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  • Paragraphes Relatifs au Thème
    • • Mandats pour l'Action - Panama, Panama - avril 2015
      • 1:
      Santé Reconnaissant que la santé est un droit fondamental de la population tout entière et une condition essentielle pour le développement intégré et durable des peuples, et qu'elle est nécessaire pour la croissance économique assortie d'équité, d'inclusion et de cohésion sociale, nous proposons d'entreprendre les activités ci-après: 1. Continuer de progresser vers l'accès universel à la santé et vers une couverture sanitaire universelle, de qualité, intégrale et opportune, sans discrimination aucune, en prenant en considération les différences entre les sexes au plan de la santé, et en incluant l'accès à des médicaments sûrs, abordables, efficaces, de qualité et essentiels, en tant qu'éléments fondamentaux pour parvenir à l'équité et à l'inclusion sociale. Pour ce faire, nous réaffirmons notre appui à la Stratégie pour l’accès universel à la santé et la couverture sanitaire universelle adoptée par les États membres de l'Organisation panaméricaine de la Santé (OPS) en 2014, et nous sollicitons la collaboration de l'OPS et d'autres institutions concernées par la question pour qu'elles épaulent les efforts entrepris au niveau national pour mettre en œuvre ladite stratégie et d'effectuer un suivi constant de la question en conformité avec les obligations souscrites au plan international.
      • 2:
      Santé Continuer de progresser vers la disponibilité de soins de santé intégraux pour tout un chacun, à chaque étape de la vie, et pour faire en sorte que le recours aux services de santé n'expose personne à des difficultés financières, en particulier les groupes en situation de vulnérabilité.
      • 3:
      Santé Renforcer la capacité de prévention, de détection et de riposte des systèmes sanitaires nationaux face à des flambées de maladies épidémiques et d'autres situations d'urgence de santé publique, en particulier celles qui pourraient avoir des incidences au-delà des frontières et des effets dépassant le domaine sanitaire, y compris les risques sociaux, économiques et politiques.
      • 4:
      Santé Nous encourageons les efforts tendant à renforcer les capacités de préparation et d'intervention dans les situations de flambées de maladies épidémiques émergentes, en particulier dans le cadre du Règlement sanitaire international, et soulignons le travail effectué par l'OPS pour mettre au point un mécanisme régional afin d’accompagner ces efforts.
      • 5:
      Santé Rappeler la Déclaration d'engagement de Port of Spain issue du Cinquième Sommet des Amériques tenu en 2009 et le Plan d’action régional sur les maladies non transmissibles (MNT) adoptés par les États membres de l'OPS en 2013, qui souligne la nécessité de prévenir et de maitriser les MNT; avoir à l'esprit également le but établi aux niveaux mondial et régional, qui consiste dans la réduction relative de 25%, d'ici à 2025, de la mortalité précoce causée par les MNT; et souligner la nécessité d'intensifier les ripostes multisectorielles à l'effet croissant des MNT sur la santé, la société et l'économie ainsi que leurs incidences défavorables sur le développement, au moyen de politiques publiques et de mesures efficaces au plan des couts et ce, à l'intérieur comme à l'extérieur du secteur de la santé; nous appelons à la création d'un groupe de travail interaméricain sur les MNT, dirigé par l’OPS, qui agisse en complément des activités du groupe de travail inter-institutions des Nations Unies sur la prévention et la maitrise des MNT.
      • 6:
      Santé Travailler à garantir l’accès sûr et durable à l'eau potable et aux services d'assainissement pour la population tout entière. Nous reconnaissons que l'assainissement de base et l'hygiène sont fondamentaux pour la santé, le développement intégré et durable ainsi que la gestion de l'environnement, et qu'ils constituent une condition fondamentale pour le bien-être et la dignité de la population.
      • 7:
      Santé Impulser les efforts collectifs des secteurs public et privé, de la société civile et d'autres acteurs sociaux pour consolider les stratégies sur l'alimentation et la nutrition, surtout la nutrition des enfants, pour en faire un élément intégral de la santé dans la lutte contre la pauvreté, la faim et les inégalités.
      • 8:
      Santé Accélérer les efforts déployés pour améliorer la santé maternelle et infantile, y compris la réduction de la mortalité maternelle et infantile, surtout chez les nouveau-nés, et continuer d'œuvrer pour donner à toutes les femmes un accès effectif aux soins de santé intégraux, surtout durant la grossesse, l'accouchement et la période post-natale. Nous sollicitons la collaboration de l'OPS pour que celle-ci continue d'aider les pays dans cet exercice. Nous nous engageons à soutenir la rénovation de la Stratégie mondiale pour la santé des femmes et des enfants adoptée par les Nations Unies.
      • Mandats issus du Sixième Sommet des Amériques- Cartagena, Colombie - avril 2012
      • 15:
      Pauvreté, Inégalités et Iniquité Prendre des mesures face aux conditions qui ont des incidentes négatives sur la santé de nos peuples, en s’inspirant de la conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé de l’année 2011.
      • 17:
      Pauvreté, Inégalités et Iniquité Accorder la priorité à la nutrition, spécialement la nutrition infantile, dans la lutte contre la pauvreté, la faim et les inégalités et, dans ce contexte, nous reconnaissons l’importance des efforts déployés conjointement par les secteurs public et privé, la société civile et d’autres acteurs sociaux.
      • Déclaration d’Engagement - Port of Spain, Trinité-et-Tobago - avril 2009
      • 26:
      Nous reconnaissons que le problème de l’inégalité d’accès à des soins de santé et aux services de santé complets persiste, spécialement parmi les groupes vulnérables. En conséquence, nous nous engageons à redoubler d’efforts afin de promouvoir une protection sociale et d’identifier et d’appliquer des stratégies qui font avancer l’accès universel à des soins de santé complets et de qualité, en prenant en compte les politiques en matière d’emploi, d’environnement, d’égalité des sexes et de sécurité sociale, ainsi que l’Agenda de la santé pour les Amériques 2008-2017, et nous nous appliquerons à fournir les ressources nécessaires afin d’améliorer nos indicateurs de santé.
      • 27:
      S’il est vrai que la région a réalisé des progrès en matière de réduction de la mortalité maternelle et de la mortalité infantile chez les moins de 5 ans, la mortalité néonatale n’a cependant pas diminué au même taux. Nous faisons un appel à l’Organisation panaméricaine de la Santé (OPS) à continuer d’aider les pays à aborder ce problème au moyen de l’application de la Stratégie et du Plan d’action régionaux pour la santé néonatale dans le contexte du processus continu de soins à la mère, au nouveau-né et à l’enfant. Nous reconnaissons l’importance que revêt la coopération pour ce qui est de la mise en commun des expériences dans le cadre du Partenariat mondial pour la santé de la mère, du nouveau-né et de l’enfant.
      • 28:
      Nous sommes convaincus que nous pouvons réduire le fardeau des maladies non transmissibles (MNT) par des activités de promotion complètes et intégrées, des stratégies de prévention et de contrôle aux niveaux individuel, familial, communautaire, national et régional et au moyen de programmes, partenariats et politiques fondés sur la collaboration et appuyés par les gouvernements, le secteur privé, les médias, les organisations de la société civile, les communautés, et les partenaires régionaux et internationaux compétents. Nous renouvelons donc notre soutien de la Stratégie et du Plan d’action régional de l’OPS pour une approche intégrée de la prévention et du contrôle des maladies chroniques, y compris le régime alimentaire, l’activité physique et la santé. Nous nous engageons également à prendre des mesures pour réduire la consommation de tabac, notamment, le cas échéant, à travers la Convention-cadre pour la lutte anti-tabac de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
      • 29:
      Nous chargeons nos ministres de la santé d’incorporer, avec le soutien de l’OPS, d’ici à 2015, des dispositifs de surveillance des MNT et de leurs facteurs de risque dans les systèmes nationaux d’établissement de rapports sur la santé. Nous encourageons la planification et la coordination nationales des stratégies complètes de prévention et de contrôle des MNT et, le cas échéant, la création de commissions nationales.
      • 30:
      Nous nous engageons à renforcer les actions visant à réduire l’abus des drogues et l’usage abusif des drogues illicites, en insistant sur la prévention, l’éducation, le traitement, la rééducation et la réinsertion dans la société, actions qui seront assorties de campagnes de sensibilisation visant à aider à réduire la demande de drogues illicites.
      • 31:
      Nous nous engageons à améliorer la santé de nos peuples par le renouvellement des soins de santé primaires et l’accès de la population aux soins et aux services de santé complets, ainsi qu’aux médicaments essentiels. C’est pourquoi nous nous engageons à prendre les mesures nécessaires selon la législation, les besoins et les capacités de chacun de nos pays, en prenant en compte l’Agenda pour la santé dans les Amériques 2008-2017, la Déclaration de Montevideo de 2005 sur les nouvelles orientations des soins de santé primaires et la Déclaration de Buenos Aires 30-15 de 2007, selon le cas.
      • 32:
      Nous nous engageons à améliorer l’état nutritionnel de tous les peuples des Amériques d’ici à 2015, et à mettre en œuvre intégralement la Stratégie régionale et plan d'action portant sur la nutrition dans la santé et le développement 2006-2015 de l’OPS. Nous continuerons à promouvoir l’intégration de la nutrition dans les politiques et plans sociaux et économiques, et à réduire les carences nutritionnelles au moyen des stratégies de prévention et de traitement, y compris celles qui ciblent le contrôle de l’obésité et des maladies liées à la nutrition. Nous nous engageons aussi à sensibiliser davantage et à éduquer nos populations au sujet de l’importance du régime alimentaire et de l’activité physique.
      • 33:
      Nous reconnaissons que la nutrition est importante dans la lutte contre la pauvreté, la faim et la malnutrition chronique chez les enfants, en particulier ceux âgés de moins de cinq ans, et au sein des groupes vulnérables. Nous plaçons au rang de haute priorité l’examen de la question de nutrition au moyen d’initiatives conjointes des secteurs public et privé, de la société civile et des collectivités. Nous appelons les organisations internationales à continuer d’appuyer, lorsqu’il y a lieu, les efforts nationaux visant à combattre la malnutrition et promouvoir une alimentation saine.
      • 34:
      Nous réaffirmons notre engagement à mettre en œuvre le Règlement sanitaire international (RSI) (2005) afin de prévenir la transmission internationale des maladies, telles que la grippe épidémique, la fièvre jaune, la dengue, le paludisme et d’autres maladies, et nous nous engageons à mettre en place dans nos pays les capacités fondamentales nécessaires pour surveiller les événements pouvant constituer une urgence de santé publique de portée internationale et y faire face. Nous demandons que l’OPS collabore avec les pays et leur fournisse son appui, conformément aux fonctions qui lui sont confiées dans le RSI (2005), particulièrement en ce qui a trait à la prévention des situations d’urgence de santé publique, à la lutte contre ces situations et à la réponse qui leur est donnée, particulièrement dans les cas d’épidémie.
      • 35:
      Nous nous engageons à réaliser l’objectif de la Déclaration du Millénaire, à savoir enrayer la propagation du VIH/SIDA et commencer à inverser cette tendance d’ici à 2015, au moyen, entre autres, de l’identification et de l’application de stratégies visant à avancer vers l’objectif d’assurer l’accès universel à des programmes intégrés de prévention, aux traitements, aux soins et au soutien. Nous encouragerons la recherche scientifique qui adopte une approche sociale destinée à produire des médicaments et des produits sûrs et de haute qualité et à garantir, dans le cadre des législations nationales un accès accru aux traitements. Nous mettrons en œuvre le Plan régional VIH/IST pour le secteur de la santé 2006-2015, en coordination avec l’OPS, l’ONUSIDA et d’autres institutions pertinentes. Nous nous engageons à renforcer les politiques des pouvoirs publics visant à réduire l’incidence de la transmission du VIH de la mère à l’enfant à moins de 5 % d’ici à 2015. Nous renouvelons notre engagement à participer au Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme et à renforcer celui-ci, y compris par la mobilisation de ressources.
      • Déclaration - Mar Del Plata, Argentine - novembre 2005
      • 33:
      Nous encouragerons des cadres intégrés de politiques publiques en matière d’environnement, d’emploi, de santé et de sécurité sociale pour protéger la santé et la sécurité de tous les hommes et toutes les femmes au travail, et nous stimulerons une culture de prévention et de surveillance des risques professionnels dans le Continent américain.
      • 34:
      Nous renforcerons la coopération et les échanges d’informations dans la lutte contre les maladies chroniques ainsi que contre les maladies émergentes et résurgentes comme le VIH/SIDA, le SRAS, le paludisme, la tuberculose, la grippe aviaire et d’autres risques sanitaires. Nous nous engageons à combattre la condamnation, la désinformation et la discrimination au travail à l’endroit des personnes touchées par le VIH/SIDA, et à favoriser leur plein accès à un emploi digne. Nous avons pour propos de concevoir des stratégies et des mécanismes de coopération transversaux, principalement dans le cadre de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et de l’Organisation panaméricaine de la santé (OPS), pour combattre ces maladies, notamment pour renforcer le Fonds mondial de lutte contre le SIDA, la tuberculose et le paludisme, et assurer son financement adéquat, et aussi mettre au point des plans nationaux de prévention pour combattre les possibilités de pandémies comme la grippe aviaire. Nous invitons instamment tous les pays à accélérer le processus de ratification du nouveau règlement sanitaire le processus de ratification du nouveau Règlement sanitaire international et à s’efforcer d’élargir les mécanismes de coopération qui facilitent l’accès de la population à risque aux mesures pertinentes de prévention, de diagnostic et de traitement.
      • Plan d’Action - Mar del Plata, Argentine - novembre 2005
      • 16:
      Promouvoir les conditions de santé et de sécurité, et favoriser des lieux de travail sains pour tous les travailleurs. Assurer également des systèmes effectifs d’inspection du travail à ces fins. Dans cette perspective, il est indispensable d’impulser la formation d’alliances stratégiques entre le secteur du travail, le secteur de la santé, le secteur de l’environnement, et celui de l’éducation.
      • 46:
      Mettre en œuvre, avec le concours de l’Organisation panaméricaine de la santé (OPS), l’Initiative des « “Trois uns : Un seul cadre national d’action sur le VIH/SIDA, une seule autorité nationale de coordination du SIDA, et un seul système de surveillance et d’évaluation par pays » en intensifiant les actions de prévention de base du VIH/SIDA et en consolidant les services sanitaires spéciaux à l’intention des jeunes et d’autres groupes vulnérables et ce, tout en accordant une attention particulière au problème de la stigmatisation et de la discrimination dans le secteur du travail, en tenant compte du Code de pratique de l’OIT en matière de VIH/SIDA sur le lieu de travail. Favoriser les actions visant à offrir un programme intégré de prévention, de traitement et de soins aux séropositifs avec l’objectif d’offrir, autant que possible, l’accès universel pour tous ceux qui en ont besoin et dans les meilleurs délais.
      • 47:
      Lancer immédiatement –avec le concours de l’OPS- dans les pays où il n’en existe pas encore des plans nationaux de protection civile en prévision d’une pandémie de grippe et de grippe aviaire et faire en sorte que ces plans soient en place avant juin 2006 ; pour les pays qui disposent déjà de plans, mettre en œuvre ces derniers immédiatement à la lumière de la décision du Comité exécutif de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui s’est réuni en janvier 2005.
      • 48:
      Consolider à l’échelle nationale la stratégie de traitement surveillé de la tuberculose sous tous ses aspects et élargir la couverture de la population à risque ; en outre, coordonner les actions pour réduire l’incidence du paludisme dans les pays endémiques et consolider la lutte contre la dengue classique et hémorragique.
      • 50:
      Renforcer, au sein des systèmes nationaux de santé, les actions axées sur les soins primaires, en tant que mesure de prévention des maladies et de leurs séquelles et pour réduire la morbidité en vue de garantir à toutes les personnes du Continent américain un accès équitable aux services de santé.
      • 54:
      Nous reconnaissons les résultats positifs atteints par le Fonds mondial de lutte contre le SIDA, la tuberculose et le paludisme (GFATM) et nous réitérons notre appui en faveur de ses activités et objectifs. Nous recommandons que la société civile continue de participer largement à l’atteinte de ces objectifs et exhortons le Comité directeur du Fonds mondial à évaluer les conditions d’admission en vue d’élargir celle-ci aux pays de revenus moyens du Continent.
      • Déclaration - Nuevo León, Mexique - janvier 2004
      • 38:
      Nous soulignons que l’un des piliers du développement humain et du progrès des nations est la protection sociale en matière de santé. Voilà pourquoi nous continuerons à étendre les stratégies de prévention, de soins et de promotion ainsi que les investissements dans ce domaine afin de fournir des soins de qualité à tous et améliorer, dans la mesure du possible, la protection sociale dispensée à toutes les personnes, avec un accent particulier aux groupes sociaux les plus vulnérables.
      • 39:
      Nous sommes particulièrement préoccupés par l’impact du VIH/SIDA dans nos sociétés respectives, par sa prolifération et la menace qu’il représente pour la sécurité de nos populations. Nous reconnaissons que de plus grands efforts en matière de prévention, de soins et de traitement sont nécessaires dans le Continent américain pour combattre la pandémie du VIH /SIDA. Notre leadership politique est fondamental pour confronter la stigmatisation et la discrimination et la crainte qui retiennent les personnes de se faire examiner et de chercher un traitement et des soins médicaux. Nous reconnaissons que pour relever les défis que représente la pandémie du VIH/SIDA, nous devons continuer à accroître les efforts de coopération au niveau mondial.
      • 40:
      Conformément aux résolutions pertinentes des Nations Unies et de ses organismes spécialisés, aux décisions pertinentes de l’Organisation mondiale du commerce et à « l’Initiative 3 millions d’ici 2005 » de l’Organisation mondiale de la santé, nous nous engageons à faciliter un traitement abordable du VIH/SIDA afin de fournir un traitement anti-rétroviral à tous ceux qui en ont besoin, le plus tôt possible et à 600.000 personnes au moins d’ici l’an 2005.
      • 41:
      De même, nous demandons au Fonds mondial pour le SIDA, la tuberculose et la malaria de dégager les critères qui permettront aux pays d’Amérique latine et des Caraïbes d’avoir un accès accru à ses ressources.
      • 42:
      De même, nous sommes préoccupés par les maladies émergentes et réémergentes, telles que le paludisme, la dengue, la fièvre jaune, la tuberculose, la lèpre, la maladie de Chagas ou d’autres, compte tenu du contexte actuel dans le domaine économique, social et de l’assainissement environnemental ainsi que de l’impact des catastrophes naturelles répétées et des problèmes de santé associés à la croissance non planifiée dans les régions à forte densité démographique.
      • 43:
      C’est pourquoi nous nous engageons à renforcer les programmes de promotion, de prévention, de contrôle et de traitement ; à continuer à mettre en place et à renforcer des stratégies de coopération technique entre les pays de la région et à approfondir la coopération technique avec l’Organisation panaméricaine de la santé, la Banque interaméricaine de développement et d’autres organisations interaméricaines et avec d’autres acteurs clés afin de mettre en œuvre des initiatives intégrées de santé publique pour le contrôle et l’éradication de ces maladies.
      • 46:
      Nous sommes certains qu’assurer la santé environnementale de nos populations constitue un investissement pour le bien-être et la prospérité durables. Nous nous sentons encouragés par le nouveau partenariat des Ministres de la santé et de l’environnement des Amériques et demandons à ceux-ci de mettre au point un Agenda de coopération pour prévenir et minimiser les effets adverses à l’environnement et à la santé humaine.
      • Déclaration - Québec, Canada - avril 2001
      • 11:
      Nous reconnaissons que le VIH/sida constitue une autre menace importante à la sécurité de nos peuples. Nous sommes unis dans notre détermination à adopter des stratégies multisectorielles et à développer notre coopération afin de lutter contre cette maladie et ses conséquences.
      • 25:
      Nous soulignons que la bonne santé et l'égalité d'accès aux soins médicaux, à des services de santé et à des médicaments à un coût abordable sont essentiels au développement humain et à l'atteinte de nos objectifs politiques, économiques et sociaux.
      • Plan d’Action - Québec, Canada - avril 2001
      • 218:
      Reconnaissant, suite aux engagements pris lors des Sommets de Miami et de Santiago, et conformément aux objectifs internationaux approuvés en matière de développement dans les domaines de la santé des mères, des nourrissons, des enfants et de la santé génésique, qu’une bonne santé physique et mentale est essentielle à une vie productive et pleinement satisfaisante, et que l’accès équitable à des services de santé de qualité est un élément essentiel au développement des sociétés démocratiques et à la stabilité et la prospérité des nations; que la jouissance des plus hautes normes de santé est l’un des droits fondamentaux de tout être humain, sans distinction de race, de religion, de convictions politiques, de conditions économiques ou sociales, tel qu’énoncé dans la Constitution de l’Organisation mondiale de la santé; que l’égalité des sexes et les préoccupations à l’égard des peuples autochtones, des enfants, des personnes âgées et des groupes mal servis doivent être le souci primordial dans le cadre de l’élaboration des politiques en matière de santé; que les résultats dans le domaine de la santé sont liés aux facteurs physiques, sociaux, économiques et politiques et que la coopération technique de l’Organisation panaméricaine de la santé (OPS) et d’autres organisations internationales pertinentes devrait continuer de soutenir les actions sanitaires dans l’hémisphère, conformément au Programme commun en matière de santé dans les Amériques signé par l’Organisation panaméricaine de la santé (OPS), la BID et la Banque mondiale.
      • 219:
      Réaffirmer leur engagement à l’égard du processus de réforme du secteur de la santé orientée sur l’équité, en soulignant leurs préoccupations à l’égard des services essentiels de santé publique, de la qualité des soins, de l’égalité d’accès aux services de santé et à la couverture en matière de santé, notamment dans les domaines de la prévention des maladies et de la promotion de la santé, et en améliorant l’utilisation des ressources et l’administration des services de santé; promouvoir l’utilisation continue d’indicateurs communs, approuvés et scientifiquement validés, pour évaluer l’efficacité, l’équité et l’efficience des systèmes de santé.
      • 220:
      Renforcer et promouvoir l’élaboration de normes internes de pratique, de procédures d’accréditation et de délivrance des licences, de codes de déontologie et de programmes de formation pour le personnel du secteur de la santé; améliorer la combinaison de ce personnel dans le cadre de la prestation de services en matière de santé afin de mieux répondre aux priorités nationales en matière de santé.
      • 221:
      Intensifier les efforts, et partager et promouvoir les pratiques exemplaires pour: - réduire la morbidité et la mortalité maternelles et infantiles; - assurer la prestation de soins et de services de santé génésique de qualité pour les femmes, les hommes et les adolescents; et - tenir les engagements pris lors des deux Conférences internationales sur la population et le développement qui ont eu lieu au Caire et à New York cinq ans plus tard pour en assurer le suivi.
      • 222:
      Élaborer des processus pour évaluer l’efficacité d’autres pratiques dans le domaine de la santé et d’autres produits médicaux, afin d’assurer la protection de la population et de partager cette expérience et ces connaissances avec d’autres pays des Amériques.
      • 223:
      S’engager, au plus haut niveau, dans la lutte contre le VIH/sida et ses effets, en reconnaissant que cette maladie menace sérieusement la sécurité de nos peuples; plus particulièrement chercher à accroître les ressources en matière de prévention, d’éducation et d’accessibilité aux soins et aux traitements ainsi que dans le domaine de la recherche; adopter une approche multisectorielle sensible à la spécificité des sexes à l’égard de l’éducation, de la prévention et du contrôle de la propagation du VIH/sida et des maladies transmises sexuellement (MTS), en élaborant des programmes participatifs réservés aux populations à haut risque, et en favorisant les partenariats avec la société civile, notamment les mass-médias, le monde des affaires et les organismes bénévoles; encourager l’utilisation de mécanismes de coopération horizontaux existants, pour veiller à la sécurité du sang; élargir l’accès au niveau national au traitement des maladies connexes au VIH/sida , en prenant des mesures visant à assurer que des médicaments soient disponibles et abordables, y compris grâce à des systèmes de distribution et de livraison fiables et à des mécanismes de financement respectant les lois nationales et les ententes internationales auxquelles les pays ont adhéré; continuer le dialogue avec l’industrie pharmaceutique et le secteur privé en général, pour encourager l’accessibilité, à des prix abordables, des antirétrovirus et des autres médicaments pour le traitement du VIH/sida, et promouvoir des stratégies visant à faciliter le partage de l’information sur la fixation des prix des médicaments, notamment, le cas échéant, celle disponible dans les banques de données nationales; promouvoir et protéger les droits de personnes de tous ceux atteints du VIH/sida, sans discrimination en fonction du sexe ou de l’âge; utiliser la Session extraordinaire de l’Assemblée générale des Nations Unies de juin 2001 sur le sida comme plate-forme pour susciter un soutien en faveur des programmes de lutte contre le VIH/sida à l’échelle nationale et hémisphérique.
      • 224:
      Renforcer les programmes aux niveaux hémisphérique, national et local, pour prévenir, contrôler et traiter les maladies transmissibles telles que la tuberculose, la dengue, la malaria et la trypanosomiase.
      • 225:
      Promouvoir le développement d’une enfance saine, grâce aux soins prénataux, aux programmes d’immunisation élargis ainsi qu’au contrôle des maladies respiratoires et des maladies diarrhéiques au moyen de programmes tels que le programme de prise en charge intégrée des maladies de l’enfant, à l’éducation sanitaire, au maintien de la bonne forme physique, à l’accès à une alimentation saine et nutritive, et à la promotion de l’allaitement maternel.
      • 226:
      Mettre en œuvre des programmes communautaires de soins de santé, de prévention et de promotion, pour réduire les risques pour la santé et l’incidence des maladies non transmissibles, telles que les maladies cardiovasculaires, notamment l’hypertension, le cancer, le diabète, les maladies mentales, ainsi que les incidences de la violence et des accidents sur la santé.
      • 227:
      Participer activement à la négociation d’un projet de convention cadre sur la réglementation du tabac; élaborer et adopter des politiques et des programmes visant à réduire la consommation de produits du tabac, particulièrement parce qu’elle nuit aux enfants; partager les pratiques exemplaires et les leçons apprises dans le cadre de l’élaboration de programmes visant à accroître la sensibilisation du public, et en particulier des adolescents, aux risques pour la santé qui sont associés au tabac, à l’alcool et aux drogues.
      • 228:
      Fournir aux professionnels de la santé et au public des informations scientifiques et techniques sûres, en recourant à des innovations telles que la Bibliothèque virtuelle de la santé des Amériques; encourager l’utilisation de la télésanté comme moyen de joindre les populations éloignées et de fournir des services et des informations en matière de santé aux groupes mal servis, comme complément aux services de soins de santé existants.
      • Plan d’Action - Québec, Chili - avril 1998
      • 146:
      Chercher, par l'action du secteur public ou du secteur privé, ou par des partenariats entre eux, à améliorer la disponibilité, l'accessibilité et la qualité des médicaments et des vaccins, spécialement pour les plus nécessiteux, en faisant la promotion d'efforts visant à préserver la qualité, le choix et l'usage rationnels, la sûreté et l'efficacité des produits pharmaceutiques, particulièrement des médicaments essentiels, et en soutenant des initiatives régionales qui, en 2002, faciliteront la recherche, le développement, la production et l'utilisation des vaccins, ce qui réduira l'incidence de maladies comme la pneumonie, la méningite, la rougeole, la rubéole et les oreillons.
      • 147:
      Renforcer et améliorer les réseaux nationaux et régionaux existants d'information et de surveillance en matière de santé, de manière à ce que les intéressés aient accès à des données relatives aux questions de santé critiques dans la région, afin de prendre les décisions d'ordre clinique et de gestion appropriées. Ils entendent s'occuper de la mise au point, de la mise en oeuvre et de l'évaluation de systèmes et de technologies d'information sur la santé fondés sur les besoins, y compris en matière de télécommunications, afin de soutenir la surveillance épidémiologique, le fonctionnement et la gestion de services et de programmes de santé, l'éducation sanitaire et la promotion de la santé, la télémédecine, les réseaux informatiques et l'investissement dans les nouvelles technologies de la santé.
      • 148:
      Définir des initiatives destinées à réduire les lacunes en ce qui concerne l'accès à l'eau potable et la qualité de cette eau, les installations sanitaires de base et la gestion des déchets solides, particulièrement dans les zones rurales et les zones urbaines pauvres, en appliquant les technologies existantes ou en mettant au point de nouvelles technologies appropriées, efficaces et peu coûteuses.
      • 149:
      Faire tous les efforts possibles pour que les ressources nécessaires soient affectées au développement des champs d'activité prévus au présent Plan, avec le soutien technique de l'Organisation panaméricaine de la santé (OPS). Ils entendent aussi faire la promotion de la collaboration bilatérale et multilatérale et demanderont à la Banque interaméricaine de développement (BID), à la Banque mondiale et à d'autres institutions de coopération financière et technique d'appuyer les programmes et les activités inclus dans cette initiative, selon leurs priorités et leurs champs d'action propres.
      • 150:
      Mettre au point des mécanismes pour évaluer la pertinence, le coût et l'efficacité des technologies appliquées à ces problèmes de santé et autres questions sanitaires prioritaires.
      • 154:
      Promouvoir des politiques destinées à améliorer les conditions de santé des femmes et la qualité des services de santé à toutes les étapes de leur vie.
      • 163:
      Accorder la plus haute priorité à la réduction de la malnutrition des enfants, concentrant leurs efforts sur les programmes de santé, de nutrition et d'éducation relatifs à la nutrition des enfants, et des moins de trois ans en particulier, ces années étant les plus vulnérables. À cette fin, l'accent sera mis sur une nutrition adéquate et sur la correction de déficiences nutritives spécifiques, particulièrement par des suppléments de vitamines et de minéraux combinés à un plus grand usage de la vaccination et de l'immunisation et par la surveillance de l'enfant durant sa croissance.
      • 164:
      Donner la plus haute priorité aux besoins nutritionnels et caloriques des femmes avant et durant la grossesse et l'allaitement. Les Gouvernements entendent faire la promotion de l'allaitement au sein comme source importante de nutrition pour les nourrissons. Les besoins nutritionnels des autres groupes à risque élevé comme les personnes âgées et les handicapés seront aussi pris en considération.
      • 165:
      Continuer, dans la mesure du possible, le dialogue entrepris à la Conférence interaméricaine sur la faim tenue à Buenos Aires en octobre 1996 et envisager l'application, dans leurs pays respectifs, des mesures suggérées à cette occasion, particulièrement la création d'alliances avec le secteur privé pour la lutte contre la faim et la malnutrition, la création de réseaux de banques alimentaires avec la participation de bénévoles et la création d'un Conseil honoraire chargé d'encourager des activités conformes aux objectifs du Sommet dans ce domaine.
      • Plan d'Action - Santa Cruz de la Sierra, Bolivie - décembre 1996
      • 1:
      Initiative Renforcer les programmes élargissant l'accès à l'eau potable, contrôler et améliorer la qualité de l'air et améliorer les conditions sanitaires afin de réduire les taux de mortalité et de morbidité chez les mères et les enfants, et établir des normes de qualité de l'environnement avec la participation de la société civile.
      • 2:
      Initiative Renforcer les programmes dans les pays et ceux lancés par l'Organisation panaméricaine de la santé (OPS) qui visent à lutter contre les maladies infectieuses et contagieuses, émergentes et réémergentes, ainsi que les programmes de vaccination contre des maladies d'une grande importance pour l'hygiène publique, par exemple celles qui sont associées à la détérioration de l'environnement.
      • 3:
      Initiative Promouvoir des mécanismes de coopération continentale visant à mettre en commun les informations et les données d'expériences sur les politiques et mesures nationales qui ont pour objet de réduire les incidences des problèmes environnementaux sur la santé des enfants.
      • 4:
      Initiative Améliorer la couverture et la qualité des services de santé offerts à la population, par exemple les services liés aux maladies contractées à cause de la pollution de l'environnement, accordant une importance particulière aux groupes les plus vulnérables, et en donnant la priorité aux aspects de prévention et de promotion ainsi qu'à l'accès aux informations et aux services de planification familiale avec la participation des différents secteurs intéressés.
      • 47:
      Initiative Chercher à créer, à renforcer et à mettre en oeuvre, le cas échéant, des programmes, des lois et des politiques spécifiques, pour protéger la santé publique en assurant que l'eau potable soit débarrassée de micro-organismes, de métaux lourds et de produits chimiques polluants qui sont dangereux pour la santé humaine.
      • 6:
      Initiative Encourager l'inclusion dans les plans nationaux de développement, des mesures sur la capacité de réaction aux poussées pathologiques, la planification, les mesures de protection contre les catastrophes, ainsi que l'atténuation de leurs effets; s'efforcer de créer, au besoin, des équipes régionales d'intervention en cas d'urgence, et mettre régulièrement à l'essai les plans pour les situations d'urgence; et enfin, promouvoir la mise en place de codes de construction appropriés comprenant des mécanismes de réglementation et d'exécution grâce à la mise en commun des informations et des connaissances spécialisées.
      • Plan d'Action - Miami, États-Unis d’Amérique - décembre 1994
      • 17.1:
      En dépit des progrès impressionnants réalisés dans hémisphère, les limites imposés à l'accès et la qualité des services de santé entraînent une mortalité infantile et maternelle qui reste élevée, notamment dans les groupes ruraux pauvres et autochtones.
      • 17.2:
      Souscriront aux objectifs de santé maternelle et infantile du Sommet mondial de l'enfant de 1990, de l'accord de Nariño de 1994 et de la Conférence internationale sur la population et le développement de 1994, et réaffirmeront leur engagement à réduire la mortalité infantile d'un tiers et la mortalité maternelle de moitié par rapport aux niveaux de 1990, d'ici l'an 2000.
      • 17.3:
      Souscriront à un ensemble de base de services cliniques, de prévention et de santé publique conformes aux recommandations de l'Organisation mondiale de la santé, de l'Organisation pana-méricaine de la santé (OPS) et de la Banque mondiale, et au Plan d'action convenu lors de la Conférence internationale sur la population et le développement de 1994. Cet ensemble comprendra les interventions concernant la santé infantile, maternelle et la reproduction, y compris les soins prénataux, de l'accouchement et postnataux, les informations et les services de planification de la famille, la prévention VIH/SIDA, ainsi que les vaccinations et les programmes de lutte contre les autres causes principales de la mortalité infantile. Les plans et les programmes seront élaborés selon un dispositif décidé par chaque pays.
      • 17.4:
      Elaboreront ou mettront à jour les plans ou les programmes d'action nationaux de réforme en vue d'atteindre les buts de la santé infantile, maternelle et de la reproduction, et pour garantir un accès universel non discriminatoire aux services de base, notamment les programmes d'education et de prévention sanitaires. Les plans et les programmes seront élaborés conformément à un mécanisme décidé par chaque pays. Les réformes couvriraient les services communautaires de base pour les pauvres, les handicapés et les populations autochtones; une infrastructure de santé publique renforce; des variantes de financement, de gestion et de prestation des services; une assurance de qualité et un recours plus fréquent aux participants non gouvernementaux et aux ONG.
      • 17.5:
      Renforceront le réseau interaméricain existent concernant l'économie et le financement de la santé, qui constitue une instance internationale de communication des connaissances techniques, d'informations et d'expériences, en vue de l'orienter vers les efforts de réforme de la santé. Le réseau réunit des représentants officiels, des représentants du secteur privé, des institutions et des acteurs non gouvernementaux, des donateurs et des scientifiques, pour des débats, des analyses et une formation concernant les politiques et d'autres activités visant à faire progresser la réforme. Il vise le renforcement des capacités nationales dans ce domaine critiquait encourage la coopération de tout hémisphère. Convoqueront une réunion spéciale des gouvernements de l'hémisphère, des donateurs et des organismes techniques internationaux concernés, qui sera accueillie par la Banque interaméricaine de développement, la Banque mondiale et l'Organisation panaméricaine de la santé (OPS), en vue d'établir le cadre des mécanismes de reforme de la santé, définir le rôle de l'OPS quant à la surveillance de la mise en oeuvre régionale des plans et des programmes nationaux, et de planifier le renforcement du réseau, notamment des contributions des co-commanditaires à cet égard.
      • 17.6:
      Saisiront l'occasion de la réunion du Conseil de direction de l'OPS des ministres de la Santé de hémisphère occidental, avec la participation de la BID et des donateurs, pour élaborer un programme destiné à combattre les maladies endémiques et transmissibles, ainsi qu'un programme de prévention de la transmission du VIH/SIDA, et à identifier des sources de financement.
      • 17.7:
      Encourageront vivement le Sommet de mars 1995 pour le développement social et la quatrième conférence mondiale sur la Femme de septembre 1995 à aborder la question de l'accès universel aux soins de santé.

  • Antigua-et-Barbuda
    N/A
  • Argentine
    • Rapports
    • Date:  2016-12-20    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2016-12-20    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2016-12-20    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2016-12-20    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2016-12-20    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2016-12-20    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-06-12    Paragraphes: 15, 17
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-06-12    Paragraphes: 15, 17
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 31, 15, 17
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 15, 17
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 15, 17
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2010-12-21    Paragraphes: 27
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2010-12-21    Paragraphes: 29
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2010-12-21    Paragraphes: 30
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2010-12-21    Paragraphes: 31
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2010-12-21    Paragraphes: 34
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2010-12-21    Paragraphes: 35
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2010-12-21    Paragraphes: 34
    Information disponible en Espagnol
    • Sources Connexes
    ARGENTINA- INFORME NACIONAL SOBRE CUMPLIMIENTO DE MANDATOS DE LA V CUMBRE DE LAS AMERICAS
    ARGENTINA- INFORME NACIONAL SOBRE CUMPLIMIENTO DE MANDATOS DE LA V CUMBRE DE LAS AMERICAS
  • Bahamas
    • Rapports
    • Date:  2012-05-15    Paragraphes: 26
    Information disponible en Anglais
    • Date:  2012-05-15    Paragraphes: 27
    Information disponible en Anglais
    • Date:  2012-05-15    Paragraphes: 28
    Information disponible en Anglais
    • Date:  2012-05-15    Paragraphes: 29
    Information disponible en Anglais
    • Date:  2012-05-15    Paragraphes: 33
    Information disponible en Anglais
    • Date:  2012-05-15    Paragraphes: 34
    Information disponible en Anglais
    • Date:  2012-05-15    Paragraphes: 35
    Information disponible en Anglais
    • Date:  2012-05-15    Paragraphes: 30
    Information disponible en Anglais
  • Barbade
    • Rapports
    • Date:  2015-12-18    Paragraphes: 15
    Information disponible en espagnol anglais
    • Date:  2011-06-21    Paragraphes: 35
    Other Programmes and Policy Initiatives
    HIV/AIDS and Persons with Disabilities

    Barbados continues to pursue an expanded response in the fight against HIV / AIDS. The
    Ministry responsible for HIV / AIDS and its Agencies have been active both in the area of
    prevention and care and support. In recent times, however, increased attention has been
    paid to Persons with Disabilities who because of their disability are often excluded from
    the messages coming out of the HIV / AIDS Programmes, especially those who are
    intellectually challenged.

    To this end, the Ministry through its HIV/AIDS Coordinator, the National Disabilities
    Unit and the Ministry of Education, Special Education Unit has been working to develop
    material to aid the communication process on behalf of such persons. To date a number
    of posters have been produced and work continues on the production of a Manual for
    teachers and parents.

    For those who are visually impaired, existing literature is being translated into Braille.
    Audio books are also being considered for both the hearing impaired and those who may
    not be able to read.
    • Date:  2011-06-21    Paragraphes: 33
    Barbados has already approached the FAO for assistance with preparing its own National. FNS Policy and Plan which will be coordinated by the MAFFI in collaboration with the National Nutrition Centre of the Ministry of Health. This Policy will be multi-sectoral in nature and will therefore involve national consultations with the various government departments, stakeholders in the farming communities, NGOs, and other private sector organizations.
    • Date:  2011-06-21    Paragraphes: 26, 31
    Access to comprehensive health care

    Barbados' policies on health are predicated on the philosophy that health care is a
    fundamental right of Barbadians. Consequently, Barbadian citizens and permanent
    residents are guaranteed universal access to health services, including formulary drugs,
    in the public sector, without requirement for co-payment or user fees.
    • Date:  2011-06-21    Paragraphes: 28
    Barbados recognises the importance of implementing the Global Strategy on the
    Prevention and Control of Non-communicable Diseases (NCDs) and has committed to
    executing the components of the CARlCOM Regional Plan of Action on Noncommunicable
    Diseases which was an outcome of the Declaration of the Heads of State and Governments of the Caribbean Community (CARl COM), Uniting to Stop the Epidemic of Chronic Non- Communicable Diseases, 2007.

    In 2007, Barbados established a high-level National Chronic Diseases Commission to plan, guide, monitor and evaluate the national policy on NCDs. The Commission has developed a five-year plan for the prevention and control of non-communicable diseases. Consultations were held with stakeholders in the private and public health care sectors to chart the way forward in adopting the Chronic Care Model in the management of non-communicable diseases.

    Initiatives to improve the surveillance of NCDs and their risk factors have commenced with the establishment of the Barbados National Registry for Chronic Diseases in 2008 (the first of its kind in the Caribbean); the mapping of risk factors and disease prevalence with the implementation of a STEPS survey (2007); and participation in the development of a minimum data-set of indicators to monitor chronic diseases and their risk factors across the Caribbean region (CAREC, 2009). It is envisaged that these initiatives will be supported and strengthened by the development and implementation of the regional surveillance system for non-communicable disease, which will be financed by the Inter-American Development Bank.

    Barbados is committed to reducing the levels of the modifiable risk factors for tobacco use, unhealthy diet and physical inactivity. The Government of Barbados ratified the WHO Framework Convention on Tobacco Control (FCTC) in 2005 and in 2010, enacted legislation to ban the sale of tobacco products by and to minors, and to prohibit smoking in public places. In addition, Barbados is pursuing an initiative in conjunction with other Caribbean countries to regulate and standardise the packaging and labelling of cigarettes in keeping with the FCTC.
    • Date:  2011-06-21    Paragraphes: 29
    Barbados recognises the importance of implementing the Global Strategy on the
    Prevention and Control of Non-communicable Diseases (NCDs) and has committed to
    executing the components of the CARlCOM Regional Plan of Action on Noncommunicable
    Diseases which was an outcome of the Declaration of the Heads of State
    and Governments of the Caribbean Community (CARl COM), Uniting to Stop the Epidemic of Chronic Non- Communicable Diseases, 2007.

    In 2007, Barbados established a high-level National Chronic Diseases Commission to
    plan, guide, monitor and evaluate the national policy on NCDs. The Commission has
    developed a five-year plan for the prevention and control of non-communicable diseases.
    Consultations were held with stakeholders in the private and public health care sectors
    to chart the way forward in adopting the Chronic Care Model in the management of non-communicable diseases.

    Initiatives to improve the surveillance of NCDs and their risk factors have commenced
    with the establishment of the Barbados National Registry for Chronic Diseases in 2008
    (the first of its kind in the Caribbean); the mapping of risk factors and disease prevalence
    with the implementation of a STEPS survey (2007); and participation in the development of a minimum data-set of indicators to monitor chronic diseases and their risk factors across the Caribbean region (CAREC, 2009). It is envisaged that these initiatives will be supported and strengthened by the development and implementation of the regional surveillance system for non-communicable disease, which will be financed by the Inter-American Development Bank.
    • Date:  2011-06-21    Paragraphes: 32
    Measures are being taken to improve diet through the development and promulgation of National Food-based Dietary Guidelines (2009), including guidelines for reducing salt and sugar in foods fed to children in schools ("Nutritious and Healthy Foods in Schools: nutritional and Practical Guidelines for Barbados") and other educational institutions, as well as the launching of an initiative to chronicle levels and sources of dietary sodium. The National Chronic Diseases Commission in January 2011 convened a consultation
    with local food producers and manufacturers to sensitise them to the initiative to reduce dietary salt intake, and to prepare a plan of action for the lowering of salt levels in locally manufactured foods.

    A National Task Force on Physical Activity was established in 2008 to engage all strata of the society and all ages in increasing physical activity and to develop national guidelines on physical activity for healthy living.
    • Date:  2011-06-21    Paragraphes: 33
    Measures are being taken to improve diet through the development and promulgation of National Food-based Dietary Guidelines (2009), including guidelines for reducing salt and sugar in foods fed to children in schools ("Nutritious and Healthy Foods in Schools: nutritional and Practical Guidelines for Barbados") and other educational institutions, as well as the launching of an initiative to chronicle levels and sources of dietary sodium. The National Chronic Diseases Commission in January 2011 convened a consultation
    with local food producers and manufacturers to sensitise them to the initiative to reduce dietary salt intake, and to prepare a plan of action for the lowering of salt levels in locally manufactured foods.
    • Date:  2011-06-21    Paragraphes: 26
    Barbados remains committed to the implementation of the International Health Regulations. In 2011, the Ministry of Health established a committee to review local legislation and to recommend changes consistent with Barbados' commitments under the International Health Regulations, as well as to review and develop protocols and standard operating procedures at the ports of entry.
    • Date:  2011-06-21    Paragraphes: 34
    Having developed a National Influenza Pandemic Preparedness Plan since 2006, Barbados has been revising and strengthening its national influenza surveillance capacity to prevent, detect and diagnose influenza virus infection. Particular attention has been paid to the integration of the virological and epidemiological components of the system and laboratory capacity was enhanced through training provided by the Caribbean Epidemiological Centre (CAREC).

    As part of its pandemic preparedness, Barbados provides influenza vaccines to health care workers and to vulnerable population groups.
    • Date:  2011-06-21    Paragraphes: 35
    Halting and reversing the spread of HIV/AIDS

    Barbados is currently implementing the second Government of Barbados/World Bank HIV/AIDS Project, which inter alia, focuses on improving access to most-at-risk populations (MARPS) and key vulnerable population groups. This Project seeks to deliver a package of services that meet the criteria for accessibility, acceptance, coverage, intensity, linkages and quality of data. The project also seeks to improve the use of all available media especially new media and social networking to effectively administer
    behaviour change communication; to undertake research through which evidence-based interventions can be implemented; and to implement efficient and effective monitoring & evaluation mechanisms. Currently, the National HIV / AIDS Commission is conducting a behaviour change communication campaign that targets the elimination of stigma and discrimination against people living with HIV.

    Antiretroviral therapy remains available and accessible to all persons meeting the
    criteria for treatment.

    Barbados remains committed to the reduction of the incidence of mother-to-child transmission of HIV to less than 5% by 2015 as well as maintaining the current transmission rate of less than 1%. The coverage data on the prevention of mother to child transmission (PMTCT) was determined in accordance with UNGASS indicator Number 5, which assesses the percentage of HIV infected pregnant women who received anti-retroviral therapy to reduce the risk of mother-to-child transmission. The PMTCT coverage was 91.4% in 2008, 82.1% in 2009 and 88.5% in 2010.

    Barbados is scaling up its PMTCT programme to improve maternal and child survival by achieving universal access to comprehensive PMTCT services. The following are the key components of this programme:

    1. Review and update the guidelines on treatment for the prevention of mother-to-child transmission to strengthen the treatment programme for HIV positive mothers;
    2. Develop and implement a national training curriculum for PMTCT; and
    3. Monitor the implementation of the national PMTCT Policy across the health sector of Barbados.
  • Belize
    N/A
  • Bolivie
    N/A
  • Brésil
    • Rapports
    • Date:  2016-06-07    Paragraphes: -
    Information disponible en portugais
    • Date:  2010-11-29    Paragraphes: 27
    Salud:
    De 1990 a 2007, Brasil registró una merma de casi 50% en la tasa de mortalidad materna. De 140 fallecimientos por cada 100 mil nacidos vivos en 1990, el coeficiente de mortalidad materna pasó a 75 en 2007. De acuerdo con el Ministerio, índices como los de partos asistidos por profesionales de la salud calificados, embarazos con seguimiento prenatal y uso de anticonceptivos aumentaron desde 2006. La cobertura prenatal del Sistema Único de Salud (SUS) aumentó 1904% entre 1994 y 2009. A pesar de las cifras alentadoras de reducción de la muerte materna, la meta del milenio que establece una baja del 75% en el coeficiente de muertes maternas para 2015 sigue siendo un gran desafío. Todavía existen problemas como las discrepancias regionales, ya que el Norte y el Noreste presentan índices superiores a los del Sur, Sudeste y Centro oeste. En 2008, por ejemplo, la región del Noreste registró 543 muertes maternas. En la región Sur el número fue de 189. Ante esa discrepancia, se lanzó el “Pacto para la Reducción de la Mortalidad Infantil”. El compromiso del Gobierno Federal apunta a acelerar la reducción de las desigualdades en el Noreste y en la Amazonia Legal. La propuesta es reducir, como mínimo, 5% por año la mortalidad infantil (menores de un año), especialmente el componente neonatal (hasta 27 días de nacido), en 2009 y 2010. Las medidas se concentrarán en 250 ciudades. Son 154 municipios prioritarios de ocho estados del Noreste: Alagoas, Bahia, Ceará, Paraíba, Pernambuco, Piauí, Rio Grande do Norte y Sergipe, y en 96 municipios prioritarios de nueve estados de la Amazonia Legal: Amapá, Acre, Amazonas, Maranhão, Mato Grosso, Pará, Roraima, Rondônia y Tocantins. El pacto prevé una inversión de R$ 110 millones para 2009, con medidas para la reducción de la mortalidad infantil en la Amazonia Legal y el Noreste.
    • Date:  2010-11-29    Paragraphes: 28
    Salud:
    De 1990 a 2007, Brasil registró una merma de casi 50% en la tasa de mortalidad materna. De 140 fallecimientos por cada 100 mil nacidos vivos en 1990, el coeficiente de mortalidad materna pasó a 75 en 2007. De acuerdo con el Ministerio, índices como los de partos asistidos por profesionales de la salud calificados, embarazos con seguimiento prenatal y uso de anticonceptivos aumentaron desde 2006. La cobertura prenatal del Sistema Único de Salud (SUS) aumentó 1904% entre 1994 y 2009. A pesar de las cifras alentadoras de reducción de la muerte materna, la meta del milenio que establece una baja del 75% en el coeficiente de muertes maternas para 2015 sigue siendo un gran desafío. Todavía existen problemas como las discrepancias regionales, ya que el Norte y el Noreste presentan índices superiores a los del Sur, Sudeste y Centro oeste. En 2008, por ejemplo, la región del Noreste registró 543 muertes maternas. En la región Sur el número fue de 189. Ante esa discrepancia, se lanzó el “Pacto para la Reducción de la Mortalidad Infantil”. El compromiso del Gobierno Federal apunta a acelerar la reducción de las desigualdades en el Noreste y en la Amazonia Legal. La propuesta es reducir, como mínimo, 5% por año la mortalidad infantil (menores de un año), especialmente el componente neonatal (hasta 27 días de nacido), en 2009 y 2010. Las medidas se concentrarán en 250 ciudades. Son 154 municipios prioritarios de ocho estados del Noreste: Alagoas, Bahia, Ceará, Paraíba, Pernambuco, Piauí, Rio Grande do Norte y Sergipe, y en 96 municipios prioritarios de nueve estados de la Amazonia Legal: Amapá, Acre, Amazonas, Maranhão, Mato Grosso, Pará, Roraima, Rondônia y Tocantins. El pacto prevé una inversión de R$ 110 millones para 2009, con medidas para la reducción de la mortalidad infantil en la Amazonia Legal y el Noreste.
    • Date:  2010-11-29    Paragraphes: 29
    Salud:
    De 1990 a 2007, Brasil registró una merma de casi 50% en la tasa de mortalidad materna. De 140 fallecimientos por cada 100 mil nacidos vivos en 1990, el coeficiente de mortalidad materna pasó a 75 en 2007. De acuerdo con el Ministerio, índices como los de partos asistidos por profesionales de la salud calificados, embarazos con seguimiento prenatal y uso de anticonceptivos aumentaron desde 2006. La cobertura prenatal del Sistema Único de Salud (SUS) aumentó 1904% entre 1994 y 2009. A pesar de las cifras alentadoras de reducción de la muerte materna, la meta del milenio que establece una baja del 75% en el coeficiente de muertes maternas para 2015 sigue siendo un gran desafío. Todavía existen problemas como las discrepancias regionales, ya que el Norte y el Noreste presentan índices superiores a los del Sur, Sudeste y Centro oeste. En 2008, por ejemplo, la región del Noreste registró 543 muertes maternas. En la región Sur el número fue de 189. Ante esa discrepancia, se lanzó el “Pacto para la Reducción de la Mortalidad Infantil”. El compromiso del Gobierno Federal apunta a acelerar la reducción de las desigualdades en el Noreste y en la Amazonia Legal. La propuesta es reducir, como mínimo, 5% por año la mortalidad infantil (menores de un año), especialmente el componente neonatal (hasta 27 días de nacido), en 2009 y 2010. Las medidas se concentrarán en 250 ciudades. Son 154 municipios prioritarios de ocho estados del Noreste: Alagoas, Bahia, Ceará, Paraíba, Pernambuco, Piauí, Rio Grande do Norte y Sergipe, y en 96 municipios prioritarios de nueve estados de la Amazonia Legal: Amapá, Acre, Amazonas, Maranhão, Mato Grosso, Pará, Roraima, Rondônia y Tocantins. El pacto prevé una inversión de R$ 110 millones para 2009, con medidas para la reducción de la mortalidad infantil en la Amazonia Legal y el Noreste.
    • Sources Connexes
    REPORT OF THE FEDERATIVE REPUBLIC OF BRAZIL ON IMPLEMENTATION OF THE MANDATES ARISING FROM THE FIFTH SUMMIT OF THE AMERICAS (Brazil 2010)
    REPORT OF THE FEDERATIVE REPUBLIC OF BRAZIL ON IMPLEMENTATION OF THE MANDATES ARISING FROM THE FIFTH SUMMIT OF THE AMERICAS (Brazil 2010)
    REPORT OF THE FEDERATIVE REPUBLIC OF BRAZIL ON IMPLEMENTATION OF THE MANDATES ARISING FROM THE FIFTH SUMMIT OF THE AMERICAS (Brazil 2010)
  • Canada
    • Rapports
    • Date:  2010-06-20    Paragraphes: 26
    Le Canada compte un appareil gouvernemental fédéral. La plupart des responsabilités liées à la santé relèvent de la compétence des autorités provinciales. Selon la Loi canadienne sur la santé, « la politique canadienne de la santé a pour premier objectif de protéger, de favoriser et d'améliorer le bien-être physique et mental des habitants du Canada et de faciliter un accès satisfaisant aux services de santé, sans obstacles d'ordre financier ou autre. »

    Santé Canada est le ministère fédéral responsable d'aider les gens à maintenir et à améliorer leur santé. Un des objectifs de Santé Canada consiste à améliorer les résultats en matière de santé des Premières nations et des Inuits, d'assurer la disponibilité de services de santé de qualité et l'accès à ceux-ci, et de favoriser une plus grande prise en charge du système de santé par les Premières nations et les Inuits. Ces mesures comprennent l’exécution de programmes de santé communautaires dans les réserves et dans les collectivités inuites et la prestation de services de médicaments, dentaires et auxiliaires aux Premières nations et aux Inuits, peu importe où ils habitent. Le Canada appuie des programmes liés à la santé maternelle et infantile, à la santé mentale, à la dépendance et à la prévention des maladies chroniques.

    Conformément à son Plan d’action pour accroître l’efficacité de l’aide, l’ACDI, en 2009, a annoncé que son aide internationale porterait principalement sur trois thèmes, y compris le thème « Assurer l’avenir des enfants et des jeunes ». Selon cette stratégie, l’Agence canadienne de développement international appuie les initiatives qui visent à améliorer les taux de survie chez les enfants, y compris la santé maternelle.

    Selon des protocoles d’entente avec le Brésil, le Mexique et les États-Unis et grâce à sa participation à des ateliers régionaux animés par l’Organisation panaméricaine de la santé, le Canada a partagé ses pratiques exemplaires en soins de santé avec des partenaires en Amérique latine.
    • Date:  2010-06-20    Paragraphes: 27
    Dans le cadre du Programme de soins de santé maternelle et infantile (PSSMI) pour les Premières nations du Canada, on fournit un financement de 110 millions de dollars sur cinq ans pour permettre aux femmes enceintes et aux familles ayant de jeunes enfants de recevoir des visites à domicile par des membres du personnel infirmier et par des visiteuses familiales. L’objectif du programme dans les collectivités des Premières nations est d’appuyer les femmes enceintes et les familles ayant des nourrissons et de jeunes enfants à réaliser leur plein potentiel en matière de développement et d’espérance de vie. Dans le Nord canadien, le programme s’ajoute aux mesures de prévention des maladies et de promotion de la santé offertes par les gouvernements provinciaux/territoriaux.

    Le Système canadien de surveillance périnatale assure la surveillance des déterminants et des résultats de la santé maternelle, foetale et infantile au Canada et présente des rapports à cet égard. Les données empiriques recueillies aident à éclairer les programmes, les pratiques et les politiques en matière de soins de santé et de santé publique.

    Au niveau international, Santé Canada a coorganisé des ateliers internationaux sur la santé maternelle et infantile des Autochtones et la sage-femmerie. Le Canada est un membre fondateur et actif de l’Organisation internationale des systèmes pour la monitorisation des défauts congénitaux, dont l’objectif premier consiste à partager de l’information et les résultats de recherche afin de prévenir les déformations congénitales et d’en atténuer les conséquences.
    • Date:  2010-06-20    Paragraphes: 28
    Le Centre collaborateur de l'Organisation mondiale de la Santé (CCOMS) concernant les politiques sur les maladies non infectieuses, qui relève de l’Agence de la santé publique du Canada assure un leadership au Canada et dans les Amériques vis-à-vis de la réduction du fardeau des maladies non infectieuses (MNI). Le CCOMS renforce la collaboration multisectorielle relativement à l’adoption de politiques et de mesures complémentaires, notamment à travers le Forum des partenaires, partenariat mondial de la santé s’intéressant aux maladies non infectieuses dans les Amériques. Le CCOMS collabore avec la Société canadienne de santé internationale afin d’examiner les mécanismes de pratiques exemplaires dans le but de favoriser les partenariats stratégiques qui permettront de mettre en œuvre l’orientation choisie dans la Déclaration du Sommet. Le CCOMS participe au travaux d’élaboration de modèles de sciences sociales novateurs afin de prévoir les effets socio-économiques des politiques de la santé se rapportant à la prévention et à l’éradication des maladies non infectieuses. Le CCOMS favorise également la collaboration internationale et partage ses conclusions et connaissances spécialisées afin de promouvoir des programmes, des partenariats et des politiques de prévention et d’éradication exhaustifs et intégrés.

    Le gouvernement du Canada finance le Partenariat canadien contre le cancer, société sans but lucratif dont le mandat consiste à mettre en œuvre la Stratégie canadienne de lutte contre le cancer, plan dressé en consultation avec plus de 700 experts du cancer et survivants.

    La prévention du tabagisme, surtout chez les jeunes, est toujours une priorité importante au Canada. Au mois d’octobre 2009, la Loi restreignant la commercialisation du tabac auprès des jeunes a été adoptée afin d’interdire l’usage d’additifs qui attirent les jeunes, y compris des saveurs dans certains produits du tabac. La loi impose également une taille minimale pour l’emballage de certains produits du tabac et limite davantage la publicité sur le tabac.

    Le gouvernement du Canada a toujours à cœur les objectifs du Convention-cadre pour la lutte antitabac et participe activement aux travaux d’un certain nombre de groupes de travail appuyant la mise en œuvre de cette convention.
    • Date:  2010-06-20    Paragraphes: 30
    La Stratégie nationale antidrogue (SNA) du Canada vise à contrer l’usage de drogues illicites à travers le pays afin de favoriser des collectivités plus saines et plus sûres. On compte parmi les éléments centraux de la stratégie une campagne médiatique de prévention de l’abus de drogues qui vise à convaincre les jeunes à ne pas faire usage de drogues et le financement d’initiatives de prévention en milieu communautaire.

    Un des éléments de la SNA est un Plan d'action en matière de traitement comptant cinq objectifs : favoriser la collaboration avec les provinces et les territoires afin d’appuyer les systèmes et les services de traitement en cas de lacunes; améliorer le traitement et le soutien offerts aux Premières nations et aux Inuits; appuyer la recherche sur la toxicomanie; offrir des programmes de déjudiciarisation et de traitement aux jeunes délinquants aux prises avec des problèmes de toxicomanie; mettre au point de nouveaux outils afin d’aiguiller les jeunes à risque vers des programmes de traitement.

    Le gouvernement du Canada consacre 59 millions de dollars par année au Programme national de lutte contre l'abus de l'alcool et des drogues chez les Autochtones (PNLAADA) afin d’appuyer 54 centres de traitement, de même que des services de prévention d’usage abusif de drogues et d’alcool dans plus de 500 collectivités autochtones et inuites à travers le Canada.
    • Date:  2010-06-20    Paragraphes: 31
    Le Canada s’engage à soutenir et à renouveler le régime de soins de santé :

    • en accélérant la mise en oeuvre des initiatives de renouvellement des soins de santé primaires pour que les citoyens puissent recevoir couramment les soins requis par l'entremise d'organisations ou d'équipes pluridisciplinaires;
    • en facilitant l’accès à un fournisseur pertinent de soins 24 heures par jour, sept jours par semaine;
    • en accélérant la création et le déploiement de dossiers médicaux électroniques, y compris les ordonnances électroniques et la télésanté;
    • en accordant une plus grande importance à la promotion de la santé, à la prévention des maladies et des blessures et à la gestion des maladies chroniques;
    • en facilitant la coordination avec d’autres services de santé.

    Le Canada s’engage aussi à fournir des soins de santé de grande qualité aux Premières nations et aux Inuits. Les infirmiers et les prestataires de soins à domicile sont tous des exemples de personnel de la santé travaillant auprès des collectivités autochtones et inuites.

    Canadá se ha comprometido a mantener y renovar el sistema de atención de salud, por medio de las siguientes medidas, entre otras:
    • acelerar la renovación de la atención primaria de salud para que los ciudadanos reciban, de forma rutinaria, la atención necesaria de las organizaciones o equipos multidisciplinarios;
    • facilitar el acceso a un proveedor apropiado de cuidados de la salud, 24 horas al día, los 7 días de la semana;
    • acelerar el desarrollo y la puesta en práctica de las historias clínicas electrónicas, incluyendo recetas en línea y la telesalud;
    • incrementar el énfasis de la promoción de la salud, la prevención de enfermedades y lesiones y el manejo de las enfermedades crónicas; y
    • facilitar la coordinación con otros servicios de salud.
    Canadá también se ha comprometido a proporcionar cuidados de salud de alta calidad para las personas de las Primeras Naciones y los Inuit. Enfermeras y especialistas domiciliarios de la salud constituyen ejemplos del tipo de personal de la salud que trabaja en las comunidades aborígenes.
    • Date:  2010-06-20    Paragraphes: 32
    La Stratégie pancanadienne intégrée en matière de modes de vie sains du Canada met l’accent sur la saine alimentation, l’activité physique et l’incidence de ces facteurs sur l’atteinte d’un poids santé. Le Canada a publié un rapport annuel sur la mise en oeuvre de la stratégie et un guide de pratiques exemplaires en matière de nutrition intitulé Amener la santé à la table de planification – Un profil des pratiques prometteuses du Canada et
    de l’étranger.
    Le Canada publie des Guides d’activité physique à l’intention des enfants, des jeunes et du grand public et des personnes âgées qui font connaître les lignes directrices du Canada en matière d’activité physique et décrivent les moyens à prendre pour être actif. Le gouvernement du Canada finance également la campagne de sensibilisation
    à l’activité physique de ParticipACTION.
    Pour promouvoir une alimentation saine chez les Autochtones et Inuits, le Canada a adapté le Guide alimentaire canadien afin de créer un Guide alimentaire canadien – Premières Nations, Inuit et Métis qui compte de l’information à jour sur une alimentation saine et l’intégration de régimes traditionnels. La publication est offerte dans les langues suivantes : l’inuktitut, l’ojibway, le cri des plaines et le cri des bois.
    • Date:  2010-06-20    Paragraphes: 33
    Le Canada favorise des programmes nutritionnels visant les groupes vulnérables, notamment par l’entremise des programmes pour enfants offerts en milieu communautaire par l’Agence de la santé publique du Canada – le Programme canadien de nutrition prénatale (PCNP) et le Programme d'action communautaire pour les enfants. Le PCNP finance des groupes en milieu communautaire afin d’appuyer les femmes enceintes confrontées à des conditions de risque.

    Le Canada fait la promotion de l'allaitement maternel comme le meilleur moyen qui soit de combler les besoins nutritionnels, immunologiques et affectifs reliés à la croissance et au développement du nourrisson. Le gouvernement du Canada appuie le travail du Comité canadien pour l’allaitement afin de mettre en œuvre l’Initiative des hôpitaux amis des bébés de l’OMS-UNICEF au Canada.

    La composante des Premières nations et des Inuits du Programme canadien de nutrition prénatale est un programme en milieu communautaire ayant pour but d’améliorer la santé nutritionnelle des mères et des nourrissons, tout en accordant une attention particulière aux groupes à risque élevé. Il appuie des activités liées à l’évaluation nutritionnelle, à l’éducation et au counseling; à l’alimentation maternelle et à la promotion et au soutien de l’allaitement maternel. Ce programme s’adresse principalement aux femmes enceintes et aux femmes ayant un nourrisson jusqu’à l’âge de 12 mois dans les collectivités autochtones et inuites.

    Au niveau international, l’Agence canadienne de développement international contribue aux efforts de lutte contre la malnutrition, notamment en appuyant le programme nutritionnel national de la Bolivie. Ce projet vise à enrayer les carences vitaminiques et à améliorer les installations de santé et les capacités du personnel médical.
    • Date:  2010-06-20    Paragraphes: 34
    Le Canada est conscient de la difficulté que pose le respect des engagements énoncés dans le Règlement sanitaire international (RSI) et tient à faire des progrès à l’échelle nationale et internationale. Le Canada a un plan détaillé pour la mise en œuvre du RSI dans les administrations fédérale, provinciales et territoriales, qui se fera par l’intermédiaire d’un réseau de champions du RSI au sein duquel les ministères fédéraux concernés, les 10 provinces et les trois territoires seront représentés.

    Des analyses des capacités de surveillance et d’intervention et des capacités à cinq points d’entrée désignés – trois aéroports internationaux et deux ports maritimes – ont été réalisées. Celles-ci ont montré que le Canada répond aux exigences minimales du RSI en matière de capacités de base. Le Canada entend toutefois aller au-delà des exigences minimales et renforcer encore plus le système de santé public.

    Le Canada a aidé de diverses façons les pays d’Amérique latine et des Caraïbes à mettre en œuvre le RSI, par exemple :
    • soutien apporté par l’Agence canadienne de développement international (ACDI) à l’Organisation panaméricaine de la santé (OPS) pour améliorer les capacités des pays membres de faire face à une pandémie et pour lutter contre la grippe H1N1;
    • soutien en matière de diagnostic et déploiement d'épidémiologistes de terrain par l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) pour aider le Mexique dans sa lutte contre la grippe H1N1;
    • assistance technique fournie par l’ASPC dans l’évaluation des capacités de base du Guyana en matière de surveillance et d’intervention;
    • conseils d’experts fournis par l’ASPC pour aider les États des Caraïbes à incorporer le RSI dans leurs lois nationales;
    • participation aux activités du Groupe de travail sur la protection de la santé mondiale (GTPSM) et tenue de groupes de travail du GTPSM pour améliorer l’organisation des activités du GTPSM et du RSI, de façon à mieux encadrer les efforts de mise en œuvre de l’Organisation mondiale de la santé.
    • Date:  2010-06-20    Paragraphes: 35
    L’Initiative fédérale (IF) de lutte contre le VIH/sida, l’Initiative canadienne de vaccin (ICV) contre le VIH et les stratégies provinciales et territoriales s’inscrivent dans le cadre des mesures prises par le Canada pour lutter contre le VIH/sida. L’IF englobe le système de surveillance national, le financement de la recherche scientifique et le soutien des efforts déployés par les organismes communautaires et les organismes nationaux non gouvernementaux pour prévenir le VIH et sensibiliser la population à ce fléau. L’ICV prévoit des investissements dans la mise au point de nouvelles technologies de prévention du VIH, y compris la recherche-développement sur un vaccin. Grâce au système de santé public du Canada, les personnes qui se savent séropositives peuvent obtenir des traitements. En outre, le Canada élabore un cadre de prévention renouvelé en réponse au défi permanent que représentent les nouvelles infections.

    L’IF permet de débloquer des fonds pour les organismes communautaires du pays, afin qu’ils puissent améliorer l'accès à des services de prévention, de diagnostic, de soins, de traitement et de soutien plus efficaces pour les huit groupes les plus touchés par le VIH/sida au Canada : hommes homosexuels et hommes qui ont des rapports sexuels avec d’autres hommes, utilisateurs de drogues injectables, Autochtones, détenus, femmes, personnes provenant de pays où le VIH est endémique, jeunes à risque et personnes atteintes du VIH/sida. Lors de l’exercice 2008-2009, 35 projets nationaux et 139 projets communautaires ont fait l’objet de dépenses réelles totalisant 21,7 millions de dollars.

    Sur la scène internationale, l’Agence canadienne de développement internationale (ACDI) apporte une contribution, échelonnée sur trois ans (2008-2010), au Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme. Le Régime canadien d'accès aux médicaments (RCAM), qui est entré en vigueur en mai 2005, s’inscrit dans le soutien apporté par le Canada aux mesures de plus en plus énergiques prises pour fournir aux personnes qui en ont grandement besoin les médicaments qui leur permettent de lutter contre le VIH/sida dans les pays en développement. L’ACDI appuie également des projets précis de lutte contre le VIH/sida, notamment en participant aux travaux du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) dans le cadre du Projet de services municipaux pour la santé et la prévention du VIH/sida chez les adolescents au Honduras.
    • Date:  2010-06-18    Paragraphes: 29
    La surveillance des maladies chroniques est un des éléments de la Stratégie intégrée en matière de modes de vie sains et de maladies chroniques, qui donne au gouvernement du Canada la capacité unique de suivre les tendances nationales relatives aux maladies chroniques et aux facteurs de risque. Le programme fonctionne grâce à la collaboration des provinces, des territoires, de Statistique Canada, de l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS), d’organisations des professionnels de la santé et de grandes organisations non gouvernementales (ONG). Il porte sur la création d’un système national de surveillance des maladies chroniques intégral qui aide les gouvernements et les ONG à effectuer des investissements efficaces en matière de prévention.

    Le programme analyse et interprète les données concernant les tendances pour l’ensemble des maladies chroniques à partir des données disponibles sur les décès provenant de Statistique Canada, le nombre d’hospitalisations de l’ICIS et la prévalence des maladies chroniques et des facteurs de risque provenant des sondages de Statistique Canada. Il recueille, analyse et interprète de nouvelles données pour des conditions prioritaires, y compris : le cancer, le diabète, les maladies cardiovasculaires, les maladies respiratoires chroniques, l’arthrite et d’autres affections touchant les os et les articulations, la maladie mentale et les conditions neurologiques. Le programme offre un accès facile à des données à la disposition du public pour que les services de santé, les professionnels de la santé, les chercheurs et les œuvres charitables de la santé puissent personnaliser l’analyse des données, selon leurs besoins.
    • Sources Connexes
    Agence canadienne de développement international
    Agence canadienne de développement international et les Amériques
    Agence de la santé publique du Canada - Contactez-nous
    Agence de la santé publique du Canada - Santé maternelle et infantile
    Amener la santé à la table de planification
    Bien manger avec le Guide alimentaire canadien - Premières Nations, Inuit et Métis
    Bringing Health to the Planning Table
    Campagne de prévention de la toxicomanie chez les jeunes
    Canada’s Health Care System
    Canada’s National Anti-Drug Strategy
    Canadian Alcohol and Drug Use Monitoring Survey
    Canadian HIV Vaccine Initiative
    Canadian International Development Agency and the Americas
    Cancer Surveillance On-Line
    cancer view canada
    Centre collaborateur de l'Organisation mondiale de la santé sur les politiques relatives aux maladies chroniques non transmissible
    Drug Prevention and Treatment
    Drug Strategy and Controlled Substances Programme
    Eating Well with Canada's Food Guide - First Nations, Inuit and Métis
    Emergency Preparedness and Response
    Enquête de surveillance canadienne de la consommation d'alcool et de drogues
    Federal Initiative to Address HIV/AIDS in Canada
    First Nations, Inuit and Aboriginal Health - Alcohol, Drugs and Solvents
    First Nations, Inuit and Aboriginal Health - Diabetes
    First Nations, Inuit and Aboriginal Health - Health Care Services
    First Nations, Inuit and Aboriginal Health - Healthy Pregnancy and Babies
    First Nations, Inuit and Aboriginal Health - Substance Use and Treatment of Addictions
    First Nations, Inuit and Aboriginal Health – Family Health
    Guide d'activité physique pour une vie active saine
    Health Canada – Contact Us
    Health Canada – First Nations, Inuit and Aboriginal Health
    Health Canada and The Pan American Health Organization
    Health Concerns
    HIV/AIDS pandemic
    Initiative canadienne de vaccin contre le VIH
    Initiative fédérale de lutte contre le VIH/sida au Canada
    Maladies et affections
    Mesures et d'interventions d'urgence
    not4me
    Odrogue pour moi
    Pandémie de VIH/sida
    Parents : prévenir la consommation de drogues chez les jeunes
    Partenariat canadien contre le cancer
    Physical Activity Guide to Healthy Active Living
    Prévention et traitement de la toxicomanie
    Profil statistique de la santé des Premières nations au Canada
    Programme de la stratégie antidrogue et des substances contrôlées
    Public Health Agency of Canada - Contact Us
    Public Health Agency of Canada – Maternal and Infant Health
    Santé Canada
    Santé Canada – Contactez-nous
    Santé Canada – Santé des Premières nations, des Inuits et des Autochtones
    Santé Canada et l'Organisation panaméricaine de la Santé
    Santé des Premières nations, des Inuits et des Autochtones - Alcool, drogues et solvants
    Santé des Premières nations, des Inuits et des Autochtones - Consommation de substances et traitement de la toxicomanie
    Santé des Premières nations, des Inuits et des Autochtones - Diabète
    Santé des Premières nations, des Inuits et des Autochtones - Grossesse et bébés en santé
    Santé des Premières nations, des Inuits et des Autochtones - Santé familiale
    Santé des Premières nations, des Inuits et des Autochtones - Services de soins de santé
    Statistical Profile on the Health of First Nations in Canada
    Stratégie nationale antidrogue du Canada
    Surveillance du cancer au Canada en direct
    Système de soins de santé du Canada
    Tabagisme
    Tobacco
    Vue sur le cancer Canada
    World Health Organization Collaborating Centre
    Youth Drug Prevention Campaign
  • Chili
    • Rapports
    • Date:  2016-05-24    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2016-05-24    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2016-05-24    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2016-05-24    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2016-05-24    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 26
    Protección social y acceso universal
    El sistema de Garantías Explícitas de Salud (GES) es el derecho que otorga la ley a todas las personas cubiertas por el seguro público (Fonasa) y por los seguros privados de salud (Isapres), para ser atendidos en condiciones especiales de acceso, calidad, oportunidad y protección financiera, en caso de sufrir cualquiera de los 69 problemas de salud que la ley define como patologías AUGE. Las garantías explícitas son:
    ?
    De acceso: es la obligación de Fonasa y las Isapres de asegurar las prestaciones de salud.
    ?
    De calidad: otorgamiento de la atención de salud garantizada por un prestador registrado o acreditado, que cumpla con los estándares exigidos (aún no entra en vigencia).
    ?
    De oportunidad: entrega de la atención requerida en los plazos máximos establecidos por ley para el otorgamiento de las prestaciones de salud garantizadas, y,
    ?
    De protección financiera: los copagos que deberá efectuar el afiliado por esas prestaciones no puede exceder de una cierta proporción establecida.
    El Gobierno de Chile ha implementado a través de FONASA el programa “Bono AUGE FONASA” para garantizar en igualdad de condiciones, el acceso oportuno a las prestaciones AUGE, evitando el deterioro en la calidad de vida de los asegurados públicos de salud.
    El Programa “Bono AUGE FONASA”, es un instrumento que asegura el cumplimiento de los plazos de atención, mediante el acceso a la prestación requerida en otro prestador público o privado, designado por FONASA. Este Programa, en complementariedad con otras acciones desarrolladas, ha permitido que las listas de espera AUGE hayan disminuido desde 380.000 a comienzos del 2010 a 53.152 en abril 2011. Se espera terminar con las listas de espera AUGE a fines del presente año.
    Con el Bono AUGE, FONASA contribuye directamente a una mejor salud de sus asegurados. Adicionalmente, el Gobierno se encuentra trabajando en la implementación de un programa de reducción de las listas de espera prolongadas para cirugías No AUGE, el que comenzará como piloto durante este año 2011 y pretende terminar en dos años con este problema.
    Previamente, en el 2007, se desarrolló el Plan Nacional de Afiliación y Acreditación cuyo objetivo es promover la incorporación a FONASA de todos aquellos ciudadanos que no poseen cobertura de salud, o que teniéndola, opten por una nueva afiliación. Con ese avance los nuevos beneficiarios adquirieron la condición de titulares de derecho, accediendo con propiedad al régimen de salud integral que brinda FONASA, incluido el AUGE. Complementariamente, el Programa de Afiliación Extendida ha favorecido a las personas que trabajan de manera intermitente y a sus cargas, otorgándoles cobertura durante todo el año. Actualmente, son más de 750 mil los trabajadores que se desempeñan por faenas o temporadas que acceden a este beneficio.
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 27
    Salud materna, neonatal e infantil
    Los indicadores de salud materna y perinatal en Chile siguen siendo los mejores de Latinoamérica, sin embargo se observa un estancamiento en los últimos 7 años, y según la tendencia observada, no se cumplió el objetivo sanitario de reducir la mortalidad materna a 12/100.000 nacidos vivos en el 2010, y no se cumplirá el objetivo internacional de 9,9/100.000 nv al 2015. Es necesario reformular las estrategias según los cambios epidemiológicos y demográficos.
    Principales estrategias en Chile:
    ?
    Control prenatal con acompañamiento: De los 646.696 controles prenatales realizados el primer semestre del 2010 un 23,5% se realizó con la presencia de la pareja o un familiar significativo, lo que representa un leve incremento (+2,5%) con respecto al mismo período del año anterior.
    ?
    Continuo de atención en la red asistencial.
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    El acceso a personal de salud obstétrico y neonatal especializado.
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    Participación del padre en preparto y parto: Durante el primer semestre del año 2010 el índice de acompañamiento alcanzó un 49,4%.
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    La prestación de servicios obstétricos de emergencia.
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    Realizar una visita domiciliaria integral a gestantes y mujeres en el postparto y a su recién nacido tan pronto como sea posible después del parto, ante la presencia de riesgo biopsicosocial. El primer semestre del año 2010, el promedio de VDI por gestantes en riesgo alcanzó un 0,95. De los 103.506 ingresos registrados en el primer semestre del año 2010, un 23% corresponde a gestantes con una edad menor o igual a 19 años, de estas un 4,5% es menor de 15 años.
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    Talleres de educación grupal durante el embarazo: Entregar conocimientos y preparación para el parto y la crianza a embarazadas y a las familias, enseñándoles a reconocer las señales de alerta en relación con la salud materna y neonatal. En el período comprendido entre enero y junio del año 2010 los
    ingresos a educación prenatal, se distribuyen en un proporción mayoritaria (74,5%) a los talleres de “Preparación para el parto y la crianza”.
    ?
    Se promueve el contacto piel a piel madre – hijo al menos por 30 minutos, después del parto. En el parto normal se observa un 65%, cesárea electiva 29%.
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    Control de salud madre-hijo/a después del parto.
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    Entrega de información de cuidados básicos de los recién nacidos, lactancia materna a partir del nacimiento, lactancia materna exclusiva.
    La atención profesional del parto en Chile alcanza un 99,8%, el profesional matrón(a) se encuentra en hospitales de baja, mediana y alta complejidad, lo cual permite otorgar continuidad en la atención de la madre y su hijo...
    para ver el reporte completo, visite http://www.summit-americas.org/nat_rep/2011/Chl_Sp.pdf
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 28
    Enfermedades no transmisibles
    La meta de la Estrategia y Plan regionales es prevenir y reducir la carga de enfermedades crónicas y los factores de riesgo relacionados a través de 4 líneas de acción: Políticas públicas y promoción de la causa; vigilancia, promoción de la salud y prevención de las enfermedades, y; manejo integrado de las enfermedades crónicas y los factores de riesgo:
    Políticas públicas, promoción de la salud y prevención de las enfermedades
    Estando las prioridades de salud del país explicitadas en el Plan Nacional de Salud (PNS) a través de Objetivos Sanitarios, modalidad iniciada en la década 2000-2010, con la formulación de metas específicas para reducir la prevalencia de tabaquismo, obesidad y sedentarismo y de las enfermedades cardiovasculares, cáncer, diabetes; se encuentra en etapa final la formulación del nuevo PNS para la década 2011-2020, que incluye un Objetivo Estratégico específico para la prevención de los principales factores de riesgo conductuales (tabaco, obesidad, sedentarismo y alcohol) además, de los factores de riesgo biológicos (hipertensión, diabetes, dislipidemia) y una meta integrada de salud óptima que incluye a todos los factores arriba mencionados. Con respecto a las ENTs, se formuló un Objetivo Estratégico específico para la prevención y control de las enfermedades crónicas no transmisibles, que incluye las siguientes condiciones: cardiovasculares, cáncer, diabetes, enfermedad renal crónica, enfermedades respiratorias crónicas, discapacidad, salud mental, salud bucal, accidentes de tránsito y violencia intrafamiliar.
    A contar del año 2004 la ratificación del Convenio Marco para el Control del Tabaco (CMCT) contribuyó a dar prioridad al tema y modificar la antigua ley incorporando las recomendaciones relativas a limitar el acceso al tabaco a los menores de 18 años, prohibir la promoción y publicidad por los medios de comunicación, incorporar
    advertencias gráficas rotatorias en los envases de productos, declarar espacios libres de humo en educación, salud, trasporte, lugares de trabajo y restaurantes fiscalizados por la Autoridad Sanitaria. Estas estrategias tuvieron un impacto en el descenso de la prevalencia de consumo mensual de tabaco en escolares de 9 puntos menos entre el 2005 y 2009 (33%). Sin embargo, en la población adulta la prevalencia permaneció alrededor de 40% sin cambios en los últimos 6 años, debido a la implementación incompleta de las medidas más efectivas señaladas en el CMCT (ej. incremento de impuestos, acceso a la compra de productos, etc.).
    Por ello, Chile se ha propuesto, dentro de sus objetivos sanitarios para la década, las metas de disminuir la prevalencia de fumadores en población general de 40% a 30% (25%), entre escolares de 8 básico de 27% a 20% (26%) y en mujeres en edad fértil de 45% a 40% (11%).
    Para ver el reporte completo, visite http://www.summit-americas.org/nat_rep/2011/Chl_Sp.pdf
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 29
    Vigilancia de enfermedades no transmisibles
    La Unidad de Estudios y Vigilancia de Enfermedades No Transmisibles (ENT) existe desde el año 1999, desarrollando permanentemente iniciativas destinadas a vigilar las ENT y sus factores de riesgo. Entre ellas hay que destacar:
    1. Encuestas poblacionales
    Encuesta Nacional de Salud: La ENS tiene como objetivo general conocer la prevalencia de problemas de salud prioritarios en la población adulta chilena a través de cuestionarios, mediciones biofisiológicas y exámenes de laboratorio. Su primera versión se realizó el año 2003 y la segunda el año 2009, estudiándose en esta última los siguientes problemas de salud: Enfermedad coronaria; Enfermedades respiratorias crónicas; Consumo de tabaco; Consumo de frutas, verduras y pescado; Actividad física; Síntomas gastrointestinales; Enfermedades músculo-esqueléticas; Depresión; Deterioro cognitivo del adulto mayor; Alteraciones visuales; Alteraciones auditivas; Salud dental; Calidad de vida; Capacidad funcional; Módulo psicosocial; Consumo de medicamentos; Hipertensión arterial; Estado nutricional; Dislipidemias; Diabetes Mellitus; Consumo de alcohol; Daño hepático; Trastorno funcional tiroideo; Creatininemia; Excreción urinaria de sodio, yodo y potasio; Hemoglobina glicosilada; Vitamina B12; Anticuerpos enfermedad celíaca; Serología Virus Hepatitis B, Hepatitis C, VIH y HTLV; Serología Enfermedad de Chagas. Los resultados demostraron una alta prevalencia de enfermedades crónicas y de sus factores de riesgo, destacando la alta prevalencia de presión arterial elevada (26,9%), diabetes mellitus (9,4%) y el alto consumo de sodio (media de consumo sal/día de 9,8 grs).
    Encuesta Nacional de Calidad de Vida y Salud (ENCAVI): En el año 2000 se aplicó en Chile la primera ENCAVI como una iniciativa conjunta del Ministerio de Salud (MINSAL) y el Instituto Nacional de Estadísticas (INE). Sus fundamentos descansaban en la necesidad de establecer una línea base para la elaboración de planes y programas en torno a promoción de la salud y la generación de insumos para la formulación de políticas públicas. Luego de aplicarse nuevamente en el 2006 y para la continuidad quinquenal de la encuesta se estableció el desarrollo de su versión 2011, cuyos resultados serán un insumo para la evaluación de los Objetivos planteados en del Plan
    Nacional de Salud (PNS) y para el monitoreo y rediseño de políticas e intervenciones en Salud Pública relacionadas con calidad de vida y salud.
    2. Red de Vigilancia de Enfermedades No Transmisibles (ENT) y sus factores de riesgo
    El año 2007 se inició el “Modelo de Vigilancia de ENT (VENT) y sus Factores de Riesgo”, que consiste en el desarrollo de un sistema de vigilancia que sigue las distintas etapas por las que atraviesa una enfermedad, desde los factores de riesgo hasta su desenlace (muerte, discapacidad)... para ver el reporte completo, visite http://www.summit-americas.org/nat_rep/2011/Chl_Sp.pdf
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 30
    Abuso de drogas
    En relación a las acciones en materia de reducción del abuso de drogas y uso de drogas ilícitas, el Sector Salud lleva a cabo, a nivel de la Atención Primaria el Programa de Drogas y Alcohol en el marco del Programa de Salud Mental Integral, presentando durante el año 2010, 32.424 ingresos, de los cuales 11.084 corresponden a un nivel preventivo y 18.374 de intervención.
    Desde el año 2007 se incorpora al Sistema de Garantías Explícitas de Salud, el Tratamiento de Consumo Perjudicial y Dependencia de Alcohol y Drogas para personas menores de 20 años, de riesgo bajo o moderado. Si bien, a nivel nacional se estima una demanda potencial de 2894 personas menores de 20 años para Tratamiento de Consumo Problemático de Drogas (CONACE, 2008), este programa presenta un total de 961 ingresos el año 2010, dando respuesta a toda la demanda efectiva.
    Por otra parte, actualmente, existen dos convenios de Colaboración técnica entre el Ministerio de Salud y el Consejo Nacional de Control de estupefacientes (CONACE), uno orientado al tratamiento de drogas de población general y otro al de infractores de ley. Por su parte el CONACE, en su rol de órgano asesor del Supremo Gobierno en materia de drogadicción, cuenta con otros programas orientados a la promoción, prevención y tratamiento de drogas y en mayo del 2011 dará comienzo a la Estrategia de Drogas y Alcohol elaborada con apoyo del Ministerio de Salud.
    Estrategia Nacional de Drogas y Alcohol 2011- 2014
    El 11 de mayo, el Presidente de la República lanzó la Estrategia Nacional de Drogas y Alcohol 2011-2014, la cual busca reducir los niveles de uso de drogas ilícitas y consumo de riesgo de alcohol, así como de las consecuencias sociales y sanitarias asociadas a éstos.
    La Estrategia será la carta de navegación del nuevo Servicio Nacional de Prevención y Rehabilitación de Drogas y Alcohol (SENDA), que planificará, coordinará y ejecutará las políticas en materia de prevención del consumo de estupefacientes, sustancias psicotrópicas e ingesta abusiva de alcohol, además de impulsar medidas de tratamiento, rehabilitación e integración.
    La Estrategia se sustenta en cinco criterios que estarán presenten en los programas y acciones: enfoque integral; corresponsabilidad nacional e internacional en la reducción de la demanda de drogas y alcohol; derechos humanos, libertades y necesidad de seguridad pública; grupos con necesidades especiales y diversidad cultural; y diseño de políticas y programas basados en la mejor evidencia y con evaluación continua. Una nueva línea programática está constituida por la responsabilidad institucional en materia de reinserción social.
    Junto a los cambios institucionales, se han desarrollado innovadores programas en materia de prevención, dirigidos a grupos en situación de riesgo y establecimientos
    escolares. Una de esas iniciativas, es el Programa de prevención de drogas para todo el ciclo escolar...
    Para ver el reporte completo, visite http://www.summit-americas.org
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 31
    Atención primaria de salud
    La Atención Primaria en Salud, ha adoptado como forma de encarar la atención el Modelo de Atención Integral de Salud con enfoque familiar y comunitario, éste se da en el marco de atención a población a cargo, ofrece atenciones de salud con estrategias de carácter prospectivo, centrada fuertemente en la promoción y prevención, garantizando asimismo el tratamiento oportuno y la rehabilitación que se requiera.
    Este modelo garantiza: la continuidad de la atención, a través de horarios extendidos de atención por doce horas diarias (08.00 a 20.00 horas) en sus establecimientos de Atención Primaria; prioriza la atención ambulatoria, por sobre la hospitalizada; utiliza como herramienta la autorresponsabilidad de los usuarios otorgándoles un rol principal en su procesos de cuidados de salud; hace de la participación social una de sus herramientas de trabajo principal en lo intersectorial; se compromete con la calidad, facilitando los recursos y coordinando las acciones para que el 100% de los establecimientos cuenten con autorización sanitaria como una forma de garantizar la seguridad de los usuarios, además de proveer acceso a tecnologías apropiadas a ese nivel de atención para mejorar diagnósticos y acciones terapéuticas, optimizando su resolutividad; finalmente y para lograr lo anterior realiza esfuerzos en la gestión de los RRHH que trabajan en salud, organizando y financiando programas de capacitación continua de ellos en competencias necesarias para lograr los objetivos propuestos.
    Garantiza el 100 % de cobertura financiera de medicamentos para pacientes inscritos en los centros de salud de atención primaria. Estos medicamentos son determinados por el Comité de Farmacia de la Red asistencial que es responsable de aprobar el Arsenal Farmacológico para Atención Primaria de Salud.
    La cobertura de los centros de salud de atención primaria es de 11.381.288 de personas (población inscrita FONASA 2010).
    Las Recetas totales despachadas en 2010 fueron aprox. 31.000.000 correspondiendo a aprox. a 68.000.000 de prescripciones con un incremento anual del 5%.
    La población a atender en APS dispone de más de 2.000 establecimientos entre centros de salud, postas, en tanto que los dispositivos de urgencia en APS suman 361 al año 2010 (SAPU Y SUR).
    En los Objetivos Sanitarios para la década 2011-2020 está contemplado el desarrollo de un plan estratégico con metas, indicadores de gestión y de verificación para el aumento del porcentaje de fármacos esenciales que cumplen un conjunto de parámetros que permitan asegurar calidad y su uso racional. Esto se monitorizará sobre una cifra de entre 90 a 120 fármacos priorizados.
    En los últimos años se ha emprendido la construcción o normalización de 90 Centros de Salud Familiar (CESFAM) y 165 Centros Comunitarios de Salud Familiar (CECOF)...
    Para ver el reporte completo, visite http://www.summit-americas.org/nat_rep/2011/Chl_Sp.pdf
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 32, 33
    Nutrición, obesidad y estilos de vida
    El Ministerio de Salud ha incorporado la seguridad alimentaria en el Plan Nacional de Salud de la década 2011-2020. Sin embargo, dado el perfil epidemiológico de nuestro país, se ha enfatizado la dimensión de acceso a alimentos de calidad e inocuos.
    En lo que respecta a calidad y acceso a macronutrientes (por ejemplo carbohidratos o proteína) en Chile, son temas en los cuales se ha avanzado bastante. En la actualidad el principal problema nutricional del país es la obesidad. La disponibilidad y consumo excesivo de nutrientes como sodio, grasas saturadas y azúcares simples constituyen un problema asociado al aumento de enfermedades crónicas no transmisibles (existen múltiples referencias sobre el tema). El abordaje de este problema se ha hecho a través del desarrollo de estrategias regulatorias, en el Reglamento Sanitario de los Alimentos por ejemplo, como es el caso del límite de grasas trans en los alimentos o la incorporación del etiquetado nutricional obligatorio de los alimentos envasados; acuerdos voluntarios con la industria para la reducción de sodio en alimentos como el pan, quesos y cecinas; promoción de la reducción de consumo de alimentos, por parte de la población, altos en nutrientes asociados a enfermedades crónicas no transmisibles; coordinación con otras instituciones del Estado como es el caso de JUNAEB, para la reducción de nutrientes asociados a enfermedades crónicas no transmisibles en las raciones distribuidas por los programas de esta institución.
    Con los resultados que arroje la Encuesta Nacional de Consumo Alimentario que lleva a cabo la Escuela de Salud Pública de la Universidad de Chile por encargo de este Ministerio, podremos tener una estimación más cierta del consumo de esta clase de nutrientes en nuestra población y el origen de estos nutrientes, lo que nos permitirá focalizar los esfuerzos para el mejoramiento de la situación.
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 34
    Reglamento Sanitario Internacional (RSI 2005)
    Para la implementación del RSI se cuenta, a partir de 2006, con una línea presupuestaria destinada al efecto en la Subsecretaría de Salud Pública, que se mantiene hasta hoy.
    En esa fecha se inicia el proceso de elaboración de los instrumentos de evaluación de capacidades básicas para vigilancia y respuesta y para puertos y aeropuertos, el cual culminó el año 2008 haciendo uso del instrumento diseñado, discutido, ajustado y consensuado con los Estados Parte y Asociados del MERCOSUR. El proceso de evaluación en su fase de terreno fue completado el 2008, previa capacitación de los equipos en el uso del instrumento y se llevó a cabo el análisis tanto de la evaluación de capacidades básicas de vigilancia y respuesta como la de puntos de entrada. Falta completar el documento plan de acción para suplir las brechas identificadas. Sin embargo, durante este período se han desarrollado una serie de actividades tendientes a reforzar las capacidades instaladas, que se describen en las secciones correspondientes de este reporte.
    Los avances en la implementación del RSI 2005 se reportan en estas áreas de trabajo
    1. Impulso de las alianzas con otros sectores
    Se trabajó en identificar las partes interesadas y los sectores involucrados en su operación. Entre 2006 y 2007 se desarrollaron alianzas intergubernamentales especialmente con el Ministerio de Relaciones Exteriores, el Estado Mayor de la Defensa Nacional, la Dirección General de Aeronáutica Civil y la Dirección Nacional de Territorio Marítimo, por medio de talleres de difusión y posicionamiento del tema y reuniones de coordinación.
    Se definieron mecanismos de coordinación con la Oficina Nacional de Emergencia, en el marco de la preparación de la pandemia; con el Ministerio del Interior, para la instalación de las oficinas sanitarias de frontera; con la Dirección General de Aeronáutica Civil, para la instalación de la oficina sanitaria del aeropuerto y para los
    procedimientos en aeronaves. Además se estableció un convenio con Correos de Chile para los procesos de referencia geográfica por medio de código postal. Al incorporar su implementación en el Programa de Mejoramiento de la Gestión del Gobierno, de acuerdo a este programa, las Regiones del país debían desarrollar un plan de trabajo, un centro regional de enlace y procesos de coordinación intersectorial para la firma de acuerdos y convenios y la formalización de mesas de trabajo a nivel regional. El resultado de este programa fue la instalación de 15 Centros Regionales de Enlace y la constitución de la Comisión Regional de respuesta a brotes y emergencias.
    Se han desarrollado ejercicios para coordinación durante eventos que puedan constituir ESPII, como ejercicios de seguridad portuaria, aeroportuaria y bioterrorismo....
    Para ver el reporte completo, visite http://www.summit-americas.org/nat_rep/2011/Chl_Sp.pdf
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 35
    VIH/SIDA
    Chile desarrolla la Política Nacional de Prevención y Control del VIH/SIDA desde 1990, año en que se generó el Programa Nacional de Prevención y Control del VIH/SIDA. El programa basa su accionar en las Políticas Nacionales, los Objetivos Sanitarios del Sector, y las directrices emanadas de los organismos rectores en la temática ONUSIDA y OMS/OPS. Además, están a la base de las líneas de acción, las estrategias, acuerdos y compromisos suscritos por el país, en el ámbito de las relaciones internacionales y el intercambio en la cooperación técnica. En este contexto, los Planes y Programas Nacionales de lucha contra el VIH/SIDA, pretenden la consecución de los objetivos y metas establecidas en iniciativas de relevancia central como los Objetivos de Desarrollo del Milenio, la Estrategia de Acceso Universal a la Prevención, Atención, Tratamiento y Apoyo, la Declaración de Compromiso de la Asamblea General de Naciones Unidas sobre el SIDA (UNGASS), el Plan Regional de VIH/SIDA/ITS, la Estrategia de Eliminación de la Transmisión del VIH y la Sífilis Congénita, el Plan de Trabajo en VIH/SIDA de los países del MERCOSUR, y los Planes Estratégico y Operativo del Organismo Andino de Salud, Convenio Hipólito Unanue, entre otros.
    Características Epidemiológicas del VIH/SIDA en Chile
    En nuestro país, la infección por VIH/SIDA se diagnosticó por primera vez en 1984 y desde esa fecha hasta el año 2009 el total de personas notificadas alcanza a 22.115.
    De acuerdo con la clasificación de la Organización Mundial de la Salud (OMS) y la Organización de Naciones Unidas para el SIDA (ONUSIDA), la epidemia de VIH en Chile es una epidemia concentrada, que no está implantada en la población general, sino que afecta predominantemente a grupos específicos, en el caso de Chile, a hombres homo bisexuales. Según esa definición, este nivel de epidemia presenta prevalencias
    sobre 5% en poblaciones de mayor riesgo (como es el caso de hombres homo bisexuales) y bajo 1% en mujeres embarazadas.
    A modo de síntesis, las principales características de la epidemia en Chile son:

    Concentrada: principalmente en hombres homo bisexuales.

    Baja prevalencia en embarazadas.

    De transmisión sexual: 95% de los casos notificados.

    Predominantemente en hombres adultos jóvenes entre 20 y 39 años.

    Afecta principalmente a personas con menores niveles de escolaridad.

    Mortalidad con tendencia a la disminución.

    Tendencia al aumento de la sobrevida atribuible a la disponibilidad de terapia antiretroviral.
    La incidencia de nuevos casos anuales diagnosticados se ha mantenido relativamente estable, en alrededor de 8 por 100.000 habitantes. La prevalencia de VIH estimada en población general alcanza a 0,4%, un 98% de ellos corresponden a personas mayores de 15 años. El grupo de hombres homosexuales concentra los niveles más altos de prevalencia estimada (10,4%)...
    Para ver el reporte completo, visite http://www.summit-americas.org/nat_rep/2011/Chl_Sp.pdf
  • Colombie
    • Rapports
    • Date:  2016-06-15    Paragraphes: 15, 17
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-06-12    Paragraphes: 15, 17
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2010-06-03    Paragraphes: 26
    Sistemas de protección social

    Se resalta el aumento de la cobertura en seguridad social que ha significado que 41 millones de colombianos cuenten hoy con aseguramiento en salud, el incremento en el numero de personas vinculadas al sistema pensional que en 2009 fue de 5.963.485 personas, y el aumento en la cobertura de afiliados al régimen subsidiado en Salud que en 2009 llegó al 90,27%, favoreciendo a la población perteneciente a los niveles 1 y 2 del Sisbén. En 2009 recibieron subsidios 513.703 adultos mayores; y se otorgaron 96.261 subsidios al desempleo.

    Cobertura en Salud

    Para el 2009, el número de afiliados al Sistema General de Seguridad Social en Salud, ascendió a 41 millones, creciendo con respecto al año inmediatamente anterior en un 3.1%. Con la creación de 13 millones de cupos adicionales en el Régimen Subsidiado, se pasó de una cobertura del 55% en 2002 al 90,27% en el 2009 –sobre la población más pobre, perteneciente a los niveles 1 y 2 del Sisbén.

    Para la vigencia 2008 - 2009 con corte al 31 de marzo de 2009, las entidades territoriales reportaron un total de 23.804.788 cupos contratados en el Régimen Subsidiado de los cuales 22.688.99 corresponden a subsidios plenos y 1.115.789 a subsidios parciales.
    • Date:  2010-06-03    Paragraphes: 27
    Fortalecimiento de los Programas de Salud Sexual y Reproductiva

    En el año 2009 el Consejo Nacional de Seguridad Social en Salud apropió recursos por valor de $3.000 millones, lo que permitió tamizar 78.915 madres gestantes no afiliadas y diagnosticar 121 casos de infección por VIH (para un porcentaje de positividad de 0,15%). La meta proyectada de madres gestantes no afiliadas a tamizar en el 2009 es 121.179 gestantes, lo cual da un porcentaje de cumplimiento del 65% con corte a agosto de 2009.
    • Date:  2010-06-03    Paragraphes: 30
    Estrategias de Reducción de la Demanda de Drogas

    El Gobierno Nacional cuenta por primera vez con la política específica para el consumo de drogas. En efecto, la “Política Nacional de Reducción del Consumo de Sustancias Psicoactivas y su impacto”, viene orientando la planeación y ejecución de acciones en todo el país en cuatro ejes: 1) Prevención, 2) Mitigación, 3) Superación y 4) Capacidad de respuesta.


    En este mismo sentido, se ha formulado el “Plan Nacional de Reducción del Consumo de Drogas 2009-2010”, que permite la ejecución y evaluación de la Política, articulando el quehacer de las instituciones responsables. Así mismo, a partir del Estudio Nacional de Consumo de 2008, el Gobierno cuenta con un diagnóstico actualizado del consumo de drogas. Estos nuevos elementos garantizan un contexto favorable para avanzar en el objetivo de reducir la demanda de drogas.
    • Date:  2010-06-03    Paragraphes: 31
    Cobertura en Salud

    Para el 2009, el número de afiliados al Sistema General de Seguridad Social en Salud, ascendió a 41 millones, creciendo con respecto al año inmediatamente anterior en un 3.1%. Con la creación de 13 millones de cupos adicionales en el Régimen Subsidiado, se pasó de una cobertura del 55% en 2002 al 90,27% en el 2009 –sobre la población más pobre, perteneciente a los niveles 1 y 2 del Sisbén.

    Para la vigencia 2008 - 2009 con corte al 31 de marzo de 2009, las entidades territoriales reportaron un total de 23.804.788 cupos contratados en el Régimen Subsidiado de los cuales 22.688.99 corresponden a subsidios plenos y 1.115.789 a subsidios parciales.

     
    • Date:  2010-06-03    Paragraphes: 33
    Programa de Alimentación Escolar

    Este programa consiste en el suministro organizado de alimentos inocuos a los niños, niñas y adolescentes matriculados en las instituciones educativas públicas y privadas del país y el desarrollo de un conjunto e acciones alimentarias, nutricionales, de la salud y de formación, que propenden por un mejor desempeño académico de los niños, niñas y adolescentes. En 2009, 3.923.511 niños se beneficiaron de este programa.
    • Date:  2010-06-03    Paragraphes: 34
    Fortalecimiento del Plan de Prevención de una Pandemia de Influenza


    En Colombia, según datos del Instituto Nacional de Salud (INS), con corte a 29 de septiembre de 2009, se tenían 46.834 casos sospechosos de los cuales, 1.819 fueron confirmados como portadores del virus pandémico H1N1/09. De estos 1.819 casos, 39% han requerido hospitalización y 5% han fallecido por esta causa.

    Para mitigar esta situación el Consejo Nacional de Seguridad Social en Salud asignó $14.693.167.840, disponibles en la Subcuenta de Promoción y Prevención y $2.000.000.000 de la Subcuenta de Eventos Catastróficos y Accidentes de Tránsito, fortalecimiento de la red nacional de urgencias, para un total de $16.693.167.840.
    • Sources Connexes
    ? Plan Nacional para la reducción del consumo de sustacias psicoactivas 2009-2010.
    Estudio Epidemiológico Andino sobre “Consumo de Drogas Sintéticas en la Población Universitaria”. DROSICAN
    Estudio Nacional de Consumo de Sustancias Psicoactivas en Colombia – 2008.
    Familias en Acción
    INFORME NACIONAL DE IMPLEMENTACIÓN Y SEGUIMIENTO DE LOS COMPROMISOS CONSIGNADOS EN LAS DECLARACIONES Y PLANES DE ACCIÓN DE QUEBEC, NUEVO LEÓN, MAR DEL PLATA, Y LA DECLARACIÓN DE COMPROMISO DE PUERTO ESPAÑA
    INFORME NACIONAL DE IMPLEMENTACIÓN Y SEGUIMIENTO DE LOS COMPROMISOS CONSIGNADOS EN LAS DECLARACIONES Y PLANES DE ACCIÓN DE QUEBEC, NUEVO LEÓN, MAR DEL PLATA, Y LA DECLARACIÓN DE COMPROMISO DE PUERTO ESPAÑA (Pág 14)
    INFORME NACIONAL DE IMPLEMENTACIÓN Y SEGUIMIENTO DE LOS COMPROMISOS CONSIGNADOS EN LAS DECLARACIONES Y PLANES DE ACCIÓN DE QUEBEC, NUEVO LEÓN, MAR DEL PLATA, Y LA DECLARACIÓN DE COMPROMISO DE PUERTO ESPAÑA (Pág 34)
    INFORME NACIONAL DE IMPLEMENTACIÓN Y SEGUIMIENTO DE LOS COMPROMISOS CONSIGNADOS EN LAS DECLARACIONES Y PLANES DE ACCIÓN DE QUEBEC, NUEVO LEÓN, MAR DEL PLATA, Y LA DECLARACIÓN DE COMPROMISO DE PUERTO ESPAÑA (Pág 40)
    INFORME NACIONAL DE IMPLEMENTACIÓN Y SEGUIMIENTO DE LOS COMPROMISOS CONSIGNADOS EN LAS DECLARACIONES Y PLANES DE ACCIÓN DE QUEBEC, NUEVO LEÓN, MAR DEL PLATA, Y LA DECLARACIÓN DE COMPROMISO DE PUERTO ESPAÑA (Pág 41)
    INFORME NACIONAL DE IMPLEMENTACIÓN Y SEGUIMIENTO DE LOS COMPROMISOS CONSIGNADOS EN LAS DECLARACIONES Y PLANES DE ACCIÓN DE QUEBEC, NUEVO LEÓN, MAR DEL PLATA, Y LA DECLARACIÓN DE COMPROMISO DE PUERTO ESPAÑA (Págs 19 y 40)
    Programa Desayunos Infantiles ICBF
    Programa: Asistencia técnica, asesoría y seguimiento para la implementación y seguimiento de la política de equidad para las mujeres
  • Costa Rica
    • Rapports
    • Date:  2012-04-03    Paragraphes: 26, 27, 28, 29, 31, 34, 35
    Information disponible en Espagnol
  • Dominique
    N/A
  • El Salvador
    • Rapports
    • Date:  2013-06-24    Paragraphes: 15
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-06-24    Paragraphes: 17
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2012-11-12    Paragraphes: 35
    Actualmente, El Salvador tiene en sus estadísticas un total de 27,697 personas diagnosticadas con VIH, dentro de las cuales se encuentran 1,402 casos pediátricos. Lo anterior se conoce gracias al esfuerzo realizado en la promoción para la toma de la prueba de VIH, contándose al momento con 182 establecimientos de salud en donde se realiza toma de prueba de VIH durante todo el año. Asimismo, se realizan acciones como el Día Nacional de toma de la prueba, que para el año 2011 se tomaron un total de 89,237 pruebas de VIH.
    Por otro lado, para la atención de la población diagnosticada con VIH se cuenta con una red de 20 hospitales que brindan terapia antirretroviral, los cuales están ubicados en las cabeceras departamentales y cuentan con equipos multidisciplinarios de atención; estos equipos han sido capacitados para la atención integral a las personas con VIH. Asimismo, se cuenta con 3 clínicas de atención integral, ubicadas en los centros penales La Esperanza, Apanteos y Cárcel de Mujeres. Hasta el año 2011 se contaba con 6,923 personas recibiendo terapia antirretroviral.
    En este sentido, como parte de las estrategias para el fortalecimiento de la respuesta nacional al VIH, se realizan las siguientes acciones:
    ? Atención Integral a personas con VIH: para lo cual se cuenta con personal multidisciplinario, capacitado para brindar atención integral. En los dos últimos años no se ha experimentado desabastecimiento de antirretrovirales y ni de pruebas para CD4.
    ? Prevención de la Transmisión Materno Infantil: se ha registrado una reducción significativa en los casos de transmisión materno - infantil de VIH. Asimismo, se ha incrementado el número de toma de pruebas de VIH y sífilis en embarazadas, esto a partir de la campaña “Hazte la Prueba de VIH y Sífilis”, realizada en 2010; como parte de esta estrategia se proporciona gratuitamente sucedáneos de leche materna durante un año, ocho latas por mes a todos los hijos e hijas de madres positivas.
    ? Prevención de la Transmisión de VIH en Privados y Privadas de Libertad: se cuenta con 22 equipos multidisciplinarios en el Primer Nivel de Atención, quienes realizan acciones en cárceles y centros de readaptación de menores del Instituto Salvadoreño para el Desarrollo Integral de la Niñez y la Adolescencia (ISNA), organizándose a la fecha 15 grupos de apoyo de privados de libertad con VIH, para lo cual se trabaja coordinadamente con la Dirección General de Centros Penales y el ISNA.
    ? Unidades Móviles para la toma de pruebas de VIH: por medio de las Unidades Móviles se puede llegar a lugares donde no hay laboratorio clínico y se logra atender a poblaciones de alto riesgo. Las actividades se coordinan con organizaciones de la sociedad civil que trabajan en el tema de VIH con el objetivo de promover la toma de la prueba, ya sea en horarios diurnos o nocturnos, según la necesidad y la población a cubrir. De esta manera se han realizado pruebas de VIH en barra shows, prostíbulos, mercados, universidades, entre otros; realizándose un total de 49,413 pruebas de VIH mediante esta estrategia.
    ? Atención para la prevención del VIH en poblaciones móviles: con esta estrategia se cubre a la población que utiliza las fronteras y estaciones de paso en nuestro país, así como sitios de trabajo donde circulan personas que no residen en el lugar; esto ha permitido llevar información y acciones de prevención a trabajadoras sexuales, motoristas, marineros, deportados, vendedoras de los mercados, usuarios de terminales de buses, entre otros.
    ? Información y Educación para el cambio de comportamiento (IEC): Se han desarrollado las siguientes campañas masivas en medios de comunicación: en el año 2009, “Solidaridad con las personas con VIH”; en 2010, “Prevención de la Transmisión Materno Infantil de VIH y Sífilis” y “Hazte la Prueba”; durante 2011, “No me etiquetes”, para la prevención con poblaciones de alto riesgo. Además, se ha capacitado al personal de salud, de los tres niveles de atención, para evitar la discriminación por orientación sexual y/o identidad de género.
    ? Intervención en Municipalidades: en 2010 se formuló la estrategia de trabajo en VIH con las municipalidades, a fin de promover la creación de políticas municipales de VIH y el involucramiento de los diferentes sectores sociales de los municipios, esto como parte de la respuesta nacional al VIH y reducir el estigma y discriminación hacia las personas con VIH.
    ? Coordinación intersectorial: el Programa Nacional de ITS/ VIH-SIDA, lidera la respuesta nacional al VIH y coordina con todos los actores involucrados, tales como organizaciones no gubernamentales y gubernamentales, empresa privada, organizaciones basadas en la fe, formadores de recursos humanos, personas con VIH, agencias de cooperación internacional y organismos bilaterales. En este sentido, desde octubre de 2009 se realizan reuniones periódicas con todas las organizaciones de la sociedad civil para informar e intercambiar experiencias sobre el desarrollo del trabajo y resolver los problemas que puedan presentarse. A partir de 2011, se hizo una redistribución de los subsidios otorgados por el MINSAL a diferentes organizaciones, a fin de apoyar equitativamente a las organizaciones de personas con VIH legalmente establecidas.
    ? Gestión Técnica y Financiera: El Salvador ejecutó el proyecto RCC (Rolling Continuation Channel); “Estrategia de Lucha contra el VIH/Sida en Poblaciones Vulnerables para Ayudar a la Reducción de la Pobreza en El Salvador 2009-2015”; el Proyecto Ronda 7, desarrollado con financiamiento del Fondo Mundial; la ampliación de la respuesta al VIH para grupos vulnerables; el establecimiento de un sistema de protección social para personas viviendo con VIH; e implementación del Sistema Único de Monitoreo, Evaluación y Vigilancia Epidemiológica en El Salvador 2008-2013”, SLV-708-G05-H. Además se cuenta con el apoyo técnico de las agencias del Sistema de Naciones Unidas: OPS/OMS, ONUSIDA, UNFPA, PMA, UNICEF y PNUD.
    ? Participación Internacional: se ha logrado el reconocimiento a nivel internacional del liderazgo de El Salvador en su respuesta nacional al VIH. El Salvador fungió como Vicepresidencia de la Junta Coordinadora de ONUSIDA en el año 2010 y como Presidecia en el año 2011. Actualmente, preside el Mecanismo de Coordinación Regional de VIH, instancia técnica asesora del Consejo de Ministros de Salud de Centroamérica y República Dominicana.
    • Date:  2012-11-09    Paragraphes: 26
    Con el objetivo de cumplir el mandato constitucional de garantizar el acceso a los servicios de salud como un derecho humano fundamental, estamos implementando el Modelo de Atención Integral en Salud con enfoque Familiar y Comunitario basado en la Atención Primaria en Salud Integral (APS-I).
    Para garantizar el acceso de la población a los servicios de salud con calidad, oportunidad y equidad, se han construido las Redes Integrales e Integradas de Servicios de Salud (RIISS), donde se han organizado en los diferentes territorios del país, 74 micro redes, 16 redes departamentales, 5 redes regionales y 1 nacional, en las cuales se articulan el Primer Nivel de Atención y los Hospitales, con el objetivo de mejorar el acceso a los servicios de salud y garantizar la continua atención en todo el sistema público de salud.
    Además, se ha fortalecido el sistema de referencia, retorno e interconsulta, como enlace de coordinaciones de los diferentes niveles de atención de la RIISS, la cual facilitará la atención de las personas bajo los criterios de continuidad, oportunidad e integralidad.
    Antes de junio de 2009, el primer nivel de atención del MINSAL contaba con una capacidad instalada de 377 unidades de salud en todo el país, con un modelo de atención basado en lo curativo. En la actualidad, contamos con 624 Unidades Comunitarias de Salud Familiar (UCSF) en todo el país, categorizados como UCSF Básicas, Intermedias y Especializadas.
    Asimismo, se han conformado y están funcionando 422 Equipos Comunitarios de Salud Familiar (Ecos-Familiares) y 28 Ecos- Especializados en 153 de los 262 municipios del país, dentro de ellos se encuentran los 100 municipios más pobres, dando de esta forma la cobertura a 1,651,796 personas de forma directa. Igualmente, se ha instalado un Ecos Especializado con enfoque en salud sexual y reproductiva en Ciudad Mujer, del municipio de Colón, La Libertad.
    • Date:  2012-11-09    Paragraphes: 27
    En relación a la razón de mortalidad materna y de acuerdo a los Objetivos del Milenio (ODM), los cuales plantean reducir ¾ partes este indicador al año 2015, se planeó reducir la razón de Mortalidad Materna (MM) de 211 por 100,000 N.V a partir del año 1990 a 52.8 por 100,000 N.V al año 2015. En este sentido, en el período 2005/2006 se realizó el “Estudio Línea base de Mortalidad Materna”, donde se registró una razón de MM de 71.2 por 100.000 N.V. Durante los últimos dos años se ha mostrado una tendencia a la disminución, reportándose en 2010 y 2011 respectivamente, una razón de MM de 51.8 y 50.8 por 100,000 N.V.

    Entretanto, el total de muertes maternas en el año 2011 fue de 64 casos, de los cuales 37 corresponden a causas directas y 27 a causas indirectas. Las principales causas de MM directas están relacionadas principalmente con trastornos hipertensivos del embarazo, hemorragias e infecciones. Las causas indirectas están asociadas a envenenamiento auto-infringido, cardiopatías y tumores del aparato reproductor.

    Por lo anterior, se continúa implementando y monitoreando el Plan Estratégico Nacional para la Reducción de Mortalidad Materna 2011-2014, en todas las Redes Integrales e Integradas de los Servicios de Salud (RIISS); además, se está conformando la alianza a nivel intersectorial para el abordaje de la Salud Sexual y Reproductiva (SSR) en el ciclo de vida, la cual incluye alianzas específicas para salud materna, salud perinatal y neonatal, abordaje de la sexualidad, prevención y control del cáncer del aparato reproductor masculino y femenino.

    Así también, se ha actualizado el marco regulatorio fortaleciendo la atención desde el período pre-concepcional, embarazo, parto, post parto y en el recién nacido, así como las morbilidades obstétricas y ginecológicas. De igual forma, se está promoviendo la atención integral e integrada en el ciclo de vida, tomando en cuenta las determinantes sociales que presentan una relación importante en el resultado de la madre y el recién nacido.

    Con respecto al parto institucional y con el objetivo de garantizar el acceso a los servicios de salud, con énfasis en la población que vive en condición de exclusión social, se implementó un nuevo modelo de atención donde se han creado Ecos Familiares y Ecos Especializados, quienes han realizado acciones de atención prenatal, plan de parto, promoción del parto institucional y referencia oportuna ante una morbilidad obstétrica, incrementando la cobertura de atención de parto institucional de 86% en 2010, al 90% en 2011. Todo ello integra los diferentes esfuerzos que se realizan a nivel de las RIISS, promoviendo la sostenibilidad de estos servicios y la mejora de la calidad de atención en los hospitales, de tal forma que las usuarias accedan nuevamente a estos establecimientos.

    En cuanto a la reducción de la mortalidad infantil, existe el máximo compromiso de la actual administración del MINSAL por el logro del Objetivo del Milenio número 4, por medio de la reducción de la mortalidad neonatal, principal componente de la mortalidad infantil.

    El Plan Estratégico Nacional de Reducción de la Mortalidad Materna, Perinatal y Neonatal 2011-2014, establece las intervenciones basadas en la evidencia que impactan la salud perinatal y neonatal, y que llevarían al cumplimiento de las metas al año 2014: tasa de mortalidad neonatal de 7.5 por 1,000 nacidos vivos y tasa de mortalidad perinatal a 17 por 1000 nacidos.

    Por otra parte, tres estrategias están agrupando las intervenciones basadas en la evidencia para mejorar la salud fetal, del recién nacido y del neonato:
    1. El paquete madre bebe.
    2. La atención integrada a las enfermedades prevalentes en la infancia (AIEPI).
    3. La estrategia de comunicación para la salud infantil (COSIN).

    Estas estrategias son aplicadas dentro de las RIISS mediante el nuevo modelo de atención, a través de los Equipos Comunitarios de Salud Familiar (ECOS). Es importante señalar que la mejoría de la salud perinatal y neonatal, está íntimamente relacionada a la atención de la salud de la mujer durante el embarazo y el parto.

    Un indicador sensible de la salud de la madre que repercute en el bienestar de su recién nacido es el porcentaje de bajo peso al nacer, que se ha incrementado de 7.4 % en 2005 a 9.0 % en 2011.

    En relación a los indicadores de impacto, la tasa de mortalidad perinatal ha descendido de 9.6 por 1,000 nacidos en 2009, a 8.9 por 1,000 nacidos en 2011. Así como la mortalidad fetal, la cual descendió en el mismo período de 6.6 (2009) a 5.7 (2011) por 1,000 nacidos.

    El otro indicador de impacto es la tasa de mortalidad neonatal, la cual ha presentado un incremento de 4.5 por 1,000 nacidos vivos en 2009, a 5.2 por 1,000 nacidos vivos en 2011; siendo las principales causas de mortalidad la prematurez, las malformaciones congénitas, las infecciones y la asfixia .
    • Date:  2012-11-09    Paragraphes: 28
    Se ha iniciado la implementación operativa del Programa de Atención Integral e Integrada a las Enfermedades Prevalentes en el Ciclo de Vida (AIIEPCV), por medio de la Unidad de Atención Integral e Integrada a las Enfermedades Prevalentes en el Ciclo de Vida del MINSAL. Asimismo, se están elaborando los “Lineamientos para la detección temprana de la Diabetes Mellitus, Hipertensión Arterial y Enfermedad Renal crónica.”

    Por otro lado, se ha conformado la “Comisión intersectorial para la prevención y control de las enfermedades crónicas no trasmisibles”, la cual es conducida por el MINSAL y se ha elaborado la propuesta del “Plan Estratégico Nacional para la Atención Integral de las Enfermedades Crónicas no Trasmisibles”.

    En cuanto a las estrategias para la prevención de factores de riesgo para las enfermedades crónicas, se han elaborado guías para la prevención de los factores de riesgo y prevención de las Enfermedades Crónicas No Transmisibles (ECNT), como las siguientes:
    ? “Guía para la prevención del tabaquismo”.
    ? “Guía educativa sobre los efectos nocivos del consumo del tabaco”.
    ? “Guía de consejería sobre los beneficios sobre el dejar de fumar”.
    ? “Guía para la identificación para factores de riesgo para las ECNT”.
    ? “Guía de Educación Nutricional”.
    ? “Guía para la promoción de Estilos de vida saludable”.

    Asimismo, se han diseñado materiales educativos para promover la prevención de diabetes e hipertensión arterial, así como para promover la adopción de la actividad física y la alimentación saludable.

    Igualmente, se ha diseñado una estrategia para la formación de grupos de padres y madres, capacitados para la identificación de los factores de riesgo y prevención de las ECNT. Esta estrategia se implementará como un plan piloto en tres Regiones de Salud.
    • Date:  2012-11-09    Paragraphes: 29
    Se ha fortalecido la Vigilancia Epidemiológica de las Enfermedades Crónicas No Transmisibles (ECNT), mediante la incorporación de algunas ECNT al reporte epidemiológico, ya sea de forma individual o agrupada.
    Asimismo, se está trabajando en una propuesta para el fortalecimiento de la vigilancia de ECNT y de las principales neoplasias que afectan a la población.
    30. Nos comprometemos a fortalecer las acciones en materia de reducción del abuso de drogas y el uso de drogas ilícitas, en particular en lo que respecta a la prevención, educación, tratamiento, rehabilitación y reincorporación a la sociedad, mediante campañas de sensibilización para apoyar la reducción de la demanda de drogas ilícitas.

    Dentro del componente de fortalecimiento institucional, formación y capacitación del recurso humano, se ha iniciado el proceso de capacitación de los profesionales de salud, para que puedan optar a la certificación como operadores socio-terapeutas, para la atención a personas afectas a drogas. Lo anterior en coordinación con la Comisión Nacional Antidrogas (CNA) y la Universidad Dr. José Matías Delgado.
    Igualmente, en coordinación con el Consejo Nacional de la Juventud (CONJUVE) se está coordinando la implementación de talleres para la formación de facilitadores en salud mental y prevención de toxicomanías dirigido a líderes juveniles. Asimismo, se están coordinando acciones interinstitucionales en materia de reducción del uso y abuso de drogas.
    Además, con el apoyo de la Organización Panamericana de la Salud (OPS) y la Organización Mundial de la Salud (OMS), se han capacitado profesionales de la salud mental sobre “Manejo de la Depresión en Adolescentes”, con el objetivo de prevenir el suicidio y a la vez incidir en los factores de riesgo del mismo. Dichos profesionales están diseñando el plan de devolución de este taller para el resto de profesionales de la salud mental del país.
    Por otro lado, con la ayuda de los Países Vascos se inició la construcción de un hospital de día, el cual funcionará en las instalaciones del Hospital Nacional San Juan de Dios, en Santa Ana; esto con el objetivo de fortalecer la atención en salud mental dentro de las RIISS.
    También se ha programado para 2012, la creación de dos nuevas Unidades de Atención en Salud Mental en los Hospitales Nacionales de Usulután y Cojutepeque.
    Finalmente, se cuenta con el documento de la Política Nacional de Salud Mental oficializada y en proceso de socialización y distribución a nivel nacional.
    • Date:  2012-11-09    Paragraphes: 31
    A partir de la implementación del nuevo Modelo de Atención en Salud, se cuenta con 335,684 familias adscritas a los Equipos Comunitarios de Salud Familiar (ECOS Familiares), las cuales a través del llenado de la ficha familiar, son clasificadas según riesgo familiar y comunitario.
    Para el funcionamiento de los ECOS Familiares y Especializados en 153 municipios del país, se han contratado 2,576 nuevos recursos humanos, entre ellos, médicos generales, pediatras, gineco-obstetras, internistas, enfermeras, nutricionistas, odontólogos, psicólogos, educadores para la salud, promotores, inspectores de saneamiento, auxiliares de farmacia, estadísticos y colaboradores de servicios varios; lo que ha significado un incremento de la fuerza laboral en salud de un 25%, disminuyendo la brecha de recursos humanos en el primer nivel de atención. Por primera vez se cuenta con médicos especialistas contratados por 8 horas diarias en el Primer Nivel de Atención, como ginecólogos, pediatras, internistas, psicólogos, nutricionistas y fisioterapistas. Asimismo, el presupuesto asignado para el Primer Nivel de Atención, se ha incrementado de US$108,929,691 en el año 2009, a US$140,034,390 para el año 2011.
    Por otro lado, según el análisis de los indicadores de la Encuesta de Hogares de Propósitos Múltiples (EHPM), el porcentaje de población que se enfermó disminuyó al 14% con respecto al año 2009 (16%), de esta población que se enfermó, aumentó el porcentaje de población que accedió a los servicios de salud, de un 52% para el año 2008 a un 65% para el año 2010. Un dato muy importante es que este incremento se debió al mayor acceso de la población pobre a los servicios de salud.

    De igual forma, como resultado de las intervenciones realizadas por el personal de salud de los Ecos familiares y especializados, para el año 2011 se han incrementado las atenciones tanto preventivas como curativas a 5,343,805; siendo el 56% de atenciones curativas y el 44% de atenciones preventivas, con un incremento del 22% de las atenciones preventiva y 6% de las atenciones curativas en relación al mismo período en el año 2009.

    Cabe resaltar que una de las fortalezas del nuevo modelo es la organización comunitaria, la participación social y el abordaje intersectorial de las determinantes de la salud, contribuyendo a la toma de decisiones en las comunidades. A la fecha, se encuentran funcionando 861 Comités Locales de Salud, realizándose en el año 2011, 1,510 asambleas comunitarias. Además, el MINSAL participa en 153 Consejos Intersectoriales Municipales y en 14 Gabinetes de Gestión Departamentales.
    Adicionalmente, se fortalecieron los servicios de salud del primer nivel de atención, con la adquisición de los siguientes mobiliarios y equipos médicos:
    ? Equipo médico y mobiliario básico para 247 Ecos Familiares instalados.
    ? Equipos para realizar ultrasonografías a las mujeres embarazadas en municipios de extrema pobreza.
    ? Electrocardiógrafos para el diagnóstico oportuno de problemas cardíacos, monitores fetales y equipos completos de rehabilitación para los 28 Ecos Especializados.
    ? 65 unidades odontológicas portátiles para fortalecer la atención de salud bucal, en el área rural de los municipios más pobres del país.
    ? Compra de 17 Fotocopiadoras multifuncional y 17 duplicadoras para los Sistemas Básicos de Salud Integral (SIBASIS), con la finalidad de proveer la papelería necesaria para el registro de las acciones desarrolladas por los Ecos en sus respectivos territorios.
    ? Compra de 105 vehículos para la movilización de los Ecos Familiares y Especializados, hacia las zonas más inaccesibles del país para la prestación de servicios de salud.
    ? Compra de 13 ambulancias para igual número de Ecos Especializados a fin de garantizar el traslado de pacientes de emergencia y de mujeres embarazadas para la atención de partos en los hospitales, con el objetivo de disminuir la mortalidad materna.
    ? Compra de 8 camiones con equipo refrigerante para el abastecimiento de vacunas y medicamentos en forma oportuna y con calidad a los Ecos Familiares y Especializados.
    • Date:  2012-11-09    Paragraphes: 32
    El Ministerio de Salud (MINSAL) participó en la organización de un Congreso Internacional de Salud Pública y Actividad Física, el cual fue impartido por expertos de los Centros para la Prevención y Control de Enfermedades de los Estados Unidos, con el apoyo financiero de la OPS. Esta actividad permitió la capacitación de 60 profesionales nacionales que se desempeñan en diferentes instituciones gubernamentales y universidades.
    En el tema de educación nutricional, se trabajó en la actualización de las Guías Alimentarias para la familia salvadoreña, las cuales están en fase de validación y servirán como instrumento para los profesionales de la salud para brindar educación nutricional a la población atendida.
    • Date:  2012-11-09    Paragraphes: 33
    Reconociendo que la lactancia materna es una herramienta eficaz para el combate de la desnutrición infantil y la prevención de la obesidad, en agosto de 2011 la Ministra de Salud oficializó el documento de Política de Promoción, Apoyo y Protección de la Lactancia Materna, el cual busca garantizar el ejercicio del derecho a la lactancia materna de niños, niñas, madres y familias salvadoreñas, como elemento indispensable para lograr un óptimo estado de salud, desarrollo y nutrición.

    De igual forma, en septiembre de 2011 se juramentó a un Comité Nacional de Lactancia Materna y Alimentación Infantil, a través de un Acuerdo Ministerial, como instancia asesora del MINSAL para la implementación de la Política de Lactancia Materna.

    Asimismo, se ha implementado el programa de alimentación complementaria para grupos vulnerables en 125 municipios de mayor pobreza y alta prevalencia de retardo en talla a nivel nacional. El programa está brindando cobertura a 35,000 niños menores de 3 años y a mujeres embarazadas con bajo peso.

    Se ha logrado la inclusión de los micronutrientes en polvo en el cuadro básico de medicamentos y se iniciará su distribución a la población infantil menor de 5 años; esta iniciativa busca reducir los niveles de anemia y de otras deficiencias de micronutrientes.

    Se ha continuado con la implementación del Programa Infancia y Seguridad Alimentaria Nutricional, que se ejecuta en 3 municipios de Morazán con el financiamiento del Fondo para el logro de los ODM. Este programa cuenta con una línea de base sobre el estado nutricional de la población infantil y ha fortalecido la atención en salud y nutrición de la zona de influencia, así como el mejoramiento de la calidad de vida y la productividad a través de un componente de desarrollo agrícola.



    En el marco de este mandato, El Salvador participó en el proceso de formulación de la Política Nacional de Lactancia Materna. Esta política tiene como objetivo: Promover el ejercicio del derecho a la lactancia materna de las niñas, niños, madres y familias salvadoreñas, como elemento indispensable para lograr un óptimo estado de salud y nutrición.
    • Date:  2012-11-09    Paragraphes: 34
    Se ha realizado una revisión y adecuación de algoritmos diagnósticos en el Laboratorio Nacional de Referencia, para eventos de interés nacional y con repercusiones a otros países en el marco del Reglamento Sanitario Internacional (RSI).
    Asimismo, se han evaluado los alcances en la implementación del RSI en las capacidades básicas para valorar la factibilidad de prórroga si las capacidades no se han cumplido por todas las instituciones involucradas en la respuesta nacional, para lo cual se elaborará un plan de acción con apoyo de la OPS.
    De igual forma, se realiza un monitoreo periódico de los eventos nacionales e internacionales que pueden afectar el territorio nacional.
    Además, se ha desarrollado un taller de evaluación con las oficinas de sanidad internacional de puntos fronterizos, para ver el grado de cumplimiento de la Programación Anual Operativa de 2011.
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 26
    La Reforma de Salud ha incorporado la organización de Redes Integrales e Integradas de Servicios de Salud (RIISS), que articulen el funcionamiento de las instituciones de salud pública, así como los diferentes niveles de atención en redes que garanticen la continuidad de la atención a la persona. En el Primer Nivel de Atención, la red estará constituida por: ECOS Familiares y ECOS Especializados.
    Los Ecos Familiares son la puerta de entrada al Sistema Público de Salud y están integrados, por medico, enfermeras, promotores de salud y colaboradores de servicios varios, con responsabilidad nominal de una población de aproximadamente 600 a 1800 familias, dependiendo si es área rural o urbana.
    Los Ecos Especializados están conformados por pediatras, gineco-obstetras, internistas, enfermeras, psicólogos, fisioterapistas, laboratoristas, educadores en salud, auxiliares estadísticos. Estos contarán con capacidad diagnóstica y terapéutica especializada: Laboratorio clínico, Ultrasonografía, Electrocardiograma y equipo de Fisioterapia. Los Ecos Especializados tienen servicios de extensión horaria fines de semana y días festivos y dependiendo de la demanda tienen servicios de 24 horas con FOSALUD.
    En las Unidades Comunitarias de Salud Familiar por cada 1,800 familias se integran los profesionales de Odontología, Inspectores de Saneamiento Ambiental y los Recursos Humanos administrativos. Además, se brinda el servicio en los 11 hogares de espera materna con licenciadas en matero-infantil.
    Segundo y Tercer Nivel: Los Hospitales Públicos en la Red Integrada de Servicios de Salud, según el nuevo modelo contempla definir de acuerdo al perfil epidemiológico y área geográfica, el conjunto de prestaciones que brindarán cada uno de los hospitales, clasificados en hospitales de segundo y tercer nivel.
    El segundo nivel de atención estará conformado por hospitales generales básicos y departamentales, complementándose con los establecimientos del primer nivel, integrando las micro redes, redes departamentales y nacionales.
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 27
    Dentro del continuo de atención de la madre, del recién nacido y del niño(a), el MINSAL desde 1999 establece la estrategia del paquete Madre Bebé ampliada, para hacer posible y visible la
    atención del feto, del recién nacido y del neonato dentro de la prestación de servicios de salud, y así complementar la estrategia de AIEPI que en ese entonces iniciaba desde la primera semana de edad hasta los menores de 5 años.
    La encuesta de Salud Familiar 2008 FESAL (base para el cumplimiento del ODM 4) revela que la tasa de mortalidad perinatal ha bajado de 26 en 1998 a 19 por mil nacidos en 2008, esta reducción es a expensas de la mortalidad neonatal temprana que descendió de 13 a 7 por mil nacidos en el periodo. La mortalidad fetal (mortinatos) que representa el 63% de la mortalidad perinatal, no ha experimentado cambios significativos en estos años y representa un desafío de la mejora continua de la atención preconcepcional, control prenatal y atención del parto.
    La información suministrada por la Dirección de Vigilancia de la Salud, revela que la tasa de mortalidad perinatal institucional MINSAL descendió de 16.94 en 2005 a 14.71 por mil nacidos en 2010 y siempre a expensas de la mortalidad neonatal temprana. Estos promedios nacionales al abrirlos exponen diferencias en donde Morazán posee la tasa más alta de mortalidad perinatal de 19.02 por mil nacidos y Sonsonate la más baja con 9.83 por mil nacidos en el año 2010. Las principales causas de mortalidad perinatal en especial de los mortinatos, son malformaciones congénitas , prematurez, accidentes del cordón; sin embargo, muchas de estas muertes no son aclaradas por no contar con autopsia o por descripciones erróneas de la causa básica de defunción.
    En relación a la tasa de mortalidad neonatal (YMN) FESAL 2008 señala un descenso de 23 en 1993 a 9 por mil nacidos vivos a 2008,un comportamiento distinto a otros países de América.
    La TMN representa el 56% de la mortalidad infantil para 2008 según FESAL y la mortalidad neonatal temprana (0-7) días representa un poco más de las tres cuartas partes de la mortalidad neonatal. Esta mortalidad está asociada a eventos de la atención del parto y de la reanimación neonatal, que representa el período mas critico de la vida del ser humano. Las principales causas de mortalidad neonatal son la prematurez, las malformaciones congénitas, las infecciones.
    La misma FESAL demuestra que la mortalidad neonatal es 3 veces mayor en el quintil más alto de la pobreza, en relación al quintil de mayor bienestar.

    Para ver el Reporte Completo, visite http://www.summit-americas.org/nat_rep/2011/Slv_Sp.pdf
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 28
    Programa de Atención Integral e Integrada a las Enfermedades Prevalentes por ciclo de vida (AIIEPCV)
    -
    Conformación de la Unidad de Atención Integral e integrada a las Enfermedades Prevalentes en el Ciclo de Vida (AIIEPCV)
    -
    Diseño e inicio de la implementación del Programa de Atención Integral e Integrada a las Enfermedades Prevalentes en el Ciclo de Vida.
    -
    Diseño del Conjunto Básico de las Enfermedades Prevalentes que son el objetivo estratégico del Programa en las cuales están incluidas las Enfermedades Crónicas no Trasmisibles (ECNT) como prioritarias
    -
    Elaboración de Guías Clínicas para la atención de las Enfermedades Crónicas no trasmisibles como la Diabetes Mellitus, Hipertensión Arterial, Artritis, Dislipidemias y Enfermedad Reumática.
    -
    Implementación de un Proyecto piloto para el mejoramiento de la calidad de atención de los pacientes diabéticos.
    Estrategias para la prevención de Factores de riesgo para las enfermedades crónicas
    -
    Elaboración de Guías para la prevención del tabaquismo y sus efectos negativos en la salud:
    -
    “Guía para la prevención del Tabaquismo”.
    -
    “Guía educativa sobre los efectos nocivos del consumo del tabaco”
    -
    “Guía de consejería sobre los beneficios sobre el dejar de fumar
    -
    “Guía para la identificación para factores de riesgo para las ECNT”
    -
    “Guía de Educación Nutricional”
    -
    “Guía para la promoción de Estilos de vida saludable”
    Fortalecimiento de la Vigilancia epidemiológica de la ECNT, Definición de un Conjunto básico de Indicadores de Vigilancia epidemiológica Institucional de las ECNT
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 30
    Fortalecimiento Institucional
    Se ha implementado la creación de Unidades de Salud Mental en Hospitales Generales (Santa Ana, Saldaña, San Bartolo) integrado por profesionales multidisciplinarios (psicólogo, psiquiatra, enfermera, arte-terapista, entre otros), para que de tal manera se brinde una atención integral en salud, fortaleciendo así la atención en ese nivel la salud mental, incorporando un programa de adicciones en cada Unidad, permitiendo así la descentralización del Hospital Psiquiátrico.
    *Así mismo se ha contratado recursos profesionales (psicólogo, enfermera y arte’terapista) para atender la salud mental, entre ellos el componente de prevención y educación en adicciones, conformando de esa forma 6 equipos móviles que atienden las zonas más vulnerables de San Salvador, Chalatenango, la Libertad, san Vicente, la Paz y Cuscatlán.
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    Formación y Capacitación
    Se esta realizando un proceso de capacitación para el área de Investigación a los Referentes Regionales en salud mental y referentes de SIBASIS para fortalecerles en sus gestiones en crear servicios pilotos.
    *Se ha capacitado a 146 profesionales en salud en materia de prevención, tratamiento y rehabilitación basada en la comunidad para la reducción del uso y abuso de drogas licitas e ilícitas a nivel nacional.
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 31
    Con el objetivo de cumplir el mandato constitucional de garantizar el acceso a los servicios de salud como un derecho humano fundamental bajo los principios de solidaridad, equidad, universalidad con calidad y oportunidad, el Ministerio de Salud ha iniciado la implementación del Modelo de Atención Integral en Salud con enfoque familiar y comunitario basado en la Atención Primaria en Salud Integral (APS-I) que permita atender a toda la población desde la promoción, prevención, diagnóstico, tratamiento y la rehabilitación de la salud a través de redes de salud integrales e integradas, promoviendo la corresponsabilidad y contraloría social en salud, con énfasis en el control de las determinantes de la salud de la población.
    Para garantizar el acceso a los servicios de salud, acercándolos a su lugar de residencia, principalmente a la población que vive en condiciones de exclusión social, en el 2011 tendremos un total de 141 municipios beneficiados con el nuevo modelo de atención en salud, siendo 112 con cobertura total y 29 con cobertura parcial del municipio, beneficiando a una población de 1,234,081 y 281,527 familias; para lo cual tendremos instalados a 380 Ecos Familiares y 28 Ecos Especializados, de este último uno en Ciudad Mujer y otro en el Bajo Lempa con la Subespecialidad de Salud Renal, para un total de 408 Equipos Comunitarios de Salud Familiar.
    Se ha contratado a 2,262 Plazas, para garantizar la sostenibilidad y la atención a la población con los Ecos Familiares y Especializados. Con una proyección para finales de 2014 de la contratación de aproximadamente 8,000 nuevos profesionales de la salud.
    Se invertirá en la contratación de RRHH, compra de equipo médico, medicamentos e insumos, vehículos, ambulancia, motos, combustible y capacitación de los profesionales de salud en el nuevo modelo de atención, un total de $ 51,8 millones de los cuales $ 28,0 millones de dólares son recursos adicionales al presupuesto regular para el 2011.
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 32
    Política Nacional de Seguridad Alimentaria Nutricional elaborada en proceso de oficialización por parte del Presidente de la República el día 3 de mayo del presente año.
    Política de Promoción, apoyo y protección de la Lactancia Materna en proceso de consulta ciudadana (Documento borrador)
    Plan nacional para prevención y control de las deficiencias nutricionales por micronutrientes en fase de implementación. (Documento final)
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 33
    Programa de alimentación complementaria para grupos vulnerables en 76 municipios de mayor pobreza y alta prevalencia de retardo en talla. En fase de implementación. Beneficiará a 30,000 niños menores de 3 años y a mujeres embarazadas con bajo peso.
    Programa de suplementación con micronutrientes a grupos vulnerables: hierro, zinc, ácido fólico y vitamina A.
    Programa Infancia y Seguridad Alimentaria Nutricional que se ejecuta en 3 municipios de Morazán con financiamiento Fondo para el logro de los ODM.
    Proyecto de salud y nutrición será financiado por préstamo del BID y será ejecutado en 25 municipios del país.
    Plan de promoción de estilos de vida saludable en el lugar de trabajo con énfasis en dieta saludable y actividad física. En fase de implementación. (Documento aprobado por Ministra de Salud).
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 34
    Finalización de revisión jurídica para la aplicación del RSI en el país.
    Se mantiene personal en diez puntos de entrada (6 terrestres, 2 marítimos y 2 aéreos). Se fortaleció el personal médico y de enfermería en un puerto y se apertura un aéreo a inicios de 2011).
    Fortalecimiento en la aplicación del RSI, principalmente en las capacidades básica para la vigilancia y respuesta a eventos que puedan constituir emergencias de salud pública de alcance internacional con la participación del punto focal del país en curso internacional de OPS/ Washington).
    Participación de personal de saneamiento Ambiental en taller regional en Panamá, con el objetivo de fortalecer la capacidad de aplicación del RSI en puertos marítimos (inspección de embarcaciones, actividades para la desinsectación, desratización, calidad del agua de consumo humano y alimentos).
    Capacitación e implementación de Sistema de Monitoreo de Eventos (SIME)
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 35
    Acceso Universal:
    -
    Distribución gratuita de condones en todos los niveles de atención.
    -
    Búsqueda activa de casos de VIH y sida. Ofreciendo gratuitamente la prueba diagnóstica, con consejería pre y pos prueba, aumentando el número de pruebas hasta un 300% en relación al año 2001.
    -
    En relación a los nuevos diagnósticos en el año 2010, el 90% casos VIH y solamente el 10% casos sida.
    -
    Reducción de la mortalidad a más del 50%, en relación al año 2001.
    -
    Acceso a la profilaxis pos exposición al VIH, laboral como por abuso sexual.
    -
    Atención descentralizada para personas con infección por VIH, en hospitales de segundo y tercer nivel de atención, con un total de 20 Hospitales de la red pública.
    -
    Acceso Gratuito de la atención a personas con infección por VIH, incluyendo medicamentos antirretrovirales de primera, segunda y tercera línea, así como acceso a pruebas de seguimiento.
    -
    A diciembre de 2010, se encontraban 5843 personas activas en tratamiento antirretroviral, brindando una cobertura del 81%.
    • Sources Connexes
    Ministerio de Salud de El Salvador
  • Équateur
    • Rapports
    • Date:  2010-12-01    Paragraphes: 30
    El consumo de drogas entre las encuestas a estudiantes realizadas los años 2005 y 2008, en la mayorías de las drogas lícitas e ilícitas hay un aumento de consumo. El consumo de drogas vegetales, éxtasis, cocaina y pasta base disminuye; el consumo de tranquilizantes se mantiene igual y el de cigarrillos diminuye (Fuente: Tercera Encuesta sobre consumo de drogas en estudiantes de enseñanza media, CONSEP, Octubre 2008).
    Ecuador está ejecutando acciones en el campo de la prevención, educacional, tratamiento, rehabilitación y reincorporación a la vida social, ademásd e la elaboración de un nuevo marco legal que permita la desestimagtización de los consumidores, que respeto los derechos humanos y les permita ingresar a un proceso adecuado de rehabilitación y de reincoporación a la vida social, laboral ...
  • États-Unis d’Amérique
    • Rapports
    • Date:  2016-07-07    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2016-07-07    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
  • Grenade
    N/A
  • Guatemala
    • Rapports
    • Date:  2017-04-20    Paragraphes: 1
    Las prioridades en materia de salud se enfocan en la transformación del sector hacia las siguientes
    acciones estratégicas: a) fortalecimiento del rol rector del Ministerio de Salud Pública y Asistencia
    Social; b) provisión de servicios con énfasis en las acciones dirigidas para que los servicios de salud
    sean accesibles a todas las personas y comunidades, priorizando la atención primaria en salud; c)
    formación de recursos y desarrollo de la carrera sanitaria y; d) acceso a medicamentos
    convencionales, alternativos y complementarios.

    Todas las acciones se plantean desde una visión de política pública, orientada a través de: el derecho
    a la salud y a la vida; la pertinencia intercultural; la equidad; el respeto y armonía con la naturaleza; y
    la participación ciudadana.
    Bajo el Acuerdo Ministerial No. 261-2016 se establece que el Modelo Integral de Salud (MIS) será el
    modelo oficial de atención, que coordina con el sistema de salud ancestral para elevar la capacidad
    resolutiva de todo el sistema de salud desde la base comunitaria, en consonancia con los derechos de
    los pueblos. Este considera que la salud debe abordarse desde la misma cultura comunitaria
    organizada en territorios coincidentes, para eliminar la exclusión y la discriminación sobre los
    conocimientos ancestrales, la medicina maya y la alternativa.
    • Date:  2011-07-20    Paragraphes: 30
    Al respecto la SECCATID viene realizando todas aquellas acciones que fortalezcan y refuercen los factores protectores, logrando con ello estilos de vida y comportamientos saludables. Estos a la vez permiten a los diferentes grupos poblacionales construir competencias sociales, aspectos que han sido expuestos dentro de la Política Nacional y que hoy es parte de la guía de acciones en nuestro país.
    Asimismo, la SECCATID cuenta con una gama de programas que permiten el acercamiento con los diferentes grupos del país, mediante las estrategias basadas en las necesidades que actualmente requieren las personas, pero especialmente el grupo más vulnerable como lo son los niños, niñas y jóvenes.
    Cabe mencionar que la integralidad forma parte de las acciones encaminadas a la Prevención del Consumo de Drogas y con ello la problemática que genera el consumo de drogas que viene causando un desfase principalmente en el grupo familia y que a su vez se traslada a la sociedad guatemalteca como tal.
    La problemática que afecta a la sociedad misma alcanza a todo un país considerando el deterioro de la persona dejando con ello la productividad que espera para el desarrollo de todo un conglomerado que depende de cada uno de sus habitantes.
    SECCATID ha establecido alianzas estratégicas con instancias nacionales e internacionales que le permiten trabajar consecutivamente, coordinando además con las diferentes autoridades y de esa manera crear espacios importantes que permitan los cambios cognitivos y conductuales para poder obtener logros ante los retos y necesidades que requiere el desarrollo de la persona y por consiguiente de un país. Trabajamos por un país LIBRE DE DROGAS porque creemos en la salud integral de la persona lo cual conlleva el bienestar de un país, para ello fortalecemos nuestras acciones informativas y formativas y con ello generar intervenciones preventivas y eficaces.
    • Date:  2011-07-20    Paragraphes: 32
    Para contribuir a la reducción de la pobreza, la inseguridad alimentaria y la desnutrición crónica, atendiendo a la población más vulnerable en el área rural se tiene como propósito promover la educación, información y Comunicación en alimentación y nutrición para mejorar el consumo de alimentos, la lactancia materna exclusiva y contribuir a la desnutrición crónica; a través de la implementación de la Estrategia de Seguridad Alimentaria y Nutricional para escolares en el sistema educativo.
    Las principales actividades que se impulsan son: i) fortalecimiento de las organizaciones de padres de familia y Consejos Educativos en aspectos de Seguridad Alimentaria y Nutricional ii) Transferencias de recursos financieros a los Consejos Educativos y organizaciones educativas para refacciones escolares en los establecimientos educativos iii) Capacitación a Comunidades Educativas (líderes, comunitarios, docentes, alumnos, padres de familia y comunidad en general), otras acciones realizadas están encaminadas a análisis de niveles de yodo en escolares en coordinación con el Ministerio de Salud y la Secretaría de Seguridad Alimentaria y Nutricional (SESAN).
    • Date:  2011-07-20    Paragraphes: 33
    Para contribuir a la reducción de la pobreza, la inseguridad alimentaria y la desnutrición crónica, atendiendo a la población más vulnerable en el área rural se tiene como propósito promover la educación, información y Comunicación en alimentación y nutrición para mejorar el consumo de alimentos, la lactancia materna exclusiva y contribuir a la desnutrición crónica; a través de la implementación de la Estrategia de Seguridad Alimentaria y Nutricional para escolares en el sistema educativo.
    Las principales actividades que se impulsan son: i) fortalecimiento de las organizaciones de padres de familia y Consejos Educativos en aspectos de Seguridad Alimentaria y Nutricional ii) Transferencias de recursos financieros a los Consejos Educativos y organizaciones educativas para refacciones escolares en los establecimientos educativos iii) Capacitación a Comunidades Educativas (líderes, comunitarios, docentes, alumnos, padres de familia y comunidad en general), otras acciones realizadas están encaminadas a análisis de niveles de yodo en escolares en coordinación con el Ministerio de Salud y la Secretaría de Seguridad Alimentaria y Nutricional (SESAN).
  • Guyana
    • Rapports
    • Date:  2010-11-24    Paragraphes: 26
    I. HEALTH

    1. Guyana ensures that health care delivery is based on equity and accountability. The Ministry of Health strives to improve the physical, social and mental health status of all Guyanese and non-Guyanese residing in Guyana by ensuring that health services are as accessible, acceptable, affordable, timely and appropriate as possible given available resources and that the effectiveness of health personnel is enhanced through continuing education, training and management systems.
    2. Guyana had prepared a “National Health Sector Strategy 2008-12 (NHSS 2008-12)” that sets out the government's plans for providing equitable access to high quality and 'consumer-friendly' health services. The strategy covers all health care provided in the country by public, private and voluntary services and is guided by the values and principles outlined in the National Development Plan and the Poverty Alleviation Strategy i.e. to protect the most vulnerable and assure sustainability, accountability and transparency in government-led processes.

    3.
    The NHSS 2008-12 focuses on reducing morbidity and mortality by ensuring universal access to effective interventions for the newborn, children, adolescents, and young adults. This priority area is vital to improve national health status, and for Guyana's effort to attain the Millennium Development Goals (MDG) 4 and 5. Over the last five years, significant improvements in statistical reporting have been achieved, and more reliable baselines are available with which to compare and measure progress. By 2005, morbidity and mortality rates stabilized, and the Multi-Indicator Cluster Survey (MICS) 2006 shows a significant reduction over the MICS 2001.
    • Date:  2010-11-24    Paragraphes: 27
    I. HEALTH

    4. Maternal health will be enhanced with a full Women's Health Programme, introducing services for pre-conception, safer
    motherhood, and early detection of breast and cervical cancer, whilst continuing to integrate other vertically delivered services into the Integrated Management of Common Childhood Illnesse (IMCI). Obstetric care is to be improved with an enhanced package of services standardized at all hospitals, and C-section capacity developed for all Regional Hospitals.
    • Date:  2010-11-24    Paragraphes: 28
    I. HEALTH

    6. Like other countries, Guyana is experiencing an increase in illness, premature deaths and disability from chronic non communicable diseases: heart disease, hypertension leading to stroke and kidney failure, diabetes and cancers. Containing the increase requires lifestyle changes by individuals; environmental change led by government, plus earlier diagnosis, treatment and rehabilitation services. Otherwise, premature deaths and disabilities will rise, and costs will spiral.
    • Date:  2010-11-24    Paragraphes: 27, 34, 35
    I. HEALTH

    5. Safer motherhood will be strengthened through inter-sectoral and inter-agency collaboration, and through promotion of community support groups in, for example, breastfeeding and HIV counseling. Maternity services will be stratified further to improve quality at the various levels from basic care to comprehensive obstetric services, to simplify provision of the right equipment and supplies, to ensure equity in the distribution of trained skilled staff, to reinforce management of high risk cases, and to develop a functional referral system. Training in emergency obstetric care will be done at all levels of the health care system. Provision of mosquito nets for mothers and children will greatly reduce malaria morbidity.
    • Date:  2010-11-23    Paragraphes: 27
    IV. SOCIAL SECURITY
    14. • The Basic Nutrition Programme (BNP) Nutritional Sprinkles Programme, established to reduce malnutrition and anemia in pregnant mothers and infants age six to 24 months, benefits 20,000 women and children.
    • Sources Connexes
    NATIONAL REPORT OF GUYANA ON FOLLOW-UP AND IMPLEMENTATION OF THE MANDATES OF THE DECLARATION OF COMMITMENT OF THE V SUMMIT OF THE AMERICAS – PORT-OF-SPAIN (Guyana 2010)
  • Haïti
    • Sources Connexes
    Avian Influenza Control and Human Inflluenza Emergency Prepardness and Control Project
    PAHO/WHO Technical Cooperation in the aftermath of the earthquake 2010-2011 – Development of Health Systems and Services (Inglés)
    PAHO/WHO Technical Cooperation in the aftermath of the earthquake 2010-2011 – Development of Health Systems and Services (Inglés)
    PAHO/WHO Technical Cooperation in the aftermath of the earthquake 2010-2011 – Development of the Health Information System (Inglés)
    PAHO/WHO Technical Cooperation in the aftermath of the earthquake 2010-2011 – Development of the Health Information System (Inglés)
    PAHO/WHO Technical Cooperation in the aftermath of the earthquake 2010-2011 – Environmental Health (Inglés)
    PAHO/WHO Technical Cooperation in the aftermath of the earthquake 2010-2011 – Free Obstetric Project (SOG) (Inglés)
    PAHO/WHO Technical Cooperation in the aftermath of the earthquake 2010-2011 – Health Cluster (Inglés)
    PAHO/WHO Technical Cooperation in the aftermath of the earthquake 2010-2011 – HIV / AIDS(Inglés)
    PAHO/WHO Technical Cooperation in the aftermath of the earthquake 2010-2011 – Mental Health (Inglés)
    PAHO/WHO Technical Cooperation in the aftermath of the earthquake 2010-2011 – Mental Health(Inglés)
    PAHO/WHO Technical Cooperation in the aftermath of the earthquake 2010-2011 – Nutrition (Inglés)
    PAHO/WHO Technical Cooperation in the aftermath of the earthquake 2010-2011 – Pandemic (H1N1) Preparedness 2010 (Inglés)
    PAHO/WHO Technical Cooperation in the aftermath of the earthquake 2010-2011 – Priority Communicable Diseases: Lymphatic Filariasis and Intestinal Parasites (Inglés)
    PAHO/WHO Technical Cooperation in the aftermath of the earthquake 2010-2011 – Priority Communicable Diseases: Malaria (Inglés)
    PAHO/WHO Technical Cooperation in the aftermath of the earthquake 2010-2011 – Priority Communicable Diseases: Malaria (Inglés)
    PAHO/WHO Technical Cooperation in the aftermath of the earthquake 2010-2011 – Priority Communicable Diseases: Tubercolusis (Inglés)
    PAHO/WHO Technical Cooperation in the aftermath of the earthquake 2010-2011 – Priority Communicable Diseases: Tubercuolsis (Inglés)
    PAHO/WHO Technical Cooperation in the aftermath of the earthquake 2010-2011 – Strengthening the Essential Drug Procurement Program, Promess (Inglés)
    PAHO/WHO Technical Cooperation in the aftermath of the earthquake 2010-2011 – Strengthening the Essential Drug Procurement Program, Promess (Inglés)
    PAHO/WHO Technical Cooperation in the aftermath of the earthquake 2010-2011 – Vaccination (Inglés)
  • Honduras
    • Rapports
    • Date:  2012-04-01    Paragraphes: 26
    Promover la Protección Social e Implementar Estrategias para el
    Acceso Universal a la Atención Integral a la Salud
    La proteccion social se promueve en Honduras a través del compromiso politico
    que denen los lineamientos estratégicos contenidos en:
    • Plan Nacional de Salud 2021 que define el proceso orientado a introducir cambios sutantivos
    en el Sector Salud.
    • Reforma del Sector Salud: Proceso de Desarrollo Organizacional(DO) de la SESAL y el Modelo de
    salud basado en la APS Renovada.
    • Plan de Nacion y Vision de Pais.
    • Politica de Salud 2010-2014.
    • Date:  2012-04-01    Paragraphes: 33
    Mortalidad Neonatal. Atención a la Madre, Recién Nacido y del
    Niño
    La política de Reducción Acelerada de la Mortalidad Materna y de la Niñez (RAMNI)
    es el marco de referencia obligado para los actores en todos los programas. Se han
    denido los Lineamientos para el Abordaje de la Salud Neonatal lo que permitirá
    obtener mayores avances en el tema de salud neonatal, a n de lograr una
    Honduras sin probreza, educada y sana con sistemas consolidados de prevision
    social.
    Asimismo, se ha actualizado la Norma de Salud Materno Neonatal que incorpora las
    últimas evidencias cientícas en el manejo de las principales complicaciones del
    neonato y el manejo del recien nacido sano, así como la atención preconcepcional.
    La mortalidad neonatal actual es de 14 x 1000 nacidos vivos y la meta para el 2015
    es reducirla a 7 x 1000 nacidos vivos.
    • Date:  2012-04-01    Paragraphes: 28
    Enfermedades No Transmisibles. Reducción del Consumo de
    Tabaco
    En Honduras los logros más sobresalientes en materia de Prevención del Consumo
    de Tabaco son: La vigencia desde febrero de 2011 de la Ley Especial para el Control
    del Tabaco, y su Reglamento vigente desde el mes de junio del mismo año.
    • Date:  2012-04-01    Paragraphes: 29
    Sistemas de Vigilancia de Enfermedades No Transmisibles
    La entidad gubernamental responsable realiza Inspecciones en todo tipo de
    establecimientos, tanto públicos como privados, en los diferentes barrios y colonias
    de las principales ciudades.
    También se diseño un pictograma que se imprime en las cajetillas de cigarrillos, para
    alertar y prevenir sobre los riesgos del consumo de tabaco.
    • Date:  2012-04-01    Paragraphes: 30
    Campañas de reducción de la demanda de Drogas
    Programa de Prevención.- Para detectar los factores, naturaleza y consecuencias de
    la drogodependencia, la producción publicitaria, la comunicación social,
    incluyendo la organización y desarrollo de eventos y campañas masivas de
    prevención.

    En Honduras se celebra el 31 de mayo como el Día Mundial sin Tabaco.
    Programa de Tratamiento y Rehabilitación.- Que comprende diagnóstico, terapia y
    seguimiento de los desajustes bio-psicosociales en personas que consumen alcohol
    y otras drogas, así como su rehabilitación que garantice su reintegro a la familia y a
    la sociedad. Se han prestado cerca de 10 mil atenciones y capacitado
    • Date:  2012-04-01    Paragraphes: 32
    Atención Primaria de Salud
    Se mantiene en aplicación la Atención Primaria en Salud (APS) Renovada, como eje
    transversal del Modelo de Salud, que fue planteado de forma interinstitucional con
    todos los actores del Sector Salud. Esta se orienta a potenciar la capacidad social
    instalada del pais del sector publico, la seguridad social, el sector privado, las ONGs,
    municipalidades, mancomunidades y otros órganos de la sociedad civil, para
    asegurar el acceso a servicios de salud con calidad en el más corto plazo y con
    uncosto socialmente aceptado.
    El modelo de salud esta conformado por tres componentes: atención,
    nanciamiento y gestion y en su esencia promueve la proteccion social en salud.
    También comprende la ampliacion de la cobertura y gestion de la calidad en la entrega de los servicios de salud. El fortalecimiento de la APS Renovada permite que
    la promoción, prevención, atención y rehabilitación se entrguen oportunamente y
    en forma integral.
    • Date:  2012-04-01    Paragraphes: 32
    Estado Nutricional
    Honduras ha puesto en marcha el Consejo Consultivo de Micronutrientes
    (CONCOM), así como la revision e implementacion del Plan de Suplementacion de
    Vitamina A 2012-2015.
    También se han desarrollado las inciativas siguientes:
    • Revisión e implementacion de las Guias Alimentarias en Honduras, enfocarlas hacia
    enfermedades cronicas no transmisibles.
    • Conformación de la Comision intersectorial de Guías Alimentarias de Honduras.
    • Revisión estructural de la Politica Nacional de Nutricion.
    • Proyecto de Evaluación sobre el impacto de la Merienda Escolar.
    • Elaboración y distribución a nivel nacional de las líneas estratégicas de Vigilancia Nutricional
    con énfasis en Lactancia Materna.
    • Aprobación de la Ley General de Fortificación de Alimentos 2010.
    • Reactivación de la Comisión Nacional de Lactancia Materna.
    • Proyecto de Atención a Grupos Vulnerables.
    • Date:  2012-04-01    Paragraphes: 35
    Prevención de la Inuenza Pandémica, Fiebre Amarilla, Dengue y
    Malaria.
    Impulso de alianzas internacionales
    • Creación de la comisión nacional de preparación, respuesta y mitigación ante una eventual
    pandemia de Influenza.
    • Alianzas estratégicas con: CDC Atlanta y con las redes FluNet (OMS), Redes de vigilancia de los
    agentes bacterianos que causan neumonías y meningitis, la Red Latinoamericana de
    Vigilancia de Resistencia a los Antimicrobianos, Programa de Ciencia y Tecnología para el
    Desarrollo (CYTED), Red Mundial de Dengue (Dengue-Net), Red Amazónica de Vigilancia de las
    Resistencia a los Antimaláricos (RAMREDA), entre otros.
    • Está en ejecución la segunda fase de la iniciativa de cooperación entre los países
    centromericanos y República Dominicana para la implementación del Reglamento Sanitario
    Internacional (RSI).
    • Acuedos de Cooperación Técnica-Científica: Honduras-El Salvador para vigilancia y control de
    Rabia, Honduras-Canadá-Panamá-Nicaragua-México-Guatemala y República Dominicana, de
    enfoque ecosistémico para la prevención de enfermedades zoonoticas desatendidas
    (leptospirosis, rabia, tuberculosis y brucelosis).

    Fortalecimiento de los Sistemas Nacionales de Vigilancia, Prevención, Control y Respuesta
    • Mejoramiento y equipamiento del Centro Nacional de Enlace (CNE).
    • Diagnóstico de la capacidades básicas puntos de entrada: Aéreos, marítimos y terrestres.
    • Uso del sistema informático EpiVigila.
    • Fortalecimiento de las capacidades técnicas y tecnológicas de la Red Nacional de Laboratorios.
    • Entrenamiento en epidemiología a nivel nacional y en Influenza pandémica en el Centro
    Regional de Capacidades en Salud (CRCS) en Panamá.
    • Elaboración del Plan Estratégico para la Implementación del Reglamento Sanitario
    Internacional.
    • Evaluación del Sistema de Vigilancia Epidemiológica.
    Seguridad Sanitaria en los Viajes y Transporte
    • Socialización del RSI en cuatro aeropuertos internacionales, 4 puertos y 3 pasos fronterizos
    terrestres.
    • Realización de simulacros para responder ante una emergencia por influenza aviar e influenza
    pandémica.
    • Implementación del carné sobre fiebre amarilla y otras enfermedades acorde a los Anexos VI y
    VII del RSI.
    • Capacitación en inspección de buques y puertos a inspectores de los principales puntos de
    entrada marítimos del país.
    Fortalecimiento De Los Sistemas Mundiales de Alerta y respuesta de La OMS
    • Conformación y capacitación de los equipos de Alerta Respuesta en las 20
    regiones sanitarias del país, y publicación del documento “Subsistema de
    Alerta-Respuesta del Sistema de Vigilancia de la Salud de Honduras/Lineamientos
    para su organización y funcionamiento”.
    Revertir la propagación del VIH-SIDA
    • Se cuenta con el Plan Estratégico Nacional de Respuesta al SIDA (PENSIDA III).
    • El Departamento de ITS/VIH/SIDA ostenta el cargo de secretariado del mecanismo coordinador
    Regional(MCR) que es el brazo técnico de COMISCA en este tema.
    • Honduras es subcoordinador regional para Centroamérica del Grupo de Cooperación Técnica
    Horizontal (GCTH).
    • Implementación de la estrategia de abordaje de la atención integral a las ITS/VIH/SIDEA en el
    marco de la reforma del Sector Salud en 5 regiones departamentales.
    A este respecto, actualmente se cuenta con 38 Centros de Atención Integral, se
    atiende con retrovirales a más de 8 mil personas, se han ampliado los servicios de
    pediatría de VIH en 17 centros a nivel nacional, se ha ampliado la cobertura de
    pruebas rápidas de 279 unidades de salud a 381 en el presente año 2012, y se ha incrementado de 14% a 88% en el programa de prevención de transmisión del VIH
    de madre a hijo(a), asi como la detección en el control prenatal y tratamiento
    proláctico.
  • Jamaïque
    • Rapports
    • Date:  2012-03-21    Paragraphes: 26, 27, 35
    Health Systems Management and Supply: Access to Comprehensive Health Care

    The Government of Jamaica (GOJ) continued to focus on access and levels of utilization particularly within the public sector. Against this background the Abolition of User Fee Policy came into effect on April 1, 2008. The utilization data from the MOH indicates that the removal of fees to access service resulted in increased utilization at the primary care level as well as pharmacy and diagnostic services.
    To further support the comprehensive nature of the health care delivery system, a needs-based human resources for health planning study, was undertaken. The aim is to enhance capacity for needs-based Human Resources for Health (HRH) planning by developing needs-based simulation modelling tools appropriate to the unique circumstances of Jamaica.
    There is increased emphasis on revising the services offered at health centres and upgrading the physical infrastructure of these facilities in keeping with the policy objective to renew and strengthen primary health care. Policy objectives for secondary care focus on improving the quality of care offered at public hospitals with particular attention on customer service, infrastructure, emergency care, and maternal and child health.
    Maternal Mortality and Child Health

    In keeping with the commitment of the Global Partnership for Maternal and Child Health, there was focus on the development of the Maternal Mortality Surveillance Manual and the Guidelines for the Management of Common Obstetric Emergencies. A Safe Motherhood Programme was also launch and there is increased focus on the use of the partograph in the management of obstetric cases.
    In keeping with the Government’s thrust to improve early childhood development, the Child Health and Development Passport (CHDP) was implemented. The aim of which is to monitor the health and development of each child born as of September 1, 2010.
    A comprehensive National Strategic Plan was developed to improve the delivery of health care to adolescents. The Child and Adolescent Services Policy and Procedures Manual was also developed.

    HIV

    The national response has seen tremendous success particularly in the programme for the prevention of mother to child transmission. Multisectoral support is provided by the National AIDS Committee, civil society, NGOs, and GOJ. The national response is guided by a national strategic plan and is supported by monitoring and evaluation plan.
    The National Workplace Policy for HIV was passed by Parliament and a tool kit was developed to facilitate its implementation. The National HIV-related Discrimination Reporting and Redress System became operational as did the Multi-Sectoral Working Group on Discrimination.
    While the national response to HIV and AIDS is well organized and contains adequate supporting framework, concerns exists regarding sustainable financing of the national response. Jamaica is supported by the World Bank, Global Fund, other IDPs, and the GOJ. However support from the global fund is schedule to end in 2012 and no substitute funding has been identified. The Global Fund supports the treatment and care portion of the national response by providing antiretrovirals for Persons Living with HIV and AIDS.

    Population Ageing
    The discussion on Population Ageing has been receiving significant focus in Jamaica. The demographic situation and the changing structure of the Jamaica population have been highlighted in Vision 2030 Jamaica – National Development Plan. As a result, the implications of this changing population structure have been integrated in all policies, plans and programmes. It is imperative to plan strategically for these changes that will have implications for the society on a whole, particularly as the world has reached 7 billion on October 31, 2011.
    As part of the Regional Strategy for the implementation of the Madrid Plan of Action, initiatives directly geared towards the elderly are being executed through the National Council for Senior Citizens.
    In July 2011, the Government of Jamaica in collaboration with the United Nations Population Fund hosted a Population Conference to commemorate World Population Day 2011, focusing on “Population Ageing: Implications for Development in Jamaica”. The changes in the population present clear opportunities for economic growth, savings and investments. To benefit from this window of opportunity, countries in the Americas must act now in the early stages- as this window will close when the proportion of elderly persons increases further - returning the country to the point of high dependency ratios.
    Jamaica is proposing that focus should be placed on initiating and implementing policies that stimulate investment in production, increase job opportunities and “promote stable economic and social environment that pave the way for sustainable development”. These include areas such as
    • Primary health care and long term care
    • Social infrastructure such as housing, transportation etc.
    • Youth development and entrepreneurship
    • Human resource development
    • Social security including pension coverage and pension funds and
    • Engaging in discussions on retirement age.
  • Mexique
    • Rapports
    • Date:  2018-04-11    Paragraphes: 3
    • En 2016 la Agencia Mexicana para la Cooperación y el Desarrollo (AMEXCID) realizó una inversión por $650,000 dólares, para el desarrollo de la segunda fase de los Planes Maestros Mesoamericanos (PMM) en Dengue/Chikungunya, Malaria, Seguridad Vial y Atención Primaria en Salud y Planes Nacionales. Actualmente se está en el proceso de implementación de la segunda fase de los PMM.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 1
    • Desde el 2012 se ha disminuido en 4.6% la carencia de acceso a los servicios de salud. Es decir, al año 2017, 4.8 millones de personas más accedieron a servicios de salud.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 26, 15, 1, 2
    • Programa de Inclusión Social: PROSPERA
    1. El Paquete Básico Garantizado de Salud, desde el 2014, otorga beneficios de manera gratuita, así como la ampliación progresiva a las 27 intervenciones de Salud Pública del Catálogo Universal de Servicios de Salud (CAUSES). Desde 2016 a agosto de 2017 se registró un avance en la ampliación de las intervenciones en un 83.9% a nivel nacional.
    2. Estrategia integral de Atención a la Nutrición (EsIAN): Promueve la mejor nutrición de la población beneficiaria, además se realiza la entrega de suplementos alimenticios para niños y niñas, mujeres embarazadas y en periodo de lactancia.
    3. Talleres para el Autocuidado de la Salud: Mediante talleres comunitarios se fomenta el autocuidado y mejora de la salud, de acuerdo al modelo rural o urbano del componente de salud que reciben la familias.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 26, 15, 1
    • Derivado del incremento en el arribo, tránsito y retorno de migrantes a México, en los módulos de repatriación del Instituto de Migración (INM) se encuentra personal del Seguro Popular para realizar la afiliación temporal al Seguro Popular, a través de la Constancia de Recepción de Mexicanos Repatriados, para otorgarles servicios de salud y de rehabilitación física, atención en salud mental, prevención y tratamiento de adicciones. Entre septiembre de 2016 y junio de 2017 se otorgaron más de 52 mil servicios de prevención y promoción de salud a alrededor de 7 mil migrantes.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 26, 1, 2
    • La Comisión Nacional de Arbitraje Médico (CONAMED) realizó la impresión de 10,000 tarjetas con los derechos generales de los pacientes en sistema braille.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 26, 15, 1, 2
    • En junio de 2017 se lanzó el “Protocolo para el Acceso sin Discriminación a la Prestación de Servicios de Atención Médica de las Personas Lésbico, Gay, Bisexual, Transexual, Travesti, Transgénero e Intersexual e Intersexual” y “Guías de Atención Específicas” para atender las necesidades concretas de estos grupos.
    El Consejo Nacional para Prevenir la Discriminación (CONAPRED) brindó acompañamiento para la revisión del protocolo y de las guías específicas. Además, para la elaboración de las mismas se contó con la participación de especialistas en el ámbito médico y de derechos humanos, así como participantes de las poblaciones destinatarias y organizaciones de la sociedad civil.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 1, 2, 8
    • La Comisión Nacional de Arbitraje Médico (CONAMED) realizó la traducción de los derechos generales de los pacientes a 11 lenguas indígenas de México. De igual forma, el audio de estos derechos se encuentra disponible en 21 lenguas indígenas.
    Se encuentran disponibles en texto y audio de 17 lenguas indígenas las recomendaciones a la mujer embarazada, adulto mayor, y proceso de consulta de los documentos: “Recomendaciones a la mujer embarazada para mejorar la comunicación con el personal de salud durante el embarazo el parto y la cuarentena (puerperio)”, “Recomendaciones para mejorar la atención del adulto mayor dirigidas a los pacientes”, y “Recomendaciones para mejorar la atención del adulto mayor dirigidas a los pacientes”.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 26, 1, 2, 8
    • Durante 2016 y 2017 el Instituto Nacional de las Mujeres (INMUJERES) y la Comisión Nacional para el Desarrollo de los Pueblos Indígenas (CDI) implementaron la serie radiofónica: “Por tu seguridad, hazle caso a las señales de tu cuerpo”, integrada por 9 cápsulas radiofónicas sobre mortalidad materna, cuyo objetivo fue brindar a las mujeres información oportuna y alertarlas sobre los signos y síntomas de alarma durante el embarazo, parto y puerperio. Además de promover el ejercicio de sus derechos sexuales y reproductivos, con el propósito de contribuir a la disminución de la mortalidad materna. Las cápsulas se transmitieron en 39 lenguas indígenas; en 21 de las estaciones del Sistema de Radiodifusoras Culturales Indígenas que se escucha en 16 entidades federativas.
    De enero a diciembre de 2016, se realizaron 25,669 impactos y de enero a diciembre de 2017, 22,113 impactos.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 28, 30, 15, 2
    • La Secretaría de Salud en conjunto con la Secretaría de Educación Pública (SEP) implementaron para el ciclo escolar 2017-2018 el programa piloto “Salud en tu Escuela” en escuelas de 13 entidades de la república. El programa busca fortalecer la prevención, la promoción y el cuidado de la salud de las niñas, niños y jóvenes para mantener un cuerpo sano, evitar conductas de riesgo y adquirir hábitos saludables mediante la intervención directa de diagnóstico, monitoreo, capacitación y comunicación, así como la referencia a los servicios de salud.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 2
    • Estrategia Nacional para la Prevención del Embarazo en Adolescentes (ENAPEA): en comparación con 2012, se incrementaron en un 76.4% los “Servicios Amigables para Adolescentes” que otorgan servicios en salud sexual y reproductiva para adolescentes y niñas
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 2
    • Durante 2016 el IMJUVE implementó en los municipios de Tonalá, El Salto y Guadalajara en Jalisco la “Estrategia Nacional para la Prevención del Embarazo en Adolescentes” en la que, mediante 57 actividades de salud preventiva, brindaron a grupos de jóvenes, instituciones educativas y organizaciones de la sociedad civil activaciones de capacitación en materia de Prevención de adicciones, Educación sexual y de Equidad y Género.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 2
    • Durante 2016 el IMJUVE realizó 15 talleres, 9 pláticas y dos conferencias; en total 26 acciones informativas en temas de: Derechos Sexuales y Reproductivos, Prevención de las Infecciones de Transmisión Sexual, Desarrollo Adolescente, Sexualidad y Adolescencia, Métodos Anticonceptivos y Prevención de Embarazo Adolescente con las cuales beneficiaron a 916 jóvenes
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 2
    • De julio a diciembre de 2017 el IMJUVE, bajo el marco de la Estrategia Nacional de Prevención del Embarazo Adolescente, implementó el componente “Activaciones de Salud Joven”; cuyo objetivo fue brindar habilidades blandas, de toma de decisiones y empoderar el cuerpo de los jóvenes. La aplicación del programa fue una formación en cascada en seis entidades federativas del país y requirió el apoyo de monitores, tutores y replicadores que fueron seleccionados mediante una alianza con la Coordinación Nacional de Becas de Educación Superior y la Secretaría de Educación Pública. El programa fue validado por la SEP, UNFPA (United Nations Population Fund).
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 2
    • La Secretaría de Salud logró la consolidación de Infraestructura física en salud en zonas de población en condiciones de vulnerabilidad:
    * Se construyeron tres obras nuevas en el Estado de México: 1) Unidad de Especialidad Médica dedicada al Cáncer de Mama en Huixquilucan, 2) Centro Especializado de Atención a Personas con Discapacidad Visual de Naucalpan y 3) Centro de Rehabilitación y Educación Especial de Toluca.
    * En el Estado de Tamaulipas se construyó una Unidad de Especialidad Médica dedicada al Cáncer de Mama (UNEME DEDICAM Tampico).
    * Se fortaleció con mobiliario médico a dos Hospitales de la Mujer ubicados en Tabasco y en Michoacán.
    * Se equipó a diversas unidades médicas de atención a grupos vulnerables en el estado de Morelos y la UNEME DEDICAM de Huixquilucan, Estado de México.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 8
    • Albergues IMSS-PROSPERA: De septiembre de 2016 a febrero de 2017 brindó atención a 331,168 personas, el 26% fue a mujeres en periodo de embarazo o puerperio en 68 albergues comunitarios de 17 entidades federativas. También otorgó 15,355 sesiones de educación para la salud, tuvo 211,194 participantes y proporcionó 819,681 raciones alimenticias.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 8
    • Como parte del Programa de Desarrollo Comunitario para el apoyo a embarazadas y mujeres con emergencias obstétricas, del 1 de septiembre de 2016 al 30 de junio de 2017 realizaron las siguientes actividades:
    • Se dio albergue a 42,887 embarazadas, puérperas y familiares en 147 Posadas para el Apoyo de la Mujer Embarazada (Posadas AME) en 21 entidades federativas, se favoreció el acceso oportuno a unidades de atención médica, principalmente en zonas de alta marginalidad.
    • Se apoyó a 79,207 embarazadas y puérperas con la participación de 78,353 madrinas y padrinos comunitarios para la identificación de señales de alarma, incluyendo el plan de seguridad para las embarazadas, asistencia a la consulta médica y apoyo en caso de traslados de emergencia en 484 municipios de 18 entidades federativas.
    • El Programa IMSS-PROSPERA aplica la estrategia Red Social, un modelo de organización social para la autogestión y solidaridad encaminada a la prevención de la muerte materna, donde intervienen la comunidad, la red comunitaria, autoridades locales y equipos de salud. Esta red, conformada en más de 97% de las localidades donde el Programa tiene presencia, realizó más de 21 mil acompañamientos de embarazadas y/o puérperas a unidades médicas.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 8
    • El Sistema Nacional de Salud (SNS) mejoró el control prenatal al establecer que las embarazadas deben acceder a un mínimo de cinco consultas prenatales e iniciarlas durante las primeras ocho semanas de gestación de acuerdo a la NOM-007-SSA2-2016 (Para la atención de la mujer durante el embarazo, parto y puerperio, y de la persona recién nacida).
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 5, 7, 8
    • Lactancia materna: La Secretaría de Salud durante el periodo 2016-2017 desarrolló la campaña nacional digital “Da Leche Materna”, se difundió en redes sociales a través de capsulas informativas, materiales impresos y mediante una aplicación para teléfonos inteligentes. El objetivo de la campaña fue promover con información útil, accesible y práctica la confianza en las madres, antes y después del parto, acerca de los beneficios de la lactancia para ellas y sus hijos; se buscó abatir mitos y aclarar dudas y creencias que pudieran afectar la implementación de la lactancia. De igual manera, se buscó sensibilizar a la población sobre el tema. La campaña tuvo un alcance de 27, 071,200 personas.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 6
    • México se encuentra libre de enfermedades como el tracoma y la oncocercosis. En abril de 2017 la OPS entregó el reconocimiento de eliminación del tracoma en nuestro país.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 5
    • Prevención del cáncer de mama: la Secretaría de Salud realizó más de 10 millones de mastografías a mujeres de 40 a 69 años de edad en las instituciones del sector salud.
    En febrero de 2017, la Secretaría de Salud, el Instituto Mexicano del Seguro Social (IMSS) y el Instituto de Seguridad y Servicios Sociales de los Trabajadores del Estado (ISSSTE) suscribieron el convenio de colaboración para la elaboración e instrumentación de un programa de trabajo interinstitucional de lucha contra el cáncer infantil, que incluye la prestación de servicios médicos, abasto de medicamentos y otros insumos, de manera coordinada entre las tres instituciones.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 5
    • Prevención del cáncer cervico-uterino: La Secretaría de Salud aplicó 10.1 millones de dosis de vacunas contra el virus del papiloma humano a niñas de quinto año de primaria o de 11 años no escolarizadas.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 5
    • Durante el periodo del 1 de septiembre de 2016 al 30 de junio de 2017 la Secretaría de Salud llevó a cabo el “Programa de Acción Específico Alimentación y Actividad Física” cuyo objetivo es fomentar la alimentación correcta a nivel individual, familiar, escolar y comunitario. Realizaron 14 campañas educativas en el país de la promoción de estilos de vida saludables.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 4
    • Del 1 de septiembre de 2016 al 30 de junio de 2017 la Secretaría de Salud realizó el monitoreo de todas las Emergencias de Salud Pública de Importancia Internacional (ESPII) en cumplimiento del Reglamento Sanitario Internacional (RSI) y, con el objetivo de fortalecer la vigilancia epidemiológica en nuestro país, realizó informes especiales para la Dirección General de Epidemiología de la información publicada por el Sitio de Información de Eventos de la OMS.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 4
    • En julio de 2017, México participó en la Consulta Formal Regional sobre el Reglamento Sanitario Internacional en la reunión de Sao Paulo, Brasil
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 3
    • Entre el 1 de septiembre de 2016 y el 30 de junio de 2017, la Secretaría de Salud en el marco de los programas: “Programa de Acción Específico Prevención de Enfermedades Diarreicas y Cólera” y “Atención de Urgencias Epidemiológicas y Desastre” realizó la capacitación y actualización del personal involucrado en la preparación y respuesta ante emergencias y riesgos sanitarios en una serie de cuatro cursos, así como la continuidad del Programas de Acción Específico Prevención de Enfermedades Diarreicas y Cólera.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 3
    • El área de Epidemiología del Hospital Regional de Alta Especialidad de Ciudad Victoria (HRAEV), en colaboración con la Secretaría de Salud estatal, mantiene actualizado el protocolo de manejo de enfermedades transmisibles y emergentes en la región a través de la otorgación de servicios de alta especialidad, como ocurre en la atención de complicaciones por dengue o influenza.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 3
    • El Hospital Regional de Alta Especialidad Ciudad Salud (HRAECS) continúa de forma permanente en vigilancia de enfermedades emergentes y participa activamente en el avance del conocimiento sobre estas enfermedades en colaboración con la Comisión Coordinadora de Institutos Nacionales de Salud y Hospitales de Alta Especialidad (CCINSHAE), el Instituto Nacional de Ciencias Médicas y Nutrición Salvador Zubirán (INCMNSZ) e instituciones internacionales.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 3
    • Como parte de la atención y control de la influenza, se garantizó la disponibilidad en las unidades médicas de tratamientos con el antiviral oseltamivir a través de las reservas estratégicas estatales y la reserva federal. Se realizó la dotación a las 32 entidades federativas e instancias de salud federales.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 3
    • Durante el mes de octubre de 2016 se realizó en Querétaro, Querétaro, la Reunión Nacional de Temporada de Frío, Prevención y Control de Infecciones Respiratorias Agudas (IRA), Influenza y otros Daños a la Salud 2016-2017 con el objetivo de actualizar, estandarizar y difundir los criterios de vigilancia, prevención y atención de daños a la salud durante esa temporada. Al encuentro asistieron 121 representantes de los tres niveles de gobierno de distintas instituciones y áreas del Sector Salud.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 3
    • En abril de 2017, México participó en la Reunión del Grupo de Trabajo Global de Manejo de Riesgos y Comunicación, de la Iniciativa Global de Seguridad en Salud, celebrada en el Instituto Roberto Koch en Berlín, Alemania, para hacer frente a amenazas de terrorismo internacional.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 3
    • Durante febrero de 2017 se celebró la reunión binacional México y Estados Unidos para la vigilancia, prevención y control de la enfermedad por virus del Zika.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 3
    • En marzo de 2017, el Instituto de Diagnóstico y Referencia Epidemiológica (InDRE) recibió la invitación por parte de la Organización Mundial de la Salud (OMS) para incorporarse como Centro Colaborador en el diagnóstico de malaria.
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 3
    • En octubre de 2016, la Secretaría de Salud en coordinación con la Organización Panamericana de la Salud (OPS) realizaron el Curso de Certificación de Microscopistas para la región de las Américas, en el cual personal de los Laboratorios Estatales de Salud Pública de Quintana Roo, San Luis Potosí y Yucatán obtuvieron la certificación como microscopistas
    • Date:  2018-04-06    Paragraphes: 3
    • Entre el 1 de septiembre de 2016 y el 30 de junio de 2017, la Secretaría de Salud a través de los Comités Estatales y Jurisdiccionales para la Seguridad en Salud y Comandos Operativos organizó y coordinó la preparación, atención y respuesta ante emergencias en salud y riesgos sanitarios de 71 desastres y 2,012 brotes.
    • Date:  2018-04-05    Paragraphes: -
    • La Secretaría de Salud en alianza con Nestlé México implementaron el “Programa de Hidratación Familiar”. El objetivo del programa es fomentar una cultura de hidratación saludable entre la población y el consumo de agua simple potable como principal fuente de hidratación. Como parte del programa se llevaron a cabo los “Días de Hidratación”, a los que asistieron 60 mil personas, aproximadamente, que participaron en actividades físicas y de destreza.

    Complementario al programa se realizaron las “Brigadas de Hidratación” las cuales realizaron visitas a instituciones educativas y a eventos abiertos al público en diversos puntos de la república.
    • Date:  2018-03-31    Paragraphes: -
    • En noviembre del 2016 la Secretaría de Salud anunció las declaratorias de emergencias epidemiológicas EE-3-2016 Sobrepeso y Obesidad y EE-4-2016 Diabetes Mellitus con el fin de realizar acciones para contrarrestar estos problemas de salud y sus complicaciones.
    • Date:  2014-06-17    Paragraphes: 15, 17
    • Promoción de la salud
    •A partir de enero de 2013, la Secretaría de Salud cuenta con la actualización de las Cartillas Nacionales de Salud que son utilizadas por todas las instituciones del sector salud. Se busca incrementar el número de mexicanos que cuenten con cartilla y así asegurar que toda persona que acuda a los servicios de salud la presente para que se registren las atenciones recibidas.
    •En mayo de 2012 se firmaron las Bases de Coordinación Salud-Secretaría de Educación Pública para el establecimiento, desarrollo y ejecución del Programa Escuela y Salud, a través del cual se lograron certificar 6,378 escuelas como promotoras de la salud.
    •De enero a diciembre de 2012, con el propósito de impulsar la atención de los pueblos indígenas, se implementó el proyecto intersectorial Acciones Integrales para el Cuidado de la Salud en el Municipio de Chilón, Chiapas, el cual generó un modelo de atención intersectorial para la población indígena, de carácter participativo, el cual responde a las necesidades de la población local, con enfoque en determinantes sociales, pertinencia cultural y lingüística.
    Acceso a los servicios de salud
    •A través del Programa Salud a tu Alcance se continuará impulsando la planeación sectorial de recursos para la salud, el intercambio planificado de servicios de salud, la consolidación de una política nacional de medicamentos y el fortalecimiento de las Unidades Mecánicas Móviles.
    •El Programa de Calidad Efectiva de los Servicios de Salud (PROCESS), que hasta ahora opera como Sistema Integral de Calidad en Salud, establecerá un sistema de gestión de la calidad centrado en el paciente, con un esquema de garantía, enfocado en la obtención de resultados en salud.
    •Mediante la Estrategia de Convergencia e Integración Tecnológica (CITEC) se impulsarán los proyectos de la agenda digital en salud como el Expediente Clínico Electrónico (ECE), la conformación del Padrón General de Salud (PGS) y los Sistemas de Información en Salud, la Telesalud y la Telemedicina. Además, seguirá impulsándose el desarrollo y actualización de las Guías de Práctica Clínica, así como la Evaluación de Tecnologías en Salud.
    •Durante 2013 se fortaleció el programa de Unidades Médicas Móviles, que ahora son Caravanas de Salud, mediante la puesta en operación de 133 unidades nuevas, mismas que se alinearon a la cobertura de la Cruzada Nacional Contra el hambre. En este sentido, se definió el establecimiento de 128 nuevas rutas y cinco unidades para la sustitución de aquéllas que han cumplido su vida útil. Con estas acciones de ampliará dicho programa en 59 municipios e incrementará la cobertura en 1,200 localidades sin servicios, con lo que se beneficiará a 150,000 personas aproximadamente, a fin de reducir las desigualdades en la prestación de los servicios de salud en comunidades marginadas y grupos vulnerables que habitan en localidades alejadas.

    •La Secretaría de Salud, a través del Programa Vete Sano, Regresa Sano, de septiembre de 2012 a agosto de 2013 se otorgaron 627, 550 consultas médicas a los migrantes y 463,808 atenciones integradas de línea de vida; se impartieron alrededor de 21,000 talleres para atender el cuidado personal de la salud y se logró la certificación de 46 albergues para jornaleros agrícolas migrantes como entornos favorables a la salud.
    •El Programa de Salud del Migrante tiene como objetivo preservar y mejorar la calidad de atención de la salud la población que está fuera del país. Dentro de dicho programa se engloban los siguientes subprogramas o actividades:

    Ventanillas de Salud (VDS) las cuales se ubican en los 50 consulados de México en Estados Unidos, además se cuenta con dos VDS móviles, mediante las cuales se proporciona información para incrementar el conocimiento y el uso de los servicios de salud entre la población mexicana que vive en dicho país, y para difundir programas de prevención y promoción de la salud en temas prioritarios que afectan mayormente a la población latina. De diciembre de 2012 a junio de 2013 se atendieron y beneficiaron aproximadamente a 600,000 migrantes; la Semana Binacional de Salud en Oaxaca que, en su XII edición se llevó a cabo en octubre de 2012, logró trasmitir información sobre salud a aproximadamente 400,000 personas, casi 300,000 de origen mexicano y el resto de otros países de Latinoamérica; la Comisión de Salud Fronteriza México-Estados Unidos tiene como objetivo proporcionar servicios de prevención y promoción de la salud en temas prioritarios para la población fronteriza. Con las actividades de prevención y promoción que realiza en colaboración con diferentes alianzas, se logró atender aproximadamente a 80,000 personas y se ofrecieron alrededor de 200,000 servicios de prevención; por medio del Programa Repatriación de Connacionales Enfermos Graves, se atendió de septiembre de 2012 a junio de 2013, 21 solicitudes de apoyo de asistencia médica relacionados con problemas renales, cerebrales, cáncer, salud mental y otros. Dichas gestiones se han realizado en el Hospital General de México, el Instituto Nacional de Cancerología y los servicios de salud de distintos estados de la República, entre otros.

    •La Secretaría de Salud implementa el Programa de Acción Específico de Atención al Envejecimiento el cual ha establecido y unificado estrategias y lineamientos en materia de vigilancia, prevención, promoción, atención y limitación del daño en la población adulta mayor para lograr un envejecimiento activo y saludable a través de la integración de prácticas exitosas e innovadoras, basadas en evidencias científicas para atenuar la carga de enfermedad.
    •En la actualidad se está trabajando en la integración de un diagnostico situacional de los adultos mayores por entidad federativa.
    •Durante 2013 se han realizado 525,864 detecciones de alteración de memoria, con un avance de 10.6%, y 712,168 detecciones de depresión, con un avance de 14.2%. En este mismo año se inició la detección temprana de síndromes geriátricos.
    •A través del Programa de Acción de salud sexual y reproductiva de adolescentes, la Secretaría de Salud fortaleció el proceso de formación de Capacitadores Estatales en Salud Sexual y Reproductiva del Adolescente mediante la capacitación del personal gerencial y operativo del programa y de los servicios amigables, a través del Taller Regional de Capacitación para la Conformación de Redes Sociales Juveniles en Salud Sexual y Reproductiva para Adolescentes.
    •Actualmente en el país operan 1,055 servicios amigables, que brindan atención al adolescente bajo un clima de confianza, comodidad, con privacidad y confidencialidad, trato digno y respetuoso a sus derechos sexuales y reproductivos.
    •Asimismo se fortaleció la coordinación con la Secretaría de Educación Pública, para capacitar en salud sexual y reproductiva del adolescente a docentes de las 32 entidades federativas, con el propósito de contribuir a la prevención del embarazo no planeado, así como en la prevención de las infecciones de trasmisión sexual, incluyendo el VIH/SIDA.
    •En mayo de 2013 se realizó el Taller de Capacitación-Sensibilización en Salud Sexual y Reproductiva en Comunidades Indígenas dirigido a prestadores de servicios de salud. Asimismo, en julio de 2013 se llevó a cabo la Reunión de Actualización-Sensibilización con Enfoque de Interculturalidad en Aspectos Básicos de Salud Sexual y Reproductiva con énfasis en adolescentes.
    •Dentro de las acciones que se han instrumentado en el marco de la Cruzada Nacional Contra el Hambre (CNCH), la Comisión Nacional de Protección Social en Salud destaca la participación de 5,868 unidades médicas, en las que se ofrecen servicios integrales de salud a 25.3 millones de personas afiliadas en los 400 municipios de la CNCH.
    •Asimismo, la Dirección General de Planeación y Desarrollo en Salud (DGPLADES) contribuye en la mejora de las condiciones de infraestructura de las unidades médicas. Se tienen identificadas 1,215 acciones de infraestructura para estos municipios, de las cuales 711 se encuentran en planeación y 504 en proceso de obra.
    •Por otra parte, gracias al Programa de Atención a la Salud de la Infancia disminuyeron las tasas de mortalidad por enfermedades diarreicas e infecciones respiratorias.
    • Date:  2014-05-30    Paragraphes: 30, 32, 33, 15, 17
    • El 21 de enero de 2013, el Gobierno de la República puso en marcha la Cruzada Nacional contra el Hambre (CNCH), Estrategia de Inclusión y Bienestar Social, que busca garantizar la seguridad alimentaria, enfocada en la nutrición de los 7.01 millones de mexicanos y mexicanas que hoy viven en condición de pobreza extrema, al mismo tiempo que permitirá contribuir al ejercicio pleno de su derecho a la alimentación.
    • El programa incluye la acción coordinada y concurrente de las diversas dependencias gubernamentales. Para esto se creó el Sistema Nacional de la Cruzada contra el Hambre, que permite alinear los recursos presupuestales de más de 70 programas de la Administración Pública Federal.
    • Los objetivos de la CNCH son: Garantizar Cero Hambre a partir de una alimentación y nutrición adecuadas de los mexicanos en pobreza y con carencia alimentaria severa. De tal forma que se vaya eliminando la desnutrición infantil aguda y se mejoren los indicadores de crecimiento de niños y niñas en la primera infancia.
    • Asimismo encamina a la promoción de la participación comunitaria contra el hambre.
    • La Cruzada ha favorecido a 294 mil familias que ya cuentan con la tarjeta del Programa de Apoyo Alimentario Sin Hambre, además se han instalado 2 mil 845 comedores comunitarios y se han incorporado 396 mil nuevas familias al Programa de Desarrollo Humanitario Oportunidades.

    • Con la finalidad de disminuir la probabilidad de que se presenten problemas de salud pública como el uso, abuso y dependencia a sustancias adictivas, el Sistema Nacional para el Desarrollo Integral de la Familia (SNDIF), en congruencia con los objetivos planteados por la Conferencia Mundial sobre los Determinantes Sociales de la Salud, realizada en 2011, desarrolló estrategias preventivas a través de varios talleres:
    • Detección, orientación y consejería en adicciones, dirigido a trabajadores sociales, personal médico y de áreas humanistas, vinculados con ámbitos comunitarios. El objetivo fue capacitar a los promotores a través de sesiones individuales para detectar y aconsejar a usuarios que presentaron problemas de uso, abuso y dependencia de las drogas y referirlos a centros de tratamiento especializado.
    • Estrategia de intervención para disminuir el impacto de factores de riesgo psicosociales en niñas y niños, capacitó en 2013 a promotores para que, a través de la incorporación de actividades lúdicas y recreativas en el programa educativo de las instancias escolares, favorecieran el desarrollo de habilidades para la vida. El taller estuvo dirigido a Directoras, Responsables, Educadoras y Supervisoras de estancias infantiles, guarderías y preescolares, que laboran directamente con los niñas/niños de 0 a 5 años 11 meses de edad.
    • Habilidades para la vida en niños, niñas y jóvenes, dotó con conocimientos y habilidades internas de pensamiento, sociales y de manejo de emociones, para que los niños, niñas y jóvenes mexicanos puedan prevenir conductas negativas o de alto riesgo.
    • Mitos y realidades de las drogas, de joven a joven, brindó información real de las consecuencias del uso, abuso y consumo de las drogas a jóvenes, a través de pláticas con duración de 20 minutos.
    • La familia, la mejor fortaleza contra las adicciones, orientó a los padres y madres de familia sobre el uso de herramientas útiles para prevenir el consumo de sustancias adictivas en sus hijos.
    • En 2013, el SNDIF coordinó a nivel nacional la Estrategia Integral de Asistencia Social Alimentaria (EIASA), la cual fomentó la integración de una alimentación correcta en individuos, familias y comunidades en condiciones de riesgo y vulnerabilidad, a través de la entrega de apoyos alimentarios para el hogar y la familia.
    • El Programa se dirigió a personas que habitan en zonas indígenas, rurales y urbanas marginadas; se focalizan en niñas, niños y adolescentes que asisten a planteles del sistema educativo nacional, y niños y niñas entre seis meses y cuatro años, no escolarizados, que se encuentren en condiciones de riesgo y vulnerabilidad.
    • La EIASA apoyó a 6’268,138 niñas y niños de centros del sistema educativo nacional, con 1,054 millones de desayunos escolares.
    • También en 2013, la EIASA benefició a 472,205 niñas y niños menores de 5 años no escolarizados con 75.4 millones de raciones alimentarias.
    • Con el programa Asistencia Alimentaria a Sujetos Vulnerables, en 2013 la EIASA otorgó 8.6 millones de apoyos alimentarios a 976,485 sujetos vulnerables, entre ellos mujeres embarazadas o en periodo de lactancia, personas con discapacidad y adultos mayores.
    • Ese mismo año fueron beneficiadas 713,921 familias en desamparo con 4.4 millones apoyos alimentarios, a través del programa Asistencia Alimentaria a Familias en Desamparo.
    Para fortalecer la operación de la EIASA se realizaron acciones de fortalecimiento, entre las que destacan:
    • Visitas de supervisión y seguimiento a los SNDIF y DIF Distrito Federal, para brindar asesoría y capacitación en temas como: aplicación de los Criterios de Calidad Nutricia, acciones de orientación alimentaria y aseguramiento de la calidad, focalización y selección de beneficiarios con base en el grado de inseguridad alimentaria de los hogares, así como acciones adicionales para fortalecer a los programas alimentarios y temas relacionados con la Cruzada Nacional contra el Hambre.
    • Se actualizó el “Manual para el diseño e implementación de acciones de orientación alimentaria en los programas alimentarios del DIF” en apoyo a la planeación e implementación de las acciones de orientación alimentaria dirigidas a los beneficiarios de los programas que operan.
    • De igual forma se actualizó la Guía de Aseguramiento de Calidad Alimentaria, con el fin de fortalecer las acciones que conforman los apoyos alimentarios, lo que contribuye a la prevención de enfermedades transmitidas por alimentos.
    • Se dio continuidad al proceso de la actualización de la Norma Oficial Mexicana NOM-014-SSA3-2013, para la Asistencia Social Alimentaria a Grupos de Riesgo, en su etapa de proyecto, con la revisión, validación de documentos y discusión sobre posibles estrategias de difusión y supervisión de la misma.
    • Con el propósito de profesionalizar a los preparadores de alimentos que laboran en el ámbito de la asistencia social, se aplicó el Estándar de Competencia EC0334 “Preparación de alimentos para la población sujeta de asistencia social”, a los representantes enviados por la mayoría de los Sistemas Estatales DIF (SEDIF) y DIF Distrito Federal.
    • En el contexto de la CNCH del gobierno federal, el Sistema Nacional DIF asesoró y entregó apoyos económicos a los SEDIF para la infraestructura, rehabilitación y equipamiento de espacios alimentarios (cocinas, desayunadores o comedores –escolares y/o comunitarios–) con el objetivo de mejorar y dignificar las condiciones para la preparación y el consumo de alimentos.

    • El CONADIS y la Secretaría de Salud revisaron los lineamientos sobre Clasificación Internacional del Funcionamiento de la Discapacidad y de la Salud (CIF), la Norma Oficial Mexicana para emitir el certificado de discapacidad y la elaboración de la Clasificación Nacional de Discapacidad.
    • Igualmente se elaboró el proyecto del Programa Nacional de Salud, Previsión, Rehabilitación y Habilitación de las Personas con Discapacidad.

    • En apoyo a la reducción de demandas de drogas ilícitas, la Secretaría de Educación Pública (SEP) imparte capacitaciones a personal de las escuelas de educación básica, en colaboración con instituciones para la prevención de consumo de drogas. Como refuerzo a esto, se desarrollan talleres preventivos de riesgo psicosocial a alumnos de secundaria, en colaboración con Asociaciones Civiles.

    • La SEP, delegación Distrito Federal, llevó a cabo el programa “Iniciación y Desarrollo de Deporte Escolar”, en el que participaron 217 escuelas de educación primaria y secundaria. El objetivo es fomentar en los alumnos el hábito de la actividad física y el deporte en medio de una sana convivencia, desarrollando valores como trabajo en equipo, inclusión y solidaridad, alejando a niños y jóvenes de las calles y los riesgos que éstas implican.
    • De igual forma la SEP opera el Programa “Vida Saludable” en las escuelas de educación básica. Asimismo, regula la distribución de alimentos y bebidas en los establecimientos de consumo escolar de los planteles de educación básica con base en el Acuerdo Nacional para la Salud Alimentaria, Estrategia contra el sobrepeso y la obesidad.
    • Con el fin de apoyar las iniciativas federales orientadas a combatir la desigualdad y situaciones de riesgo en la población estudiantil vulnerable, la SEP implementa el Programa de “Escuelas de Tiempo Completo” que, con el otorgamiento de menús saludables, crea hábitos alimenticios saludables en los escolares.
    • Date:  2012-12-31    Paragraphes: 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 35
    Acceso a la protección en salud

    • En abril de 2012, se llevó a cabo en la ciudad de México, el Foro Internacional Sustentabilidad de la Cobertura Universal en Salud y fue el marco para presentar la Declaración de la Ciudad de México, documento que fue apoyado por 21 países en el que México se ubica como líder de un movimiento internacional a favor de la cobertura universal en salud y en la promoción del derecho a la salud como un derecho humano.
    • Otro grupo que se ha beneficiado es el de los migrantes, a quienes se les brinda apoyo y orientación a través del Programa Ventanillas de Salud, que opera en la red de 51 consulados de México en Estados Unidos. El programa de ventanillas ha beneficiado a más de 4.7 millones de personas. A partir de junio de 2012 se implementó el modelo Segunda Generación de Ventanillas de Salud.
    • Mediante el Programa de Repatriación de Connacionales Enfermos Graves, se atendieron 57 solicitudes de apoyo de asistencia médica relacionadas con problemas renales, cerebrales, cáncer, entre otros.

    Acceso a los servicios en salud

    • El programa Caravana de Salud proporciona atención médica y preventiva a más de 3.7 millones de personas que viven en localidades de difícil acceso y bajo índice de desarrollo. La cobertura de dicho programa fue de poco más de 21 mil localidades ubicadas en mil siete municipios del país con 3.8 millones de personas beneficiadas. A mayo de 2012 se han incorporado mil 448 unidades médicas móviles, con las cuales se otorgaron 6 millones 894 mil 423 atenciones tan sólo en el primer trimestre de 2012, lo que representa 16.3 por ciento más que en el mismo periodo en 2011.

    Mortalidad materna

    • La Estrategia Embarazo Saludable afilia al Seguro Popular a todas las mujeres embarazadas para otorgarles atención gratuita antes, durante y después del parto. Desde su creación, en 2008 y hasta el 2012, se han incorporado un millón 803 mil mujeres en etapa de gestación.
    • Con la aplicación del programa Universalización en la Atención de la Emergencia Obstétrica, en el período 2010-2012 se registró la atención de 964 casos, de los cuales 566 fueron maternos y 398 neonatales, lo cual contribuyó a que las mujeres con alguna complicación durante el embarazo, parto o puerperio puedan ser atendidas en forma gratuita en las unidades hospitalarias del Instituto Mexicano del Seguro Social (IMSS), Instituto de Seguridad y Servicios Sociales de los Trabajadores del Estado (ISSSTE) o Secretaría de Salud, sean o no beneficiarias o aseguradas.

    Mortalidad infantil

    • La reducción de la mortalidad infantil en México muestra una tendencia descendente que permitió registrar una tasa de 14.2 defunciones en 2011. Para 2012 las defunciones por mil nacidos vivos se estimaron en 13.2, de mantenerse esta tendencia se cumplirá con la meta comprometida de 13.05 defunciones para 2015. Asimismo, la tasa de mortalidad en niños menores de 5 años se encuentra a 0.2 puntos para alcanzar la meta prevista dentro de los Objetivos de Desarrollo del Milenio, al pasar de 18.5 defunciones por mil Nacidos Vivos Estimados a 15.7 entre 2007 y 2012.
    • El Programa de Seguro Médico para una Nueva Generación protege a las niñas y niños que nacieron a partir del 1° de diciembre de 2006, hijos de padres sin seguridad social y que voluntariamente solicitaran su afiliación al Seguro Popular. En 2012, poco más de 6.3 millones de niñas y niños cuentan con la protección financiera de este seguro

    Enfermedades no transmisibles

    • En abril de 2012 se coordinó la participación de México en el Foro Económico Mundial, con el tema Impacto de las Enfermedades Crónicas no Transmisibles en el Desarrollo y Crecimiento Económico, evento que tuvo lugar en Puerto Vallarta.
    • En el tema de obesidad/sobrepeso y en coordinación con la Secretaría de Educación Pública (SEP), se ha trabajado para impulsar la mejora del contenido nutricional de los desayunos en la escuela y en la aplicación del reglamento para los alimentos y bebidas que se venden en dichos establecimientos. Se creó el Código de Autorregulación para promocionar los alimentos y bebidas para niños y opera el Consejo Nacional de Enfermedades Crónicas (CONACRO). Se construyeron 32 Comités Técnicos Estatales de Comunidades Saludables. En el periodo del 1° de septiembre de 2011 a mayo de 2012, se incorporaron 22 mil 149 escuelas; se realizaron 33 mil 535 talleres de promoción de la salud dirigidos a docentes y 582 mil 571 a escolares; se realizaron seis millones 357 mil ocho acciones preventivas; dos millones 988 mil 63 alumnos recibieron acciones preventivas (vacunación y detecciones) y 988 mil 202 se detectaron con problemas y se refirieron a las unidades de salud. En la unidad de salud se atendieron 840 mil 905 alumnos; 13 mil 952 escuelas se encuentran en proceso de certificación e izamiento de bandera blanca y nueve mil 250 escuelas están certificadas como promotoras de salud.
    • En 2012 se elaboró la Guía de Aseguramiento de Calidad Alimentaria, cuyo objetivo es que los insumos que conforman los apoyos alimentarios de la Estrategia Integral de Asistencia Social Alimentaria (EIASA) sean nutritivos, de calidad e inocuos, así como contribuir a la prevención de las enfermedades transmitidas por alimentos en la población beneficiaria.
    • En materia de sobrepeso, obesidad, diabetes melitus e hipertensión arterial, se ha puesto énfasis en la práctica del ejercicio físico y la mejora de la nutrición en todos los grupos de edad. Se ha creado una red de ocho mil 115 Grupos de Ayuda Mutua de Enfermedades Crónicas (GAM-EC) que atienden a 196 mil 794 pacientes; en 36 de estos GAM-EC está documentado el control de la diabetes, hipertensión o síndrome metabólico sin uso de medicamentos, pero con modificaciones en los estilos de vida.
    • El Sistema Nacional DIF (SNDIF) coordina la operación de los programas Desayunos Escolares, Atención a menores de 5 años en riesgo, no escolarizados; Asistencia alimentaria a Sujetos Vulnerables, y Asistencia alimentaria a Familias en Desamparo de la EIASA, los cuales tienen el objeto de promover una alimentación correcta mediante la entrega de apoyos alimentarios conformados bajo criterios de calidad nutricia, acompañados de acciones de orientación alimentaria y desarrollo comunitario.
    • En el marco de la segunda fase del estudio para la incorporación del concepto de Seguridad Alimentaria a la EIASA, se realizó la Encuesta Estandarizada para medir el grado de seguridad/inseguridad alimentaria, cuyo objetivo es aplicar sus resultados a los hogares a nivel nacional y diseñar un módulo específico del Programa de Desayunos Escolares, para su aplicación en escuelas.
    • Se desarrolló el estándar de competencia laboral denominado “Preparación de alimentos para la población sujeta a asistencia social”, que pretende profesionalizar a los preparadores de alimentos que laboran en el ámbito de la asistencia social, y con ello otorgar una mejor calidad en el servicio y en los alimentos que se ofrecen.
    • Se realizaron acciones de vinculación con otros organismos internacionales, como el Programa Mundial de Alimentos (PMA) para la elaboración de un estudio del caso de la situación actual del programa de Desayunos Escolares.
    • Se actualizó el “Manual para el diseño e implementación de acciones de Orientación Alimentaria en los Programas Alimentarios del Sistema Nacional para el Desarrollo Integral de la Familia (DIF)” con el objetivo de apoyar al Sistema Estatal DIF (SEDIF) y DIF Distrito Federal en la planeación e implementación de las acciones de Orientación Alimentaria (OA), de manera que estas sean más efectivas y logren un mayor impacto.

    VIH/SIDA

    • En materia de VIH/SIDA se ha continuado avanzando en garantizar la cobertura universal en medicamento de alta calidad. Están en tratamiento más de 42,000 personas en el país, se están financiando los estudios de laboratorio (CD4) y replicación viral. En este marco, se atendió a 45 mil 256 personas en junio de 2012; mientras que en el periodo comprendido del 1° de septiembre de 2011 al 1° de junio de 2012, el número de personas con VIH que recibieron tratamiento con recursos federales alcanzó los cinco mil 555.
    • Desde el inicio de la epidemia en nuestro país hasta el 31 de marzo del 2012, en el Registro Nacional de Casos de SIDA se ha contabilizado 155 mil 625 casos acumulados de los cuales 82 por ciento son hombres y 18 por ciento mujeres, encontrándose que el proceso de feminización en los casos de SIDA se ha detenido.
    • Con el apoyo del Seguro Popular se continuó aplicando el Programa de Transmisión Vertical del VIH y Sífilis en pruebas de detección en mujeres embarazadas.

    Adicciones

    • Entre septiembre de 2011 y agosto de 2012, se establecieron seis nuevas Comisiones Estatales contra las Adicciones, promovidas por los Consejos Estatales contra las Adicciones (CECA).
    • A través de la CECA se coordinó la prevención de las adiciones dirigida a los adolescentes de 12 a 17 años, en particular a través de los Centros de Atención Primaria a las Adicciones “Centro Nueva Vida”, logrando a agosto de 2012 una cobertura de 10 millones de jóvenes, es decir, 83.1 por ciento de la población del país en el grupo de edad referido.
    • En materia del combate a las adicciones, se cuenta con 323 unidades de especialidades médicas Nueva Vida en beneficio de más de 24 millones de habitantes de las 32 entidades federativas. Se aplican las pruebas de tamizaje escolar y tratamientos breves, pláticas y talleres de orientación y sensibilización.

    PARA MAYOR INFORMACIÓN PUEDE CONSULTAR LOS ENLACES LOCALIZADOS EN EL BLOQUE “RECURSOS RELACIONADOS”, AL FINAL DE ESTA PÁGINA.

    ESTRATEGIA INTEGRAL DE ASISTENCIA SOCIAL ALIMENTARIA (EIASA)
    http://www.nl.gob.mx/pics/pages/sdsocial_gtpobreza_base/difnacional.pdf
    • Date:  2011-12-31    Paragraphes: 26, 28, 29, 30, 31, 35
    Acceso a la protección en salud

    • En 2011, el Seguro Popular afilió a 50 millones de personas no derechohabientes de la seguridad social. Cerca de 5 millones de niños menores de 5 años sin seguridad social en salud están protegidos con el Seguro Médico para una Nueva Generación y casi 1.7 millones de mujeres embarazadas y sus familias han sido beneficiadas con el programa Embarazo Saludable. En 2012, 53 millones de personas cuentan con los beneficios del Seguro Popular, con lo cual se ha alcanzado la cobertura universal voluntaria.

    • En octubre de 2011 se llevó a cabo la XII Semana Binacional de Salud a través de la cual se logró beneficiar a más de 400 mil migrantes de origen mexicano y se realizaron más de 6 mil actividades de prevención y promoción de la salud del migrante. Asimismo, en ese mismo periodo se realizó el Foro Binacional de Políticas Públicas sobre Migración y Salud.

    Enfermedades no Transmisibles

    • En septiembre de 2011, México participó en la Reunión de Alto Nivel sobre Enfermedades No Transmisibles, en Nueva York, donde se adoptó una declaración que compromete a los estados miembros de la Organización de las Naciones Unidas a integrar políticas multisectoriales en las agendas de salud.

    VIH/SIDA

    • Del 1° de septiembre de 2010 al 31 de agosto de 2011, se inició tratamiento antirretroviral a 6 mil 63 personas, con lo cual el número acumulado de personas sin seguridad social que recibe tratamiento asciende a 44 mil 381.

    • En diciembre de 2011 se sumaron 12 laboratorios a la red de prestadores de servicios para la realización de pruebas de carga viral, linfocitos CD4 y genotipo, con lo cual se amplió la capacidad de respuesta en las 32 entidades federativas.


    Adicciones

    • El 11 de enero de 2011, el Consejo Nacional contra las Adicciones fue reorganizado en la Comisión Nacional contra las Adicciones (CONADIC), a fin de fortalecer la política en reducción de la demanda de drogas en México y atender de manera integral y humana el problema del consumo de sustancias adictivas. Asimismo, se creó el Centro Nacional para la Prevención y el Control de las Adicciones (CENACID) y se dotó de mayores recursos a las entidades federativas para enfrentar este problema.


    Medicamentos

    • Por tercer año consecutivo, se destaca la negociación de precios de medicamentos con patente vigente a cargo de la Comisión Coordinadora para la Negociación de Precios de Medicamentos y Otros Insumos para la Salud. De mayo a diciembre de 2011 la Comisión negoció con 19 laboratorios de la industria farmacéutica 127 claves de medicamentos con patente vigente considerados para su adquisición durante este mismo año, como resultado de ello se obtuvieron descuentos de entre 0.13 y 32% en sus precios, lo que representa ahorros directos estimados por 642.5 millones de pesos.

    PARA MAYOR INFORMACIÓN PUEDE CONSULTAR LOS ENLACES LOCALIZADOS EN EL BLOQUE “RECURSOS RELACIONADOS”, AL FINAL DE ESTA PÁGINA.

    SECRETARÍA DE SALUD
    http://portal.salud.gob.mx/
    • Date:  2011-05-19    Paragraphes: 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2010-12-02    Paragraphes: 26
    • La Comisión Coordinadora para la Negociación de Precios de Medicamentos y otros Insumos para la Salud, llevó a cabo las negociaciones de precios de medicamentos con patente vigente contenidos en el Cuadro Básico para el primer nivel de atención médica y en el Catálogo de Insumos para el segundo y tercer nivel, a fin de cubrir las necesidades de las instituciones de salud en 2009.

    • En los primeros tres años de la actual administración se han afiliado 4.5 millones de familias al Seguro Popular de Salud (SPS). Para 2010 la meta es lograr que 12.6 millones de familias cuenten con la cobertura del Seguro.

    Fuente: INFORME NACIONAL DEL GOBIERNO DE MÉXICO EN SEGUIMIENTO DE LOS MANDATOS ADOPTADOS DURANTE LA V CUMBRE DE LAS AMÉRICAS (México 2010)
    • Date:  2010-12-02    Paragraphes: 27
    • A través del Seguro Popular para la Estrategia Embarazo Saludable, se ha logrado que las mujeres embarazadas, con escasos
    recursos económicos y sin posibilidad de acceder a servicios médicos, puedan hacer uso de estos para su atención.

    Fuente: INFORME NACIONAL DEL GOBIERNO DE MÉXICO EN SEGUIMIENTO DE LOS MANDATOS ADOPTADOS DURANTE LA V CUMBRE DE LAS AMÉRICAS (México 2010)
    • Date:  2010-12-01    Paragraphes: 28
    • Conforme a la Ley General para el Control del Tabaco, se incorporaron ocho procedimientos administrativos que sancionan el patrocinio de eventos utilizados como medio para posicionar los elementos de la marca de producto del tabaco, así como el difundir publicidad de productos del tabaco en revistas que no son exclusivas para adultos.
    • Como parte de las acciones de mejora regulatoria, se publicó el Reglamento de la Ley General para el Control del Tabaco, mediante el cual se regulan las características del empaquetado y etiquetado externo de las cajetillas, puntos de venta de productos de tabaco, y se estipula la definición de espacios libres para fumar y zonas para fumar.

    Fuente: INFORME NACIONAL DEL GOBIERNO DE MÉXICO EN SEGUIMIENTO DE LOS MANDATOS ADOPTADOS DURANTE LA V CUMBRE DE LAS AMÉRICAS (México 2010)
    • Date:  2010-12-01    Paragraphes: 29
    • Se puso en operación el Programa “5 Pasos por tu Salud para Vivir Mejor”, a fin de revertir el incremento de las
    enfermedades crónico-degenerativas (obesidad, hipertensión arterial, neoplasias, diabetes mellitus y dislipidemias, esto es,
    colesterol y triglicéridos altos) y encaminar a la población del país a adquirir estilos de vida saludable:
    o Muévete: incentiva la realización de 30 minutos diarios de actividad física.
    o Toma agua: promueve el consumo de agua como medio de hidratación óptimo (seis a ocho vasos al día de 250
    mililitros).
    o Come verduras y frutas: promueve entre la población los beneficios de una alimentación saludable y cómo llevarla
    a la práctica (tres verduras y dos frutas diarias).
    o Mídete: monitorear el estado de salud y medir los estilos de vida para decidir cómo actuar.
    o Comparte, familia y amigos: promover un programa integral y multiplicador, mediante la inclusión de la familia y los amigos.

    Fuente: INFORME NACIONAL DEL GOBIERNO DE MÉXICO EN SEGUIMIENTO DE LOS MANDATOS ADOPTADOS DURANTE LA V CUMBRE DE LAS AMÉRICAS (México 2010)
    • Date:  2010-12-01    Paragraphes: 31
    • A fin de reducir la incidencia de enfermedades prevenibles por vacunación, a través del Programa Permanente de Vacunación y de las Semanas Nacionales de Salud, se ha logrado una cobertura de vacunación con esquema básico completo en niños de un año de edad de 93.4% y en niños de uno a cuatro años de edad de 96.4%.
    • Entraron en operación 22 unidades hospitalarias de la Secretaría de Salud, en beneficio de los habitantes de los estados de Chihuahua, Coahuila, Durango, Guanajuato, Hidalgo, Jalisco, México, Michoacán, Oaxaca, Puebla, Tlaxcala y Veracruz. El
    59.3% del total de la inversión correspondió a la aportación federal y el resto a los recursos estatales.
    • Se terminaron un total de 42 unidades médicas nuevas del IMSS: 27 de consulta externa ubicadas en 18 entidades y 12
    Unidades Médicas de Atención Ambulatoria en Baja California Sur, Estado de México, Guanajuato, Jalisco, Tamaulipas,
    Veracruz, Durango, Campeche y Coahuila. Tres hospitales en Jalisco, Chihuahua y Puebla.
    • La Secretaría de Salud adquirió 557 unidades médicas móviles equipadas a fin de ampliar la cobertura de servicios de salud en las localidades de difícil acceso y de alta y muy alta marginación de todo el país.

    • En cuanto al avance y cumplimiento del Programa Hospital Seguro se cuenta con 30 comités estatales de evaluación del
    programa, 474 evaluadores registrados y 136 hospitales de alta resolución médica ubicados en zonas de alto riesgo, de los
    cuales 111 pertenecen a los servicios públicos del sector salud y 25 al sector privado y social. Asimismo, México presentó junto con la Organización Panamericana de la Salud una modificación a la lista de verificación de hospitales pAra evaluar las estrategias sanitarias ante situaciones de epidemia, así como la “Guía para la organización de un hospital en caso de emergencia epidémica/pandémica”.

    Fuente: INFORME NACIONAL DEL GOBIERNO DE MÉXICO EN SEGUIMIENTO DE LOS MANDATOS ADOPTADOS DURANTE LA V CUMBRE DE LAS AMÉRICAS -México 2010
    • Date:  2010-12-01    Paragraphes: 33
    • El Programa de Atención a Menores de Cinco Años en Riesgo, No Escolarizados, tiene como objetivo contribuir a mejorar el estado de nutrición en menores de cinco años no escolarizados con mala nutrición en riesgo, que habitan en zonas indígenas, rurales y urbano-marginadas que no reciben apoyo alimentario de otro programa mediante la entrega de una dotación de productos adecuada a la edad del niño, incorporando acciones de orientación alimentaria dirigidas a los padres de familia.

    Fuente: INFORME NACIONAL DEL GOBIERNO DE MÉXICO EN SEGUIMIENTO DE LOS MANDATOS ADOPTADOS DURANTE LA V CUMBRE DE LAS AMÉRICAS
    (México 2010)
    • Date:  2010-12-01    Paragraphes: 34
    Salud
    • El 23 de abril de 2009 se hizo del conocimiento público en nuestro país la presencia del virus de la influenza AH1N1. Como parte de las medidas adoptadas por el Gobierno Federal para la detección, prevención y control del virus, se realizaron las siguientes acciones:
    • El 25 de abril se emitió un Decreto por el que se ordenaron diversas medidas en materia de salubridad general para prevenir, controlar y combatir la existencia y transmisión del virus AH1N1.
    o Elaboración, emisión y difusión de documentos normativos. Además, el Consejo de Salubridad General emitió cinco acuerdos publicados en el Diario Oficial de la Federación (DOF), que establecieron las directrices durante la contingencia.
    o Medidas para la detección. Se emitió la alerta epidemiológica para la búsqueda de casos. Se adquirió material a fin de administrar los medicamentos antivirales desde una etapa temprana a aquellos pacientes que resultaron positivos. Se instalaron módulos y unidades móviles para la atención al público donde se proporcionó información y se brindó atención inmediata en los casos sospechosos.
    o Medidas para la prevención. Se desarrolló una intensa campaña informativa dando a conocer los síntomas, las acciones de prevención y de atención. Se estructuró el “Plan Operativo Estatal de Respuesta ante la Pandemia de Influenza AH1N1” el cual define las actividades de preparación y mitigación para enfrentarla, incluyendo acciones de capacitación, fortalecimiento de reservas estratégicas de tratamientos y de la capacidad en la atención médica hospitalaria, entre otras.
    o Medidas de control. Se produjeron y adquirieron tratamientos antivirales y se recibieron en donación tratamientos adicionales, proporcionados por la Organización Panamericana de la Salud (OPS) y del Gobierno de los Estados Unidos de América. En total, se distribuyeron 327,491 tratamientos de antivirales....continue
    • Date:  2010-12-01    Paragraphes: 35
    • En el marco de la estrategia Vivir Mejor, la Secretaría de Educación Pública y el Sindicato Nacional de Trabajadores de la
    Educación, pusieron en marcha la Alianza por la Calidad de la Educación, como una estrategia que permita apuntalar la política
    educativa nacional, sustentada en cinco ejes rectores:
    o Modernización de los centros escolares.
    o Calidad y mejor desempeño del personal docente.
    o Evitar la deserción escolar por motivos económicos.
    o El desarrollo de mayores capacidades para el magisterio.
    o La consolidación de un proceso permanente de evaluación como mecanismo de perfeccionamiento.

    • A través del Concurso Nacional para el Otorgamiento de Plazas Docentes 2009-2010, en julio de 2009 se sometieron a concurso 16,387 plazas docentes y 105,007 horas-semana-mes, para la enseñanza básica. Lo anterior representa crecimientos
    de 161.1% y 343% respectivamente.

    • En educación primaria se tuvieron 32 programas de estudio de 1º, 2º, 5º y 6º en prueba experimental en aula, en 5 mil
    escuelas del país. Con ello se logró que los programas de estudio de 1º y 6º se encuentren revisados y actualizados para su
    implementación en todas las escuelas del país. Se realizará la prueba experimental en aula de los programas de 3º y 4º, así
    como la segunda fase de prueba experimental en aula de los de 2º y 5º.
    • Para dar continuidad a la instrumentación del currículum para la formación cívica y ética, entrarán en vigor nuevos libros de
    texto gratuitos para todos los alumnos de 1º a 6º grados de primaria a nivel nacional.

    • En 2009 se conformaron tres nuevos grupos de expertos en el rubro de evaluación de sistemas y subsistemas, coordinados
    por el Instituto Nacional para la Evaluación de la Educación (INEE): el Grupo de Desarrollo de Indicadores; el Grupo de
    Evaluación de Recursos y Procesos; y el Grupo de Evaluación para el Desarrollo de Prueba ENLACE. Los resultados más visibles
    se observan en este último grupo...continue
    • Sources Connexes
    ESTRATEGIA INTEGRAL DE ASISTENCIA SOCIAL ALIMENTARIA
    INFORME NACIONAL DEL GOBIERNO DE MÉXICO EN SEGUIMIENTO DE LOS MANDATOS ADOPTADOS DURANTE LA V CUMBRE DE LAS AMÉRICAS (México 2010)
    INFORME NACIONAL DEL GOBIERNO DE MÉXICO EN SEGUIMIENTO DE LOS MANDATOS ADOPTADOS DURANTE LA V CUMBRE DE LAS AMÉRICAS (México 2010)
    SECRETARÍA DE SALUD
  • Nicaragua
    N/A
  • Panama
    • Rapports
    • Date:  2018-02-13    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2018-02-13    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2018-02-13    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2018-02-13    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2018-02-13    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2018-02-13    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2018-02-13    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2018-02-13    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2016-06-15    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2012-04-13    Paragraphes: 30
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2012-04-13    Paragraphes: 35
    Information disponible en Espagnol
  • Paraguay
    N/A
  • Pérou
    • Rapports
    • Date:  2017-03-17    Paragraphes: 6
    MVCS- Mandatos para la Acción de la VII Cumbre de las Américas. Respecto al párrafo 6, del Tema Salud, vinculado al ODS 6:
    I. La Dirección General de Programas y Proyectos en Construcción y Saneamiento (DGPPCS):
    - Viene promoviendo el financiamiento y ejecución de proyectos a través del mecanismo de obras por impuestos y asociaciones público privadas para ampliar la cobertura y mejorar la calidad de los servicios de saneamiento.
    -Tiene dos (2) proyectos de Asociaciones Público Privadas de servicios de saneamiento, de los cuales un proyecto “Sistema de Tratamiento de las aguas residuales de la cuenca del Lago Titicaca”, se encuentra Viable y el otro proyecto “Mejoramiento y Ampliación del Sistema de Alcantarillado y Tratamiento de aguas Servidas de las localidades de Huancayo, El Tambo y Chilca, se encuentra CME aprobado - en formulación.
    - Tiene dos (2) proyectos de Saneamiento a través de la modalidad de Obras Por Impuestos. Uno de ellos, “Mejoramiento y ampliación del servicio de saneamiento básico en la localidad de Antauta, distrito de Antauta – Melgar-Puno”, se encuentra Adjudicado, con convenio de inversión suscrito y el otro, “Mejoramiento y ampliación de los servicios de agua potable y alcantarillado de la microcuenca Piuray Corimarca, distrito de Chinchero-Urubamba-Cusco, se encuentra en proceso de convocatoria.
    - De conformidad con el ROF del MVCS, aprobado por DS Nº 010-2014-VIVIENDA, la DGPRCS tiene a su cargo la función de proponer las políticas nacionales y sectoriales de alcance nacional que son de cumplimiento obligatorio por los tres niveles de gobierno en todo el territorio nacional, para lo cual cuenta con la Dirección de Saneamiento (DS), la cual tiene como función “Elaborar y difundir normas en materia de saneamiento, de alcance nacional, en coordinación con los actores involucrados y en armonía con la normatividad vigente.
    - La DS viene trabajando el tema de elaboración de políticas del sector saneamiento y el Plan Nacional de Saneamiento y su posterior implementación.
    - 29.Dic.2016 - se publicó el Decreto Legislativo Nº 1280, por el cual se aprobó la Ley Marco de la Gestión y Prestación de los Servicios de Saneamiento, norma que tiene por objeto: * Establecer las normas que rigen la prestación de saneamiento a nivel nacional, en los ámbitos urbano y rural, con la finalidad de lograr el acceso universal, el aseguramiento de la calidad y la prestación eficiente y sostenible de los mismos, promoviendo la protección ambiental y la inclusión social, en beneficio de la población. * Establecer medidas orientadas a la gestión eficiente de los prestadores de los servicios de saneamiento, con la finalidad de beneficiar a la población, con énfasis en su constitución, funcionamiento, desempeño, regulación y control, que sean autorizadas acorde con lo establecido en la presente Ley. * Establecer los roles y funciones de las entidades de la administración pública con competencias reconocidas por el ordenamiento legal en materia de prestación de los servicios de saneamiento.
    - De acuerdo con el artículo 3 de la Ley Marco de la Gestión y Prestación de los Servicios de Saneamiento: * Declárese de necesidad pública y de preferente interés nacional la gestión y la prestación de los servicios de saneamiento con el propósito de promover el acceso universal de la población a los servicios de saneamiento sostenibles y de calidad, proteger su salud y el ambiente, la cual comprende a todos los sistemas y procesos que integran los servicios de saneamiento, a la prestación de los mismos y la ejecución de obras para su realización. * Los servicios de saneamiento gozan de tratamiento especial en virtud de la presente Ley y son prioritarios en las actuaciones del gobierno nacional, los gobiernos regionales y los gobiernos locales, en beneficio de la población. Los bienes que integran la infraestructura destinada a la prestación de los servicios de saneamiento son inalienables e imprescriptibles.
    - El MVCS viene trabajando en desarrollar un conjunto de medidas con la finalidad de garantizar la disponibilidad de agua y su gestión sostenible y el saneamiento para todos.
    - A continuación se detalla las principales normas aprobadas entre el año 2016 hasta febrero del 2017, con la finalidad de obtener el sector de saneamiento más eficiente, sostenible y con servicios de calidad:
    - Decretos Legislativos:
    D.L. Nº 1280 Aprueba la Ley Marco de la Gestión y Prestación de los Servicios de Saneamiento.
    D.L. Nº 1284 Crea el Fondo de Inversión Agua Segura.
    D.L. Nº 1274 Regula la ejecución de intervenciones de rehabilitación, reposición, operación y mantenimiento de sistemas de agua y saneamiento en el ámbito rural del país “Agua+”.
    - Decretos Supremos:
    D.S. Nº 013-2016-VIVIENDA Aprueba el Reglamento de la Ley Nº 30045, Ley de Modernización de los Servicios de Saneamiento.
    D.S. Nº 018-2016-VIVIENDA Declara de interés nacional la realización de la 2º Expo Agua Perú 2016.
    D.S. Nº 004-2017-VIVIENDA Aprueba el Reglamento de la Ley Nº 30533 Ley que autoriza al Ministerio de Vivienda, Construcción y Saneamiento a realizar intervenciones a través de núcleos ejecutores, con la finalidad que sea publicado en el Compendio de Saneamiento de la Dirección de Saneamiento de la Dirección General de Políticas y Regulación en Construcción y Saneamiento.
    D.S. Nº 005-2017-VIVIENDA Aprueba el Reglamento del “Fondo para el Financiamiento de Proyectos de Inversión Pública en materia de Agua, Saneamiento y Salud”. Regula la gestión de los recursos, creado mediante trigésima segunda disposición complementaria final de la Ley Nº 30518 – Ley de Presupuesto del Sector Público para el Año Fiscal 2017.
    - Resoluciones Ministeriales:
    R.M. Nº 042-2016-VIVIENDA Modifica la R.M. Nº 086-2015-VIVIENDA, mediante la cual se establecieron lineamientos y procedimiento para la ejecución de proyectos de inversión de saneamiento de gobiernos regionales, gobiernos locales y entidades prestadoras de servicios de saneamiento municipales, que estén previstos en el presupuesto institucional del MVCS.
    R.M. Nº 173-2016-VIVIENDA Aprueba la “Guía de Opciones Tecnológicas para Sistemas de Abastecimiento de Agua para Consumo Humano y Saneamiento en el Ámbito Rural”.
    R.M. Nº 197-2016-VIVIENDA Dicta medidas para que la Dirección General de Programas y Proyectos en Vivienda y Urbanismo realice las acciones para la implementación de la provisión de agua segura y eliminación de excretas a nivel nacional.
    R.M. Nº 337-2016-VIVIENDA Apruébese los “Lineamientos para la inscripción, reconocimiento registro y actualización de las Organizaciones Comunales constituidas para la administración de los servicios de saneamiento en los Centros Poblados Rurales”.
    R.M. Nº 360-2016-VIVIENDA Modifica el Anexo de la R.M. Nº 116-2012-VIVIENDA, que aprobó los parámetros para las actividades que según la Clasificación Industrial Internacional Uniforme – CIIU serán de cumplimiento obligatorio por parte de los Usuarios No Domésticos.
    R.M. Nº 008-2017-VIVIENDA ---Establece los Requisitos de Admisibilidad y Criterios de Evaluación para priorizar la asignación de recursos a proyectos de inversión en el sector Saneamiento en el marco de los lineamientos de la política sectorial y la normatividad vigente.
    R.M. Nº 015-2017-VIVIENDA Promueve la formación de profesionales jóvenes comprometidos en contribuir con el acceso al agua con calidad y suficiencia a las poblaciones en zonas rurales y urbanas.
    R.M. Nº 063-2017-VIVIENDA Aprueba el documento Instrumentos Técnicos que permiten obtener información de los Servicios de Saneamiento en el Ámbito Rural y el Aplicativo Informático Sistema de Diagnóstico sobre Abastecimiento de Agua y Saneamiento en el Ámbito Rural.
    R.M. Nº 065-2017-VIVIENDA Aprueba la Guía para la Identificación y Estandarización de Especificaciones Técnicas de los Medidores de Agua Potable a instalarse en las Conexiones Domiciliarias.
    • Date:  2012-03-07    Paragraphes: 26, 33, 38
    MINSA.

    En el Perú existen desiguales oportunidades de enfermar y morir entre sectores de la población, así como en las posibilidades de ser atendidos y sanar. Ello se manifiesta en enormes brechas en la situación de salud y en el acceso a servicios de salud, lo que es socialmente inaceptable. El vigente modelo de atención integral en salud, constituye el marco de referencia para la atención de salud en el país, basado en el desarrollo de acciones de promoción de la salud y de prevención, recuperación y rehabilitación; siendo el centro del modelo la persona. El país se encuentra en un período de implementación de reformas sustantivas, entre las que se encuentran la Descentralización y el Aseguramiento Universal en Salud.

    El Aseguramiento Universal en Salud, se aprueba en abril de 2009 con la Ley N° 29344 y marca un hito en la definición de las políticas de salud del Perú y constituye uno de los acontecimientos más importantes para la salud pública de las últimas décadas. El Ministerio de Salud en concordancia con lo establecido por la ley, inicia su proceso de implementación, procediendo a realizar el desarrollo normativo correspondiente y a identificar las zonas de aplicación inicial de esta reforma. Con el propósito de reducir tanto las barreras de acceso al sistema de salud así como las inequidades en el financiamiento y la prestación de los servicios de salud el Ministerio de Salud viene promoviendo la aplicación de una política de aseguramiento universal en salud, mediante la cual se establece la obligatoriedad que toda persona del país este afiliada a un tipo de seguro (contributivo o no contributivo). Asimismo, se establece la obligatoriedad de todas las instituciones aseguradoras (públicas o privadas) de financiar como mínimo el Plan Esencial de Aseguramiento en Salud (PEAS) y que éstas sean provistas bajo determinados estándares de calidad y oportunidad por las diferentes redes prestadoras de servicios de salud.

    El Aseguramiento Universal en Salud (AUS) es el derecho a la atención sanitaria con calidad y en forma oportuna que tiene toda la población residente en el territorio nacional desde su nacimiento hasta su muerte. Este derecho no estaba consagrado en el país y hacerlo ha significado marcar un hito histórico dando al AUS el carácter de profunda reforma social hacia una sociedad más justa y equitativa.

    El objetivo de la mencionada ley es establecer los principios y el financiamiento para la atención de las personas afiliadas a los regímenes subsidiado y semicontributivo del Aseguramiento Universal de la Salud, garantizando la sostenibilidad e implementación progresiva del programa.

    Ambos regímenes se financian con recursos que se otorgan anualmente al Seguro Integral de Salud (SIS), de los fondos de los Gobiernos Regionales y Locales, y los aportes provenientes de la cooperación internacional, entre otras donaciones.

    La referida ley también dispone la creación del Fondo Intangible Solidario de Salud (FISSAL), con el fin de financiar la atención de las enfermedades de alto costo, así como de las personas con enfermedades raras o huérfanas. El FISSAL establece la conformación de una Comisión Multisectorial integrada por representantes del Ministerio de Salud, Gobiernos Regionales, SIS y del Ministerio de Economía y Finanzas. Este órgano se encargará de proponer las metas de aseguramiento de los regímenes subsidiado y semicontributivo conforme a los lineamientos y criterios que se establezcan en el reglamento de la norma.

    Para garantizar el derecho a la salud de la población, el Ministerio de Salud y los Gobiernos Regionales actualmente ofertan a través de redes de servicios de salud, 7 469 establecimientos de salud, de ellos, 10 son Institutos Especializados, 136 son hospitales; 1 306 Centros de Salud y 6 017 Puestos o Postas de Salud. Estos dos últimos tipos de establecimientos (centros y puestos de salud) que representan la oferta del Primer Nivel de Atención, constituyen el 98,05% de todos los establecimientos de salud.

    Las principales características de la estrategia de FPNA, que recoge todos los aportes del proceso de validación en el nivel nacional, regional y local, con actores claves del ámbito político, estratégico y operativo; son:
    • Brinda especial atención a la formación y desarrollo de los recursos humanos, personal de salud, trabajadores comunitarios, gestores.
    • Da especial énfasis en el desarrollo de capacidades de gestión óptimas como el Sistema de Información, planificación y evaluación de desempeño, principalmente.
    • Enfatiza la orientación de los servicios de salud hacia la calidad, basado en la mejora de los procesos de atención, diseño y aplicación de instrumentos de garantía de la calidad que midan eficiencia, efectividad y la seguridad de las intervenciones preventivas y curativas; así como, la implementación de proyectos de mejora continua.
    • Desempeña una función importante en la coordinación de la continuidad de la atención y del flujo de información oportuna y de calidad, insumo clave para la planificación, monitoreo y evaluación de desempeño, a lo largo de todo el sistema de atención de salud.
    • Este sistema de atención debe brindar atención integral, integrada y continua y debe resolver localmente, entre el 70 y el 80% de las necesidades básicas más frecuentes en la atención de la salud de la población a lo largo de la vida.
    • Date:  2012-03-07    Paragraphes: 27, 25, 221
    MINSA.

    En las dos últimas décadas la agenda en salud a nivel mundial se desarrolla en el marco de las reformas sanitarias y el Perú no ha sido la excepción. Las estrategias que han sustentado estas reformas han tenido que ver fundamentalmente con la privatización selectiva, la descentralización y la focalización.

    En el marco de estas reformas, después de la Conferencia Internacional de Población y Desarrollo de El Cairo (CIPD), en 1994, se reenfocó el concepto de salud sexual y reproductiva, la misma que fue incorporada como derecho de las personas. Los 184 países que suscribieron el Programa de Acción de la CIPD, incluido Perú, se comprometieron a realizar los esfuerzos necesarios para adoptar las medidas planteadas en dicho Programa.

    Hombres y mujeres presentan diferencias en salud, producto de la desigualdad, exclusión o discriminación. Las mujeres tienen una mayor necesidad de servicios de salud, derivada de su función reproductiva y de sus características biológicas. Las causas de enfermedad y muerte prematura en las mujeres son evitables en su mayoría y puede hacerse abordando la injusticia y la inequidad. La mortalidad materna ha sido calificada por la OPS como el reflejo más claro de discriminación y el bajo status social de las mujeres y es reconocida como un marcador de compromiso de los Estados con el derecho a la salud. La pobreza tiene una mayor efecto sobre la salud de las mujeres debido a que restringe el acceso a los servicios de salud, así como, a otros bienes y servicios; lo que es producto de la discriminación. En función de sus bajos ingresos ellas tienen que intervenir proporcionalmente más en la atención de su salud.

    La Estrategia Sanitaria Nacional de Salud Sexual y Reproductiva - establecida el 27 de Julio de 2004 con RM Nº 771-2004/MINSA- tiene como propósito mejorar la salud sexual y reproductiva de la población peruana concentrando el mayor esfuerzo en la reducción de la mortalidad materna y perinatal a través de las siguientes líneas de intervención:
    • Mejorar la calidad de los servicios de atención materna para facilitar el acceso a la atención prenatal reenfocada y a la atención institucional calificada del parto y del recién nacido, haciendo uso de la adecuación cultural.
    • Mejorar la capacidad de respuesta de los establecimientos ante las emergencias obstétricas y neonatales, según niveles de atención.
    • Ayudar a las personas a lograr sus ideales reproductivos.
    • Mejorar la salud reproductiva en adolescentes.
    • Prevención de la Transmisión Vertical del VIH/Sífilis.
    • Prevención de la salud reproductiva en adolescentes.

    (Ver Anexos – Mandato 27. Gráfico 1)

    En el periodo 1990-2000 la Razón de la Mortalidad Materna, RMM, ha disminuido en 30%. La RMM estimada a nivel nacional por ENDES 1996 fue de 265 por cien mil nacidos vivos y en el 2000 fue del 185 por cien mil nacidos vivos. Actualmente, es de 93 por cien mil nacidos vivos

    Teniendo en cuenta que los niños y las niñas constituyen el recurso más valioso del futuro, esta etapa es una de las más importantes en la vida de las personas, porque aquí se construyen las bases del desarrollo y se forman los valores y principios básicos que las acompañarán durante toda su vida (igualdad, equidad, respeto, no violencia, etc.); determinándose el carácter y la personalidad. En esta etapa se debe tener en cuenta los siguientes aspectos de la salud sexual y reproductiva:
    • Atención integral al recién nacido.
    • Promoción de la lactancia materna.
    • Educación sexual integral para el desarrollo de una sexualidad responsable y prevención de conductas de riesgo.
    • Creación y fortalecimiento de la autoestima.
    • Educación sobre deberes y derechos ciudadanos, incluyendo el derecho a la salud.

    Modelo de Intervención

    • Atención prenatal reenfocada con sentido humanístico, respetando los derechos ciudadanos y priorizando la información, educación y comunicación de la gestante y su familia.
    • Fortalecimiento de la capacidad resolutiva de los establecimientos ante las urgencias y emergencias obstétricas y neonatales
    • Planificación individualizada del parto institucional con adecuación cultural
    • Fortalecimiento del ejercicio del derecho de hombres y mujeres para alcanzar sus ideales reproductivos
    • Detección y manejo humanizado de los casos de violencia basada en género
    • Prevención del embarazo no deseado, del cáncer cérvico-uterino y mamario, de las ITS/HIV/SIDA y de la transmisión vertical.
    • Implementación de la atención diferenciada al adolescente en donde puedan disfrutar de actividades educativas y de servicios acorde a sus necesidades.
    • Date:  2012-03-07    Paragraphes: 28, 42, 228
    MINSA.

    La Estrategia Sanitaria Nacional de Prevención y Control de Daños No Transmisibles se enmarca en el desarrollo científico y tecnológico del siglo XXI y articula esfuerzos para el manejo racional e innovador de los daños no transmisibles en la construcción de un país saludable, diseña y despliega directrices como sector y usa como herramientas fundamentales la educación y participación ciudadana en la construcción de un país saludable.

    La osteoporosis, actualmente constituye un problema para la salud pública en el país, encontrándose en el grupo de enfermedades no transmisibles sobre las cuales se hace necesario un trabajo intersectorial incisivo y de corte educacional para generar cambios de comportamiento en lo relacionado al cuidado de la salud, hábitos alimentarios y actividad física a lo largo de la vida.

    En el Perú, el incremento de la osteoporosis, especialmente en las mujeres en etapa de post-menopausia, exige un trabajo articulado con los otros sectores y sociedad civil, a fin de informar, educar y tomar las medidas correspondientes para reducir la magnitud de esta enfermedad y promover la salud y la vida en el país.

    En tal sentido, la dirección de Promoción de la Salud está desarrollando una campaña agresiva para realizar actividad física como un comportamiento saludable con la finalidad de inducir respuestas metabólicas y psicológicas beneficiosas para la salud de las personas, protegiéndolas de muchas enfermedades.

    Se ha sugerido caminar diariamente por lo menos durante de 30 minutos, así como realizar ejercicios y practicar deportes, correr, nadar o simplemente salir en bicicleta. Asimismo, se ha hecho un llamado a la población para hacer uso preferente de las escaleras y en lo posible evitar ascensores y escaleras mecánicas, salvo que el estado de salud o la seguridad de la persona no le posibiliten realizar dicha actividad. Del mismo modo, se están promoviendo los ejercicios de estiramiento. Así, durante la jornada diaria, se debe realizar por lo menos cinco minutos de ejercicios para movilizar las articulaciones del cuerpo, pudiendo realizarse de manera individual o colectiva durante las labores o en los ratos libres.

    La Dirección General de Promoción de la Salud impulsa los programas de Familia y vivienda saludable, Instituciones educativas saludables, Municipios y comunidades saludables y Centro laboral saludable, que recogen gran parte de las recomendaciones mencionadas.

    La epidemia de las enfermedades crónicas amenaza el desarrollo económico y social y la vida y la salud de millones de personas. En 2005, unos 35 millones de personas de todo el mundo murieron debido a las enfermedades crónicas. Esta cifra duplica el número de defunciones debidas a todas las enfermedades infecciosas (incluida la infección por el VIH y el SIDA, la malaria y la tuberculosis), las condiciones maternas y perinatales y las carencias nutricionales. Si bien se calcula que las defunciones por las enfermedades infecciosas, las afecciones perinatales y las carencias nutricionales disminuyan 3% en los próximos 10 años, se prevé que las muertes debidas a las enfermedades crónicas aumentarán 17% para 2015.

    Líneas de acción

    • Garantizar y promover la formulación y ejecución de políticas públicas eficaces, integradas, sostenibles y basadas en evidencias en materia de lucha contra las enfermedades crónicas, sus factores de riesgo y los factores determinantes.
    • Alentar y apoyar el establecimiento y fortalecimiento de la capacidad de los países para mejorar la vigilancia de las enfermedades crónicas, sus consecuencias, sus factores de riesgo y las repercusiones de las intervenciones de salud pública.
    • Promover las condiciones sociales y económicas que abordan los factores determinantes de las enfermedades crónicas y facultan a las personas para mejorar el control de su propia salud y adoptar conductas salud.
    • Facilitar y apoyar el fortalecimiento de la capacidad y las competencias del sistema de salud para el manejo integrado de las enfermedades crónicas y sus factores de riesgo.
    • Date:  2012-03-07    Paragraphes: 29, 2, 17.6
    MINSA.

    Actualmente, el país enfrenta un incremento de las enfermedades no transmisibles las que requieren tratamientos más complejos, costosos y prolongados que los exigidos por las enfermedades transmisibles.

    En el año 2003, en los servicios de consulta externa del Ministerio de Salud, se atendieron 103,474 personas por hipertensión arterial, lo que significó que por cada 10,000 personas atendidas, 79 fueron por esta enfermedad. Esta cifra se incrementó al 2007 en términos absolutos y relativos, llegando a 97 por cada 10 mil atendidos. Situación similar ocurrió con la diabetes mellitus y la enfermedad cerebrovascular. Respecto a la enfermedad cardiovascular isquémica y a la enfermedad hepática alcohólica, las cifras se han mantenido casi constantes.

    Probablemente, el número de personas que padecen estas enfermedades sea mucho mayor, debido a que está en relación con la accesibilidad a los servicios de salud y a la oferta disponible de personal especializado y entrenado para atender estas enfermedades.

    La mayor carga por enfermedades no transmisibles conduce a una mayor utilización de los servicios de salud, mayor costo de la atención y mejor capacidad resolutiva de los establecimientos. Esto se debe a que estas enfermedades tienen mayor duración, mayores secuelas y son causa de otras enfermedades.

    Este hecho tiene importancia porque:
    • Estas enfermedades tienen una tendencia a incrementarse por el aumento de la expectativa de vida de la población y la expansión de la modernidad y urbanización;
    • El impacto de estas enfermedades en la población más pobre es mucho más grave debido a que actualmente existen muchas barreras de acceso a los servicios de mayor complejidad, diagnósticos tardíos, menor calidad de vida, menor productividad y mayor pobreza.
    Su mayor prevalencia es en la población adulta, situación en la que están inmersos los países en vías de desarrollo como el Perú; donde el cambio de nuestra pirámide poblacional, los cambios en el estilo de vida de la población consecuencia del modernismo y el avance han influenciado en los hábitos de consumo, ambientes laborales y psíquicos dando lugar al rápido incremento en la morbilidad por daños no transmisibles como: el cáncer, la diabetes mellitus, hipertensión arterial y ceguera.
    La Estrategia Sanitaria Nacional de Prevención y Daños No Transmisibles, establecida el 27 de Julio de 2004 con RM Nº 771-2004/MINSA tiene como objetivo principal fortalecer de las acciones de prevención y control de los daños no transmisibles, llevadas en forma interinstitucional e intersectorial, con recursos técnicos posibles que facilite la prevención y atención de la salud de las personas en el País, en el marco de la Atención Integral de Salud.
    • Date:  2012-03-07    Paragraphes: 30, 227
    MINSA.

    De acuerdo a lo precisado en el documento marco del MAIS las Estrategias Sanitarias Nacionales deben permitir el abordaje, control, reducción, erradicación o prevención de los daños/riesgos priorizados y el logro de objetivos sobre las Prioridades Sanitarias en promoción en salud, en función de las políticas nacionales y los compromisos nacionales adquiridos.

    Considerando que toda persona tienen derecho a la recuperación rehabilitación y promoción de la salud mental, que el alcoholismo, la fármacodependencia, los trastornos psiquiátricos y la violencia familiar son problemas de salud mental y la atención de estas personas es responsabilidad primaria de familia y el Estado; que el Ministerio de Salud garantiza la más amplia información, impartida por los profesionales de la salud a la población en lo referente a la prevención y atención a la violencia familiar y al maltrato infantil se promulga la R.M. 455-2001-SA/DM del 27 de julio sobre las Normas y Procedimientos para la Prevención y Atención de la Violencia Familiar y el Maltrato Infantil.
    • Date:  2012-03-07    Paragraphes: 31, 46, 4
    MINSA.

    Objetivo estratégico del MINSA es el desarrollo de las competencias y capacidades del personal de salud, con orientación a la atención primaria de salud.

    La incorporación de la estrategia de Atención Primaria de la Salud (APS) después de Alma Ata 1978 ha permitido mejorar la situación sanitaria en los países que la adoptaron. Sin embargo, el mundo y la APS han cambiado drásticamente, el propósito de renovar la APS es revitalizar la capacidad de todos los países de organizar una estrategia coordinada, efectiva y sostenible que permita resolver los problemas de salud existentes, afrontar los nuevos desafíos de la salud y mejorarla equidad. Es decir se trata de adoptar un Sistema de Salud basado en la Atención Primaria de Salud.

    Los países de las Américas han elaborado y dado a conocer la Agenda de Salud para las Américas 2008-2017 (la Agenda de Salud, para abreviar). La intención de dicho documento es el de “orientar la acción colectiva de los actores, nacionales e internacionales, interesados en contribuir a mejorar la salud de los pueblos de la Región”.

    Se definen ocho áreas de acción, a saber:
    • Fortalecer la Autoridad Sanitaria Nacional.
    • Abordar los determinantes de la salud.
    • Aumentar la protección social y el acceso a los servicios de salud de calidad.
    • Disminuir las desigualdades en salud entre los países y las inequidades al interior de los mismos.
    • Reducir los riesgos y la carga de enfermedad.
    • Fortalecer la gestión y desarrollo de los trabajadores de la salud.
    • Aprovechar los conocimientos, la ciencia y la tecnología.
    • Fortalecer la seguridad sanitaria.
    • Date:  2012-03-07    Paragraphes: 32, 163, 165
    MINSA.

    La Estrategia Sanitaria "Alimentación y Nutrición Saludable" es una de las 10 estrategias del Ministerio de Salud que integra intervenciones y acciones priorizadas dirigidas a la reducción de la morbi-mortalidad materna e infantil y a la reducción de las deficiencias nutricionales, debiendo generar las sinergias necesarias para conseguir los resultados esperados según R.M. N° 701-2004/MINSA, debe coordinar, supervisar y monitorear las diversas actividades relacionadas a la alimentación y nutrición que ejecutan los establecimientos de salud.

    Tiene como objetivo general, mejorar el estado nutricional de la población peruana a través de acciones integradas de salud y nutrición, priorizando los grupos vulnerables y en pobreza extrema y exclusión.

    Sus objetivos específicos son:
    • Promover el desarrollo de comportamientos saludables de alimentación y nutrición en la en la atención integral de la salud, con la participación de instituciones públicas, privadas, organizaciones de base y comunidad en general.
    • Desarrollar la normatividad en alimentación y nutrición de acuerdo al modelo de atención integral de salud para proteger el estado nutricional de la población.
    • Fortalecer las competencias en alimentación y nutrición del potencial humano del sector salud, educación, gobiernos locales y agentes comunitarios de salud, según el modelo de atención integral de salud.
    • Contribuir con el fortalecimiento de la gestión de los Programas de Complementación Alimentaria dirigidos a los grupos vulnerables en riesgo nutricional de las poblaciones de extrema pobreza.
    • Monitorear y evaluar las intervenciones desarrollados en alimentación y nutrición en el contexto del modelo atención integral de salud.
    • Proponer y desarrollar investigaciones en alimentación y nutrición según etapas de vida, a nivel local, regional y nacional, en función de las prioridades nutricionales.
    • Generar y fortalecer los espacios de concertación y de articulación intra, Inter. y multi-institucional para la atención de los problemas nutricionales prioritarios.

    Su perspectiva es promover una adecuada nutrición de los peruanos para reducir principalmente la desnutrición crónica infantil y la desnutrición materna, así como la obesidad, mediante educación en nutrición a los prestadores de salud, agentes comunitarios y comunidad en general.

    Además, mediante una mayor oferta de empleo e incremento del ingreso se debe reducir la pobreza que debe conducir a un desarrollo sostenido que producirá personas mejor nutridas que participen en un país que respete los derechos humanos.
    • Date:  2012-03-07    Paragraphes: 33, 165, 17.7
    MINSA.

    El Perú, como miembro del Consejo Ejecutivo de la OMS, presentó en la 63ª Asamblea Mundial de la Salud, el tema sobre Nutrición del lactante y del niño pequeño EB126/9 EB126.R5.

    Se aprobó la Resolución WHA63.23, mediante la cual se insta a los Estados Miembros a que incrementen el compromiso político a fin de prevenir y reducir la malnutrición en todas sus formas; a que fortalezcan y aceleren la aplicación de la estrategia mundial para la alimentación del lactante y del niño pequeño; entre otras medidas.

    Durante el último quinquenio se ha observado en el Perú, una clara disminución de la prevalencia de la desnutrición crónica infantil, que según el último reporte de la ENDES 2009' es de 18,3%, según el patrón internacional NCHS; este valor puede ser explicado, en parte, por el accionar articulado de las diferentes instancias públicas y de la sociedad civil, por el crecimiento económico del país, por la implementación de intervenciones de efectividad demostrada; por ello, es necesario definir políticas públicas que conduzcan a intervenciones sostenibles a fin de mantener la tendencia de disminución permanente de la desnutrición crónica y demás problemas nutricionales, principalmente en la infancia.

    La Estrategia Sanitaria Nacional de Alimentación y Nutrición Saludable se crea en el marco de la función que cumple el MI NSA, para lograr la atención integral y universal de la salud de la población

    Desde su creación a la fecha, la ESNANS ha venido articulando el trabajo de las diferentes instancias del Ministerio de Salud Involucradas en el problema alimentario-nutricional, brindando asistencia técnica a las instancias regionales y locales con el fin de optimizar las intervenciones a favor de una adecuada alimentación y nutrición de la población más vulnerable

    En el proceso de descentralización de las funciones de salud a los gobiernos regionales y locales, la Estrategia Sanitaria Nacional Alimentación y Nutrición Saludable - ESNANS, establece las políticas, estrategias y líneas de acción Intra e interinstitucionales para la gestión del componente alimentario - nutrlclonal durante todo el ciclo de vida, orientado a promover una alimentación y nutrición saludable y contribuir con la reducción de los problemas de malnutrición, en el marco de la Atención Integral de la Salud y el Aseguramiento Universal en Salud,

    El documento de los lineamientos de gestión de la Estrategia Sanitaria Nacional de Alimentación y Nutrición Saludable contiene un diagnóstico de la situación nutricional, los objetivos estratégico, las estrategias, los resultados esperados, las líneas de acción e indicadores, que serán considerados como referentes para las intervenciones sobre los problemas de alimentación y nutrición en el ámbito nacional.

    A pesar de que la desnutrición crónica ha venido disminuyendo en el país, el Perú aun se mantiene en un nivel alto en la región

    La desnutrición crónica infantil se concentra particularmente en las poblaciones pobres e indígenas, que habitan en zonas rurales aisladas o en la periferia urbana y, en su mayoría, son herederas de las condiciones socioeconómicas desfavorables. En estas poblaciones la prevalencia de la desnutrición crónica supera el 70%. La mayoría de estos niños y niñas son víctimas del ciclo intergeneracional de pobreza y desnutrición.
    • Date:  2012-03-07    Paragraphes: 34, 34
    MINSA.

    El Perú desde la adopción y entrada en vigor del RSI, 15 de junio del 2007, ha venido desarrollando actividades como parte del proceso de su implementación y aplicación; en tal sentido el país ha tenido avances como: Creación del Centro Nacional de Enlace (CNE) para el Reglamento Sanitario Internacional, socialización de RSI respecto a su finalidad, alcances y compromisos para su implementación tanto a nivel sectorial como intersectorial, evaluación de las capacidades básicas nacionales de vigilancia y respuesta para la aplicación de RSI y elaboración de un plan de su implementación, autoevaluación e implementación progresiva de capacidades básicas necesarias a nivel de los puntos de entrada bajo un plan de implementación (Puertos, Aeropuertos y pasos de frontera designados del país).

    Durante este proceso el Perú ha avanzado en la implementación de las capacidades básicas de vigilancia y respuesta para el cumplimiento de RSI, como parte de los planes elaborados para tal fin, sin embargo también se ha afrontado aspectos críticos que aún se vienen abordando tales como: conformación de una instancia nacional para la implementación de RSI, adecuación del marco legal normativo para el cumplimiento del RSI, gestión de fondos para la implementación de las capacidades de vigilancia y respuesta según lo establecido de los planes elaborados, cambio de autoridades y profesionales de los equipos técnicos regionales y nacionales, entre otros; estos aspectos críticos determinan la necesidad de extender el plazo por dos años luego del 2012 para la implementación plena de las capacidades básicas establecidas en el RSI.
    • Date:  2012-03-07    Paragraphes: 35, 39, 11, 223
    MINSA.

    Sobre VIH

    La Estrategia Sanitaria Nacional considera tres líneas de Acción: en las áreas de PREVENCION (Prevención y Promoción), Atención integral (Tratamiento antirretroviral) y transmisión vertical (prevención de la transmisión vertical).

    Prevención y Promoción

    Las actividades de Prevención y Promoción en el periodo han estado enmarcadas en cuatro líneas de acción:
    • Intervenciones en Poblaciones Vulnerables: Trabajadoras Sexuales (TS) y Hombres que tienen Sexo con otros Hombres (HSH).
    • Intervención de Consejeros Educadores de Pares
    • Fortalecimiento de la Consejería en ITS y VIH/SIDA
    • Intervenciones en Población General

    Intervención en Poblaciones Vulnerables

    Mediante la estrategia de Promotores Educadores de Pares tanto en TS y HSH, se logra una captación cercana a las 2,000 personas por año en cada uno de estos grupos. Siendo precisamente la intervención (captación y derivación voluntaria hacia los centros especializados) en las trabajadoras sexuales la que se constituyó en uno de los procesos más exitosos en el ámbito latinoamericano.

    Intervención de Consejeros Educadores de pares en PVV/S

    La Consejería de Pares que brindan las personas viviendo con VIH/SIDA (PVV/S) es el proceso de intercambio de información y educación que se da entre una persona que vive con el VIH/SIDA y que está capacitada, entrenada y sensibilizada y otra que también tiene el diagnóstico de seropositividad.

    Los CEPs brindan apoyo psicosocial y educación preventiva a toda persona que vive con el VIH y fortalecerá el desarrollo de un mejor seguimiento del proceso de la enfermedad, de la oportunidad de controles, exámenes y de tratamiento, así como de la información que el consultante pueda.

    En la actualidad el MINSA ya cuenta con 30 CEPs distribuidos en las cinco DISAS de Limay Callao en 16 establecimientos de salud. En este año se han capacitado 120 postulantes a consejeros a través del Fondo Mundial.

    Consejería en Infecciones de Transmisión Sexual y VIH/SIDA

    Desde 1997, la consejería se mantuvo estacionaria, es decir, no fue evolucionando a la par con los nuevos conocimientos en la parte clínica de estas enfermedades, en la validación de nuevos tratamientos y en la puesta en práctica de novedosas estrategias educativas. Este periodo estacionario permitió solamente obtener indicadores cuantitativos, es decir: número de consejerías realizadas; pero no así indicadores de corte cualitativo traducidos en el impacto de la consejería en los usuarios y el grado de efectividad en el cambio de comportamientos sexuales.

    El punto inicial para la renovación de la Consejería ha sido la conformación de las Red de Especialistas en Consejería que, en base a su capacidad profesional y experiencia en el tema, brinde aportes importantes para su mejoramiento, esta red está compuesta por ocho integrantes que provienen del MINSA, COPRECOS y ONGs.

    Atención Integral

    Las actividades de Atención Integral han estado dirigidas a la implementación de la atención y tratamiento de las personas viviendo con VIH/SIDA en el País. Para ello fue necesario desarrollar un sistema capaz de brindar una atención multidisciplinaria, con calidad y que garantice la Adherencia al tratamiento en sus tres líneas de acción: educación para la salud, consejería y de servicio social. Además, se hizo necesaria la implementación de un sistema de registro e información que brinde los alcances para las decisiones terapéuticas; así mismo; que sea de utilidad para la toma de decisiones a nivel Regional y Central.

    Se han desarrollado e implementado las normas técnicas de Tratamiento Antirretroviral de Gran Actividad (TARGA) y de Adherencia al TARGA.

    En el marco del plan CONTRASIDA y de la aplicación al Fondo Global de Lucha contra el SIDA, la Tuberculosis y la Malaria, el Perú se encuentra desarrollando la implementación del tratamiento Antirretroviral buscando garantizar la sostenibilidad del proceso y el acceso universal. Para ello se ha constituido la Coordinadora Nacional Multisectorial (CONAMUSA), organismo de coordinación multisectorial que agrupa organizaciones e instituciones de la sociedad civil y personas afectadas, la misma que representa el mecanismo coordinador país frente al Fondo Global.

    Desde el 5 de abril del 2010, el MINSA en coordinación con el INS ha iniciado la toma de pruebas (CD4 y Carga Viral) a las personas viviendo con VIH de los hospitales de Lima y Callao de acuerdo a un cronograma.

    Desde el 13 de Mayo 2004 se viene administrando el tratamiento antirretroviral a los pacientes que presenten las condiciones de ingreso al TARGA. Actualmente más de 1200 personas que están recibiendo tratamiento en 06 hospitales de Lima - Callao y 04 de provincias.

    Con Ayuda del Fondo Global se han capacitado equipos multidisciplinarios en todo el Perú para el manejo de TARGA, con ello se han sentado las bases para la descentralización progresiva del tratamiento al interior del país, el cual se inició en diciembre del 2004. Además, se han capacitado a voluntarios para intervenciones de campo en soporte al tratamiento, así como, a familiares y allegados de las PVVIS para brindar soporte y adherencia al TARGA.

    Se ha establecido normatividad para facilitar el acceso de las personas viviendo con VIH al TARGA, con ello se espera alcanzar 1500 personas en tratamiento al terminar el 2004 y 5000 al terminar el 2005.

    Transmisión Vertical

    En el área de prevención de la transmisión vertical se han desarrollado actividades orientadas a evitar la transmisión de la infección de madre a hijo:
    • Se adquirieron 100,000 pruebas rápidas para el diagnóstico del VIH en gestantes que acuden al control prenatal o en el momento del parto para el diagnóstico temprano e intervención profiláctica.
    • Se actualizó la norma técnica que permite el manejo por escenarios de la prevención de la transmisión vertical.
    • Se desarrollaron spots radiales dirigidos a diferentes públicos objetivos con el fin de sensibilizar a la comunidad para el control prenatal y el tamizaje para el VIH.

    El Fondo Global ha sido un apoyo importante para la implementación de acciones para enfrentar la epidemia y brindar el acceso al tratamiento, sin embargo, es importante resaltar la capacidad de respuesta de las organizaciones de la sociedad civil y el estado para garantizar el abordaje y la sostenibilidad de las intervenciones que se están desarrollando en el Perú.

    Tratamiento Antirretroviral

    En septiembre del 2002 en el marco de las prestaciones del Seguro Integral de Salud (SIS) el Gobierno del Perú asume la responsabilidad de dar tratamiento antirretroviral a los niños infectados por VIH/SIDA de 0 a 17 años.

    En febrero del año 2004 se aprobó la norma técnica de Tratamiento Antirretroviral de Gran Actividad (TARGA) en adultos, lo cual marca el inicio de la aplicación del TARGA en el Perú. En aquel momento el Estado invirtió para la adquisición del TARGA, el 60% de la compra, con el apoyo financiero del fondo mundial quien aportó el 40% restante.

    Según estadísticas nacionales del 2004, la Dirección General de Salud de las Personas del Ministerio de Salud había implementado el Programa Nacional de TARGA en 15 hospitales de Lima y Callao, en 33 hospital regionales y empezó la descentralización del tratamiento con el seguimiento de pacientes en establecimientos de nivel intermedio en 10 centros de salud, nueve en Lima y uno en provincias; ofreciéndolo, además, en dos centros penitenciarios en Lima y Callao y a través de organizaciones no gubernamentales (Vía Libre, Impacta Salud y Educación, Hogar San Camilo e Investigaciones Médicas en Salud). Al 2005 el Ministerio de Salud, ya compraba el 100% del tratamiento y aseguraba el tratamiento a futuro.

    Para el 2011 el acceso de la población afectada por VIH al TARGA se amplió en un 37%, teniendo en la actualidad 62 establecimientos referenciales del MINSA, 03 penales, 03 ONGs y 11 establecimientos de segundo nivel MINSA que lo brindan. Actualmente, son más de 16 mil personas en tratamiento a nivel nacional de los cuales el ministerio atiende al 84%.

    Prevención positiva

    Se incorpora el concepto de Prevención positiva en las personas que viven con el VIH/SIDA, con el fin de evitar la reinfección y brindarles las herramientas necesarias con el fin que adquieran estilos de vida saludables y así¬ lograr una mejor calidad de vida. De la misma manera se promueve la adherencia al TARGA, tomando en cuenta los aspectos físicos y emocionales que la dificultan.

    Grupos de Apoyo Mutuo

    En el año 1990, se logra, políticamente, hacer prevalecer los derechos de las personas viviendo con VIH en diversos espacios y formas; por ejemplo, sensibilizando a las personas en sus hogares, a las autoridades y al mismo sistema de salud para reducir los niveles de estigma y discriminación que existen.

    Años después se inicia la labor de formar una red que reúna a los grupos de ayuda mutua (GAM) que se habían creado en los hospitales y centros de mayor atención de VIH. Esta red promovida por el PROCETSS, logra crear los primeros 9 GAMS para mujeres y 9 GAMS para hombres en todos el país. Todo ese trabajo también se fue proyectando a otras regiones donde se registraban nuevos casos de VIH.

    Los GAMs aun están en crecimiento pero ha sido básico para la respuesta nacional, ya que por primera vez el Estado atendió las necesidades de miles de personas que viven con el virus en el país.

    En estos años la participación de la red de GAMS fue de vital importancia, ya que se logró articular las acciones contra la epidemia desde diversos frentes y de acuerdo con las necesidades de las personas afectadas por la epidemia.
    • Date:  2012-03-07    Paragraphes: 35, 41, 54, 224
    MINSA.

    Sobre la tuberculosis

    La Estrategia Sanitaria Nacional de Prevención y Control de la Tuberculosis ESN-PCT es el órgano técnico normativo dependiente de la Dirección General de Salud de las Personas, responsable de establecer la doctrina, normas y procedimientos para el control de la tuberculosis en el Perú; garantizando la detección, diagnóstico, tratamiento gratuito y supervisado a todos los enfermos con tuberculosis, con criterios de eficiencia, eficacia y efectividad.

    En el Perú, la ESN-PCT cuenta con los medios técnicos de diagnóstico accesibles y esquemas de tratamiento de alta eficacia para afrontar con éxito el desafío de este grave problema de salud pública, en el contexto de un país con recursos limitados.

    Busca garantizar la detección, diagnóstico precoz, así como, el tratamiento apropiado, oportuno, gratuito y supervisado de las personas afectadas con TB en todos los servicios de salud del país, brindando atención integral de calidad con la finalidad de disminuir la morbi-mortalidad por TB y sus repercusiones sociales y económicas.

    Estrategia Sanitaria Nacional Prevención y Control de Enfermedades Metaxénicas y Otras.
    Las enfermedades metaxénicas, en el Perú, en las últimas décadas constituyen los principales de problemas de salud, que afectan a las poblaciones más pobres de menos acceso y están catalogadas entre las reemergentes, afectando grandes proporciones de población, con gran impacto sobre la salud pública nacional.

    La Malaria, Dengue, Bartonelosis, Leishmaniosis y Tripanosomiasis son los cinco problemas de salud abordados desde la ESN de Prevención y Control de las Enfermedades Metaxénicas y Otras Transmitidas por Vectores, cuyo incremento en la transmisión e incremento de los factores de riesgo, ha hecho prioritario su abordaje. Problemas de salud pública que permanente amenazan la salud de la población, son condicionados por múltiples factores, en algunos de los cuales la intervención del hombre es casi nula, el desencadenamiento de éstas, está relacionado con los desequilibrios entre las variables climatológicas, pluviosidad, migraciones, temperatura, siembra y cultivos; razón por la que la responsabilidad de controlar y/o mantener estas variables en equilibrio, es tarea de todos, desde el Estado Peruano y todas sus organizaciones directamente relacionadas con la supervivencia de la población (agricultura, comercio, trabajo, industria y turismo).

    Múltiples esfuerzos desarrollados desde el sector con estrategias adecuadas a las poblaciones menos accesibles han permitido disminuir complicaciones y mortalidad.

    La respuesta del Ministerio de Salud (MINSA) a esta alarmante reemergencia de las metaxénicas, ha tenido éxito en reducir los niveles de transmisión en la áreas más contundidas, la capacidad organizativa de los servicios y la articulación con el trabajo de colaboradores voluntarios, ha permitido controlar de manera eficiente reservorios humanos en tiempos adecuados. Sin embargo, para reducir aún más el nivel de transmisión y la morbilidad causada por estas, y evitar y controlar epidemias en el futuro, es necesario, contar con mayor información sobre el huésped, el vector, la transmisión, la epidemiología, y las medidas de control en el país, y tener el personal de salud entrenado para implementar esas medidas.

    Es en ese sentido, debe promoverse un trabajo articulado con todos los actores sociales involucrados con el problema y su solución. Para el Plan vigente, se unen los esfuerzos de todas las instancias del Ministerio de Salud, a fin de lograr el objetivo común, articulando la tecnología y los recursos disponibles.

    Líneas de acción

    • Promoción de la Salud y Comunicación Social.
    • Vigilancia en Salud Pública.
    • Prevención, Atención Curativa y Organización de los Servicios de Salud.
    • Vigilancia Entomológica y Control vectorial Integrado y Selectivo.
    • Control de Brotes.
    • Investigación Operativa.
    • Date:  2012-03-06    Paragraphes: 26
    INEI.

    El Instituto Nacional de Estadística e Informática- INEI, en base a los resultados de la Encuesta Nacional de Hogares- ENAHO que ejecuta anualmente, en el Módulo de Salud recoge información sobre la afiliación de la población a algún Seguro de Salud, asimismo, el tipo de seguro de salud con el que cuenta y sus características, a nivel nacional, área de residencia y departamentos.

    El año 2002 se crea el Seguro Integral de Salud- SIS, cuyo objetivo fue dar cobertura de atención en salud a la población más pobre y vulnerable del país, para lo cual tenia que comprobarse su situación socioeconómica. Posteriormente este beneficio es ampliado en condición de subsidio, lo que permite que más personas cuenten con este tipo de seguro de salud.

    El año 2004 el 37,3% de la población del país se encontraba afiliada a algún Seguro de Salud, al año 2010 se incrementa la cobertura a 63,5%, observándose aumento de 26,2 puntos porcentuales , respecto al año de comparación.

    El Instituto Nacional de Estadística e Informática- INEI, en base a los resultados de la Encuesta Nacional de Hogares- ENAHO que ejecuta anualmente, en el Módulo de Salud recoge información sobre la afiliación de la población a algún Seguro de Salud, asimismo, el tipo de seguro de salud con el que cuenta y sus características, a nivel nacional, área de residencia y departamentos.

    El año 2002 se crea el Seguro Integral de Salud- SIS, cuyo objetivo fue dar cobertura de atención en salud a la población más pobre y vulnerable del país, para lo cual tenia que comprobarse su situación socioeconómica. Posteriormente este beneficio es ampliado en condición de subsidio, lo que permite que más personas cuenten con este tipo de seguro de salud.

    El Instituto Nacional de Estadística e Informática- INEI, en base a los resultados de la Encuesta Nacional de Hogares- ENAHO que ejecuta anualmente, en el Módulo de Salud recoge información sobre la afiliación de la población a algún Seguro de Salud, asimismo, el tipo de seguro de salud con el que cuenta y sus características, a nivel nacional, área de residencia y departamentos.

    El año 2002 se crea el Seguro Integral de Salud- SIS, cuyo objetivo fue dar cobertura de atención en salud a la población más pobre y vulnerable del país, para lo cual tenía que comprobarse su situación socioeconómica. Posteriormente este beneficio es ampliado en condición de subsidio, lo que permite que más personas cuenten con este tipo de seguro de salud.

    Dos son los tipos de seguro de salud que destacan en el país. El Seguro Integral de Salud- SIS y el Seguro Social de Salud- ESSALUD, en menor proporción "Otros Seguros", comprende Seguro Privado de Salud, Seguro de las Fuerzas Armadas y Policiales, Seguro Universitario, Seguro Escolar Privado y SIS - ESSALUD. El año 2010 en el país, el 21,6% de la población se encontraba afiliada al Seguro Social de Salud (EsSALUD), en tanto el 36,3% estaba afiliado al Seguro Integral de Salud (SIS), en menor proporción un 5,5% se encontraba afiliada a Otros Seguros de Salud.

    El INEI como miembro integrante de la Comisión Multisectorial del Plan Nacional de Acción por la Infancia y Adolescencia- PNAIA- MIMDES, provee de información estadística de Salud en base a los resultados de la ENDES a la mencionada comisión, quien anualmente monitorea el avance y cumplimiento de los objetivos estratégicos referidos a indicadores del binomio madre -niño, priorizados por el sector.
    • Date:  2012-03-06    Paragraphes: 27
    INEI.

    El Instituto Nacional de Estadística e Informática -INEI, viene ejecutando la Encuesta Demográfica y de Salud Familiar -ENDES desde al año 1986, inicialmente con una periodicidad quinquenal en los años 1991/92, 1995 y 2000 y es a partir del año 2004 que se convierte en una encuesta continua, recoge información de salud de las mujeres de 15 a 49 años y de sus hijos menores de 5 años en lo que respecta a mortalidad materna por los pocos casos que se registra en la encuesta este resultado se presenta para un periodo de 7 años, siendo para el 2009-2010 de 93 muertes maternas por cada 100 000 nacidos vivos y en el año 2000 fue de 185 muertes maternas por cada 100 000 nacidos vivos.

    En lo que respecta a la mortalidad neonatal (probabilidad de morir durante el primer mes de vida), en el año 2000 (para los cinco años anteriores a la encuesta) fue de 18 por cada mil nacidos vivos, reduciéndose en el año 2010 (para los cinco años anteriores a la encuesta) a 9 por cada mil nacidos vivos. En lo que respecta a la mortalidad infantil (probabilidad de morir durante el primer año de vida), la ENDES señala que para el año 2000 (para los cinco años anteriores a la encuesta) fue de 33 muertes en menores de 1 año por cada mil nacidos vivos y en el año 2010 alcanzó a 17 muertes en menores de 1 año por cada mil nacidos vivos, observándose reducción en este periodo.

    La mortalidad en la niñez en el año 2000 (para los cinco años anteriores a la encuesta) fue de 47 muertes en menores de cinco años por cada mil nacidos vivos y para el año 2010 (para los cinco años anteriores a la encuesta) alcanzó 23 muertes por cada mil nacidos vivos, registrándose reducción en relación al año de comparación.

    El INEI, provee de información estadística de Salud en base a los resultados de la ENDES a la Comisión Multisectorial del Plan Nacional de Acción por la Infancia y Adolescencia -PNAIA- MIMDES, quien anualmente monitorea el avance de los objetivos estratégicos referidos a indicadores del binomio madre -niño, priorizados por el sector y da cuenta del avance al país a través de la exposición que realiza el Presidente del Consejo de Ministros ante el Congreso de la República.
    • Date:  2012-03-06    Paragraphes: 28
    INEI.

    Anualmente se realiza la Encuesta Nacional de Hogares- ENAHO , en ella recoge información de la población que padece de enfermedades crónicas y no crónicas, cuya inferencia es nacional, área de residencia urbana- rural y departamental, los resultado se presenta en series históricas, lo que le permite ver la evolución del indicador en el tiempo.

    El año 2007 el 23,2% de la población presentaba enfermedades crónicas y el 38,4% enfermedades no crónicas, al comparar con lo reportado para el año 2010, se observa que la población con enfermedades crónicas se ha incrementado siendo 31,8%, mientras que la población que reportó padecer enfermedades no crónicas se ha reducido, siendo 36,2%. Los datos también son presentados por sexo, lo que permite conocer las brechas existentes entre hombres y mujeres. Toda esta información se presenta desagregada por sexo, área de residencia urbana- rural y departamental. En los informes técnicos la información se presenta anual y trimestral.
    • Date:  2012-03-06    Paragraphes: 33
    INEI.

    Desde el año 1986 hasta el año 2000 realiza la Encuesta Demográfica y de Salud Familiar -ENDES, cada cinco años y a partir del año 2004 ejecuta continuamente, en dicha encuesta se realiza la toma de medidas antropométricas (peso y ralla) en los niños, niñas menores de 5 años y se obtiene la variable de desnutrición crónica en la población de este grupo de edad, sus resultados los presenta utilizando los 2 tipos de patrones de referencia, el NCHS y el de OMS.

    En el año 2000 la desnutrición crónica- talla para la edad (Patrón de Referencia NCHS) afectó al 25,4% de los niños menores de cinco años y para el periodo 2009- 2010 al 18,2%, observándose reducción de 7,2 puntos porcentuales en comparación con el año de análisis. Según área de residencia, se registra diferencias significativas entre los residentes del área urbana y rural. Es así que para el 2000, la desnutrición crónica afecta en mayor proporción a los del área rural (40,2%) y en menor proporción a los del área urbana (13,4%), en tanto para el periodo 2009-2010, afectó al 32,1% de la población rural y al 10,1% de la urbana. Según Patrón de Referencia OMS, la desnutrición crónica para el año 2000 fue de 29,5% y para el año 2010 23,2%.

    El INEI como miembro integrante de la Comisión Multisectorial del Plan Nacional de Acción por la Infancia y Adolescencia- PNAIA- MIMDES, provee de información estadística de Salud en base a los resultados de la ENDES a la mencionada comisión, quien anualmente monitorea el avance y cumplimiento de los objetivos estratégicos referidos a indicadores del binomio madre -niño, priorizados por el sector.
    • Date:  2012-03-05    Paragraphes: 32, 33, 34
    PRODUCE.

    A. Breve descripción del tema

    Políticas y planes sociales y económicas y reduciendo las deficiencias de nutrición.

    B. Problemática

    Mejorar el estado nutricional de los pueblos.

    C. Avances, Planes y programas desarrollados para el cumplimiento del mandato

    El Ministerio de la Producción, a través de la campaña “A Comer Pescao”, impulsa el consumo del pescado en diversos distritos de Lima y provincias del Perú.

    El Ministro de la Producción, José Urquizo, anunció recientemente (Enero 2012) que el gobierno peruano buscará combatir la desnutrición y el hambre del país con la institucionalización de la campaña “A comer Pescao” que se convertirá en un programa nacional. Señaló que este es un especial encargo del presidente de la República, Ollanta Humala, ya que en el Perú existen 10 millones de pobres, tres de ellos en extrema pobreza, con índices preocupantes de desnutrición.

    El titular del Sector comentó que actualmente “A comer Pescao” es una campaña, pero próximamente se lanzará el Programa Nacional de lucha contra el Hambre y Desnutrición “A comer Pescao”, que será liderado por el Ministerio de la Producción. Es necesario impulsar el consumo de pescado en la población y que la captura de especies hidrobiológicas no se destine principalmente para la elaboración de harina.

    Asimismo, se impulsará un denominado “TLC hacia adentro”, con el objetivo de incrementar el intercambio comercial y productividad entre la sierra y selva del país ya que en estas zonas del Perú se tiene un potencial enorme en micro y pequeñas empresas dedicadas a la artesanía, agricultura, acuicultura, entre otros.
    • Sources Connexes
    Anexos. Mandato 27 (MINSA)
    Anexos. Mandatos 32, 33 (PRODUCE)
    Página Web del Ministerio de Salud
  • République dominicaine
    • Rapports
    • Date:  2014-05-30    Paragraphes: 15
    - El Sector Salud dominicano vive actualmente un proceso de reforma y modernización, lo que trajo consigo la implementación del Plan 2012, basado en líneas de acción establecidas en la Estrategia Nacional de Desarrollo, los Objetivos del Milenio, Plan Decenal de Salud, Plan Nacional Plurianual del Sector Público 2011-2014, la Agenda Estratégica de Salud, los compromisos internacionales, la agenda estratégica del Consejo Nacional de Salud y los Planes Operativos formulados por cada una de las dependencias de la Institución.
    - Las estrategias e intervenciones del Plan estuvieron dirigidas a atender las demandas de salud de la población con foco fundamentalmente en los siguientes problemas: Mortalidad Materna, Mortalidad Infantil, Enfermedades Prevenibles por Vacunas, Dengue, Malaria, Tuberculosis, VIH, y Zoonosis. Se fundamentó en fortalecer la Atención Primaria de la Salud, tanto al Primer Nivel de Atención como al Nivel de Atención Especializado, asegurando niveles efectivos de cobertura en inmunizaciones, el acceso a los medicamentos a la población, y mejorar la infraestructura de la red de servicios de atención para un incremento en la ejecución presupuestaria.
    - En 2012, las políticas de salud priorizadas estuvieron enfocadas en la reducción de las muertes infantiles y maternas y de enfermedades como el dengue, malaria, tuberculosis, VIH/SIDA, zoonosis y las prevenibles por vacunas. También se le ha dado mucha importancia al reforzamiento de la estrategia de atención primaria, la adecuada respuesta en el nivel de atención especializado, la cobertura en inmunizaciones, el acceso de la población a los medicamentos y la infraestructura de la red de servicios, sobre todo en el primer nivel de atención.
    - En el interés de fortalecer la atención primaria como puerta de entrada al Sistema de Salud, en 2012 se construyeron 272 centros primarios y 38 centros para diagnósticos en el primer nivel. Se cuenta, en consecuencia, con 1,714Unidades de Atención Primaria (UNAP), que representan más del 90% de las necesarias para atención a la población prioritaria.
    - Cada UNAP se organiza sobre la base poblacional de 500 familias, y se priorizan las familias afiliadas al Régimen Subsidiado de la Seguridad Social y las pobres aún sin afiliación. También se habilitaron 10 farmacias del pueblo, para totalizar 441.
    - Durante 2012, se continuó trabajando en la implementación del modelo de participación ciudadana para la movilización social y comunitaria, que contribuya a enfrentar los problemas prioritarios de salud a nivel local y nacional en las Direcciones Provinciales y de Área de Salud.
    • Date:  2014-05-30    Paragraphes: 17
    La Dirección de Nutrición del Ministerio de Salud Pública, es la rectora del quehacer nutricional con facultad de integrar diversos sectores para poder alcanzar las metas en las políticas públicas sobre nutrición. En el año 2012, se ha organizado en programas que responden a los principales problemas nutricionales que privan en la población dominicana en general y que se agudizan en grupos de población que reside en la periferia de las principales ciudades del país, en la zona rural y en el área fronteriza dominico-haitiana.
    Plan Estratégico Nacional de Nutrición 2013-2016, con el propósito de contribuir a que la población dominicana, especialmente las más vulnerables, los fines de mejorar los hábitos alimenticios de la población dominicana”.
    Ejecución del Programa de Alimentación Escolar (PAE), y de sus diversas modalidades de entrega: PAE Urbano Marginal, REAL, Fronterizo y Jornada Extendida, con el cual se ha logrado que la Alimentación escolar alcance un total de 1,473,222 estudiantes de educación inicial y básica.
    Orientación sobre nutrición, alimentación saludable, hábitos de higiene y prevención de enfermedades 80 técnicos regionales y distritales, coordinadores del PAE, de 10 regionales y 30 distritos; 595 directores de centros y 493 madres, donde se encuentran los 695 centros educativos pertenecientes al PAE-REAL.
    Desarrollo unidad de Investigación, con el apoyo de la Organización de Energía Atómica, los siguientes proyectos, Factores de riesgos asociados a sobrepeso y obesidad en Mujeres de 15 a 49 años y Composición Corporal asociado a lactancia materna en Lactantes y niños y niñas de 3 a 11 meses.
  • Sainte-Lucie
    N/A
  • Saint-Kitts-et-Nevis
    N/A
  • Saint-Vincent-et-Grenadines
    N/A
  • Suriname
    • Rapports
    • Date:  2012-04-11    Paragraphes: 26, 27, 28, 30, 31, 33, 34, 35
    A National Health Sector Plan 2012 – 2016 (NHSP) has been formulated for Suriname. Implementation of a program for Universal Health Insurance is being considered, which includes the Basic Package of Health Care services plan and the proposed Universal Health Insurance Law.
    Progress has been made to integrate vertical programs in the PHC, i.e. HIV services and capacity building to establish the chronic care model within the PHC delivery network. The physical infrastructure has also been upgraded through construction of new hospitals and primary care outpatient clinics.

    Achievements in human resources are furthermore:
    • New training programs (diabetes and HIV) at the Central School of Nursing have been implemented since 2007 to enhance chronic care competencies in PHC settings.
    • The numerous fixus has been expanded to 30 students per year at the University’s Faculty of Medical Sciences.
    • Public health professionals have been trained through cooperation between the Anton de Kom Universiteit and the Tulane School of Public Health and Tropical Medicine.

    CHALLENGES IN HEALTH
    1. Overcoming fragmentation in the health system through coordination of the various public and private providers, institutions and health programs, as well as aligning different levels of care and financing mechanisms.
    2. Provide leadership and advocate intersectional collaboration to address environmental risks, gender inequality and other social factors, as well as creating an environment for healthy lifestyles.
    3. Re-evaluation of the health system to ensure maximum responsiveness and efficiency to prepare for and mitigate future threats.
    4. With respect to the persistent unequal access to comprehensive health care and health services, Suriname needs to conduct a Periodic National Health Accounts Study to enhance the information on the government’s expenditures.
    5. To ensure a balanced geographical distribution of the health workforce, effective deployment and retention measures, specific incentives and creative management strategies need to be developed and implemented.
    6. Address the increase in mobility of populations, especially those of the interior, and establish more interaction with migrated populations across borders.
    7. Apply advances in medical technology, creating opportunities to improve diagnostic and other services outside hospital settings.

    Maternal and infant health
    • Antenatal and post partum/postnatal care coverage are available to all pregnant women.
    • In the period 2000 – 2009, the Maternal Mortality Ratio (MMR) has decreased from 153/100,000 live births to 122.5 /100,000 live births.
    • The national capacity in emergency obstetric care and the registration thereof, including maternal mortality case investigations, needs strengthening.
    • There are still discrepancies between the current Infant Mortality Rate and the MDG target for 2015, which is set at 7, as the baseline for 1990 was 21.1.
    • The Perinatal mortality (PMR) rate decreased from 35.8 in 2000 (351 deaths) to 32.1 in 2009 (321 deaths). Correspondingly, the number of stillbirths decreased from 240 (stillbirth rate: 23.9) in 2000 to 195 (stillbirth rate: 19.5) in 2009.
    • There was a decrease in the post-neonatal mortality rate (the number of deaths after 28 days but before one year per 1,000 live births); the rate decreased from 6.8 (67 deaths) in 2000 to 4.3 (42 deaths) in 2009.

    CHALLENGES REALATING TO NCD’s
    Similar to global and regional trends, Suriname is experiencing an increasing mortality attributable to NCDs, while mortality linked to infectious diseases show significant decreases. In 2009, 60.5% of all deaths among the ten leading causes of mortality were attributed to Non-Communicable Diseases, including chronic respiratory diseases.

    Drug abuse
    Suriname, informed by the National Anti- Drug Council and relevant stakeholders, implemented the National Drug Master Plan (NDMP) 2006 – 2010. The NDMP 2011 - 2015 was approved in 2011. The National Drug Prevention Plan 2011 - 2014 was also approved in 2011. The new board of the National Anti- Drugs Council 2012 - 2015 will be established soon.

    Achievements in reducing drug abuse and illicit drug abuse:
    • Studies in the field of drug prevention and drug use were completed and published.
    • Guidelines for residential addiction treatment were approved.
    • The Inter-American Convention on Mutual Assistance in Criminal Matters and the UN Convention against the Illicit Traffic in Narcotics and Psychotropic Substances were ratified.
    • Active participation in the OAS/CICAD Multilateral Evaluation Mechanism and compliance with its recommendations, to the extent possible.

    Nutrition
    CHALLENGES IN NUTRITION AT THE OUTSET
    Suriname’s mixed cultural heritage extends into the food culture and is apparent in the extensive variety and blending of available foods from many cuisines. This leads to difficulty in determining the typical diet, nutritional intake and deficiencies. Data on nutrition and the health status of the Surinamese population is limited and out-dated.

    However, existing food supply data for Suriname indicate increased energy availability per capita over the past four decades (from 2000 kcal in 1961-1963 to ~2700 kcal in 2003-2005). This appears to be related to corresponding increases in fat and sugar availability and possibly reflects changing food consumption patterns.

    Nutrition Policies: confronting malnutrition and promoting helathy diets
    A specific bill provides all needy children with breakfast, allocating SRD 6 million for the period 2010 - 2011 and 10 million for the period 2011 - 2012. The project is being implemented at the national level, incorporating coastal and interior areas.

    Youth and sport are areas of priority for Suriname and as such a physical activity and national sports plan is being developed. In 2012, SRD 6 million has been allocated for a pilot project to support vulnerable communities in several districts, by setting up multifunctional sports centers. Furthermore, the Regional Sports Academy for the Caribbean has been launched in March 2012.

    Efforts at the NGO level are being undertaken to educate the population on healthy lifestyles and prevention of obesity. A Surinamese nutrition guideline has been developed for people with diabetes, hypertension and obesity.

    Overall, the percentage of malnourished children under the age of five is decreasing since 2000. WHO Child Growth Standards are incorporated in a new child health record, which includes growth, development skills and nutrition counselling. The results of this study indicate that more intensive training is needed for clinic staff.

    CHALLENGES IN NUTRITION
    1. Not all clinics appear to be equipped or have sufficient capacity for care of children under age 5.
    2. A baseline assessment of the food that is available in 70 primary schools has been conducted in 2009, showing that a majority of schools sell high-fat foods and sugary drinks. For snacks, mainly fried foods are available, while only one school sold milk products.
    3. A manual to improve the food availability at kindergarten and primary schools has been developed and piloted in 2 schools. The pilot indicates that the nutrition value of food and drinks offered at schools needs to be improved.

    Commitment to international health regulations
    Suriname is implementing the IHR 2005 in order to prevent the international spread of diseases such as pandemic influenza, yellow fever, dengue, malaria and others, and is establishing the basic capacities needed for surveillance and response to events that could constitute public health emergencies of international concern.

    HIV/AIDS
    In 2002, the first national HIV/AIDS treatment protocol was developed, followed by several adjustments. Until 2002, treatment of HIV+ was very limited.
    Private efforts have been made to increase access to medicines through donations and establishment of a revolving fund for HAART in 2003, which enabled the start of public ARV treatment on a small scale.

    In 2004, Suriname’s Global Fund grant was approved, and resources became available to work towards the goal of universal access to ARV. Since 2005, ARV is provided free of charge to all eligible HIV+ persons, and interventions rapidly increased to appropriately assess, diagnose and guide PLHIV and AIDS patients, thus ensuring access to high quality HIV and AIDS care and treatment for all in Suriname.
    With increasing HIV screening of pregnant women, expansion of VCT sites, and introduction of free access to treatment in 2005, the number of persons diagnosed with HIV and eligible for treatment with ARV, more than tripled in 2007.

    During 2005 - 2007 the cumulative number of persons under ARV treatment increased from 350 in 2005 to 412 in 2006, to 729 in 2007. Considering the estimated number of people in need for ARV, in 2006 the estimated coverage of ARV treatment was 41%.

    The HIV response in Suriname is guided by the National Strategic Plan (NSP) for a multi sectorial approach of HIV/AIDS. The NSP 2009 - 2013 is currently in operation. The 5 priority areas are:
    1. National Coordination, Policy and Capacity building
    2. Prevention of further spread of HIV
    3. Treatment, Care and Support
    4. Reduction of stigma and discrimination of PLHIV
    5. Strategic Information for policy development and service provision

    Achievements in combating HIV/AIDS:
    - Strengthened coordination through establishment of a national multi-sectorial HIV Board in 2009, with Technical Working Groups on prevention, treatment and care.
    - Increased governmental budget for HIV/AIDS treatment and HIV/AIDS prophylaxis and treatment in the PMTCT program. In 2010, almost 70% were treated.
    - Establishment of the Center of Excellence on treatment and care in 2010.
    - Outcome achievements include access to early infant diagnosis, all treatment protocols revised, increased access to condoms, and implementation of the National Monitoring and Evaluation plan.
  • Trinité-et-Tobago
    • Rapports
    • Date:  2011-01-21    Paragraphes: 26
    Health Infrastructure Development

    *Access to quality, comprehensive health care is being extended through the Ministry’s ambitious infrastructure programme. Under this programme, the Ministry will substantially upgrade the existing stock of hospitals and health centres, as well as construct new hospitals that will make health services more accessible to a wider cross section of the population. To complement the expansion of secondary care services, there are at present approximately one hundred and three (103) Primary Health facilities in Trinidad and Tobago. These primary care facilities are strategically cited to ensure that even the most remote areas can access these services.
    • Date:  2011-01-21    Paragraphes: 27
    Implementation of the Regional Strategy and Plan of Action for Neonatal Health

    *The Ministry of Health continues to work towards improving outcomes in the area of neonatal and infant mortality, mortality in the under-five age group and maternal mortality. Strategies include reassessing the issues that contribute to mortality, updating equipment and technology in the health facilities and training. A Maternal and Child Health Manual was updated. This manual provides guidelines for health care personnel on procedures and processes in the area of maternal and child health. Input was provided by PAHO, the Nursing Council of T&T and other key stakeholders.
    • Date:  2011-01-21    Paragraphes: 28
    Reduction of the Burden of Chronic, Non-Communicable Diseases (CNCDs) through the Promotion of Preventive and Control Strategies

    The Ministry of Health is addressing the burgeoning health problem of CNCDs through an approach that incorporates prevention, treatment and care. Some of the initiatives being pursued by the Ministry are as follows:

    -CNCD Technical Advisory Committee
    *The National CNCD Technical Advisory Committee is an inter-sectoral body comprising public sector, private sector and civil society representation that was established in September 2008 to advise on matters related to CNCD prevention, treatment and control. Specifically, the Technical Advisory Committee is responsible for making recommendations on:
    *The development of a unified policy direction for national CNCD programmes, strategies and activities
    *Fostering intra- and intersectoral collaboration in the promotion of healthy lifestyles
    *Promoting coordination of efforts on health promotion, planning, service delivery, regulation, financing, resource mobilisation and research in relation to CNCD control.

    -Health Promotion and Education
    *Health promotion and education are preventive strategies aimed at reducing the risk factors for CNCDs such as Cardiovascular Disease, Diabetes Mellitus, Malignant Neoplasms (Cancer), Hypertensive Diseases and Cerebrovascular Disease. These risk factors include insufficient physical activity, inadequate diet and obesity, abuse of alcohol and tobacco use.

    (For more information, please refer to pages 38-40 of Trinidad and Tobago's National Report)
    • Date:  2011-01-21    Paragraphes: 30
    National Alcohol and Drug Abuse Prevention Programme (NADAPP)

    -The National Alcohol and Drug Abuse Prevention Programme (NADAPP) states its major objectives as being:
    *To facilitate the development of Community Prevention Programmes to provide healthy alternatives for the population and to reduce those factors contributing to drug use;
    *To promote and enhance Treatment and Rehabilitation services, including programmes for those addicts identified through the criminal justice system;
    *To strengthen research to provide reliable information for policy and administrative decision making; and
    *To ensure the efficient and effective development and conduct of programmes and projects aimed at reducing drug abuse

    -Empowerment Centre
    *The Piparo Empowerment Centre provides residential treatment and rehabilitation services for male drug addicts using the Therapeutic Community Model. The objectives of the programme are to provide clients with treatment and rehabilitation services towards their successful social rehabilitation and to provide a safe residential physical environment during clients’ recovery period.

    Reducing Drug Abuse and Illicit Drug Use
    The Ministry of Health is represented on a drug advisory committee led by the Ministry of National Security that seeks to reduce the prevalence of drug abuse and illicit drug use in the society. In addition, the Ministry of Health, through the RHAs, provides psychiatric care for patients including those that are subjected to substance abuse. The Ministry of Health also provides annual subventions to Non-Governmental Organizations (NGOs) that provide rehabilitative care to persons afflicted with drug abuse.

    (For more information on Drug Abuse Control, please refer to pages 77-78 of Trinidad and Tobago's National Report)
    • Date:  2011-01-21    Paragraphes: 31
    Renewal of Primary Health Care and Access to Comprehensive Health Care:

    The MOH established a Working Committee to review the Primary Health Care System in Trinidad and Tobago in April, 2007.

    -Chronic Disease Assistance Programme (CDAP)
    *Through the CDAP programme, the population has increased access to a list of essential drugs to treat with chronic disease. The CDAP programme was started in 2003 with the primary aim of reducing the cost of health care of chronic disease patients by providing the population with free easily accessible medication to treat with chronic non-communicable diseases.
    • Date:  2011-01-21    Paragraphes: 32
    Implementing the PAHO Regional Strategy on Nutrition in Health and Development

    The Ministry of Health is guided by the World Health Organization (WHO) Strategy on diet, physical activity and health as well as the PAHO Strategy on NCD Prevention and Control.

    -Adequate Nutrition for Children Under Five and Other Vulnerable Groups
    *The health centres in the public health sector provide nutrition services where the weight of children are screened and monitored for nutritional deficiencies. Parents are also provided with counselling and where nutrition deficiencies are detected, the child is referred to a Nutritionist or to the Paediatric Clinic. These children are then subjected to closer monitoring at the health centre.
    • Date:  2011-01-21    Paragraphes: 34
    Implementation of the International Health Regulations (IHR)
    An implementation plan has been submitted to Cabinet to ensure compliance with the International Health Regulations (IHR). PAHO has been providing support and this plan is inter-sectoral, with input from the Ministry of Health and other agencies. Some aspects of the plan have already begun to be implemented, such as increased surveillance at airports.

    This country has committed to following the mandates of International Health Regulations (IHR) developed by the WHO. The necessary systems and structures are being put in place to prevent, control and manage communicable diseases and diseases monitored by the IHR, including emerging or re-emerging diseases. The A H1N1 Influenza is an example of a new or emerging disease that is being monitored according to IHR protocols. Other diseases such as yellow fever and malaria are also monitored.

    The Ministry’s surveillance capacity is also being developed and the Ministry has expressed its commitment to this. Surveillance has been heightened in view of the A H1N1 pandemic. The Ministry of Health has signed an MOU with the UK for a Health Information Management System, which would enhance surveillance and data management. Staff is being trained or re-tooled to deal with emerging and re-emerging diseases. Staff has been sensitized about the IHR 2005, which are the updated IHR).
    • Date:  2011-01-21    Paragraphes: 35
    Halting and Reversing the Spread of HIV/AIDS by 2015

    One of the primary objectives of the MOH is to facilitate the reduction in the rate of HIV infection and the number of deaths from AIDS in Trinidad and Tobago. This is being achieved through the execution of programmes aimed at reducing the levels of mother to child transmission of HIV/AIDS, promoting safe and healthy sexual behaviours among the general population, mitigating the negative impacts of HIV/AIDS on persons infected and affected in Trinidad and Tobago, and integrating the treatment of HIV/AIDS into the health care system.

    The following are examples of initiatives aimed at reducing the levels of Mother to child transmission of HIV/AIDS
    *The Prevention of Mother-to-Child Transmission Programme occurs at all public sector antenatal clinics and there are Prevention of Mother-to-Child Transmission Coordinators available to monitor progress of the HIV exposed infants and mothers in all Regional Health Authorities
    *All HIV exposed infants are treated at birth, (the number treated in 2008 was 170)
    *Pregnant women enrolled in all public sector antenatal clinics are offered tests for HIV and free access to anti-retroviral treatment is available for all those that are HIV positive
    *HIV infected babies are provided with replacement infant formula for a period of 24 months
    *Dried Blood Spot Testing, a new screening strategy to determine the HIV status for HIV exposed infants was introduced in June 2008. The number of babies tested since was 98 with 7 positive cases.

    In addition, the MOH aims to reduce the incidence of HIV infections through the development of a condom management plan, the development of an HIV plan for the prison services, the development of national Sexually Transmitted Infections (STI) Policy and Guidelines, the implementation of prevention intervention strategies among youths and the development of an integrated TB/HIV plan.
    • Sources Connexes
    Ministry of Health of Trinidad and Tobago
    Summit of the Americas - status report
    TRINIDAD AND TOBAGO- NATIONAL REPORT ON THE IMPLEMENTATION OF THE MANDATES OUTLINED IN THE DECLARATION OF COMMITMENT OF PORT OF SPAIN
  • Uruguay
    • Rapports
    • Date:  2011-12-26    Paragraphes: 26
    Rapport disponible en Espagnol
    • Date:  2011-12-26    Paragraphes: 26
    Rapport disponible en Espagnol
    • Date:  2011-12-26    Paragraphes: 26
    Rapport disponible en Espagnol
    • Date:  2011-12-26    Paragraphes: 26
    Rapport disponible en Espagnol
    • Date:  2011-12-26    Paragraphes: 27
    Rapport disponible en Espagnol
    • Date:  2011-12-26    Paragraphes: 28
    Rapport disponible en Espagnol
    • Date:  2011-12-26    Paragraphes: 31
    Rapport disponible en Espagnol
    • Date:  2011-12-26    Paragraphes: 32, 33
    Rapport disponible en Espagnol
    • Date:  2011-12-26    Paragraphes: 35
    Rapport disponible en Espagnol
  • Venezuela
    N/A
  • Organisation des États Américains (OEA)
    • Rapports
    • Date:  2018-01-08    Paragraphes: 7
    Initiative: Community Spoke women on Nutrition in Guatemala

    Brief description of initiative:
    Guatemala has one of the highest malnutrition rates in Latin America and the Caribbean; and is the fifth country in the world in cases of chronic malnutrition in children. The current administration has created the "Zero Hunger Pact" program that aims to reduce child malnutrition by 10% during the 4 years of its administration and in March 2016 has launched the National Strategy for the Prevention of Chronic Malnutrition (NSPCM) in children aged from 0 to 2 years old. This project seeks provide strategies and tools to strengthen the capacity of the Guatemalan government on community based approaches to address behavioral changes and prevent malnutrition of families of the Dry Corridor Zone

    The project activities aim to promote changes in eating habits of families; ii) the integration of initiatives carried-out at the national and local levels; Within those components, activities proposed comprise the implementation of capacity building and technical assistance processes targeted to public officials to enhance the implementation of the NSPCM, and the delivery of training workshops targeted to local leaders who will be in charge of transmitting the knowledge to families from benefited communities.
    During 2017, the Department of Social Inclusion began implementing the initiative by conducting a needs assessment visit mission to the country as well as producing a report to define training and technical assistance needs.

    Beneficiaries: The Secretariat for Food and Nutritional Security (SESAN) and the Ministry of Social Development (MIDES)

    Partnerships and Financing:
    Financing: Permanent Observer Mission of the People's Republic of China to the OAS
    • Date:  2017-03-15    Paragraphes: 8
    Información disponible en inglés
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-11-10    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 15
    Información disponible en inglés
    • Date:  2013-05-30    Paragraphes: 15
    Information disponible en anglais
  • Banque interaméricaine de développement (BID)
    • Rapports
    • Date:  2017-04-14    Paragraphes: 5
    Information disponible en anglais
    • Date:  2017-04-14    Paragraphes: 5
    Information disponible en anglais
    • Date:  2017-04-14    Paragraphes: 5
    Information disponible en anglais
  • Commission économique pour l'Amérique latine et les Caraïbes (CEPALC)
    • Rapports
    • Date:  2017-12-12    Paragraphes: -
    La CEPAL ha finalizado el estudio piloto "Impactos sociales y económicos de la doble carga de la malnutrición", realizado en Chile, Ecuador y México. Este estudio, ejecutado en el marco del convenio vigente con el Programa Mundial de Alimentos (PMA), verificó satisfactoriamente la metodología diseñada para estimar la carga social y económica para los países, en niños y adultos, asociada a la desnutrición y al sobrepeso y la obesidad. Sus resultados fueron oficialmente presentados en México, a fines de abril, por la Secretaria Ejecutiva. Fueron también presentados en julio en la reunión del Interamerican task-force on noncommunicable diseases y en octubre en la reunión anual del PMA en Roma. Varios países de la región ya han manifestado su interés por replicarlo pues proporciona datos muy relevantes para el debate legislativo sobre alimentación saludable. En materia de salud digital se mantiene activo el proceso de asistencia técnica para el seguimiento y evaluación del programa "Salud digital.uy" en el Uruguay y se ha incorporado una línea de trabajo similar en Chile para el programa "Salud+Desarrollo" que impulsan la Corporación de Fomento (CORFO) del Ministerio de Economía junto al Ministerio de Salud.
    En el marco de un proyecto CEPAL-UNICEF se realizaron estudios de caso sobre protección social en la infancia en Ecuador y Perú, los cuales incluyeron un componente de análisis sobre la morbimortalidad de los niños y adolescentes en esos países, así como análisis de los mecanismos de protección social en materia de salud/nutrición para esas poblaciones.
    • Date:  2017-12-08    Paragraphes: -
    La CEPAL ha finalizado el estudio piloto "Impactos sociales y económicos de la doble carga de la malnutrición", realizado en Chile, Ecuador y México. Este estudio, ejecutado en el marco del convenio vigente con el Programa Mundial de Alimentos (PMA), verificó satisfactoriamente la metodología diseñada para estimar la carga social y económica para los países, en niños y adultos, asociada a la desnutrición y al sobrepeso y la obesidad. Sus resultados fueron oficialmente presentados en México, a fines de abril, por la Secretaria Ejecutiva. Fueron también presentados en julio en la reunión del Interamerican task-force on noncommunicable diseases y en octubre en la reunión anual del PMA en Roma. Varios países de la región ya han manifestado su interés por replicarlo pues proporciona datos muy relevantes para el debate legislativo sobre alimentación saludable. En materia de salud digital se mantiene activo el proceso de asistencia técnica para el seguimiento y evaluación del programa "Salud digital.uy" en el Uruguay y se ha incorporado una línea de trabajo similar en Chile para el programa "Salud+Desarrollo" que impulsan la Corporación de Fomento (CORFO) del Ministerio de Economía junto al Ministerio de Salud.
    • Date:  2017-12-08    Paragraphes: -
    La CEPAL ha trabajado fuertemente en el ámbito de cooperación energética a través del Programa BIEE (Base de indicadores de Eficiencia Energética) que busca generar una base de datos - tanto a nivel nacional como regional - que sirva para medir el desempeño de las políticas de eficiencia energética y formular políticas y programas sobre bases informadas. Además, desde Febrero 2015, CEPAL es miembro de la iniciativa de las Naciones Unidas “SE4ALL/Americas”, la cual persigue los siguientes objetivos: a) garantizar el acceso universal a servicios energéticos modernos; b) duplicar la tasa mundial de mejora en la eficiencia energética; y, c) duplicar la participación de las energías renovables en la matriz energética global.

    Respecto a la concientización en materia de energías sustentables, la CEPAL ha celebrado diversos Diálogos Políticos en materia de Eficiencia Energética.
    • Date:  2017-04-11    Paragraphes: -
    La CEPAL ha realizado diversas tareas, dentro de las cuales destacan:

    El estudio piloto "Impactos sociales y económicos de la doble carga de la malnutrición". Este estudio, realizado en el marco del convenio vigente con el Programa Mundial de Alimentos desde 2003 para temas de nutrición, pone a prueba una metodología de estimación de carga social y económica para los países, en niños y adultos, asociada a desnutrición y a sobrepeso y obesidad. En este piloto participaron Chile, Ecuador y México y se espera poder replicarlo en otros países de la región.

    En el ámbito de la salud digital se ha trabajado en el diseño de una metodología para el análisis de procesos y evaluación de impacto de las inversiones. Este ha sido difundido en algunos congresos internacionales y en una publicación con el Centro de Estudios de TIC de Brasil (CETIC.br) y está siendo aplicado en el Uruguay al programa "Salud digital.uy" con la asistencia técnica de la CEPAL.

    En el marco del proyecto CEPAL-UNICEF se están realizando dos estudios de caso sobre protección social en la infancia en Ecuador y Perú, los cuales incluyen un componente de análisis sobre la morbimortalidad de los niños, niñas y adolescentes en esos países, así como un análisis de los mecanismos de protección social (contributivos, no contributivos y de acceso a servicios) en materia de salud/nutrición para estas poblaciones. Se espera que estos estudios aporten elementos de análisis para el fortalecimiento de los sistemas de protección social en los países, relevando su rol potencial en la reducción de la pobreza y desigualdad en los niños, niñas y adolescentes.
    • Date:  2016-06-08    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol et anglais
  • Organisation panaméricaine de la santé (OPS)
    • Rapports
    • Date:  2017-04-20    Paragraphes: 1, 2
    Information disponible en anglais
    • Date:  2017-04-20    Paragraphes: 3, 4
    Information disponible en anglais
    • Date:  2017-04-20    Paragraphes: 7
    Information disponible en anglais
    • Date:  2017-04-20    Paragraphes: 5
    Information disponible en anglais
    • Date:  2017-04-20    Paragraphes: 8
    Information disponible en anglais
    • Date:  2017-04-20    Paragraphes: 6
    Information disponible en anglais
    • Date:  2016-06-08    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2016-06-08    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2016-06-08    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2016-06-08    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2016-06-08    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2016-06-08    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2016-06-08    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2015-10-20    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2015-10-20    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2015-10-14    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2015-10-14    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2015-10-14    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 15
    Information disponible en anglais
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 17
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2012-11-05    Paragraphes: 38
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2012-11-05    Paragraphes: -
    Information disponible en anglais
    • Date:  2011-06-23    Paragraphes: 27
    La OPS lanzó “Iniciativa de Maternidad Segura en las Américas” la cual se constituye en un llamado para redoblar los esfuerzos en logro del párrafo 27 para la reducción de la mortalidad materna y el acceso universal a la salud reproductiva. La misma se inscribe en las actividades que adelanta el Grupo de Trabajo Regional para la Reducción de la Mortalidad Materna (GTR), el cual es el mecanismo regional que aúna los esfuerzos tanto de las agencias del sistema de Naciones Unidas y las agencias bilaterales de cooperación internacional, así como redes de profesionales y organizaciones de la sociedad civil, para impulsar programas y políticas de reducción de la morbi-mortalidad maternas en América Latina y el Caribe.
    • Date:  2011-06-23    Paragraphes: 33
    En el marco de las actividades de seguimiento al mandato la “Estrategia y Plan de Acción para la Reducción de la Desnutrición Crónica”. El 50 Consejo Directivo de OPS aprobó las metas de reducción en cinco puntos porcentuales la desnutrición crónica en niños menores de cinco años y la prevalencia de anemia nutricional en las embarazadas para el 2015. La estrategia pone su énfasis en la generación e intercambio de información y lecciones aprendidas, en la abogacía y coordinación intersectorial e inter-agencial, en el desarrollo de capacidades para la prestación de servicios integrados basados en atención primaria renovada, en la integración de acciones en la familia y las comunidades y en la movilización de recursos y alianzas estratégicas.
    • Date:  2011-06-22    Paragraphes: 35
    La , la OPS desarrolló “Iniciativa de eliminación de la transmisión vertical madre-hijo del VIH y la reducción de la sífilis congénita”. La misma se ha propuesto alcanzar las metas de eliminación del 2% de la transmisión vertical del VIH y la incidencia de sífilis congénita a menos de 0,5 casos por 1.000 nacidos vivos para el 2015. Para tales fines Se han definido y puesto en marcha programas e intervenciones para la prevención, detección temprana y tratamiento oportuno de embarazadas y recién nacidos en el nivel primario de atención en todos los países, con un sistema de vigilancia y monitoreo. La iniciativa cuenta con un mecanismo de coordinación inter-agencial bajo el liderazgo de OPS y UNICEF. Países del Caribe lideran la eliminación con compromiso al más alto nivel político.
    • Sources Connexes
    PAHO's Website
  • Banque mondiale
    • Rapports
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 15
    Información disponible en ingles
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 15
    Información disponible en ingles
  • Institut interaméricain de coopération pour l'agriculture (IICA)
    • Rapports
    • Date:  2016-06-08    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol et anglais
  • Banque de Développement de la Amérique Latine (CAF)
    • Rapports
    • Date:  2018-01-05    Paragraphes: 6
    Para el refuerzo de capacidades en la región, se han seguido impulsando las alianzas estratégicas, especialmente con el Banco mundial, el Gobierno de España, el Instituto Internacional del Agua de Estocolmo y el Consejo Mundial del Agua. El creciente posicionamiento internacional ha llevado a la institución a asumir un importante rol protagónico en foros nacionales, regionales e internacionales del sector, destacando su designación como gobernador del Consejo Mundial del Agua. Adicionalmente, CAF ha seguido realizando emisiones dentro de la categoría de Inversión Socialmente Responsable a través de los Bonos de Agua en el mercado asiático, el cual resulta de creciente interés para la institución.
    • Date:  2017-04-17    Paragraphes: 6
    La mayor contribución de CAF en el área de la salud ha sido la financiación, asesoramiento y cooperación técnica brindados para la construcción, expansión y rehabilitación de los sistemas de agua potable y saneamiento en los países de la región. En los últimos años, CAF ha otorgado créditos por más de 3.500 millones de dólares y ha destinado más de 12 millones de dólares en materia de cooperación no reembolsable para este fin. Destaca la elaboración y publicación del estudio “Agua potable y saneamiento en la nueva ruralidad de América Latina. Mejía, A., Castillo, O., Vera, R., & Arroyo, V. (2016, Julio)”.
    • Date:  2016-06-08    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol et anglais
    • Date:  2015-11-04    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Sources Connexes
    Agua potable y saneamiento en la nueva ruralidad de América Latina. Mejía, A., Castillo, O., Vera, R., & Arroyo, V. (2016, Julio)
    CAF's Website
  • Banque centraméricaine d'intégration économique (BCIE)
    • Rapports
    • Date:  2015-11-03    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-11-03    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-11-03    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-07-25    Paragraphes: 15
    Information disponible en espagnol
  • Banque de développement des Caraïbes (BDC)
    N/A
  • Organisation internationale pour les migrations (OIM)
    • Rapports
    • Date:  2016-06-08    Paragraphes: -
    Information disponible en espagnol et anglais
  • Organisation internationale du travail (OIT)
    N/A
  • Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD)
    N/A