Sixth
Fifth
Fourth
Special
Third
Second
Sustainable
First

Skip Navigation Links

select
  • Ministérielles
  • Paragraphes Relatifs au Thème
    • • Mandats issus du Sixième Sommet des Amériques- Cartagena, Colombie - avril 2012
      • 1:
      Réduction et Gestion du Risque de Catastrophes Réaffirmer que la gestion du risque de catastrophes constitue une priorité des politiques nationales d’intérêt public et de leurs stratégies de développement.
      • 2:
      Réduction et Gestion du Risque de Catastrophes Accorder la priorité à l'affectation de crédits et à l'élaboration de stratégies de protection financière, s'il y a lieu, visant à atténuer les incidences sociales, économiques et environnementales des catastrophes, avec l'appui, entre autres, des institutions financières sous-régionales, régionales et internationales.
      • 3:
      Réduction et Gestion du Risque de Catastrophes Renforcer nos plateformes institutionnelles de gestion du risque de catastrophes en collaboration avec les mécanismes sous-régionaux, régionaux et internationaux au moyen de stratégies d'entraide et de partenariat afin de faciliter les projets de recherche communs et l'échange de connaissances, d'information, de pratiques optimales et de données d’expériences acquises en la matière, ainsi que le transfert de technologie à des conditions établies d'un commun accord.
      • 4:
      Réduction et Gestion du Risque de Catastrophes Consolider les instruments régionaux et sous-régionaux et les initiatives existantes en matière de réduction et de gestion du risque de catastrophes et d'aide humanitaire, ainsi que les mécanismes de coordination et de coopération visant la création de synergies, en mettant l'accent sur l'importance de la coordination.
      • 5:
      Réduction et Gestion du Risque de Catastrophes Œuvrer avec les institutions financières sous-régionales, régionales et internationales en vue d’améliorer les mécanismes de financement pour l'adaptation au changement climatique, d'atténuation, de relèvement, de réhabilitation et de reconstruction, qui visent à réduire et gérer le risque de catastrophes et à accroitre la résilience des collectivités et nations qui sont vulnérables aux catastrophes ou en sont victimes.
      • 6:
      Réduction et Gestion du Risque de Catastrophes Désigner ou renforcer, selon le cas, les points de contact nationaux et institutionnels pour favoriser une coordination plus efficace entre les organismes du système interaméricain, les organisations et organismes internationaux et régionaux ainsi que les mécanismes sous-régionaux, et promouvoir l'utilisation d'outils virtuels dans ce contexte, dans le but d'accélérer et de rendre plus efficaces les interventions au lendemain des situations d'urgence et des catastrophes.
      • Déclaration d’Engagement - Port of Spain, Trinité-et-Tobago - avril 2009
      • 60:
      Nous nous engageons à améliorer la coopération régionale et à renforcer nos capacités institutionnelles et techniques nationales en matière de réduction et de prévention des catastrophes, de préparation à celles-ci et de réponse y afférente, de réhabilitation, de résistance, de réduction des risques, d’atténuation des effets ainsi que de leur évaluation. Nous renforcerons nos systèmes d’observation, de surveillance, de communication et d’alerte précoce, et nous encouragerons les échanges d’information et la recherche sur les catastrophes. À cet égard, nous reconnaissons l’importance de notre participation active au sein de l’Institut panaméricain de géographie et d’histoire, du Système mondial des systèmes d’observation de la Terre (GEOSS) et du Système mondial d’observation du climat (SMOC), qui sont autant d’instruments propres à accroître l’accès à l’information et à faciliter une action coordonnée, et notre participation active aux réunions et mécanismes internationaux pour l’assistance humanitaire, et au Réseau interaméricain pour la réduction des catastrophes, selon le cas.
      • 61:
      Nous encouragerons le renforcement des mesures nationales de planification et zonage, ainsi que des codes de la construction, selon le cas, afin de réduire les risques, d’atténuer les effets, et d’accroître la résistance des futurs complexes résidentiels, commerciaux et industriels ; nous envisagerons par ailleurs de mettre en place des mesures, là où il est possible de le faire, pour décourager la construction de ces complexes dans les zones où il n’est pas possible de réduire les risques ou d’atténuer ces effets, et pour faciliter la protection ou la relocalisation de toutes les zones d’établissements humains et, des infrastructures essentielles de l’industrie et du transport qui pourraient être vulnérables. Nous encouragerons également l’éducation et la formation afin que le public soit mieux renseigné sur l’état de préparation aux catastrophes naturelles et les plans nationaux de prévention de ces catastrophes, d’atténuation de leurs effets et de relèvement après une catastrophe.
      • 62:
      Nous demandons aux ministres et hauts fonctionnaires compétents de renforcer la coopération interaméricaine dans le domaine de la réduction et de la gestion de risques de catastrophe, en collaboration avec les organisations nationales, régionales et internationales spécialisées en la matière, et dans le cadre de la Stratégie internationale des Nations Unies pour la réduction de catastrophes et de la Déclaration et du Cadre d’action de Hyogo 2005-2015.
      • Déclaration - Mar Del Plata, Argentine - novembre 2005
      • 11:
      Nous exprimons notre préoccupation pour l’intensité accrue des catastrophes naturelles ou causées par l’homme et leurs effets dévastateurs sur les vies humaines, l’infrastructure et les économies du Continent américain. Nous lançons un appel à l’action sur les plans national, régional et international pour renforcer les programmes de gestion des catastrophes, notamment par l’augmentation des capacités de préparation, l’établissement de systèmes d’alerte précoce, d’atténuation des risques et de reprise et de reconstruction, après les catastrophes, et d’assistance technique et financière, selon le cas, particulièrement pour les pays vulnérables à celles-ci, en vue d’atténuer leurs effets. Nous épaulons les efforts qui sont déployés pour envisager la participation des secteurs public et privé à l’adoption de mesures pour mettre en place un dispositif d’assurance contre les risques liés aux catastrophes naturelles.
      • Plan d’Action - Mar del Plata, Argentine - novembre 2005
      • 39:
      Améliorer substantiellement la capacité nationale, régionale et continentale pour atténuer les risques en vue de l’application des systèmes d’alerte précoce qui soient rentables et robustes, et améliorer les capacités de récupération et de reconstruction par suite des catastrophes. En collaboration avec les institutions internationales et régionales compétentes, envisager la possibilité de développer de façon coordonnée des systèmes publics-privés efficaces d’assurance contre les risques liés aux catastrophes naturelles.*
      • Déclaration - Nuevo León, Mexique - janvier 2004
      • 45:
      Nous nous engageons à accroître la coopération et à renforcer les institutions chargées de coordonner et de mettre en œuvre les actions visant à diminuer l’impact qu’exercent sur les personnes les catastrophes naturelles et leur effet sur les plans nationaux de développement, avec un accent sur les domaines de la prévention, de la réduction, des mesures d’urgence et de gestion des risques à leurs différents niveaux.
      • Déclaration - Québec, Canada - avril 2001
      • 21:
      Nous nous engageons à renforcer la coopération dans l'hémisphère ainsi que les capacités nationales pour mettre au point une approche plus intégrée de la gestion des catastrophes naturelles. Nous continuerons à mettre en ¦uvre des politiques renforçant notre capacité de prévenir et d'atténuer l'impact des catastrophes naturelles ainsi que d'intervenir dans de telles situations. Nous convenons d'étudier des mesures permettant de faciliter un accès opportun aux ressources financières nécessaires pour répondre aux besoins en cas d'urgence.
      • Plan d’Action - Québec, Canada - avril 2001
      • 140:
      Reconnaissant la nécessité d’élaborer, de mettre en œuvre et de soutenir des stratégies et des programmes communs complets de gestion des catastrophes pour réduire la vulnérabilité de nos populations et de nos économies aux catastrophes naturelles et à celles qui sont provoquées par l’homme, et pour maintenir ou restaurer rapidement des niveaux minimums de consommation, de revenu et de production dans les foyers et dans la communauté dans la période consécutive aux catastrophes, notamment pour les établissements irréguliers de personnes; constatant, à cet égard, la nécessité d’élargir la communauté des parties intéressées aux niveaux régional, national et local, qui sont engagés dans la formulation de systèmes d’alertes rapides, la gestion des risques et les opérations d’intervention en cas de catastrophes, et les stratégies intégrées de développement durable.
      • 141:
      Créer la capacité de prévoir les incidences potentielles des risques naturels et de ceux qui sont provoqués par l’homme, de s’y préparer et de les atténuer; promouvoir la réduction de la vulnérabilité; adopter et appliquer de meilleurs codes et normes de construction; assurer des pratiques appropriées d’utilisation des terres; inventorier et évaluer la vulnérabilité des installations et de l’infrastructure essentielle; estimer la variabilité des changements climatiques et la hausse du niveau de la mer, et en évaluer les incidences éventuelles; et, dans cette optique, créer le cadre légal requis et mettre en place les mécanismes coopératifs pour accéder, en les partageant, aux progrès de la science et de la technologie et à leurs applications dans les domaines de l’alerte rapide, de la préparation à ces risques et de leur atténuation.
      • 142:
      Promouvoir l’échange d’information sur la vulnérabilité de l’infrastructure exposée aux catastrophes ainsi que la capacité d’alerte rapide, en particulier dans les régions frontalières des pays des Amériques, afin de concevoir des mesures de prévention spécifiques dans les domaines de l’ingénierie et de la législation, dans le but de réduire les incidences socio-économiques des catastrophes naturelles.
      • 143:
      Créer ou renforcer, le cas échéant, des partenariats regroupant tous les acteurs pertinents, notamment le secteur privé, les associations professionnelles techniques, les institutions régionales, la société civile, les établissements d’enseignement et de recherche et d’autres organismes multilatéraux de coordination, tels que le Bureau de la coordination des affaires humanitaires (BCAH), dans le cadre de l’élaboration et de la mise en œuvre de politiques et de programmes de gestion des catastrophes aux niveaux national et communautaire, et promouvoir une plus grande sensibilisation et une intégration efficace de ces politiques et de ces programmes auprès des décideurs nationaux, des autorités locales, des communautés et des médias, et promouvoir l’assurance et la réassurance de l’infrastructure sociale et économique ainsi que la décentralisation de l’information et de la prise de décision.
      • 144:
      Promouvoir l’échange de connaissances et d’expériences concernant la lutte contre les pratiques incorrectes dans l’exploitation des ressources naturelles et les modes de consommation non durables, notamment les problèmes de gestion des déchets, qui augmentent la vulnérabilité des personnes aux catastrophes naturelles.
      • 145:
      Promouvoir le développement de télécommunications pour l’aide humanitaire; encourager activement une plus grande utilisation et interopérabilité des télécommunications et des autres technologies et systèmes d’information permettant l’observation et la surveillance des différents phénomènes naturels; recourir aux systèmes d’alerte rapide tels que les images de télédétection, les données du Système d’information géographique (SIG) qui sont nécessaires pour traiter les urgences et les éviter; promouvoir la compatibilité de ces systèmes, tant dans le cadre de la planification d’opérations d’urgence que pour y répondre, au sein des gouvernements, des organismes spécialisés, des organismes internationaux pertinents et des Organisations non gouvernementales (ONG) et envisager dans cet esprit, dans les meilleurs délais et selon le cas, de signer et ratifier, ou de ratifier la Convention de Tampere sur la fourniture de ressources en matière de télécommunications pour l’atténuation des catastrophes et des opérations de secours, ou d’y adhérer.
      • 146:
      Créer des réseaux d’information, avec la participation du Comité interaméricain pour la réduction des catastrophes naturelles (IACNDR) et d’autres organisations régionales et internationales pertinentes, pour échanger des connaissances et des expériences scientifiques et technologiques; encourager une action régionale et infrarégionale plus poussée afin de réduire les risques et de mieux réagir aux catastrophes naturelles; promouvoir les techniques conjointes de recherche et de développement, et contribuer à renforcer la coordination des agences nationales de prévention et d’intervention dans des situations de catastrophes naturelles; pour y parvenir, s’appuyer sur les travaux de la CEPALC dans le contexte de l’amélioration, de l’actualisation et de la mise en œuvre de ses méthodes d’évaluation des dommages, et continuer de promouvoir l’atténuation des catastrophes naturelles et la sensibilisation et la préparation à la réduction des risques.
      • 147:
      Envisager la création, à l’échelle de l’hémisphère, d’un système de prévention et d’atténuation des catastrophes susceptible d’inclure, entre autres, une base de données spécialisée, contenant les meilleurs renseignements sur les caractéristiques, les expériences, les points forts et les faiblesses des organismes nationaux et régionaux chargés de la prévention et de l’atténuation des catastrophes, et fournir un nouveau cadre pour la coopération technique et la recherche, dans le but de créer une culture de prévention et de solidarité hémisphérique.
      • 148:
      Adopter et soutenir, le cas échéant, des initiatives visant à promouvoir la création de capacités à tous les niveaux, telles que le transfert et le développement de technologies pour la prévention – réduction des risques, sensibilisation, préparation, atténuation – et la réaction aux catastrophes naturelles et aux autres catastrophes, ainsi que la remise en valeur des régions touchées.
      • 149:
      Promouvoir des mécanismes incorporant des méthodes de gestion et de réduction des risques dans les investissements publics et privés en matière de développement.
      • 150:
      Convoquer, dans un délai d’une année, une réunion hémisphérique sur l’état de préparation et les mesures d’atténuation des catastrophes, avec le soutien de l’IACNDR et la participation d’un large éventail d’entités gouvernementales, de banques régionales et de BMD, d’entités privées, d’organisations non gouvernementales et du milieu de la recherche, ainsi que des communautés scientifiques et techniques, pour discuter et déployer des efforts coopératifs en vue de faciliter la mise en œuvre des mandats du Sommet en matière de gestion des catastrophes.
      • 151:
      Demander à la BID d’entreprendre une étude de faisabilité en partenariat avec l’OÉA, la Banque mondiale, la Banque de développement des Caraïbes (BDC) et d’autres organisations interaméricaines pertinentes, ainsi que le secteur privé, notamment les compagnies d’assurance, sur des mesures visant à réduire et/ou à répartir les risques, de manière à diminuer les primes d’assurance contre les catastrophes, et sur des mécanismes visant à faciliter le financement de l’éventuelle reconstruction et le déblocage immédiat de fonds pour couvrir les besoins urgents du pays touché; cette étude examinerait la relation entre la réassurance et les capacités nationales et communautaires de gestion des catastrophes, ainsi que les tendances au désinvestissement et aux pertes d’emplois dans les secteurs économiques exigeant une couverture d’assurance onéreuse contre les catastrophes, et le rôle que ces mesures pourraient jouer à cet égard; partager avec le secteur privé des expériences dans les domaines de l’élaboration et de l’application d’outils de gestion des risques tels que des instruments de transfert des risques, des méthodes d’évaluation de la vulnérabilité et des mesures incitant à la réduction des risques pour le secteur privé.
      • 152:
      Reconnaissant que la protection de l’environnement et l’utilisation durable des ressources naturelles sont essentielles à la prospérité et à la durabilité de nos économies, ainsi qu’à la qualité de vie et de la santé des générations actuelles et futures; et étant déterminés à faire progresser le développement durable dans tout l’hémisphère conformément aux Déclarations et aux Plans d’action de nos Sommets des Amériques de 1994 et de 1998, et à la Déclaration et au Plan d’action du Sommet de Santa Cruz de la Sierra de 1996.
      • Plan d’Action - Québec, Chili - avril 1998
      • 109:
      Recourir aux sciences et à la technologie pour atténuer les dommages causés par les effets d'El Niño et d'autres sinistres comme les éruptions volcaniques, les ouragans, les tremblements de terre et les inondations et leur impact sur l'économie et les écosystèmes, par une meilleure capacité de prévision, de prévention et de réaction, de meilleures méthodes de recherche et de formation en gestion des sinistres, et l'application des sciences et de la technologie aux effets de la variabilité du climat sur la santé, l'agriculture et l'eau. Dans ce contexte, la recherche coopérative et l'échange d'informations concernant El Niño et les autres sinistres seront privilégiés.
      • 79:
      Encourager la mise en place de programmes de coopération pour faire face aux catastrophes naturelles et organiser les opérations humanitaires de recherche et de sauvetage.
      • Plan d'Action - Miami, États-Unis d’Amérique - décembre 1994
      • 20.7:
      Capacite operationnelle d'envoi de bénévoles spécialises, sur bref préavis et à la demande des Nations Unies, pour prendre vient de situations ou pour prévenir les effets engendrés par des désastres naturels et autres situations d'urgence humanitaire.

  • Antigua-et-Barbuda
    N/A
  • Argentine
    • Rapports
    • Date:  2015-06-12    Paragraphes: 60, 62, 1, 2, 3, 4, 5, 6
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-06-12    Paragraphes: 60, 62, 1, 2, 3, 4, 5, 6
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-06-12    Paragraphes: 60, 62, 1, 2, 3, 4, 5, 6
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-06-12    Paragraphes: 60, 62, 1, 2, 3, 4, 5, 6
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 60, 62, 1, 2, 3, 4, 5, 6
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 60, 62, 1, 2, 3, 4, 5, 6
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 60, 62, 1, 2, 3, 4, 5, 6
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 60, 62, 1, 2, 3, 5, 6
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 60, 62, 1, 2, 3, 4, 5, 6
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 60, 62, 1, 2, 3, 4, 5, 6
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 60, 62, 1, 2, 3, 4, 5, 6
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 60, 62, 1, 2, 3, 4, 5, 6
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 60, 62, 1, 2, 3, 4, 5, 6
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2010-12-21    Paragraphes: 60, 62
    Los compromisos asumidos en la V Cumbre de las Américas y consignados en los párrafos 60 y 62 de la Declaración de Puerto España (abril 2009) buscan mejorar la cooperación regional en todos los aspectos de la gestión de riesgos, desde la prevención hasta la rehabilitación, respetando las pautas de la Estrategia Internacional de la ONU para la reducción de desastres y del Marco de Acción de Hyogo para 2005-2015. En cumplimiento de estos compromisos nuestro país ha realizado las siguientes acciones:

    1. GRUPO DE TRABAJO CONJUNTO DEL CONSEJO PERMANENTE Y DEL CONSEJO INTERAMERICANO PARA EL DESARROLLO INTEGRAL DE LA OEA SOBRE “LOS MECANISMOS EXISTENTES SOBRE PREVENCIÓN, ATENCIÓN DE LOS DESASTRES Y ASISTENCIA HUMANITARIA ENTRE LOS ESTADOS MIEMBROS”

    Por impulso de la República Argentina la Asamblea General de la OEA, aprobó en junio de 2009 la resolución AG/RES. 2492 (XXXIX-O/09), que encomienda “…al Consejo Permanente y al Consejo Interamericano para el Desarrollo Integral convocar a una reunión para iniciar un proceso de diagnóstico conjunto sobre los mecanismos normativos y de coordinación existentes en materia de desastres naturales y asistencia humanitaria que considere la labor de coordinación que puede desempeñar la Organización y contemple la conveniencia de su actualización, presentando una propuesta de acción, a más tardar para el tercer trimestre de 2010” y “…Solicitar a ambos Consejos que consideren para el cumplimiento de tal mandato, la conformación de un grupo de trabajo conjunto integrado por representantes de los Estados Miembros quienes podrán ser asistidos por expertos de los países, de la Secretaría General, de organismos y entidades del Sistema Interamericano, internacionales, regionales y subregionales, pertinentes…”.
    En cumplimiento de esta Resolución en septiembre de 2009 se realizó una reunión conjunta del Consejo Permanente y la Comisión Ejecutiva Permanente del Consejo Interamericano para el desarrollo integral (CEPCIDI) de la OEA en la cual se aprobó la conformación de un Grupo de Trabajo Conjunto, bajo la presidencia de la República Argentina. En diciembre de 2009 se aprobó el Plan de Trabajo de dicho Grupo, consistente en la realización de 7 reuniones temáticas para analizar el rol de las agencias multilaterales, organismos regionales, organizaciones humanitarias y organismos que financian la ayuda humanitaria en situaciones de desastre natural; la Gestión de la reducción del riesgo – dispositivos de prevención; las alternativas para agilizar de la asistencia humanitaria y la búsqueda de consensos para efectivizar un sistema de coordinación regional.
    El 8 y 9 de abril del 2010, se llevaron a cabo las dos primeras reuniones del Grupo. El intercambio de experiencias de los Estados con expertos de OCHA, del Departamento de Desarrollo Sostenible la OEA, de la OPS, del PMA, de la Federación Internacional de la Cruz Roja, del PNUD, del BID y de la Estrategia Internacional para la Reducción de Desastres de la ONU (EIRD), entre otros, permitieron elaborar una síntesis y extraer recomendaciones con miras al informe final del Grupo de Trabajo, en particular las referidas a la importancia de alcanzar un compromiso entre los Estados Miembros que permita intercambiar, de manera oportuna y eficaz, información, herramientas, experiencias exitosas y buenas prácticas entre países, agencias internacionales, organismos regionales y subregionales y organizaciones, actores sociales y entidades de la sociedad civil, en cuanto a gestión de riesgos y atención a los desastres, así como a evitar la duplicación de esfuerzos y unir sinergias de los mecanismos existentes en interés de la región.
    A partir de septiembre de 2010, se prevé completar las reuniones de trabajo restantes, referidas a las facilidades jurídicas nacionales para agilizar la asistencia humanitaria y la de mecanismos de coordinación.

    2. “III REUNIÓN REGIONAL DE MECANISMOS DE ASISTENCIA HUMANITARIA INTERNACIONAL”.

    Este encuentro, organizado en forma coordinada con OCHA y con la colaboración de México y Brasil, dio continuidad a las reuniones de México (2008) y Florianópolis (2009) y se realizó lugar en Buenos Aires los días 17 y 18 de junio 2010.
    Participaron delegados de Argentina, Bolivia, Brasil, Colombia, Chile, Cuba, Ecuador, El Salvador, Granada, Guatemala, Haití, Jamaica, México, Nicaragua, Panamá, Paraguay, Perú, Santa Lucía y Uruguay; y representantes de los organismos subregionales relacionados con gestión de riesgo de desastres, CAPRADE, CDEMA, CEPREDENAC y REHU. También asistieron funcionarios de OPS y de la Federación Internacional de Sociedades de la Cruz Roja y de la Media Luna Roja.
    Las conclusiones quedaron reflejadas en la “Declaración de Buenos Aires”, cuyos principales aspectos se resumen a continuación:
    1. Desarrollo de herramientas de coordinación para evitar superposición de esfuerzos y lograr optimizar recursos, así como el fortalecimiento de los organismos y mecanismos subregionales.
    2. Asistencia de los organismos internacionales para la implementación de programas y proyectos, propuestas de capacitación y fortalecimiento institucional, destinados a los mecanismos nacionales, regionales y subregionales y a su mutuo relacionamiento.
    3. Desarrollo de herramientas operativas por parte de los países y aplicación de iniciativas sectoriales en el ámbito de la Asistencia Humanitaria; políticas nacionales, regionales y subregionales de manejo de la asistencia humanitaria en su conjunto y criterios compartidos para la movilización de recursos humanos que permitan garantizar la calidad de su desempeño, tomando en cuenta estándares nacionales e internacionales vigentes y reconocidos por los Estados.
    4. Conformar un grupo de seguimiento de las propuestas emanadas de la III Reunión, para su presentación en la IV Reunión. Dicho grupo hará el seguimiento, a partir del 1 de enero de 2011, de la Herramienta Virtual propuesta por Brasil en la II Reunión de Florianópolis, discutida y consensuada en el encuentro de Buenos Aires.
    5. El grupo de seguimiento, junto con la Federación Internacional de Sociedades de la Cruz Roja y la Media Luna Roja, colaborará en el diseño de un Compendio Normativo Regional. También acompañará los avances logrados en el desarrollo de recomendaciones para la elaboración de procedimientos formales de la Cancillería, o de las estructuras alternativas que se encarguen de la articulación de la asistencia humanitaria internacional en los distintos países que aún no cuentan con ellos.
    6. Elaboración de una propuesta de discusión de Guía de Operaciones para la asistencia humanitaria, en base a las ya existentes, para ser trabajada durante la IV Reunión.
    7. Análisis del modelo de manejo de suministros (SUMA LSS), para su posterior desarrollo como una herramienta subregional, promovida por la REHU.
    8. Promover propuestas para contribuir a la recuperación, revalorización, aplicación y fortalecimientos de saberes y prácticas ancestrales y contemporáneas, con pertinencia cultural y participación comunitaria, de los pueblos indígenas originarios y otros grupos étnicos.
    9. Recomendar a los organizadores de la IV Reunión que analicen la pertinencia de contemplar acciones integradas de reducción de riesgos de desastres socionaturales, asistencia humanitaria y desarrollo socioeconómico a través de mecanismos participativos que fortalezcan la resiliencia y la capacidad de respuesta de las comunidades locales.
    10. Respaldo a la campaña internacional “Saber Donar”, a fin de garantizar que la asistencia humanitaria internacional sea complementaria y coordinada con los esfuerzos del país afectado.

    3. III REUNIÓN ORDINARIA DE LA REUNIÓN ESPECIALIZADA DE REDUCCIÓN DE RIESGOS DE DESASTRES SOCIONATURALES, LA DEFENSA CIVIL, LA PROTECCIÓN CIVIL Y LA ASISTENCIA HUMANITARIA DEL MERCOSUR (REHU).

    La REHU fue creada en julio de 2009 por el Consejo del Mercado Común del MERCOSUR y realizó su tercera reunión en Buenos Aires el 16 de junio de 2010. La República Argentina promovió su creación en vistas del incremento de los desastres de origen natural y antrópico en la región, que mostró la necesidad de explorar mecanismos de coordinación en materia de asistencia humanitaria en el ámbito del MERCOSUR. Tiene en cuenta que los Estados Parte y Asociados al MERCOSUR han adoptado el Plan de Acción de Hyogo (2005-2015) en el marco de la Estrategia Internacional para la Reducción de Desastres (EIRD) de las Naciones Unidas, lo cual implica otorgar a los desastres un enfoque integral para la prevención, la mitigación, la atención y la recuperación.
    La Reunión Especializada considera que resulta indispensable que dentro del proceso de integración regional se instaure una relación institucional de carácter permanente entre los organismos encargados de la gestión de riesgos, a través de la coordinación y el funcionamiento sistémico de las instituciones públicas, privadas y organizaciones de la sociedad civil. La finalidad de la REHU es establecer relaciones de cooperación técnica y operativa, con vistas a avanzar en un proceso de diagnóstico conjunto sobre los mecanismos normativos y de coordinación existentes en materia de desastres socionaturales y asistencia humanitaria mediante el intercambio de información y experiencias entre los organismos nacionales competentes en la temática para favorecer los procesos de compatibilización que contemplen la conveniencia de establecer un mecanismo coordinador de la gestión de riesgos y la asistencia humanitaria en el ámbito del MERCOSUR.
    • Date:  2010-12-21    Paragraphes: 61
    Information disponible en Espagnol
    • Date:  2010-12-21    Paragraphes: 60, 62
    En la III Reunión de Buenos Aires se avanzó en la búsqueda de consensos para el intercambio de información; desarrollo de herramientas de coordinación; fortalecimiento de los organismos y mecanismos subregionales; apoyo de los organismos internacionales a través de programas y proyectos de capacitación; desarrollo de herramientas operativas en cada país; compromiso de los países para la elaboración de: Compendio Normativo Regional, Manuales de Procedimiento de Cancillería en los distintos países, Guía de Operaciones y Formalización de saberes ancestrales.

    4. PLATAFORMA NACIONAL PARA LA REDUCCION DE RIESGOS DE DESASTRE.

    El Marco de Acción de Hyogo para 2005-2015, aprobados en la Conferencia Mundial de las Naciones Unidas sobre Reducción de los Desastres, reunida en Kobe, Japón en enero de 2005 estableció tres objetivos estratégicos y cinco prioridades de acción.
    Los objetivos buscan: a) integrar las consideraciones del riesgo de desastres en las políticas y programas de desarrollo para prevenir y mitigar la vulnerabilidad; b) fortalecer las instituciones para aumentar la resiliencia ante amenazas; y c) incorporar criterios de reducción de riesgo en la fase de la reconstrucción. Las prioridades de acción procuran: a) destacar la importancia en la actividad de gobierno de la reducción de riesgo; b) potenciar la alerta temprana; c) crear una cultura de la seguridad, d) reducir los factores de riesgo subyacente; y e) fortalecer la preparación para asegurar respuestas eficaces.
    En cumplimiento de estas pautas –recogidas em el párrafo 62 de la Declaración de Puerto España- la Argentina ha desarrollado, a partir de 2007, el diseño de su Plataforma Nacional para reducción de desastres, emprendimiento de largo aliento que implica esfuerzos de carácter multisectorial e interdisciplinario y coordinación de los actores de los sectores público y privado para lograr la reducción de riesgos. La última reunión de la Plataforma Nacional se realizó en Buenos Aires el 15 de junio de 2010. Las plataformas nacionales son el primer elemento indispensable para lograr la articulación de mecanismos regionales y globales que hagan efectiva la aplicación de la Estrategia Internacional de Reducción de Desastres (EIRD).
    En relación al tema cambio climático se iniciaron conversaciones para firmar un acta complementaria de trabajo entre el Plan Estratégico Territorial (Ministerio de Planificación Federal, Inversión Pública y Servicios) y la Dirección de Cambio Climático (Secretaría de Ambiente y Desarrollo Sustentable). El objetivo del trabajo conjunto es incorporar en los análisis territoriales consideraciones de reducción del riesgo y adaptación al cambio climático. Al ser el PET de carácter federal, esto permitirá una cobertura total del territorio
    Como primer paso se procederá a seleccionar una provincia, que servirá de modelo piloto para el trabajo de análisis de vulnerabilidades relacionadas a los impactos del cambio climático y su variabilidad, y la generación de una propuesta integral de adaptación y reducción del riesgo.
    Se espera de esta manera poder avanzar en la creación de sinergias ínter-ministeriales y la incorporación de las cuestiones de DRR y adaptación en los planes de desarrollo.
    Asimismo, y como parte del plan de trabajo, se procederá al desarrollo de los lineamientos de la estrategia nacional de adaptación. Dicho emprendimiento contará con el apoyo de la Secretaría para las Américas de la Estrategia Internacional de Reducción de Desastres de las Naciones Unidas (UN¬EHUJ) quienes proveerán de apoyo técnico para el diseño de los lineamientos. De esta manera se busca sentar las bases para la Estrategia de Nacional de adaptación, la cual incorporará transversalmente las consideraciones de reducción del riesgo de desastres. En este sentido se trabajará en la articulación interna de los marcos de referencia respectivos, siendo estos el Programa de Trabajo de Nairobi sobre impactos, vulnerabilidad y adaptación al cambio climático (de la UNFCCC) y el Marco de Acción de Hyogo (de la ElRD). Argentina apoya en sus respectivos foros ambos marcos de referencia en los temas de adaptación y reducción de riesgos, respectivamente.
    Por otro lado, respecto a la promoción, sanción y aplicación de normativa de protección ambiental, la Secretaría de Ambiente y Desarrollo Sustentable ha venido trabajando y fortaleciendo su implementación a través de la generación de programas y proyectos en línea con dicha normativa. Un ejemplo de ello es la sanción del Decreto Reglamentario 91/2009 de la ley de Presupuestos Mínimos de Protección Ambiental de los Bosques Nativos (N° 26.331/2007). Es una prioridad la implementación de acciones derivadas de dicha ley, la cual establece los presupuestos mínimos de protección ambiental para el enriquecimiento, la restauración, conservación, aprovechamiento y manejo sostenible de los bosques nativos. y de los servicios ambientales que éstos brindan a la sociedad. Es por ello que a través de la resolución 256/2009 creóse el Programa Experimental de Manejo y Conservación de los Bosques Nativos.
    El sector forestal puede contribuir para mejorar la resiliencia de los bosques frente a las repercusiones adversas del cambio climático
    Se han sancionado asimismo, nuevas leyes que refuerzan el compromiso de proteger al medioambiente, como ser la Ley 26.562 (noviembre de 2009), la cual fija los presupuestos mínimos de protección ambiental para control de actividades de quema, con el fin de prevenir incendios, daños ambientales y riesgos para la salud y la seguridad públicas.
    Asimismo, Argentina viene hace tiempo promoviendo la generación y uso de energía el eléctrica a partir del uso de fuentes de energía renovables, plasmado en la ley Nº 26.190, así como también la regulación y promoción para la Producción y Uso sustentables de biocombustibles (Ley Nº 26.093)

    Por otro lado, se ha venido trabajando en conjunto con las jurisdicciones provinciales en miras a fortalecer el intercambio de información. la discusión de necesidades, barreras y acciones a llevarse a cabo, teniendo un fluido contacto con el Consejo Federal del medioambiente, participando periódicamente en el Comité Intergubernarnental sobre cambio climático, el cual funciona en el ámbito de la Secretaria.

    Por último, en lo que respecta al apoyo del trabajo del Panel lntergubernamental sobre el cambio climático (IPCC por sus siglas en inglés), Argentina ha venido participando activamente en las reuniones organizadas por dicha institución, estando nuestro país representado en el Bureau y en el Equipo especial sobre los inventarios nacionales de gases de efecto invernadero, a través de la elección de científicos argentinos tanto para la co-presidencia del Grupo de Trabajo 11 sobre vulnerabilidad, impacto y adaptación al cambio climático, como en el Grupo de Trabajo Especial sobre inventarios nacionales de gases de efecto invernadero. Debe destacarse la importancia que reviste la participación argentina en el proceso llevado en el marco del IPCC, por cuanto el mismo compromete e integra a gobiernos y a la comunidad científica. Por otro lado, genera un espacio para la discusión de las necesidades nacionales. Resulta de gran importancia mejorar y difundir el conocimiento global como regional sobre cambio climático y establecer las prioridades. Por ello, es menester que la Argentina forme parte de la toma de decisiones del IPCC con respecto a las cuestiones técnicas que serán tenidas en cuenta en el ámbito del Panel. Debe fomentarse el continuo flujo de información relativa a las necesidades y prioridades existentes en las distintas regiones, pudiendo posteriormente focalizar la labora realizarse en aquellas cuestiones que generen mayor preocupación.
    • Sources Connexes
    ARGENTINA- INFORME NACIONAL SOBRE CUMPLIMIENTO DE MANDATOS DE LA V CUMBRE DE LAS AMERICAS
    ARGENTINA- INFORME NACIONAL SOBRE CUMPLIMIENTO DE MANDATOS DE LA V CUMBRE DE LAS AMERICAS
  • Bahamas
    N/A
  • Barbade
    • Rapports
    • Date:  2015-12-18    Paragraphes: 1
    Information disponible en espagnol anglais
    • Date:  2015-12-18    Paragraphes: 5
    Information disponible en espagnol anglais
    • Date:  2011-06-21    Paragraphes: 60
    Risk Mitigation and Early Warning Systems
    Barbados has been at the forefront of the charge for a tsunamis and coastal hazards warning system for the Caribbean and Adjacent Regions. In fact, Barbados is about to enter into a host agreement with the Intergovernmental Oceanographic Commission of UNESCO, to host the first ever Caribbean Tsunami Information Centre, servicing the four major languages of the region, as assisting countries in preparing their people who speak a variety of creoles and dialects. Government, through the Standing Committee on
    Coastal Hazards, has been developing its own monitoring and detection systems, conducting hazard assessments, and building a national notification system for hazard alerts. As Barbados is the current Chair of the regional warning system's intergovernmental group, other countries have also been receiving assistance in the development of their own early warning capabilities.
  • Belize
    N/A
  • Bolivie
    N/A
  • Brésil
    • Rapports
    • Date:  2010-11-29    Paragraphes: 60
    International Humanitarian Assistance:
    The Brazilian government has been working to streamline a process of multidisciplinary and participatory coordination between government agencies and civil society groups. An Executive Decree issued on June 21, 2006, established the Inter-ministerial Working Group on International Humanitarian Assistance (GTI-AHI), comprising 15 government ministries under the coordination of the Brazilian Ministry of Foreign Relations. The purpose of the Working Group is to coordinate Brazilian humanitarian assistance efforts as well as formulate draft laws to establish the legal foundations for Brazil’s international humanitarian assistance activities. For the most part, the international humanitarian assistance resources authorized by Brazil’s Annual Budget Law (LOA) are used for donations of food, medicines, shelter kits, and other items necessary for basic survival. Such items may be distributed through Brazilian embassies and consulates in countries suffering the consequences of natural disasters, armed conflict, or social upheaval. Brazil’s humanitarian aid donations are ordinarily conducted through bilateral channels, and always at the request of the affected foreign government...continue
    • Sources Connexes
    REPORT OF THE FEDERATIVE REPUBLIC OF BRAZIL ON IMPLEMENTATION OF THE MANDATES ARISING FROM THE FIFTH SUMMIT OF THE AMERICAS (Brazil 2010)
  • Canada
    • Rapports
    • Date:  2010-06-18    Paragraphes: 60
    Le Canada a fortement appuyé les projets de réduction des risques de catastrophes dans les Amériques et dans la région des Caraïbes. De 2007 à 2012, le Canada contribuera en tout pour 20 millions de dollars au Mécanisme d'assurance contre les risques liés aux catastrophes dans les Caraïbes (CCRIF) et contribuera pour 20 millions de dollars au Programme de gestion des risques liés aux catastrophes dans les Caraïbes (CDRMP) de 2007 à 2015 afin d’accroître la capacité, au niveau régional, national et communautaire, d’atténuation, de gestion et d’intervention coordonnée en cas de risques naturels et technologiques et face aux effets du changement climatique. Le Canada a versé 250 000 $ à la Plate-forme régionale de la Stratégie internationale pour la prévention des catastrophes (SIPC) en 2009. De plus, le Canada appuie financièrement le Programme de préparation et de secours en situation d’urgence de l’Organisation panaméricaine de la santé depuis 1988. Le Canada participe activement au travail du comité ad hoc de l’Organisation météorologique mondiale (OMM) pour le réaménagement des services hydrométéorologiques d’Haïti. On a expédié de l’équipement spécialisé de technologie de l’information afin d’accroître la capacité de diffuser des prévisions et des veilles météorologiques, surtout pendant les saisons de pluie et d’ouragans de 2010. De plus, pour la saison des cyclones 2010, le Canada fournira des météorologues afin d’améliorer les capacités du Service météorologique haïtien. Le Canada a été choisi comme pays responsable de l’Équipe d’évaluation de l’OMM qui recommandera des projets de courte, de moyenne et de longue durée visant à accroître la capacité fonctionnelle des services météorologiques et hydrologiques d’Haïti.

    De plus, le Canada offre une aide financière à des organisations d’aide humanitaire en cas de catastrophe naturelle. Ces organisations ont pour mission d’assurer les besoins humains de base, notamment la sécurité physique, la nourriture, l’eau, les soins de santé et un refuge. Par exemple, à la suite du tremblement de terre en Haïti le 12 janvier 2010, le Canada a versé plus de 150 millions de dollars en aide humanitaire.
    • Date:  2010-06-18    Paragraphes: 61
    À la Plate-forme mondiale pour la réduction des risques de catastrophe au mois de juin 2009, le Canada a annoncé son engagement à créer une plate-forme nationale pour la réduction des risques de catastrophe, conformément à la Déclaration de Hyogo et au Cadre d’action. Une fois créée, la plate-forme nationale du Canada formera un milieu habilitant qui permettra de mieux sensibiliser et de favoriser l’intégration systématique, aux politiques, aux plans et aux programmes nationaux, des connaissances sur les risques et les mesures de réduction des conséquences de ceux-ci. La plate-forme nationale du Canada visera à solliciter la participation de tous les paliers de gouvernement et d’intervenants représentant divers secteurs afin de coordonner les efforts de gestion des risques et des effets éventuels. Par l’entremise de la plate-forme nationale, le gouvernement du Canada mettra à contribution des ressources et ses connaissances spécialisées afin de collaborer à des projets de réduction des risques de catastrophe nationaux, régionaux et internationaux. Depuis 2006, le Canada organise à tous les ans la campagne intitulée 72 heures… Votre famille est-elle prête?, qui reconnaît que la préparation en cas d’urgence est une responsabilité que doivent partager tous les paliers de gouvernement et les citoyens. La campagne incite les Canadiens à se préparer à se débrouiller seuls pendant au moins 72 heures après une catastrophe, ce qui permet aux premiers intervenants de s’occuper des personnes aux besoins urgents.

    Le Canada a également contribué au Programme de gestion des risques liés aux catastrophes dans les Caraïbes, qui a pour but d’accroître la capacité des organisations régionales, des gouvernements nationaux et des collectivités locales d’intervenir en cas de catastrophe naturelle et de réduire les effets de celles-ci.
    • Date:  2010-06-18    Paragraphes: 62
    Conscient des liens entre l’adaptation, la réduction des risques de catastrophe et autres questions touchant le développement, le Canada appuie la collaboration entre les nombreux acteurs, organismes et entités qui s’intéressent activement à ces questions. Le Canada a fait quelques investissements importants dans des projets de réduction des risques de catastrophe, en accordant une importance particulière aux Amériques. La contribution totale du Canada pour la réduction des risques de catastrophe dans la région s’élève à plus de 50 millions de dollars au cours de la période 2010-2015, fonds qui iront à des projets tels que le Mécanisme d’assurance contre les risques liés aux catastrophes dans les Caraïbes.
    • Sources Connexes
    Affaires étrangères et Commerce international Canada - Intervention en cas de catastrophe et réduction des risques
    Affaires étrangères et Commerce international Canada - Intervention en cas de catastrophe et réduction des risques
    Affaires étrangères et Commerce international Canada - Intervention en cas de catastrophe et réduction des risques
    Agence canadienne de développement international - Réduction de l'impact des catastrophes naturelles
    Agence canadienne de développement international - Réduction de l'impact des catastrophes naturelles
    Agence canadienne de développement international - Réduction de l'impact des catastrophes naturelles
    Canadian International Development Agency - Reducing the Impact of Natural Disasters
    Canadian International Development Agency - Reducing the Impact of Natural Disasters
    Canadian International Development Agency - Reducing the Impact of Natural Disasters
    Foreign Affairs and International Trade Canada - Disaster Response and Risk Reduction
    Foreign Affairs and International Trade Canada - Disaster Response and Risk Reduction
    Foreign Affairs and International Trade Canada - Disaster Response and Risk Reduction
    Public Safety Canada - Disaster Mitigation
    Public Safety Canada - Disaster Mitigation
    Sécurité publique Canada - Atténuation des catastrophes
    Sécurité publique Canada - Atténuation des catastrophes
  • Chili
    • Rapports
    • Date:  2013-05-24    Paragraphes: 1
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-24    Paragraphes: 3
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-24    Paragraphes: 4
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-24    Paragraphes: 4
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-05-24    Paragraphes: 6
    Information disponible en espagnol
    • Sources Connexes
    ACTA DE CONSTITUCIÓN DE LA PLATAFORMA NACIONAL DE REDUCCIÓN DEL RIESGO DE DESASTRES EN CHILE
    MARCO DE ENTENDIMIENTO RAHCH ONEMI
    MEMORANDUM DE ENTENDIMIENTO RED HUMANITARIA INTERNACIONAL EN CHILE
    PROTOCOLOS FIRMADOS ENTRE ONEMI Y ORGANISMOS INTERNACIONALES
  • Colombie
    • Rapports
    • Date:  2016-06-15    Paragraphes: 1
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2016-06-15    Paragraphes: 5
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2016-06-15    Paragraphes: 4
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-06-12    Paragraphes: 1, 2, 3, 4, 5, 6
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2015-06-12    Paragraphes: 5
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2014-05-30    Paragraphes: 1, 2, 3, 4, 5, 6
    • Date:  2014-05-30    Paragraphes: 5
    • Date:  2010-06-03    Paragraphes: 60
    Políticas e iniciativas para prevenir, mitigar y atender las consecuencias de los desastres naturales

    El Comité Andino de Prevención y Atención de Desastres (CAPRADE) realizó un ejercicio de simulación que consistió en la aplicación real y ordenada de la “Guía de operación para la asistencia mutua frente a desastres en los Países Andinos”, mediante un ejercicio de escritorio.

    En el marco del Programa de reducción de la vulnerabilidad fiscal del Estado frente a los desastres naturales, se está ejecutando el Proyecto de Asistencia Técnica para la Incorporación del Componente de Riesgo en los Planes de Ordenamiento Territorial, de manera articulada con el Proyecto de Asistencia Técnica en Gestión del Riesgo a nivel Departamental y Municipal.

    Fortalecimiento de las capacidades nacionales

    Se han venido diseñando e implementando Planes de Emergencia y Contingencias por Huracán, por Tsunami y por Erupción Volcánica, a fin de incluirlos en el ordenamiento territorial. Colombia cuenta con un Plan Nacional de Gestión de Riesgo por tsunami aprobado por el Comité Nacional para la Prevención y Atención de Desastres. Para el caso de las erupciones volcánicas, se tienen grandes avances en el Volcán Galeras, el Volcán Nevado del Huila, y se está implementando en el Volcán Cerro Machín.

    A nivel departamental y municipal, la Dirección de Gestión del Riesgo viene ejecutando desde 2008 el Proyecto de Asistencia Técnica en Gestión del Riesgo a nivel Departamental y Municipal, mediante el cual los municipios elaboran documentos de caracterización de escenarios de riesgo, plan municipal para la gestión del riesgo, plan de emergencia y contingencia, escolares y comunitarios. El proyecto ha avanzado en 120 municipios y prevé una meta anual de 150 municipios entre 2010 y 2013.
    • Date:  2010-06-03    Paragraphes: 62
    Fortalecimiento de la Cooperación Hemisférica

    Se vienen realizando esfuerzos de cooperación técnica con las iniciativas de gestión del riesgo existentes en el hemisferio, (CAPRADE, Proyecto Mesoamérica y Asociación de Estados del Caribe) con un enfoque integral en el manejo del riesgo de desastre.

    Colombia, a través de la Dirección de Gestión del Riesgo ha promovido y apoyado la realización de encuentros hemisféricos en Gestión del Riesgo, a fin de intercambiar experiencias exitosas y buenas prácticas en el área de la Gestión del Riesgo de Desastres (GRD) y Adaptación al Cambio Climático (ACC), implementadas por los Mecanismos y Redes Nacionales con el propósito de avanzar en la construcción y fortalecimiento de las Plataformas Nacionales para la Reducción del Riesgo de Desastres, bajo el Marco de Acción de Hyogo.

    En la II Sesión de la Plataforma Global para la Reducción de Riesgo de Desastre, que se llevó a cabo en Ginebra (Suiza) en junio de 2009, se consolidó la propuesta de realizar en Colombia el II Encuentro Hemisférico sobre Mecanismos y Redes Nacionales para la Reducción del Riesgo: de la Teoría a la Práctica, del 24 al 26 de febrero de 2010, en la ciudad de Santa Marta.
    • Sources Connexes
    Avances GdR1
    Avances GdR2
    Avances GdR3
    INFORME NACIONAL DE IMPLEMENTACIÓN Y SEGUIMIENTO DE LOS COMPROMISOS CONSIGNADOS EN LAS DECLARACIONES Y PLANES DE ACCIÓN DE QUEBEC, NUEVO LEÓN, MAR DEL PLATA, Y LA DECLARACIÓN DE COMPROMISO DE PUERTO ESPAÑA (Pág 31)
    INFORME NACIONAL DE IMPLEMENTACIÓN Y SEGUIMIENTO DE LOS COMPROMISOS CONSIGNADOS EN LAS DECLARACIONES Y PLANES DE ACCIÓN DE QUEBEC, NUEVO LEÓN, MAR DEL PLATA, Y LA DECLARACIÓN DE COMPROMISO DE PUERTO ESPAÑA (Pág 31)
  • Costa Rica
    N/A
  • Dominique
    N/A
  • El Salvador
    • Rapports
    • Date:  2013-06-24    Paragraphes: 1
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-06-24    Paragraphes: 1
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-06-24    Paragraphes: 2
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2013-06-24    Paragraphes: 3
    Information disponible en espagnol
    • Date:  2012-12-01    Paragraphes: 60
    Para enfrentar la violencia, es importante asegurar que en situaciones de desastres naturales o climáticos las mujeres no sean víctimas ni corran ningún riesgo de cualquier tipo de violencia y la ayuda humanitaria contemple las necesidades de las mujeres, evitando una doble victimización.

    En octubre de 2011, El Salvador fue afectado por la depresión tropical 12E; frente a los efectos de este fenómeno, desde el ISDEMU se desarrolló un monitoreo especializado de los albergues a nivel nacional, dando indicaciones para la aplicación de los lineamientos que establece el Proyecto Esfera. Esta es una ocasión destacable, en tanto fue la primera oportunidad en que el mecanismo para el avance de la mujer monitoreó, de forma efectiva, la aplicación de estas normas con el objetivo de prevenir situaciones de violencia hacia las mujeres.
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 60
    El Salvador ha implementado programas nacionales de reducción de riesgos y de fortalecimiento a la prevención de desastres cuyos objetivos estratégicos son: fortalecer la gestión ambiental pública, fomentar producción y consumo sustentables y fortalecer la ciudadanía sustantiva y activa frente a los problemas ambientales para lo que se han llevado a cabo las siguientes acciones:
    - Formulación y puesto en marcha el Programa Nacional de Reducción de Riesgo que busca fortalecer el conocimiento científico y la ampliación de la red instrumental de generación y procesamiento de información relacionada con los fenómenos naturales, con un de US$23.5 millones de dólares. El programa se ejecutará en todo el territorio nacional, poniendo énfasis en las zonas susceptibles a desbordamientos y deslizamientos localizados en el valle del Río Jiboa, Lago de Ilopango, Volcán de San Vicente, Río Acahuapa, Río Titihuapa, Zona costera central, y Área Metropolitana de San Salvador.
    Los componentes del Programa son: a) Atlas Dinámico de Riesgos: Mejorar el análisis y monitoreo y volcarlo en un sistema de información territorial en línea, b) Sistemas de Alerta Temprana en territorios prioritarios: se establecerán sistemas de alerta temprana (SATs) para inundaciones y deslizamientos en el AMSS, Cuscatlán, Ilopango, San Vicente y principales cuencas, c) Integración de perspectiva de reducción de riesgos en la inversión pública en infraestructura, vivienda y acciones de mitigación, d) Campañas ciudadanas de sensibilización y educación para la reducción de riesgos.
    - Fortalecimiento del monitoreo para alerta temprana hidrometeorológica y geológica a través de inversión en tecnología y recursos humanos especializados.
    - Fortalecimiento y ampliación de redes de observadores locales para la alerta temprana.
    - Planificación e implementación del proceso de rehabilitación y reconstrucción post desastre (huracán IDA) con criterios de reducción de riesgos.
    - Habilitación de delegados Municipales y departamentales para apoyo a la Protección civil.
    - Informe de evaluación técnica de las lluvias del 7 y 8 de noviembre 2009 (IDA) en El Salvador: Análisis del impacto físico natural y vulnerabilidad socio ambiental.
    - Iniciativa nacional para la elaboración de un Atlas dinámico de riesgos.
    - Digitalización y puesta a disposición de catálogo de documentos en los temas de amenazas y gestión de Riesgos.
    - Iniciativa gubernamental de mitigación de riesgos en cárcavas o inestabilidades de suelo a nivel nacional.
    - Iniciativas conjuntas entre gobierno y ONG´s para la intervención en zonas de alto riesgo a través de diferentes programas y proyectos.
    - Mediante la participación en la Comisión Nacional del Centro de Coordinación para la Prevención de los Desastres Naturales en América Central (CEPREDENAC) a través de la coordinación con la Secretaría Ejecutiva se da cumplimiento a lo propuesto en el Plan Regional de Reducción de Riesgos y en la implementación del Plan Plurianual de reducción de riesgos del CEPREDENAC.
    - Con la implementación de La Ley de medio ambiente y Recursos naturales en lo referente a trámites ambientales para nuevos proyectos de desarrollo urbanísticos, vivienda infraestructura estratégica, etc. Consideran el análisis de riesgo y las propuestas de medidas de mitigación.
    - Iniciativa nacional para la integración de perspectiva de reducción de riesgos en la inversión pública, infraestructura, vivienda y acciones de mitigación
    - Iniciativa gubernamental para la reubicación de población ubicada en zonas de riesgo, hacia sitios más seguros.
    • Date:  2011-06-20    Paragraphes: 61, 62
    Mapa de susceptibilidad por remoción en masa de suelos y rocas.
    Reforzamiento de la capacidad de generación de información para la toma de decisiones estratégicas en la gestión de riesgos necesarias para evaluar el grado de peligro o susceptibilidad a la remoción en masa de la formación geológica superficial y suelos generados por factores hidrometeorológicos, sísmicos, químicos o una combinación de éstos. Incluye desde cárcavas, avalanchas, deslizamientos, desprendimientos de roca, flujos de materiales mixtos, derrumbes y en general cualquier tipo de erosión intensa del suelo o de la formación geológica superficial.
    El mapa presenta una evaluación general del peligro por remoción en masa, con el fin de satisfacer las necesidades diagnósticas o de referencia para orientar la investigación y los estudios detallados acerca de la peligrosidad o susceptibilidad del terreno a presentar movimientos masivos de tierra. El mapa es una síntesis generalizada a escala 1: 50 000, por lo que debe considerarse como una cartografía analítica destinada a mostrar el predominio de un grado específico de susceptibilidad o peligro para un área determinada. En ese sentido, la clasificación de susceptibilidad alta, moderada y baja o sin peligro, es una primera clasificación y debe ser evaluada a escalas mas detalladas para tomar decisiones respecto del uso o las medidas de mitigación.
    A diez años del impacto que el sismo del 13 de enero de 2001, que dejó en pérdidas de vidas y daños a la infraestructura, el Gobierno de El Salvador ha realizado importantes avances en el monitoreo sísmico del país.
    Entre estos avances se destaca el fortalecimiento de la Red de Estaciones Sísmicas al duplicarlas en cantidad y calidad. De 42 estaciones sísmicas existentes, en 2011 se incrementarán a 82 distribuidas en todo el territorio salvadoreño.
    El nuevo equipo consiste en 5 estaciones de banda ancha (sismos de gran magnitud), 10 de período corto (sismos de baja y moderada magnitud), 15 portátiles y 10 de registro de movimiento fuerte o acelerográficas. Con esta tecnología se mejora y amplía la cobertura de la Red, principalmente, en zonas con alta actividad sísmica.
    Otro de los grandes adelantos es el proceso de automatización de la información que permitirá agilizar el procesamiento y difusión de los datos a la hora de generarse un sismo. Para ello, se han realizado diversas aplicaciones tecnológicas, ampliado la capacidad de hardware y software y el ancho de banda para el acceso a la información desde los sitios web institucionales.
    Este fortalecimiento de la red de monitoreo sísmico le permite a El Salvador, contar con más datos sobre las fuentes generadoras de sismos, su ubicación, comportamiento y caracterización de la actividad sísmica. Esta información es básica en la realización de estudios que permitan brindar lineamientos para la actualización de los códigos de construcción, la ubicación de infraestructura y la actuación inmediata ante una emergencia generada por sismos de gran magnitud.
    Además, se ha conformado la red del Sistema de Posicionamiento Global (GPS) para identificar y medir cambios en la corteza terrestre del país que permitan complementar datos para el estudio de fallas locales. Entre los resultados se cuenta con un mapa donde se representan los niveles de movimiento del terreno (aceleración) lo cual permite realizar estimaciones de los posibles impactos de la actividad sísmica en la infraestructura ya existente y datos que permitan mejorar el diseño de futuros proyectos de inversión.
    La investigación sobre la evaluación del riesgo sísmico es una de las acciones que se ha impulsado en el país, tomando en consideración la alta vulnerabilidad existente, principalmente en las áreas de mayor concentración urbanística. A partir de los resultados de estos estudios, se trabaja en la microzonificación sísmica del Área Metropolitana de San Salvador (AMSS).
    Con la microzonificación se conocerá cuáles son las zonas del AMSS más vulnerables a los movimientos sísmicos y poder modelar el impacto en la infraestructura crítica como: escuelas, hospitales e instituciones gubernamentales. Con esta información se le brindan herramientas específicas a los tomadores de decisión en la planificación, reforzamiento de estructura existente y enfocar acciones de emergencia por sismos de mediana a gran magnitud.
    Toda esta información preparada en mapas, gráficas, fotografías así como información impresa sobre la actuación durante y posterior a situaciones de desastres, se difundirá a través de los Centros de Información de Riesgo (CIR) a ubicarse en las zonas de alto riesgo. Durante el 2011 se completará la instalación de los 250 Centros de Información donde la población podrá acceder con facilidad a la información.
    Existe la certeza de que los sismos de pequeña, mediana y gran magnitud continuarán generando algún nivel de impacto en El Salvador, pero este tipo de eventos no pueden predecirse en ninguna parte del mundo. Sin embargo, se realiza una importante inversión técnica y financiera para mejorar los sistemas de monitoreo, estudio y generación del conocimiento que permita a las autoridades competentes y a la población en general, prepararse ante emergencias y prevenir grandes desastres, reduciendo la vulnerabilidad existente
    Realización del “Taller de Capacitación sobre Modelos de Riesgo Sísmico”, en el marco del proyecto de Evaluación Probabilística de Riesgo para América Latina (CAPRA)
    El proyecto CAPRA es una plataforma de información para apoyar la toma de decisiones en la gestión integral del riesgo ante eventos naturales peligrosos. Ha trabajado en Centroamérica para el desarrollo de herramientas que permiten analizar el comportamiento de las amenazas naturales y estimar el daño que éstas pueden causar. Cuenta con el apoyo de organismos internacionales de financiamiento para la ejecución de sus proyectos. Su objetivo es el de contribuir a reducir la
    vulnerabilidad y el impacto de desastres, como parte integral del proceso de desarrollo sostenible y transformación de la región, en el marco del Sistema de Integración Centroamericana (SICA).
    • Date:  2010-06-17    Paragraphes: 60
    - Implementación de programas nacionales de reducción de riesgos y de fortalecimiento a la prevención de desastres.

    - Fortalecimiento del monitoreo para alerta temprana hidrometeorológica y geológica a través de inversión en tecnología y recursos humanos especializados.

    - Fortalecimiento y ampliación de redes de observadores locales para la alerta temprana.
    - Planificación e implementación del proceso de rehabilitación y reconstrucción post desastre (huracán IDA) con criterios de reducción de riesgos.

    - Habilitación de delegados Municipales y departamentales para apoyo a la Protección civil.

    - Informe de evaluación técnica de las lluvias del 7 y 8 de noviembre 2009 (IDA) en El Salvador: Análisis del impacto físico natural y vulnerabilidad socio ambiental.

    - Iniciativa nacional para la elaboración de un Atlas dinámico de riesgos.

    - Digitalización y puesta a disposición de catálogo de documentos en los temas de amenazas y gestión de Riesgos.
    • Date:  2010-06-17    Paragraphes: 61
    - Con la implementación de La Ley de medio ambiente y Recursos naturales en lo referente a trámites ambientales para nuevos proyectos de desarrollo urbanísticos, vivienda infraestructura estratégica, etc. Consideran el análisis de riesgo y las propuestas de medidas de mitigación.

    - Iniciativa nacional para la integración de perspectiva de reducción de riesgos en la inversión pública, infraestructura, vivienda y acciones de mitigación.

    - Iniciativa gubernamental para la reubicación de población ubicada en zonas de riesgo, hacia sitios más seguros.

    - Iniciativa de campañas ciudadanas para concienciación hacia la población en la construcción progresiva de una cultura de reducción de riesgos y desastres.

    - Iniciativa gubernamental de mitigación de riesgos en cárcavas o inestabilidades de suelo a nivel nacional.

    - Iniciativas conjuntas entre gobierno y ONG´s para la intervención en zonas de alto riesgo a través de diferentes programas y proyectos (DIPECHO, GTZ, JICA, etc)
    • Date:  2010-06-17    Paragraphes: 62
    - Mediante la participación en la Comisión Nacional CEPREDENAC a través de la coordinación con la Secretaría Ejecutiva de CEPREDENAC se da cumplimiento a lo propuesto en el Plan Regional de Reducción de Riesgos y en la implementación del Plan Plurianual de reducción de riesgos del CEPREDENAC.

    - Declaración conjunta entre los gobiernos de El Salvador y Guatemala para temas de interés común entre ellos el fortalecimiento de los lazos de cooperación y asistencia técnica para la reducción de riesgos y la Prevención de los desastres.

    - Se encuentra en proceso de aprobación una Política Centroamericana de gestión integral de riesgos.
    • Sources Connexes
    Informe de evaluación técnica de las lluvias del 7 y 8 de noviembre 2009 (IDA) en El Salvador: Análisis del impacto físico natural y vulnerabilidad socio ambiental
  • Équateur
    N/A
  • États-Unis d’Amérique
    • Rapports
    • Date:  2014-06-02    Paragraphes: 3
    Renewable Energy and Climate Change – Metrology and Technology Challenges for the Americas
    - The United States and the OAS are implementing the Metrology and Technology Challenges for the Americas project. The collaborative project provides regional capacity-building activities through workshops, seminars, training, exchange missions and targeted technical or policy assistance as core, demand-driven activities to be implemented within the region.
    - The goals of the project contribute to ECPA’s goals for advancing of renewable energy technologies and low carbon economic growth. The project assists in the development of measurement capabilities and standards for renewable energy and climate science to reduce the region’s potential contribution to climate change, while promoting its overall economic development and energy independence.
  • Grenade
    N/A
  • Guatemala
    N/A
  • Guyana
    • Rapports
    • Date:  2010-11-29    Paragraphes: 61
    XIX. PROMOTING ENVIRONMENTAL SUSTAINABILITY
    68.Another major component of the LCDS regards the further protection of Guyanese people and productive land from changing weatherpatterns. The LCDS proposes urgent, near-term investments in the highest priority areas where the population and economic activity are concentrated. These investments include:
    • Upgrading infrastructure and assets to protect against flooding through urgent, near-term measures.
    • Addressing systematic and behavioral concerns. These initiatives include strengthening building codes, expanding the early warning system and building an emergency response system.
    • Developing financial and risk/insurance measures to boost resiliency post flooding.
    • Switching to flood resistant crops.
    • Addressing the climate change adaptation needs of Guyana’s hinterland regions, including forest communities.

    Source: NATIONAL REPORT OF GUYANA ON FOLLOW-UP AND IMPLEMENTATION OF THE MANDATES OF THE DECLARATION OF COMMITMENT OF THE V SUMMIT OF THE AMERICAS – PORT-OF-SPAIN (Guyana 2010)
  • Haïti
  • Honduras
    • Rapports
    • Date:  2012-04-01    Paragraphes: 60, 61, 62
    Fortalecer la capacidad nacional técnica e institucional para la
    reducción, prevención, preparación, respuesta, rehabilitación,
    resiliencia, reducción de riesgos, mitigación del impacto y
    evaluación de os desastres. Sistemas de Monitoreo y Alertas.
    Honduras ha reglamentado e implementado la Ley del Sistema Nacional de Gestión
    de Riesgos SINAGER, de la cual ha editado una versión popular para facilitar su
    socialización. También cuenta con el Plan Nacional de Gestión de Riesgos en el
    Sector Educación y tiene en proceso de conformación el Plan Nacional de Gestión
    Integral de Riesgos.
    Asimismo, trabaja en la Guía para la Gestión de Riesgos en la Inversión Pública, y ha
    caracterizado a 81 municipios como vulnerables, a través del Proyecto Mitigación
    de Desastres Naturales. Estos municipios están incluidos en un proceso de
    desarrollo territorial con enfoque de gestión de riesgo.
    Por otra parte, con apoyo de España, está en ejecución el Proyecto Modernización
    del Equipamiento de Observación Medioambiental y Protección Civil, relativo a la
    construcción de las sedes regionales de Comité Permanente de Contingencias
    (COPECO).
    El tema de Gestión de Riesgos es un eje transversal en los planes de desarrollo de
    Honduras.
    Planicación y códigos de construcción
    En septiembre del año 2010, Honduras aprobó el Código de Construcción.
    Cooperación en la reducción y gestión de desastres naturales
    Con recursos provenientes del Proyecto de Mitigación de Desastres Naturales
    (PMDN) del Banco Mundial, se construyeron 59 obras de Mitigación.
    También se encuentra en ejecución el Proyecto Mitigar del BID, mediante el cual se
    construirán 55 obras de mitigación, de las cuales se concluyeron 7 en el año 2011, y
    se espera construir 14 durante el presente año 2012. También se hará la
    caracterización de amenazas, vulnerabilidad y riesgo de otros 20 municipios
    vulnerables.
  • Jamaïque
    N/A
  • Mexique
    • Rapports
    • Date:  2014-05-30    Paragraphes: 1, 3, 4, 6
    En mayo de 2013, el presidente Enrique Peña Nieto instruyó a tomar seis acciones concretas para hacer de México una nación menos vulnerable al riesgo por desastres, favoreciendo el enfoque de preparación y prevención.

    • Enfatizando la importancia de trabajar e invertir en acciones preventivas, México ha consolidado su colaboración con la Estrategia Internacional de las Naciones Unidas para la Reducción de Desastres (EIRD). En ese sentido, en representación de México, la Coordinación Nacional de Protección Civil de la Secretaría de Gobernación participó en la IV Plataforma Global para la Reducción del Riesgo de Desastres (19-23 mayo 2013, Ginebra, Suiza). En ese foro, México enfatizó la importancia de trabajar en acciones preventivas. (mGRD1) (4)

    • México ejerce la presidencia del Grupo de Apoyo de la EIRD, de junio de 2013 a junio de 2014. En ese ámbito nuestro país impulsa diálogos entre los actores internacionales para identificar los elementos que integrarán el nuevo marco global para la preparación ante desastres, denominado Marco de Acción de Hyogo 2, que será adoptado en la Conferencia Mundial para la Reducción del Riesgo de Desastres que tendrá lugar en marzo de 2015, en Sendai, Japón.


    • En 2013, México efectuó una contribución financiera voluntaria al Sistema de las Naciones Unidas para la atención a emergencias humanitarias
    • En septiembre de 2013, tras el paso de los huracanes Ingrid y Manuel, México ha dado continuidad a sus labores de ayuda humanitaria y ha trabajado con la Oficina de las Naciones Unidas para la Coordinación de la Asistencia Humanitaria (OCHA) y sus mecanismos operativos, como Equipos de Evaluación y Coordinación en Casos de Emergencia (UNDAC) y los Equipos de Búsqueda y Rescate (INSARAG). En 2013, un experto mexicano se capacitó como experto UNDAC.
    • Del 16 al 18 de octubre de 2013, México participó en la VI Reunión Regional sobre Mecanismos Internacionales de Asistencia Humanitaria (MIAH), realizada en Kingston, Jamaica. En dicha reunión, México resaltó la necesidad de trabajar estrechamente con el sector privado como esfuerzo integral de respuesta humanitaria.

    • En enero de 2014, México se convirtió en campeón del “Programa Global de Escuelas Seguras” que promociona en conjunto con la Estrategia Internacional de las Naciones Unidas para la Reducción de Desastres (EIRD). El programa tiene el objetivo de reducir la vulnerabilidad ante desastres en las escuelas de México y la región.
    • En junio de 2013, México asumió junto con Finlandia, la copresidencia del Grupo de la Buena Donación Humanitaria (GHD), plataforma desde donde se promociona la importancia de las asociaciones público privadas en respuesta a emergencias por desastres.
    • México ha participado en las actividades del Grupo de Trabajo de Preparación ante Emergencias del Foro de Cooperación Económica Asia-Pacífico, ya que estima que la creación de capacidades es un elemento fundamental para el tratamiento del ciclo de prevención, atención y mitigación del riesgo.
    • El 30 de agosto de 2013, se publicó el Programa Nacional para la Igualdad de Oportunidades y no Discriminación contra las Mujeres (PROIGUALDAD 2013-2018), cuyo objetivo es impulsar la institucionalización y transversalización de la perspectiva de género en todo el quehacer gubernamental, incluido la gestión integral de los riesgos de desastres. Esta política pública reconoce la vulnerabilidad que enfrentan las mujeres ante los riesgos de desastres en función de los roles que desempeñan y los espacios en que se desarrollan.
    • En el marco del Sistema Nacional de Protección Civil, el Instituto Nacional de las Mujeres ha incorporado criterios de género en el Sistema de Análisis y Visualización de Escenarios de Riesgo (SAVER), para identificar indicadores como hogares jefaturados por una mujer, población hablante de lengua indígena, instancias de la Mujer en las Entidades Federativas, porcentaje de mujeres por rango de edad, entre otros.
    • Date:  2012-12-31    Paragraphes: 60, 61, 62
    • Durante 2012 se continuó la operación y mantenimiento del sistema de monitoreo de los volcanes activos del país, con especial atención al sistema del volcán Popocatépetl; en este mismo rubro se realizaron los análisis químicos de las cenizas y de aguas de manantiales y pozos cercanos a volcanes activos. Asimismo, se continuó el mejoramiento al sistema de monitoreo de flujos de lodo del volcán de Colima y se mantuvo en operación la Red de Observación sísmica del Centro Nacional de Prevención de Desastres (CENAPRED).

    • Se logró la consolidación del Sistema de Análisis y Visualización de Escenarios de Riesgo (SAVER) durante marzo de 2012, cuya prioridad fue contar con procesos dinámicos para la publicación de la información. Adicionalmente se definió el proyecto “Integración de Atlas Estatales de Riesgos, mediante el SAVER 3.0” que permitirá la armonización de los análisis estatales de peligro existentes en una plataforma tecnológica homogénea.

    • Durante el periodo abril-agosto de 2012 se atendió la etapa eruptiva del volcán Popocatépetl, durante la cual sesionó frecuentemente el Comité Científico Asesor del volcán, generando recomendaciones a las autoridades de protección civil.

    • Se realizó un simulacro nacional con escenario de sismo el 19 de septiembre de 2012 en el bunker de la entonces Secretaría de Seguridad Pública, contando con la participación de diversas instituciones del Gobierno Federal y otros organismos.

    • México se integró como miembro formal al Grupo Asesor Internacional de Operaciones de Búsqueda y Rescate, así como al equipo de las Naciones Unidas de Evaluación y Coordinación en Casos de Desastre (UNDAC), antecedente que fue determinante en la elección de México para copresidir la Presidencia del Grupo Asesor Internacional de Operaciones y Búsqueda de las Américas (INSARAG) 2012

    • En el periodo de 2012 se analizaron alrededor de 900 registros de fenómenos de diferente magnitud y clasificación, intentando en lo posible cuantificar los efectos de cada uno de ellos.

    • La Escuela Nacional de Protección Civil (ENAPROC) trabajó en el periodo de 2012 en el diseño, desarrollo, implementación y operación de dos sistemas: El sistema escolarizado de formación a partir de ofertas educativas en temas de protección civil y el sistema de certificación de competencias laborales.

    • Durante el año 2012 se revisaron los textos “Juego y Aprendo con mi Material”, de 3° de preescolar; “Ciencias Naturales” y “Geografía” de 3° y 4° de primaria respectivamente, con el fin de promover desde temprana edad la cultura de prevención y autoprotección.

    • Fueron evaluados 28 atlas estatales de peligro, empleado como base el formato Cédula de Evaluación de Contenido Técnico de la Dirección de Investigación del (CENAPRED) que constituyen insumos básicos para el Atlas Nacional de Riesgos.

    • Se establecieron vínculos entre el CENAPRED y el Servicio Geológico de Estados Unidos (USGS), para realizar proyectos conjuntos en materia de prevención y mitigación del riesgo por laderas inestables.

    • Se capacitaron 1,269 personas en el marco de la Red Nacional de Evaluación (RENE), mientras que en colaboración con la Universidad Nacional Autónoma de México (UNAM) se logró desarrollar un curso en línea y un sistema de recopilación de datos.

    • Se vinculó el proceso de atención ciudadana en materia de protección civil con el programa de Comunidades Resilientes, que contribuye a que la ciudadanía realice una identificación de peligros y amenazas locales que permitirá una identificación temprana de localidades de riesgo.

    • En materia de códigos de construcción, se elaboró el componente de la Estrategia Nacional para la Reducción del Riesgo de Desastres, dedicado a identificar población en riego, cuantificar el rezago habitacional y estimar el proceso de inclusión de las empresas constructoras en México en la identificación de modelos de vivienda resistentes a fenómenos naturales.

    • En relación a los planes nacionales de prevención, mitigación y recuperación después de un desastre, se inició el proyecto de un Plan Nacional de Respuesta y otro de actualización del Manual de Organización y Operación del Sistema Nacional de Protección Civil, para incluir las actualizaciones de la nueva Ley General de Protección Civil.

    • A finales de diciembre de 2012 se puso en marcha el Sistema de Alerta Temprana par frentes Fríos y Nortes que constituye un complemento importante del Sistema de Alerta Temprano para Ciclones Tropicales.

    • Respecto a las estrategias de cooperación internacional en el periodo de 2012, se realizó el siguiente trabajo:

    • Se realizaron acciones de cooperación trilateral entre México y Japón hacia El Salvador y Haití para dar atención a los proyectos “Mejoramiento de la tecnología para la construcción y difusión de la vivienda social sismo-resistente en la República de El Salvador (TAISHIN Fase II)” y “Contribución a la formación de recursos humanos y al desarrollo de herramientas para la edificación sismo-resistente en Haití”, respectivamente.

    • Propuesta del Gobierno de Australia referente a un proyecto para fortalecer las capacidades gubernamentales en la planeación de la continuidad de negocios en caso de desastre, expuesto en el marco del Foro de Cooperación Económica Asia-Pacifico (APEC).

    • Propuesta de cooperación de intercambio de información sobre manejo de prevención de desastres entre la Secretaría de Gobernación (SEGOB) y el gobierno de Trinidad y Tobago.

    • Aplicación hasta el 31 de diciembre de 2012 del “Marco de Cooperación entre el Gobierno de los Estados Unidos Mexicanos y el Programa de Naciones Unidas para el Desarrollo (UNDAF) 2008-2012”.

    • México participa activamente en el INSARAG, con el objetivo de contribuir en el mejoramiento de estándares para la asistencia de los Equipos de Búsqueda y Rescate Urbanos (USAR), así como en la coordinación de la respuesta nacional e internacional a desastres de gran magnitud.

    • Con el objetivo de fortalecer los sistemas de monitoreo, vigilancia, comunicación y de alerta temprana, se pusieron en marcha el Sitio Colaborativo del Grupo Internacional para Lluvias y Ciclones Tropicales (SCGI-CT) y el Sistema de Vinculación y Respuesta para Emergencias (AVRES), que permitirán coordinar las operaciones estratégicas que llevan a cabo las dependencias federales, estatales y organismos involucrados, a fin de dar seguimiento a la presencia de fenómenos que pudieran desencadenar desastres.

    PARA MAYOR INFORMACIÓN PUEDE CONSULTAR LOS ENLACES LOCALIZADOS EN EL BLOQUE “RECURSOS RELACIONADOS”, AL FINAL DE ESTA PÁGINA

    CENTRO NACIONAL DE PREVENCIÓN DE DESASTRES (CENAPRED)
    http://www.cenapred.unam.mx/es/

    SISTEMA NACIONAL DE PROTECCIÓN CIVIL
    http://www.proteccioncivil.gob.mx/
    • Date:  2011-12-31    Paragraphes: 60, 61, 62
    • Se llevó a cabo la Reunión Nacional de Protección Civil para la Temporada de Lluvias y Ciclones Tropicales 2011, los días 12 y 13 de mayo, en la ciudad de Puerto Peñasco, Sonora.

    • Se creó el Sitio Cooperativo del Grupo Interinstitucional para Lluvias y Ciclones Tropicales, con el objeto de coordinar las operaciones estratégicas que llevan a cabo las dependencias federales, estatales y organismos involucrados, a fin de dar seguimiento a la evolución, posible impacto y trabajos de coordinación, ocurridos ante la presencia de fenómenos hidrometeorológicos severos.

    • Se realizaron diversos recorridos en la rutas de evacuación del Volcán Popocatépetl en coordinación con personal de las Unidades de Protección Civil de los estados de Morelos, Puebla, Tlaxcala y México

    • Durante el periodo comprendido de mayo a diciembre de 2011, se realizaron 2 jornadas Regionales de Protección Civil (Centro Occidente y Norte), las cuales tuvieron como sede los Estados de Guanajuato y Sinaloa, con una participación de 12,358 integrantes del Sistemas Nacional, Estatal y Municipal de Protección Civil, con el fin de fomentar la relación interinstitucional entre los tres niveles de gobierno, la solidaridad interestatal y municipal.

    • Por primera vez se Diseñó la Campaña “Tu nombre, tu Rostro y tu Voz, por la Protección”. Esta campaña pretende comunicar a la población los riesgos existentes, así como informarlos respecto a qué hacer en caso de que ocurra de una emergencia provocada por la presencia de lluvias, incendios forestales y sismos, entre otros fenómenos.

    • El 23 de julio de 2011, se participó en la XXIV Convención Nacional Cruz Ámbar, en Ciudad Victoria, Tamaulipas, y se presentó la ponencia “La Protección Civil frente al cambio Climático” ante los integrantes de dicha organización.

    • La creación de la Escuela Nacional de Protección Civil, 19 de septiembre de 2011, ofrece la posibilidad de contar con una instancia educativa en formación técnica y educación superior que aportará la visión técnico-profesional para el tratamiento de las condiciones de vulnerabilidad física y social en la República Mexicana. Esta nueva instancia brindará la posibilidad de certificar los conocimientos y competencias especializadas en la materia.

    • El programa federal denominado Programa Municipio Seguro Resistente a los Desastres cumplió un año el pasado 8 de septiembre 2011, logrando la incorporación de sus primeros 60 municipios.

    • Se actualiza permanentemente el catálogo de Cursos publicado en la página de internet del Sistema Nacional de Protección Civil, con el objeto de profesionalizar a los integrantes de los Sistemas Estatales y Municipales de Protección Civil.

    • Se revisaron diversos planes y programas estatales y municipales de protección civil con medidas puntuales para la reducción del riesgo de desastre, equidad de género y medidas de reducción de peligros ambientales.

    • Se desarrollaron bases de datos de los municipios con mayores declaratorias de desastre, identificación que servirá para elaborar un análisis pormenorizado de las características de esos municipios que estudiarán las estrategias de prevención para evitar el gasto innecesario de los recursos del erario público en desastres.

    • A efecto de enriquecer y apoyar las acciones municipales en materia de protección civil, se impartieron 8 Cursos Taller en materia de protección civil, beneficiándose 709 participantes de 412 Municipios de los Estados de Baja California Sur, Campeche, Chihuahua, Tamaulipas, Yucatán y Veracruz.

    • Se tomaron cursos de georreferenciación impartidos por el Centro Nacional de Prevención de Desastres y el Instituto Nacional de Estadística y Geografía. Ambos cursos sirven para el desarrollo del proyecto de identificación y mapeo de riesgos a nivel comunitario.

    • Se participó en el Análisis de Riesgos para la Toma de Decisiones Regulatorias, organizada por la Dirección General de Normas de la Secretaría de Economía y se participó en el Seminario de Normalización Internacional, organizado por esa misma dirección general.

    • Se instaló y atendió un Pabellón del Sistema Nacional de Protección Civil en el evento denominado “Semana de la Seguridad implementada por el Banco de México”, para difundir el quehacer del Sistema Nacional de Protección Civil.

    • Se han incorporado contenidos de protección civil y gestión integral del riesgo de desastres en todos los grados de educación básica, realizando la revisión técnica de los libros de texto de distribución gratuita.

    • Se actualizó el Directorio de Refugios Temporales en el país: Se contabilizaron 12 mil 590 Refugios Temporales de las Unidades Estatales de Protección Civil, que permitirán la planificación de alojamiento, abrigo, alimentación y asistencia médica a la población, en todo el país.

    • Se asistió a las reuniones de trabajo que convoca la Secretaría de Medio Ambiente y Recursos Naturales, coordinadora del Grupo de Mitigación, perteneciente a la Comisión Intersecretarial de Cambio Climático.

    • Del 12 al 14 de octubre de 2011, México participó en el intercambio de conocimiento para la elaboración de un Ejercicio Nacional de Sismos, celebrada en San Luis Potosí, México, teniendo como objetivo fortalecer las acciones preparativas que encabeza la Secretaría de Gobernación para la realización de un Ejercicio del Sismo de México.

    • El Centro Nacional de Prevención de Desastres (Cenapred) ha contribuido de manera importante en la integración de la Estrategia de preparación y respuesta de la Administración Pública Federal ante un sismo y tsunami de gran magnitud “Plan Sismo”, cuyo objetivo es establecer el marco de acción del Gobierno Federal en apoyo a las entidades federativas, la sociedad civil y el sector privado para brindar a la población una atención efectiva y oportuna, ante un escenario de sismos y tsunamis de gran magnitud en nuestro país.

    • Con el objetivo de reforzar la infraestructura de monitoreo sísmico del país, reforzar las alertas de sismos y creación del Sistema Nacional de Alerta del Tsunami (SINAT), se inició y dio seguimiento al proyecto de la Red Sísmica Mexicana, segunda fase.

    • Se desarrolló y aplicó la Cédula de Levantamiento de información para la integración del Diagnóstico de las Unidades Estatales y Municipales de Protección Civil. En diciembre de 2011, se obtuvieron 23 cédulas estatales y 672 cédulas municipales debidamente requisitadas, lo que nos permite conocer la capacidad instalada de las Unidades Estatales de Protección Civil.

    • Se integraron las bases de datos sobre accidentes en el autotransporte federal de materiales peligrosos, con el propósito de identificar los posibles tipos de eventos peligrosos, así como estimar las frecuencias y probabilidades condicionadas de dichos accidentes.

    • En 2011 se atendieron diversos foros Internacionales, entre los que destacan 1) “Enfoque Estratégico para la Gestión de Productos Químicos a Nivel Internacional (SAICM)”; 2) “Plataforma Internacional para la Reducción del Riesgo Sísmico (IPRED)”; 3) “Marco de Acción de Hyogo 2005-2015”; 4) Diseño e impartición, con el Apoyo de la Secretaría de Relaciones Exteriores (SRE) y la Agencia de Cooperación Internacional del Japón (JICA), del “5° Curso Internacional Multidisciplinario sobre Programas de Protección Civil y Prevención de Desastres”; 5) “20 Taller Japón-Perú sobre el Mejoramiento de la Tecnología para la Reducción de Desastres por Sismos y Tsunamis”; 6) “8° Conferencia Internacional sobre Ingeniería Sísmica Urbana”; 7) Visita del Director General de la Oficina Nacional de Emergencia del Ministerio del Interior (ONEMI) de Chile, para dialogar sobre la experiencia de México y la posibilidad de establecer un programa de cooperación; 8) “33ª Conferencia Anual Nacional sobre Huracanes”; 9) ”Taller 2011 sobre la Gestión de Desastres Relacionados con Tifones y Lluvias Torrenciales”; entre otros.

    PARA MAYOR INFORMACIÓN PUEDE CONSULTAR EL ENLACE LOCALIZADO EN EL BLOQUE “RECURSOS RELACIONADOS”, AL FINAL DE ESTA PÁGINA

    PROGRAMA MUNICIPIO SEGURO: RESISTENTE A DESASTRES
    http://portal.proteccioncivil.gob.mx/temasinteres/pmsrd/pmsrd_cca_se.pdf
    • Date:  2010-12-02    Paragraphes: 60
    Desastres Naturales
    • El Fondo de Desastres Naturales (FONDEN) es un instrumento de coordinación intergubernamental e interinstitucional que, ante la eventualidad de algún desastre natural, permite al Gobierno Federal apoyar a las entidades federativas del país, así como a las dependencias y entidades de la Administración Pública Federal (APF), para hacer frente a situaciones de emergencia, proporcionar atención inmediata a la población y reparar los daños ocasionados por fenómenos naturales, en el marco del Sistema Nacional de Protección Civil.
    • El Ejecutivo Federal, a través de la Secretaría de Gobernación (SEGOB) coordina el Sistema Nacional de Protección Civil, que tiene como finalidad proteger a la persona y la sociedad ante la eventualidad de algún desastre provocado por agentes naturales o humanos.
    • En mayo de 2009 se publicaron en el Diario Oficial de la Federación (DOF) las nuevas reglas de operación del FONDEN, cuyos cambios están reflejados en:
    o Simplificación y agilización de los procesos.
    o Disponibilidad de recursos inmediatamente después de ocurrido el desastre.
    o Mayores incentivos para transferir los riesgos a los mercados financieros y de capitales, a través de apoyos en el diseño de esquemas de aseguramiento.
    o Aumento en los porcentajes de coparticipación con cargo al FONDEN.
    o Mayor cobertura en diversos aspectos y sectores de la infraestructura pública.
    o Incremento sustancial en los apoyos al sector vivienda.
    • En 2009 se iniciaron los trabajos para modificar el marco jurídico que regula la operación del Fondo para la Prevención de Desastres Naturales y el Fideicomiso Preventivo, orientado a unificar ambos instrumentos bajo las figuras de un fideicomiso y un programa de financiamiento.
    • Asimismo, se difundió la cultura de la protección civil, a través de los eventos desarrollados en el marco de las Jornadas Regionales...continue
    • Date:  2010-12-02    Paragraphes: 61
    • En el Programa Sectorial de Marina 2007-2012, se estableció el indicador “Porcentaje de Atención a la Población en Casos y Zonas de Desastre”, auxiliándose en 100% a las comunidades afectadas durante la incidencia de fenómenos naturales mediante la realización de operaciones de apoyo a la oblación civil.
    • En este mismo Programa, se estableció el indicador “Porcentaje de Cobertura Eficiente para Proporcionar Seguridad Física a las Personas en Mares y Litorales Mexicanos” , debido a un mayor número de apoyos brindados a embarcaciones diversas por incidentes ocurridos en el mar.

    Fuente: INFORME NACIONAL DEL GOBIERNO DE MÉXICO EN SEGUIMIENTO DE LOS MANDATOS ADOPTADOS DURANTE LA V CUMBRE DE LAS AMÉRICAS (México 2010)
    • Date:  2010-12-02    Paragraphes: 62
    • México participó en junio de 2009, en Ginebra, en la Plataforma Global para la Reducción del Riesgo de Desastres, organizado por la Estrategia Internacional de Reducción de Desastres, en el panel Risk Financing and Insurance: The World
    Bank Group, a fin de transmitir y adquirir experiencias y proyectos en materia de emergencia y desastres.
    • Se brindó apoyo permanente a los Proyectos “Mejoramiento de la Tecnología para la Construcción y Difusión de la Vivienda Popular Sismo-resistente”, del Programa Conjunto de Cooperación México- Japón, y “Apoyo a la Ejecución del Proyecto Mesoamérica”, en cuyo marco se atiende la “Iniciativa Mesoamericana de Prevención y Mitigación de Desastres Naturales”, particularmente el “Atlas Mesoamericano de Peligros Naturales, Capítulo Sur Sureste” y el “Sistema Mesoamericano de Información Territorial para la Reducción de Riesgos de Desastres Naturales”.
    • En el marco del Acuerdo entre el Gobierno de los Estados Unidos Mexicanos y el Gobierno de los Estados Unidos de América sobre operación en Casos de Desastres Naturales se formalizó la entrega-recepción al Gobierno de México, de 108 mil trajes
    de protección personal para atender situaciones de riesgo o emergencia provocadas por riesgos químicos y biológicos.

    Fuente: INFORME NACIONAL DEL GOBIERNO DE MÉXICO EN SEGUIMIENTO DE LOS MANDATOS ADOPTADOS DURANTE LA V CUMBRE DE LAS AMÉRICAS (México 2010)
    • Sources Connexes
    CENTRO NACIONAL DE PREVENCIÓN DE DESASTRES (CENAPRED)
    INFORME NACIONAL DEL GOBIERNO DE MÉXICO EN SEGUIMIENTO DE LOS MANDATOS ADOPTADOS DURANTE LA V CUMBRE DE LAS AMÉRICAS (México 2010)
    PROGRAMA MUNICIPIO SEGURO: RESISTENTE A DESASTRES
    SISTEMA NACIONAL DE PROTECCIÓN CIVIL
  • Nicaragua
    N/A
  • Panama
    • Rapports
    • Date:  2012-04-13    Paragraphes: 61
    Information disponible en Espagnol
  • Paraguay
    N/A
  • Pérou
    • Rapports
    • Date:  2012-03-07    Paragraphes: 60, 61, 62
    MINSA.

    La Ley del Sistema de Defensa Nacional (Decreto Legislativo N° 743) establece en su Artículo 48° que “Los Ministerios y Organismos Públicos planean, programan y ejecutan las acciones de Defensa Nacional de sus específicas responsabilidades. Para el cumplimiento de sus funciones cuentan con Oficinas de Defensa Nacional que dependen de la más alta autoridad de su entidad.”

    Por otro lado, el Reglamento de la Ley del Sistema Nacional de Defensa Civil (D.S. N° 005-88-SGMD) señala en su Artículo 13° que “Conforme a la Ley, es obligatorio que en cada Organismo del Sector Público se ejerza la función de Defensa Civil. La jerarquía de la unidad orgánica que se constituya depende de la complejidad, cobertura y magnitud del organismo. De modo general el presente Reglamento las denomina Oficinas.”

    Además, la Ley del Sistema de Seguridad y Defensa Nacional (Ley N° 28748) establece que “Los Ministerios, Organismos Públicos y Gobiernos Regionales son los elementos de ejecución del Sistema de Seguridad y Defensa Nacional, encargados de planear, programar, ejecutar y supervisar, las acciones de defensa nacional, en las áreas específicas de responsabilidad. Para el cumplimiento de estas funciones cuentan con oficinas de defensa nacional, que dependen de la más alta autoridad de la institución.”

    En cumplimiento de lo mencionado, la actual Oficina General de Defensa Nacional del Ministerio de Salud (OGDN-MINSA), encuentra su razón de ser y sus dos campos de acción.

    La OGDN-MINSA como la Oficina Sectorial de los Sistemas de Defensa Nacional y de Defensa Civil, basa su accionar en:
    • El conocimiento de la situación de salud.
    • La identificación de los obstáculos que limitan o impiden el logro de los objetivos sectoriales e institucionales, así como el accionar de los programas de salud.
    • La identificación de los riesgos de emergencias y desastres que puedan alterar significativamente los actuales niveles de salud, así como la alteración del equilibrio oferta/demanda de los servicios de salud tanto en cobertura como en capacidad de resolución.
    • La determinación de las capacidades y limitaciones sectoriales e institucionales para hacer frente a los obstáculos y riesgos identificados.
    • La eliminación o debilitamiento de los obstáculos
  • République dominicaine
    • Rapports
    • Date:  2014-05-30    Paragraphes: 1
    Desarrollar un eficaz sistema nacional de gestión integral de riesgos, con activa participación de las comunidades y gobiernos locales, que minimice los daños y posibilite la recuperación rápida y sostenible de las áreas y poblaciones afectadas.
    El Decreto 874-2009 se crea para modifica el Reglamentos de Aplicación de la ley 147-02 sobre Gestión de Riesgos.
    Creación de Decreto 18-13 Comisión para el Manejo de Desastres Naturales, la preside el Ministerio de la Presidencia, Ministerio de las Fuerzas Armadas, Ministerio de Relaciones Exteriores, Ministerio de Medio Ambiente y Recursos Naturales, Centro de Operaciones de Emergencia, y Defensa Civil. Es la encargada de planificar, y ejecutar pilares de HOPEFOR, auspiciada por Turquía, Qatar y la República Dominicana, co-patrocinio de Australia, Nueva Zelanda, Indonesia, Haití, Luxemburgo y Perú.

    Entrenamiento y Doctrina: lograr procedimientos estándares entre grupos Civiles y Militares.
    Actividades Operacionales: creación pool de expertos bajo dirección OCHA, para intercambio de experiencia y lecciones aprendidas.
    Preparación: evitar la pérdida de vidas humanas y bienes materiales.
    Centro de Excelencia: para la construcción de capacidades, intercambio de experiencias, lecciones aprendidas, acopio de estadísticas y el establecimiento de una base de conocimiento e investigación.
    Se ha creado el Decreto 275-13 que aprueba el Plan Nacional de Gestión Integral del Riesgo a Desastres y el Plan Nacional para la Reducción de Riesgos Sísmico.
    El Sistema de Información de Alerta, se crea mediante la resolución No. 255-08, el cual le permite al Centro de Operaciones de Emergencia (COE), a través del Instituto Dominicano de las Telecomunicaciones (INDOTEL), hacer uso de las redes y sistemas de telecomunicaciones instalados en todo el territorio nacional, para la retrasmisión de mensajes de texto o de voz que deberán llegar a los usuarios de los servicios de telecomunicaciones, ya fueren telefónicos o de difusión, a los fines de que estos puedan estar debidamente informados de la posible ocurrencia de una situación de emergencia. Con esta iniciativa se benefician aproximadamente unos 11, 000,000.00 de dominicanos.
    Carta Acuerdo de Entendimiento por parte de los Ministros y Directores que forman parte del Equipo Interinstitucional de Información Geoespacial (EIGEO). EIGEO es un grupo consultivo de la Comisión Nacional de Emergencias cuya misión es recopilar, gestionar y generar información mapeada para apoyar la toma de decisiones en las fases de prevención, mitigación, respuesta y recuperación de desastres. Este tiene como objetivos principal: Creación de un Sistema Integrado de Información para la Gestión de Riesgos y también de la generación de mapas operacionales y de evaluación de daños basados en el análisis de imágenes satelitales tomadas post-emergencia combinadas con datos base como vías de comunicación, albergues, hospitales, centros de acopio, etc.
    • Date:  2014-05-30    Paragraphes: 3

    Gobierno aunó voluntades que apoya la iniciativa HOPEFOR, con la colaboración de los siguientes Organismos y países:
    Gobierno de Taiwán, Ambulancias, Motocicletas.
    Org. Panamericana de la Salud (OPS/OMS, Sist. De Gestión SUMA.
    PNUD-ANESVAD, Sist. De Capacitación en Virtual Triega.
    PNUD:Consultoría p/Modelo, Operación del Centro
    PNUD-DHL-OCHA: Prog. Get. Airports, Ready for Disaster
    Unión Europea: 2.2 Millones Euros
    Agencia Española Cooperación, Asesoría Técnica
    Agencia Española Cooperación, memorando de Entendimiento entre el gobierno de España y el gobierno de República Dominicana para el desarrollo de una operación de ayuda programática de Prevención de Riegos.
    Participación de técnicos Dominicanos EN el Equipo de las Naciones Unidas de Evaluación y Coordinación en casos de Desastre (UNDAC). UNDAC/OCHA/PNUD.
    Facilidades para el socorro de víctimas -40 equipos de rescate (técnicos y brigadistas, médicos y paramédicos) y perros adiestrados en búsqueda y rescate de víctimas participaron en el terremoto de Haití del 2010.
    República Dominicana se constituyo en corredor humanitario, sirviendo de puente para la recepción de la ayuda y donaciones, terrestre y aérea y logística para la distribución de la ayuda Humanitaria en Haití, en el terremoto del 2010.
    • Date:  2014-05-30    Paragraphes: 4
    Nueva Ley Gestión de Riesgos

    La Comisión Presidencial, ha hecho la revisión a la normativa vigente, con participación de más de 20 instituciones, técnicos del sistema nacional de gestión de riesgos y organismos de cooperación.
    Aspectos que resaltan la nueva ley: (Máxima autoridad del Sistema), Centro de Excelencia como entidad central para la capacitación e investigación.
    Ministerio de la Presidencia (centraliza no) recomendamos coordina la recepción de suministros humanitarios y su distribución en Centros de Acopio.
    Fortalece la presencia y funcionamiento de los Comité de Prevención, Mitigación y Respuesta (PMR).
    Fortalecimiento de la Capacidad de Respuesta de Búsqueda y Rescate a través de la creación de las brigadas HURON (Cuerpo de Bomberos Distrito Nacional), UNDRI (Unidad Nacional de Respuesta Inmediata de la Defensa Civil) y UME (Unidad Militar de Emergencias de Las Fuerzas Armadas).
    Creación de las unidades de Gestión de Riesgos en todas las instituciones oficiales del país, de acuerdo a la ley 147-02 sobre Gestión de Riesgos.
    Se implementa el Plan de Acción de Hospitales Seguros establecido en el Marco de Acción Hyogo 2005-2015. Esta siendo desarrollado por el Ministerio de Salud Pública y la Organización Panamericana de la Salud (MISP/OPS).
    Creación de dos Academia de Bomberos Operativa en el Distrito Nacional. Una para entrenamiento de brigadas empresariales para capacitar sobre extinción de incendio, materiales peligrosos, rescate de altura y ascensores y la otra para capacitación en estructura colapsada ligera.
    Instalación de Estaciones de bomberos cada 6.7 km en el distrito nacional, lo que mejora sustancialmente la respuesta. Yendo más allá de los estándares internacionales que es cada 10 km.
    • Date:  2014-05-30    Paragraphes: 6
    Taller Regional celebrado en enero de 2013 con la participación de los países de la región del Caribe, y las principales conclusiones son:
    CDEMA ratifica que HOPEFOR es una herramienta importante para el logro de los objetivos planteados a nivel regional de lograr una mejor preparación conjunta.
    CDEMA propondrá perfil y nombres para Pool Internacional de Expertos.
    Adoptar líneas regionales propias c/base en directrices Oslo para el uso de actores militares y civiles humanitarios.
    Ampliación de red de socios de la iniciativa HOPEFOR.
    III Conferencia Internacional celebrada en Noviembre de 2013 con países socios e invitados del Caribe, sus resultados fueron:
    Firma de acuerdo RD-Turquía para el fortalecimiento de la preparación.
    Apertura del diálogo para firma de acuerdo con el Centro de Prevención de los Desastres Naturales en América Central (CEPREDENAC).
    RD-Colombia, RD-Cuba promueven la firma de un acuerdo marco de gobierno a gobierno para el fortalecimiento de capacidades entre los actores civiles y militares.
    Intercambio OCHA-RD para la firma de un convenio de colaboración, hacia el pool internacional de expertos.
    Convenios en Curso: gestiona acuerdos de cooperación bilateral con: Gobierno de Colombia para la asistencia técnica en gestión de riesgos y apoyo en la configuración de una arquitectura normativa eficaz, Gobierno de Cuba para el intercambio de lecciones aprendidas en materia de gestión de riesgos y despliegue de acciones conjuntas en el manejo de desastres.
    CDEMA para el intercambio de experiencias y el uso de expertos en la creación de capacidades desde el Centro de Excelencia.
    OCHA para la conformación del Pool de Expertos, Asesoría en materia de coordinación civil y militar, desarrollo del Centro de Excelencia. Dicho Centro en el país tendrá alcance nacional y regional para la capacitación y entrenamiento de expertos no solo en el tema de coordinación cívico militar sino en todo lo relativo a respuesta a desastres naturales. El Centro es parte de todo un sistema nuevo de atención a emergencias que incluye un novedoso y nunca visto sistema de emergencias 911. Además, un Centro de Acopio Humanitario dentro de su programa de Preparación nacional ante desastres naturales.
    El gobierno de Estados Unidos firmo memorándum de Entendimiento para la formación de Equipo de Búsqueda y Rescate en Estructura Colapsada Urbana (USAR), para fortalecer las capacidades conforme a los lineamientos emanado del Grupo Asesor Internacional de Operaciones en Búsqueda y Rescate del Sistema de Naciones Unidas (INSARAG).
  • Sainte-Lucie
    N/A
  • Saint-Kitts-et-Nevis
    N/A
  • Saint-Vincent-et-Grenadines
    N/A
  • Suriname
    N/A
  • Trinité-et-Tobago
    N/A
  • Uruguay
    N/A
  • Venezuela
    N/A
  • Organisation des États Américains (OEA)
    • Rapports
    • Date:  2018-01-09    Paragraphes: -
    Información disponible en inglés
    • Date:  2011-06-23    Paragraphes: 60
    En respuesta al párrafo 60, la OEA ha prestado asistencia técnica acerca del manejo de desastres, prevención y recuperación a 23 Estados Miembros. La OEA ha también se ha asociado con la ONU en la implementación del Marco Hyogo de las Naciones Unidas para la Plataforma de Acción Regional de las Américas para la Reducción de Desastres (RRD) y contribuido a la investigación sobre la RRD, incluyendo la aplicación de imágenes de satélite a la Respuesta a Emergencias de Desastres en Guatemala.
    • Sources Connexes
    OAS Website
  • Banque interaméricaine de développement (BID)
    • Rapports
    • Date:  2014-04-28    Paragraphes: 3
    Información disponible en inglés
  • Commission économique pour l'Amérique latine et les Caraïbes (CEPALC)
    • Rapports
    • Date:  2011-06-21    Paragraphes: 61
    La CEPAL continúa apoyando a los países de la región a través de la aplicación de la metodología para evaluar los impactos macroeconómicos, socioeconómicos y ambientales de los desastres naturales, conocida como Metodología de evaluación de daños y pérdidas por desastres naturales. 2010 fue un año especialmente difícil para la región en cuanto a desastres naturales; la CEPAL evaluó el impacto socioeconómico de los desastres naturales en siete países: Bolivia, Colombia, El Salvador, Guatemala, Haití, México y Santa Lucía.
    • Sources Connexes
    ECLAC's Website
  • Organisation panaméricaine de la santé (OPS)
    N/A
  • Banque mondiale
    • Rapports
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 2
    Información disponible en inglés
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 3
    Información disponible en inglés
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 2
    Información disponible en inglés
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 2
    Información disponible en inglés
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 2
    Información disponible en ingles
    • Date:  2011-06-23    Paragraphes: 61
    En 2010 y 2011, el Grupo del Banco Mundial ayudó a Haití en las inspecciones de seguridad de 400.000 hogares, otorgó donaciones para la reparación y reconstrucción, ayudó a estabilizar las actividades gubernamentales, combatió la epidemia de cólera y ayudó a miles de niños a regresar a sus escuelas. Hasta la fecha, el Grupo del Banco Mundial ha proporcionado US$479 millones en donaciones y demás financiamiento a Haití, incluyendo el apoyo al sector privado por medio de la Corporación Financiera Internacional (IFC) por unos US$49,6 millones.
    • Sources Connexes
    World Bank's Website
  • Institut interaméricain de coopération pour l'agriculture (IICA)
    N/A
  • Banque de Développement de la Amérique Latine (CAF)
    • Rapports
    • Date:  2014-04-29    Paragraphes: 2
    Información disponible en inglés
    • Date:  2014-04-28    Paragraphes: 5
    Programa Integral para la Gestión de Desastres Causados por Fenómenos Naturales - PRIDES
    PRIDES constituye una iniciativa liderada por CAF para apoyar a los países ante las situaciones de desastres causadas por fenómenos naturales. Este apoyo se materializa a través de acciones en cinco frentes: (i) identificación y valoración del riesgo; (ii) reducción del riesgo; (iii) gestión financiera de la administración del riesgo; (iv) preparativos y respuesta a desastres; (v) recuperación post-desastre.

    Actividades: Identificación, valoración y reducción del riesgo. CAF promueve a través de la red Geópolis acciones en las siguientes áreas temáticas: (a) planificación y prevención de desastres; hábitat y desarrollo urbano; pobreza y sostenibilidad social; (b) amenaza sísmica y mitigación de riesgo sísmico; comportamiento de estructuras y vulnerabilidad urbana; y (c) cambio climático, prevención de desastres e impacto en las sociedades en desarrollo; amenazas hídricas; mitigación de riesgo. - Gestión financiera de la administración del riesgo. CAF trabaja con una de las principales reaseguradoras mundiales para apoyar a países accionistas en la identificación de mecanismos de transferencia de riesgos. - Preparativos y respuesta a desastres. Desarrollo de un sistema de alerta temprana con el cual se podrá hacer llegar información relevante a las autoridades nacionales y locales sobre el desarrollo, en tiempo real, de una posible situación de emergencia causada por un fenómeno natural. - Recuperación post-desastre. CAF ha puesto a disposición de sus países accionistas una “Facilidad de Financiamiento Contingente para la Atención de Emergencias ocasionadas por Fenómenos Naturales”. - Capacitación: Promover la reflexión sobre la Gestión de Riesgos a nivel regional, a través de talleres y seminarios que involucren a los sectores público, privado y educativo.

    Beneficiarios: Los beneficiarios incluyen los gobiernos centrales, federales, regionales, provinciales o municipales de los países accionistas de CAF.

    Socios y financiamiento: A nivel internacional, CAF viene trabajando en este ámbito en alianza con el Gobierno de Holanda y con una de las principales reaseguradoras mundiales.
    • Date:  2012-11-05    Paragraphes: 140
    Contenu disponible en espagnol
    • Date:  2011-06-21    Paragraphes: 60
    El Programa de Gestión de Riesgos de Desastres (PREVER) apoyó proyectos y actividades relacionadas con la gestión del riesgo y la disminución de vulnerabilidades relacionadas con el Fenómeno El Niño, la adaptación y vulnerabilidad ante el cambio climático, la atención contingente ante desastres y la prevención de riesgos desde la perspectiva local.
    • Sources Connexes
    CAF's Website
  • Banque centraméricaine d'intégration économique (BCIE)
    • Rapports
    • Date:  2013-05-02    Paragraphes: 1, 2, 3, 4, 5, 6
    Information disponible en espagnol
  • Banque de développement des Caraïbes (BDC)
    N/A
  • Organisation internationale pour les migrations (OIM)
    • Rapports
    • Date:  2018-03-22    Paragraphes: -
    Environmental factors play an important role in increasing human vulnerability and driving migration and displacement. IOM is dedicated to supporting Latin American countries in their efforts to mitigate the risks of environmental and climate related stressors. In Argentina, attention was placed on capacity-building for disaster risk management in line with IOM’s strategy on migration, environment and climate change during 2017. In Peru, IOM joined the UN Evaluation and Disaster Coordination (UNDAC) team, in supporting of the Government of Peru, to assess the emergency caused by heavy rains, and mud- and landslides in several regions of the country in January of 2017. IOM deployed emergency staff in response to forest fires that have been affecting the central zone of Chile since mid-January, as part of the UN Evaluation and Disaster Coordination (UNDAC) team. In Bolivia, IOM also worked to raise awareness on migration and environmental practices and the relationship between migration and climate change. In this line, it was important to promote environmentally sound development in the country. IOM supported the Peruvian national government in including migration in national adaptation strategies on climate change. IOM provided special strengthening support to national stakeholders in El Salvador on the generation of information and evidence on human mobility and the displacement of vulnerable populations due to the effects of climate change.
    • Date:  2014-04-14    Paragraphes: 3, 4
    IOM plays an increasingly important role in Disaster Risk Management and Humanitarian Coordinated Response to displacement induced by natural disasters as global cluster lead for Camp Coordination and Camp.
    IOM in the Americas has been working on 1)Developing models and in data collection on the cost and benefits of migration including displacement in partnership with IDMC. 2) Learning lessons from program implementation to develop evidence based policies for policy-makers. 3)Different advocacy exercises, including through the UN, to develop Mobility Related Indicators for the Implementation of the UN ACTION PLAN on Disaster Risk Reduction.
    • Date:  2014-04-14    Paragraphes: 3
    IOM's Disaster Risk Reduction (DRR) intervention in Colombia is comprehensive and includes projects that address all phases of the migration management cycle, from the reduction of migratory pressures on vulnerable populations to the long-term stabilization of communities displaced and otherwise affected by disasters.
    In order to support the capacities of the Colombian Government and civil society, IOM led several shelter coordination and management projects, training local authorities on the provision and management of temporary shelters, and distributed hygiene and sleeping kits to vulnerable families. IOM aimed at enhancing local and institutional preparedness, as well as directly managing the IOM has been working jointly with the National Ministry of Education on community stabilization through the improvement, reconstruction, relocation, rehabilitation and equipping of educational infrastructure in border regions, isolated areas or municipalities affected by natural disasters and conflict. These initiatives seek to reduce risk in some of the most vulnerable communities in the country.situation of populations displaced by the floods.

    In addition, in 2012, the Organization led the shelter coordination and management project for the assistance program implemented jointly with the UN System and the Colombian Government.
    IOM also supports the Colombian Government in the coordination and management of temporary shelters built to assist victims of the La Niña Phenomenon of 2010–2011. More info: https://www.iom.int/files/live/sites/iom/files/What-We-Do/docs/IOM-DRR-Compendium-2013-America.pdf
    • Date:  2011-06-21    Paragraphes: 61
    En Haití, con equipos de técnicos agrícolas y miembros de la comunidad, la OIM ha apoyado la construcción de 81.000 metros de paredes de piedra; la excavación de 90.000 metros de microcuencas; y la plantación de más de 800.000 árboles en las cuencas hidrográficas de Gonaïves, Saint Marc y Petit-Goave. El cultivo masivo de árboles y de especies de raíces profundas ayuda a reforzar barreras, retener el agua y fortalecer los suelos.
    • Sources Connexes
    IOM's Website
  • Organisation internationale du travail (OIT)
    N/A
  • Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD)
    N/A