cybersecurity, as well as the latest techniques for combating cybercrime. The targeted audience includes specialists from security bodies such as state security forces and law enforcement authorities, as well as policy makers and technicians from public CERTs. The second group of talented individuals will be placed in internship opportunities in the private and public sector of their countries.
    2. Increased awareness in cybersecurity for SMEs with a Massive Open Online Course (MOOC) - FREE
    a. Online Course – 3000 participants (in Spanish) – 7 weeks

    Beneficiaries: (e.g. Country/Institutions/specific groups,etc.)
    The following countries: Colombia, Dominican Republic, Peru and Costa Rica.
    160 economically disadvantaged youths and young adults (ages 18-25) 40 per country

    Partnerships and Financing: (e.g. International Organizations/ Institutions/Groups/Governments,etc.)
    Partners:
    • Trust of the Americas
    • Instituto Nacional de Ciberseguridad de España (INCIBE)
    • Governments of host countries
    • Universities at host countries
    Financing:
    • Citi Foundation

    Cybersecurity Program at the Inter-American Committee against Terrorism, Secretariat for Multidimensional Security.

    Gonzalo Garcia-Belenguer, [email protected] 202 370 9885
    • Date:  2017-12-14    Paragraphes: 4
    Initiative: FORO DEL GRUPO DE EXPERTOS PARA EL CONTROL DEL LAVADO DE ACTIVOS (GELAVEX).

    Brief description of initiative: El Grupo de Expertos constituye el foro hemisférico de debate, análisis y formulación de conclusiones en la lucha contra el lavado de dinero y la financiación del terrorismo.

    Activities: (List the different activities for implementation of this Initiative)
    -Del 25 al 26 de septiembre de 2017, se celebró la XLIV Reunión del Grupo de Expertos para el Control del Lavado de Activos en Asunción, Raraguay, en la cual se tomaron las siguientes Conclusiones y Recomendaciones:
    1. Aprobar el informe sobre el “Estudio sobre mejores prácticas en la coordinación entre las autoridades administrativas y judiciales con las oficinas especializadas en la administración de bienes incautados y decomisados”;
    2. Aprobar el informe sobre el “Estudio sobre necesidades de capacitación en el tema de administración de bienes incautados y decomisados de los Estados miembros de la OEA”;
    3. Aprobar el Informe relativo al “Estudio diagnóstico sobre informes periciales utilizados por los países en los casos de lavado de dinero”;
    4. Aprobar el “Estudio sobre nuevas tipologías en el lavado de dinero, específicamente en el uso de moneda virtual”;
    5. Aceptar como Organismo Observador dentro de las reuniones del GELAVEX a la Red de Recuperación de Activos de El Caribe (ARIN-Carib);
    6. Aprobar la propuesta de Plan Estratégico del GELAVEX para el trienio 2018-2020;
    7. Aprobar el Plan de Trabajo 2017-2018 de los Sub-Grupos de Trabajo del GELAVEX; y
    8. Aprobar las postulaciones de las delegaciones de Bolivia y Colombia a la Presidencia y Vicepresidencia, respectivamente, para el período 2018-2019.

    Website: (if applicable)
    http://www.cicad.oas.org/Main/AboutCICAD/Activities_spa.asp?IE=PYO015

    Beneficiaries: (e.g. Country/Institutions/specific groups,etc.)
    34 Estados Miembros de la OEA

    Partnerships and Financing: (e.g. International Organizations/ Institutions/Groups/Governments,etc.)
    Financia: SG/OEA; EEUU (INL); y Paraguay (Presidencia pro-tempore del Grupo de Expertos (GELAVEX).

    Organization:
    15512

    Department: SMS/DDOT

    Contact name / email / phone number:
    NELSON MENA
    202-370-5431
    [email protected]
    • Date:  2017-12-14    Paragraphes: 4
    Initiative: Programa de Capacitación sobre Lavado de Activos para Operadores Judiciales.

    Brief description of initiative:
    El Programa tiene como objetivo capacitar jueces y fiscales en temas de lavado de activos, tales como: (i) tipologías; (ii) principios y marcos legales internacionales; (iii) legislación nacional sobre lavado de activos; (iv) aspectos procesales y penales vinculados a los juicios de lavado de activos; y (v) cooperación judicial internacional. En el marco de este programa se desarrollan seminarios y talleres para jueces y fiscales, juicios e investigaciones simulados sobre casos de lavado de activos y delincuencia organizada.

    Activities: (List the different activities for implementation of this Initiative)
    ACTIVIDADES REGIONALES:
    -Taller Regional Anti-Lavado de Activos para Jueces y Fiscales: Del 22 al 24 de mayo de 2017, en Bridgetown, Barbados, se llevó a cabo este taller regional coorganizado por el DDOT/OEA y el Sistema de Seguridad Regional del Caribe (RSS), y con el apoyo financiero de Canadá; en el cual participaron 28 Fiscales y Jueces de Barbados, Belice, Dominica, Guyana, Jamaica, Saint Kits and Nevis, Santa Lucía, San Vicente y Las Granadinas y Trinidad y Tobago, con el objeto de ser capacitados en persecución y juzgamiento de delitos de lavado de activos.

    Beneficiaries: (e.g. Country/Institutions/specific groups,etc.)
    Barbados, Belice, Dominica, Guyana, Jamaica, Saint Kits and Nevis, Santa Lucía, San Vicente y Las Granadinas y Trinidad y Tobago.

    Partnerships and Financing: (e.g. International Organizations/ Institutions/Groups/Governments,etc.)
    Financia: Canadá (ACCBP).

    Department: SMS/DDOT
    Organization: 15512

    Contact name / email / phone number:
    NELSON MENA
    202-370-5431
    [email protected]
    • Date:  2017-12-14    Paragraphes: 4
    Initiative: Programa de Entrenamiento sobre Lavado de Activos para Organismos encargados del Cumplimiento de la Ley.

    Brief description of initiative:
    Provee capacitación y entrenamiento en la aplicación de técnicas especiales de investigación (establecer el cometimiento del delito, identificar sus autores y partícipes y los bienes vinculados), así como estratégicas para la investigación patrimonial que facilite la incautación y decomiso de bienes y demás evidencias relacionadas en la comisión de estos crímenes. Así, los investigadores estarán en capacidad de reforzar sus operaciones y construir una respuesta efectiva en la lucha contra la comisión de estos delitos.

    Activities: (List the different activities for implementation of this Initiative)
    ACTIVIDADES REGIONALES:
    a) Taller Regional sobre Técnicas Especiales de Investigación aplicadas a casos de lavado de activos: Del 16 al 18 de mayo de 2017, en Kingston, Jamaica, se llevó a cabo este taller regional coorganizado por el DDOT/OEA y el Sistema de Seguridad Regional del Caribe (RSS), y con el apoyo financiero de Canadá; en el cual participaron 32 Fiscales e Investigadores de Belice, Dominica, Granada, Guyana, Jamaica, Santa Lucía, San Vicente y Las Granadinas, Surinam y Trinidad y Tobado, con el objeto de ser entrenados en la utilización de técnicas especiales de investigación.
    ACTIVIDADES NACIONALES:
    b) Taller Nacional sobre Procedimientos de Auditoria Forense y Contabilidad Creativa Aplicados a la Investigación de Casos de Lavado de Activos: Del 19 al 21 de junio de 2017, en Lima, Perú, se llevó a cabo este taller nacional coorganizado por el DDOT/OEA y la Superintendencia de Banca, Seguros y AFP del Perú, y con el apoyo financiero de EEUU; en el cual participaron 32 funcionarios de la Fiscalía de la Nación, la Dirección de Investigación de Lavado de Activos de la Policía Nacional del Perú y Analistas de la Unidad de Inteligencia Financiera (UIF), con el objeto de fortalecer sus habilidades en el desarrollo de investigaciones financieras por medio de una capacitación teórico-práctica en auditoría forense y otras técnicas de investigación contable.
    c) Proyecto de Asistencia a Peru: reunión de la Comisión Ejecutiva Multisectorial contra el Lavado de Activos y el Financiamiento del Terrorismo (CONTRALAFT). Del 21 al 24 de agosto de 2017, en Lima, Perú, especialistas del DDOT se reunieron con miembros de COTRALAFT para asistir a las autoridades relevantes del Peru en lo que se refiere a los preparativos para la evaluación Mutua en materia de LA/FT de GAFILAT.

    Beneficiaries: (e.g. Country/Institutions/specific groups,etc.)
    Belice, Dominica, Granada, Guyana, Jamaica, Santa Lucía, San Vicente y Las Granadinas, Surinam y Trinidad y Tobado, y Perú.Granadinas y Trinidad y Tobago.

    Organization:
    15512
    Contact name / email / phone number:
    SMS/DDOT
    NELSON MENA
    202-370-5431
    [email protected]
    • Date:  2017-12-14    Paragraphes: 4
    Initiative: Programa de Entrenamiento para Unidades de Inteligencia Financiera.

    Brief description of initiative:
    Con este programa se busca establecer y/o fortalecer a las Unidades de Inteligencia Financiera dotándolas de herramientas legales, administrativas, informáticas y de recursos humanos idóneas para el control del lavado de activos, y con ello mejorar la capacidad de análisis de las UIF por medio de capacitación en el manejo de herramientas de análisis de información de inteligencia y la implementación de herramientas informáticas para la recolección, almacenamiento, análisis y entrega de información. En el marco de este programa se desarrollan talleres sobre análisis, vínculos y relaciones; cursos especializados en contabilidad forense y análisis de información de inteligencia financiera; y talleres para fomentar el dialogo entre el sector público y privado en materia ALD/CFT.

    Activities: (List the different activities for implementation of this Initiative)
    ACTIVIDADES NACIONALES:

    Del 17 al 21 de abril y del 16 al 20 de octubre, ambas fechas de 2017, en Montevideo, Uruguay, el DDOT continuó apoyando a la Misión de Asistencia Técnica del Fondo Monetario Internacional (FMI) para mejorar las capacidades institucionales de la Unidad de Inteligencia Financiera del Uruguay en las áreas del Lavado de Activos y Financiamiento del Terrorismo.

    Beneficiaries: (e.g. Country/Institutions/specific groups,etc.)
    Uruguay

    Organization:
    15512
    Contact name / email / phone number:
    SMS/DDOT
    NELSON MENA
    202-370-5431
    [email protected]
    • Date:  2017-12-14    Paragraphes: 4
    Initiative: Programa de Decomiso y Recuperación de Activos

    Brief description of initiative:
    El Programa de Decomiso y Recuperación de Activos ofrece asistencia técnica a los Estados interesados en desarrollar y mejorar los sistemas de identificación, localización, recuperación y administración de activos incautados y decomisados. El esquema de trabajo permite aplicar las acciones a delitos relacionados con la delincuencia organizada y servir para ayudar a los Estados miembros a mejorar sus legislaciones, sus prácticas administrativas y de gestión relacionados con los bienes, instrumentos o efectos del delito.

    Activities: (List the different activities for implementation of this Initiative)
    ACTIVIDADES REGIONALES:
    a) Reunión Regional de Profesionales en Recuperación de Activos de El Caribe (ARIN-Carib): Se inició la primera fase de esta iniciativa con el objetivo de establecer una Red de Recuperación de Activos en la Región de El Caribe basada en la experiencia de las otras seis redes que existen alrededor del mundo , a través de esta reunión de expertos realizada el 15 y 16 de noviembre del 2016, en Bridgetown, Barbados. Tal reunión estuvo compuesta por expertos del Caribe en recuperación de activos (autoridades fiscales y policiales) de 32 jurisdicciones de El Caribe, junto con expertos de diferentes ARIN del mundo. La reunión fue coorganizada por el Departamento contra la Delincuencia Organizada Transnacional (DDOT/OEA) y el Sistema de Seguridad Regional para el Caribe (RSS), y contó con la participación de distintas Organizaciones Internacionales como la Comunidad del Caribe (CARICOM), Grupo de Acción Financiera del Caribe (GAFIC), El Grupo de Acción Financiera de Latinoamérica (GAFILAT), y Oficina de Naciones Unidas contra la Droga y el Delito (UNODC). Finalmente, se acordó crear una Red de Recuperación de Activos para el Caribe (ARIN-CARIB) y se llevaron a cabo discusiones que dejaron sugerencias acerca de la membresía, estructura y funcionamiento que debían ser incluidas en una posterior “Declaración de Intenciones”.
    b) Reunión del Grupo Directivo para el establecimiento de una Red de Recuperación de Activos de El Caribe: Continuando con el proceso para el establecimiento de (ARIN-Carib), los días 7 y 8 de febrero de 2017 en Puerto España, Trinidad y Tobago, se reunió el Comité Directivo convocado en la reunión de expertos de Bridgetown, Barbados, con la finalidad de redactar un documento que señalara las condiciones de membresía y de funcionamiento de la red, lo que constituiría la propuesta de la Declaración de Intenciones.
    c) Primera Reunión de Puntos Nacionales de Contacto de ARIN-Carib: Del 28 al 29 junio del 2017, se celebrará en Miami, Estados Unidos, la ceremonia inaugural de ARIN-Carib, coorganizada por el DDOT/OEA y el Sistema de Seguridad Regional del Caribe (RSS). Con la adopción de una Declaración de Intenciones quedó constituida ARIN-Carib, conformada por 32 jurisdicciones de la región de El Caribe, abierta para que cualquier país u organismo intergubernamental con similares funciones u objetivos puedan optar a ser parte de la Membresía.
    d) “Taller Regional sobre Investigación de Flujos Financieros y Economías Ilícitas”: del 20 de noviembre al 1 de diciembre de 2017 en Roma, Italia, coorganizado por el DDOT/OEA y la Scuola di Polizia Tributaria y la Guardia di Finanza de Italia, con el financiamiento del gobierno de Italia; en el cual participaron 35 funcionarios de policías de investigación judicial y fiscales con competencia en la investigación y procesamiento de casos de delincuencia organizada de: Argentina, Bolivia, Chile, Colombia, Costa Rica, Ecuador, El Salvador, Guatemala, Honduras, México, Panamá, Paraguay, Perú, República Dominicana y Uruguay.

    Website: (if applicable) https://www.cfatf-gafic.org/index.php/es/home/2015-08-11-13-42-51/noticias-del-gafic/491-objetivo-obtencion-ilicita-de-riqueza-criminal-en-el-caribe-lanzamiento-de-la-red-interinstitucional-de-recuperacion-de-activos-arin-carib

    Beneficiaries: (e.g. Country/Institutions/specific groups,etc.)
    PAISES: Anguilla, Antigua & Barbuda, Aruba, Bahamas, Barbados, Belize, Bermuda, British Virgin Islands, Cayman Islands, Curacao, Dominica, Dominican Republic, Grenada, Guadeloupe (FR), Guyana, Haiti, Jamaica, Martinique (FR), Montserrat, St. Kitts & Nevis, St. Lucia, St. Maarten, St. Martin (FR), St. Vincent & the Grenadines, Suriname, Trinidad & Tobago, Turks & Caicos Islands.

    Partnerships and Financing: (e.g. International Organizations/ Institutions/Groups/Governments,etc.)
    Financian: EEUU (INL);
    Socios estratégicos: Sistema de Seguridad Regional del Caribe (RSS); Canadá; Grupo de Accion Financiera de Latinoamérica-GAFILAT; Grupo de Accion Financiera del Caribe -GAFIC; y UNODC.

    Department:
    DDOT
    Organization:
    15512
    Contact name / email / phone number:
    SMS/DDOT
    NELSON MENA
    202-370-5431
    [email protected]
    • Date:  2017-03-15    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2017-02-13    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2017-02-13    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2017-02-13    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2017-02-13    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2017-02-13    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2017-02-13    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Información disponible en inglés
    • Date:  2014-05-06    Paragraphes: 1
    Información disponible en inglés
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 1
    Información disponible en inglés
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 1, 9
    Información disponible en inglés
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 1
    Información disponible en inglés
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 1
    Información disponible en inglés
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 1
    Información disponible en inglés
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 1
    Información disponible en inglés
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 1
    Información disponible en inglés
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 4
    Información disponible en inglés
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 3
    Información disponible en inglés
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 3
    Información disponible en inglés
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: -
    Información disponible en inglés
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 5, 9
    Información disponible en inglés
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 1, 5
    Información disponible en inglés
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 1, 5
    Información disponible en inglés
    • Date:  2013-05-30    Paragraphes: 2
    Information disponible en anglais
    • Date:  2013-05-30    Paragraphes: 6
    Information disponible en anglais
    • Date:  2013-05-30    Paragraphes: 7
    Information disponible en anglais
    • Date:  2012-11-08    Paragraphes: 4
    Information disponible en anglais et en espagnol
    • Date:  2012-11-08    Paragraphes: 8
    Information disponible en anglais et en espagnol
    • Date:  2011-06-23    Paragraphes: 72
    La agencia de la OEA para el Control del Abuso de Drogas (CICAD) aprobó su Estrategia Antidrogas en el Hemisferio, culminando de ese modo una revisión integral de los lineamientos de los programas nacionales, la cooperación regional y el consenso de política sobre asuntos relacionados con las drogas. La Comisión empezó a redactar un plan de acción que explica los lineamientos de la Estrategia con recomendaciones más específicas en cuanto a las políticas y programas prioritarios a nivel nacional y regional, cuya implementación debería ser medible y alcanzable durante un período determinado de tiempo. La Comisión también encomendó tareas para la SSM en apoyo a los Estados Miembros. Este esfuerzo representa la revaluación más importante en materia de fiscalización de drogas en los últimos 15 años.
    • Date:  2011-06-23    Paragraphes: 74
    En el 2010 – 2011, la OEA y el Fondo para las Américas continuaron con la implementación del Proyecto “Armando Paz: Construcción de una cultura de paz con los jóvenes en Centro América a través de los medios, el arte y el diálogo social” en El Salvador, Guatemala, Nicaragua y Panamá. Las actividades del proyecto incluyeron cinco talleres de fortalecimiento institucional que beneficiaron a 120 organizaciones de la sociedad civil y representantes de instituciones gubernamentales que trabajan con juventud; cuatro foros nacionales que promovieron el diálogo entre jóvenes, representantes del sector privado y gobierno; y, el lanzamiento de la competencia de sub-donaciones “Reto Pacífico.” El objetivo de la competencia fue animar a los jóvenes de El Salvador, Guatemala, Nicaragua y Panamá a presentar propuestas para abordar con una perspectiva innovadora y creativa los problemas que son identificados como factores causales de la violencia y la inseguridad en sus comunidades. La convocatoria concluyo el 15 de abril con la presentación de 97 propuestas de proyectos, 72% de las cuales fueron presentadas por jóvenes entre 18 y 26 años.
    • Date:  2011-06-23    Paragraphes: 69
    En 2010, la Secretaría de Seguridad Multidimensional (SMS) de la OEA llevó a cabo 114 eventos de asistencia técnica, en los que 3.505 participantes recibieron capacitación en las áreas de: Controles fronterizos, Protección de infraestructura crítica, Asistencia legislativa y lucha el terrorismo. La SSM también ha expandido sus alianzas con organizaciones internacionales y multilaterales.
    • Date:  2011-06-23    Paragraphes: 75
    La OEA sigue promoviendo el marcaje y rastreo de armas de fuego y la gestión de arsenales en las Américas, como una forma de apoyar el desarrollo de capacidad en los Estados Miembros. La OEA también está al frente de garantizar que nuestros ciudadanos estén protegidos y se sientan seguros a través de mecanismos y programas que promueven la transparencia en la adquisición de armas convencionales, la aplicación de medidas de fomento de la confianza y la seguridad, y la educación para la paz y el desarme, dirigidas a reducir los gastos militares para incrementar el desarrollo.
    • Sources Connexes
    OAS Website
  • Banque interaméricaine de développement (BID)
    • Rapports
    • Date:  2016-06-08    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol et anglais
    • Sources Connexes
    Iniciativas - Seguridad 2014
  • Commission économique pour l'Amérique latine et les Caraïbes (CEPALC)
    • Rapports
    • Date:  2014-04-28    Paragraphes: 2, 3, 6
    Observatorio de igualdad de género de América Latina y el Caribe (OIG)
    En el Consenso de Quito, adoptado en la Décima Conferencia Regional sobre la Mujer (Ecuador, 2007), los países de América Latina y el Caribe solicitaron “la creación de un observatorio de igualdad que contribuya al fortalecimiento de los mecanismos nacionales de género”. El Observatorio de igualdad de género de América latina y el Caribe (OIG), creado en 2009, ha sido reconocido por los gobiernos en ocasión de la XI Conferencia Regional sobre la Mujer de América Latina y el Caribe (Brasilia, 2010) y en la XII Conferencia Regional sobre la Mujer de América Latina y el Caribe (Santo Domingo, 2013), como una herramienta de gran utilidad para la definición de políticas públicas de igualdad de género, que permite contar con datos comparables actualizados y que es útil para el desarrollo de procesos formativos. Actuando como un puente entre usuarios y productores de estadísticas de género, el OIG brinda asesoría técnica para apoyar la capacidad institucional y estadística de los países de la región, y presenta indicadores estratégicos compatibles con los indicadores ODM y de seguimiento de la CEDAW, que permiten analizar la evolución de las principales áreas de desigualdad entre hombre y mujeres. El OIG se articula en torno a tres pilares necesarios para mejorar la vida de las mujeres: la autonomía física (que abarca el respeto a los derechos reproductivos y la violencia de género), la autonomía económica (referida a la capacidad de generar ingresos y recursos propios a partir del acceso al trabajo remunerado en igualdad de condiciones que los hombres y considera el uso del tiempo y la contribución de las mujeres a la economía) y la autonomía en la toma de decisiones (entendida como la presencia en los distintos niveles de los poderes del Estado y las medidas orientadas a promover su participación plena).

    Actividades:
    Desde el Observatorio de igualdad de género de América Latina y el Caribe, dentro del ámbito de la autonomía física de las mujeres se han generado espacios de interlocución interinstitucional, para el mejoramiento de registros administrativos de denuncias, procedimientos y sentencias en el área de violencia doméstica, sexual, femicidio, entre otras. Para avanzar en esta área se ha dado seguimiento al Seminario sobre Registros Administrativos de homicidios de mujeres, realizado con Fiscales generales el año 2011, generándose a partir de esto asistencia técnica con representantes del sector justicia de los países (Argentina, Nicaragua), para contar con registros únicos y avanzar en la producción de cifras oficiales de violencia. Se ha construido un indicador de "muerte de mujeres por pareja íntima o ex pareja íntima" que ha logrado contar con información de 16 países, avanzando de esta manera en insumos para investigar estos fenómenos y que los países posean información para tomar decisiones de políticas.
    En la actualidad el observatorio está explorando el desarrollo de nuevos indicadores, publica la serie “Nota para la igualdad” que abordan análisis sobre las autonomías en base a datos del observatorio.
    Por último, cabe destacar que el Informe del OIG 2013-2014 abordará el tema de la violencia contra las mujeres y será publicado en el mes de octubre.

    Beneficiarios:
    Mecanismos para el Adelanto de la mujer de la región, organismos del sector justicia en relación a las mujeres que viven situaciones de violencia de género.

    Socios y financiamiento:
    Organismos socios del OIG (UNFPA, ONU Mujeres, OPS, SEGIB y AECID) y trabajo conjunto con los gobiernos de la región.

    http://www.cepal.org/oig/
    • Date:  2013-06-06    Paragraphes: 2, 3, 6
    Observatorio de igualdad de género de América Latina y el Caribe (OIG)
    En el Consenso de Quito, adoptado en la Décima Conferencia Regional sobre la Mujer (Ecuador, 2007), los países de América Latina y el Caribe solicitaron “la creación de un observatorio de igualdad que contribuya al fortalecimiento de los mecanismos nacionales de género”. El Observatorio de igualdad de género de América latina y el Caribe (OIG), creado en 2009, ha sido reconocido por los gobiernos en la XI Conferencia Regional sobre la Mujer realizada en Brasilia el 2010, como una herramienta de gran utilidad para la definición de políticas públicas de igualdad de género, que permite contar con datos comparables actualizados y que es útil para el desarrollo de procesos formativos. Actuando como un puente entre usuarios y productores de estadísticas de género, el OIG brinda asesoría técnica para apoyar la capacidad institucional y estadística en la región, y establece un grupo mínimo de indicadores estratégicos compatibles con los indicadores ODM y de seguimiento de la CEDAW, que permiten analizar la evolución de las principales áreas de desigualdad entre hombres y mujeres. El OIG se articula en torno a tres pilares necesarios para mejorar la vida de las mujeres, los que están estrechamente vinculados: la autonomía física (que abarca el respeto a los derechos reproductivos y la violencia de género), la autonomía económica (referida a la capacidad de generar ingresos y recursos propios a partir del acceso al trabajo remunerado en igualdad de condiciones que los hombres y considera el uso del tiempo y la contribución de las mujeres a la economía) y en la autonomía en la toma de decisiones de las mujeres (entendida como la presencia en los distintos niveles de los poderes del Estado y las medidas orientadas a promover su participación plena).

    Actividades:
    Desde el Observatorio de igualdad de género de América Latina y el Caribe, dentro del ámbito de la autonomía física de las mujeres se han generado espacios de interlocución interinstitucional, para el mejoramiento de registros administrativos de denuncias, procedimientos y sentencias en el área de violencia doméstica, sexual, femicidio, entre otras. Para avanzar en esta área se ha dado seguimiento al Seminario sobre Registros Administrativos de homicidios de mujeres, realizado con Fiscales generales el año 2011, generándose a partir de esto asistencia técnica con representantes del sector justicia de los países (Argentina, Nicaragua), para contar con registros únicos y avanzar en la producción de cifras oficiales de violencia. Se ha construido un indicador de "muerte de mujeres por pareja íntima o ex pareja íntima" que ha logrado contar con información de 16 países, avanzando de esta manera en insumos para investigar estos fenómenos y que los países posean información para tomar decisiones de políticas.

    Beneficiarios:
    Mecanismos de Adelanto de la mujer de la región, organismos del sector justicia en relación a las mujeres que viven situaciones de violencia de género.

    Socios y Financiación:
    Organismos socios del OIG (UNFPA, ONU Mujeres, OPS, SEGIB y AECID) y trabajo conjunto con los gobiernos de la región.

    Website:
    http://www.cepal.org/oig/
  • Organisation panaméricaine de la santé (OPS)
    • Rapports
    • Date:  2015-10-08    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2014-04-28    Paragraphes: 1
    Información disponible en inglés
    • Date:  2014-04-28    Paragraphes: 2
    Información disponible en inglés
  • Banque mondiale
    • Rapports
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 2
    Información disponible en inglés
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 2
    Información disponible en inglés
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 4
    Información disponible en inglés
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 2
    Solutions to Violence Network (RESOL-V)
    On initiative of the World Bank, a regional network, RESOL-V, was created which brings together authorities and experts from different sectors (governments, academia, private sector, international organizations and civil society) to jointly design and implement solutions to citizen security challenges. The initiative promotes the ongoing exchange of ideas for addressing citizen insecurity across the region and aims to strengthen the capacity of Central American institutions to conduct evidence-based policymaking.

    Activities:
    RESOL-V facilitates the generation, translation, assessment, and use of evidence for crime prevention policy and programming, and builds the capacity of institutions to carry out more effective programming. By connecting and strengthening centers of expertise in Central America and linking them to decision-makers and practitioners, it promotes the use of evidence-based approaches to citizen security in the region. The primary audience for RESOL-V includes mayors and their technical teams, officials of line ministries, the private sector, and academics and professionals involved in violence prevention and citizen security.

    Beneficiaries: Populations of Central American States

    Partners and financing: State- and Peace-Building Multi Donor Trust Fund, Governments of SICA
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 2
    Información disponible en inglés
  • Institut interaméricain de coopération pour l'agriculture (IICA)
    N/A
  • Banque de Développement de la Amérique Latine (CAF)
    • Rapports
    • Date:  2014-04-28    Paragraphes: 4
    Promoción de nuevas políticas públicas para el control y la prevención de la inseguridad ciudadana
    CAF promueve el diseño, implementación, evaluación y monitoreo de nuevas políticas públicas de seguridad ciudadana, a través de un manejo adecuado de la información, uso de tecnologías, programas de prevención y el diseño de nuevos mecanismos de policía comunitaria.

    Actividades: Se desarrollan operaciones de crédito y de cooperación técnica en materia de uso las tecnologías de seguridad, infraestructura para la seguridad ciudadana, apoyo al fortalecimiento institucional de los sistemas de control, nuevo abordaje en el diseño e implantación de políticas públicas, diseño de políticas de prevención y trabajo con jóvenes vulnerables a la violencia en varias dimensiones.

    Beneficiarios: Países accionistas de CAF
    • Date:  2013-02-05    Paragraphes: 4
    Inciativa: Promoción de nuevas políticas públicas para el control y la prevención de la inseguridad ciudadana
    Mediante varios proyectos de cooperación técnica y operaciones de crédito, CAF promueve el diseño, implantación, evaluación y monitoreo de nuevas políticas públicas de seguridad ciudadana, a través de un manejo adecuado de la información, la opción por programas de prevención y el diseño de nuevos mecanismos de policía comunitaria y barrial.
    Igualmente, se aborda la relación con los medios de comunicación, inseguridad y violencia, de manera de buscar mecanismos constructivos de cooperación y complementación.

    Actividades:
    Creación de observatorios de seguridad ciudadana.
    • Creación de nuevos cuerpos de policía comunitaria.
    • Diseño de políticas de prevención.
    • Creación de espacios de debate sobre la relación medios de comunicación / violencia.

    Beneficiarios:
    Argentina, Perú, Brasil, iniciativas regionales.
    • Date:  2011-06-21    Paragraphes: 71
    La CAF ha creado un Programa de Seguridad Ciudadana orientado a fortalecer al Estado y sus instituciones en sus capacidades de gestión integral de la seguridad ciudadana, mediante un mejor conocimiento del problema y el apoyo y asistencia técnica a los países accionistas.
    • Sources Connexes
    CAF's Website
  • Banque centraméricaine d'intégration économique (BCIE)
    • Rapports
    • Date:  2016-06-08    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-11-03    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-11-03    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-07-25    Paragraphes: 8
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2012-11-05    Paragraphes: 2
    Contenu disponible en espagnol
  • Banque de développement des Caraïbes (BDC)
    N/A
  • Organisation internationale pour les migrations (OIM)
    • Rapports
    • Date:  2018-03-22    Paragraphes: -
    One of the main evidence gaps on migration issues in Central America relates to the limited knowledge available on the magnitude and characteristics of human trafficking undertaken by juvenile criminal gangs, mostly in prejudice of girls and children. IOM supported different initiatives implemented
    in Mexico to prevent and combat human trafficking, involving various sectors of the Government at the Federal and State levels, including the judicial sector, the Secretariat of Human Rights and Intersecretarial Commissions, the Secretariat for Foreign Relations and the Prosecutor’s Office. IOM also strengthened government agencies’ capacities in Nicaragua to prevent and combat violence against women, and in particular human trafficking. IOM also conducted work in South America to improve the regions ability to combat human trafficking. In Argentina, IOM worked closely with the National Committee against Human Trafficking to strengthen its capacity. Also, IOM provided technical assistance in designing and implementing migration management procedures to Ecuador’s Ministry of Interior and other institutions to improve border management and prevent human trafficking and migrant smuggling.
    • Date:  2011-06-21    Paragraphes: 70
    La OIM se ha asociado con la sociedad civil, los gobiernos y organizaciones internacionales, incluida la OEA, para combatir la trata de personas mediante la implementación de docenas de proyectos en las Américas. Estos esfuerzos se centran en la creación y fortalecimiento de la capacidad de los países para abordar más adecuadamente los distintos desafíos que plantea la trata de personas, con un enfoque cada vez más centrado en la víctima. La asistencia a los gobiernos ha incluido la formulación y fortalecimiento de legislación integral, y el establecimiento de la infraestructura necesaria, tales como instrumentos de financiamiento para el regreso de emergencia y asistencia para la reintegración de las víctimas de la trata.

    Los proyectos de la OIM en materia de lucha contra la trata de personas incluyen la realización de investigaciones, campañas de concienciación, y capacitación para jueces, policías y fiscales sobre técnicas de investigación e identificación de las víctimas. La OIM ha apoyado recientemente la creación y fortalecimiento de coaliciones nacionales contra la trata, redes de asistencia para las víctimas de la trata y de proveedores de servicios. El establecimiento de medidas integrales ha ayudado a llevar a cabo campañas informativas nacionales y regionales, respaldar líneas de ayuda y fortalecer la identificación de las víctimas para prevenir la trata de personas.
    • Sources Connexes
    IOM's Website
  • Organisation internationale du travail (OIT)
    N/A
  • Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD)
    N/A